AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Agathe Colombier-Hochberg (196)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Mes amies, mes amours, mais encore ?

Trouvé sur l'étagère d'une amie, je me suis dit pourquoi pas. Quelle erreur !!! Ce livre s'adresse tous particulièrement aux femmes et surtout à celles qui ont envie de déprimer. c'est un livre que je trouve inutile, terriblement ennuyeux.

Les personnages sont insipides, tout comme leur petite vie.

Je me demande bien où l'auteur a voulu en venir en publiant une histoire pareille.



Bref amis lecteurs passez votre chemin !

Commenter  J’apprécie          40
Une semaine avec mes frères

Les mêmes parents, une même maison mais trois enfants et trois histoires.



Stan, le plus jeune des trois écoute, presque absent, ses deux aînés égrener leurs souvenirs. Il ne se souvient de rien. Et pour cause, il était si petit.

Mais quelle émotion lorsqu'il trouve par hasard sa boîte aux trésors où d'un seul coup tout lui revient.



Très beau roman sur la famille, les blessures de l'âme, la réconciliation mais aussi le grand manque d'une mère partie trop tôt.



Commenter  J’apprécie          30
Une semaine avec mes frères

Un roman d'une grande tendresse sur ce qui se joue au sein d'une fratrie : entre amour, non-dits, rancoeurs. 3 frères se retrouvent à la quarantaine dans leur maison d'enfance et échangent sur ce paradis perdu. Des dialogues d'une grande douceur, des personnages (3 hommes, ça change !) d'une belle sensibilité. J'ai passé un superbe moment.
Commenter  J’apprécie          30
Une semaine avec mes frères

Ils sont trois frères : Romain, Philippe, Stan.

Romain dont le mariage bat de l'aile, et qui ne sait comment retenir Laura, lui qui aime choisir, décider, imposer.

Philippe, musicien introverti, sensible et discret. Père de Violette, étudiante en architecture, il a souffert en silence de son divorce.

Stan est le petit dernier, solitaire, celui qui a le moins connu leur mère  décédée lorsqu'il avait 5 ans.

Tous trois, liés, comme le pressent Violette, au-delà des liens du sang, par "une sorte de fêlure commune", se retrouvent en Normandie dans la maison de vacances de leur enfance vendue par leur père après le décès de leur mère, et que Romain a rachetée. Entre nostalgie de l'enfance et petites rancœurs ravalées, ces retrouvailles prennent parfois un goût amer.

J'ai aimé ce récit d'une relation où se mêlent complicité et rivalité, où les souvenirs d'enfance cimentent un amour fraternel difficile à exprimer. Le style de l'auteure est fluide, je la relirai avec plaisir.

Merci à Netgalley et aux éditions Plon pour cette lecture agréable.

#Unesemaineavecmesfreres

#NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          30
Une semaine avec mes frères

Romain a proposé à ses deux frères de passer une semaine avec lui. Il les attend à la gare. Il est le deuxième de la fratrie. L’aîné, Philippe, est musicien et il descend du train, son violoncelle sur le dos. Le cadet, Stan, revient d’une mission humanitaire en Afrique. Ils ne savent pas que Romain, quelques mois plus tôt, a acheté la maison de vacances de leur enfance. Ils ne sont pas revenus depuis le décès brutal de leur mère, sur la plage de Blonville-sur-mer. Il y a trente-deux ans. En découvrant la surprise, Philippe est submergé par les souvenirs, alors que Stan, beaucoup plus jeune, en possède peu.





Pendant une semaine, ils partagent leur perception de leur enfance. Elle diffère, selon leur place dans la fratrie et leur personnalité. Philippe est celui qui relie les trois. Il est proche de ses frères et il est un repère et un soutien pour chacun. Romain, chef d’entreprise, a besoin de briller pour exister. Les deux autres admirent sa capacité à se sentir bien partout, son don pour la communication et pour les contacts, mais sont fatigués par son exubérance. Stan est réservé et a besoin de silence et de solitude. Il est en retrait, ce qui exaspère son aîné exubérant.





Pendant ces jours passés ensemble sur les traces de leur enfance, ils se redécouvrent, se confient, révèlent des blessures, cachent des douleurs et se remémorent leurs bonheurs. Ils se chamaillent, ils se soutiennent, ils parlent, ils apprennent à se taire et à se livrer : ils réforment la fratrie, avec leurs souvenirs d’adolescence et leur vécu d’adulte. Pour la première fois, ils acceptent d’entendre que leurs sentiments, leurs souvenirs, leurs émotions et leurs ressentis ne sont pas semblables. Cependant, le plus grand changement est à l’intérieur d’eux. Cette semaine est une rencontre avec leurs frères et avec eux-mêmes.





Une semaine avec mes frères est un roman intime et pudique sur les liens familiaux, la nostalgie de l’enfance et la mémoire de celle-ci. C’est un voyage intérieur qui convoque notre propre vécu, aussi, chaque lecteur le lit avec ses propres fêlures, ses souvenirs personnels, chéris, honnis ou oubliés. J’ai beaucoup aimé.




Lien : https://valmyvoyoulit.com/20..
Commenter  J’apprécie          30
Les 7 premiers jours

Sept jours.

Sept jours c'est long.

Sept jours c'est court aussi.

Sept jours c'est le temps qu'il faut pour créer.

C'est aussi le temps qu'il faut pour détruire.

Détruire une histoire d'amour.

Détruire un couple.

Détruire ce qui unit deux personnes pour la vie.

Qui plus que l'autre est responsable ?

Comment Elle et Lui vivent ces 7 jours de séparation ?

Sept jours d'absence de l'autre.

Sept jours de douleur. De prise de conscience.

Elle et Lui. Si proches et si éloignés à la fois.

-----

J'ai apprécié la lecture de ce roman choral qui reste "doux" malgré le sujet traité. J'ai aimé connaître le point de vue des 2 protagonistes. Leur vision de la situation. Une situation commune, un sujet qui parle à tous. Un sujet dans lequel les "et si ..." ont leur place.

Enfin, j'ai aimé que l'auteur me rappelle d'oser. Oser faire. Oser dire. Oser prendre de la hauteur aussi. Et savoir que le bonheur peut être à portée de main.
Commenter  J’apprécie          30
Nos (pires) meilleures vacances à Las Vegas

On retrouve Géraldine et sa famille pour les vacances, ils n'iront pas à Kros mais à Las Vegas pour le mariage d'Isabelle, sœur de Géraldine. Entre l'hôtel qui n'est pas réservé comme il faut, l'arrivée de Yannis, les jeux de casino, aucun moment de répit n'est accordé à Géraldine.

Un livre où on en prend pas la tête, qui fait du bien, qui repose et donne le sourire en y repensant.
Commenter  J’apprécie          30
Des éclaircies en fin de journée

Je dois dire que le résumé de ce livre me tentait pas mal. Je me suis dis que de lire un contemporain évoquant l'homosexualité, le droit de se marier et l'envie de fonder une famille serait intéressant à découvrir, tout comme les émotions partagées de leur entourage. Malheureusement, ce livre n'a pas réussi à me convaincre pleinement.



Dans ce roman, nous suivons le quotidien de Camille et celui de sa fille, Léo.

Paul, l'ex-mari de Camille et père de Léo, a fini par se rendre compte qu'il aimait les hommes et à quitté le cocon familial pour vivre avec Alex, l'homme qu'il aime. Depuis, les rapports de cette famille peu conventionnelle sont affectueux, cordiaux, touchants et chacun y a sa place. Seulement voilà, les deux hommes ont décidé d'agrandir la famille en faisant appel à une mère porteuse, puis, de se marier. C'est alors que les problèmes vont commencer...

Camille prendra conscience que pendant que les autres prennent leur vie en main, ce n'est pas son cas. Suite à sa séparation, elle s'est entièrement consacrée à sa librairie et à Léo, en délaissant la femme qui sommeille en elle. Léo quand à elle, a bien du mal à trouver sa place dans cette "nouvelle" vie familiale. Rajoutez à cela les hormones de l'adolescence et le tout se transforme en cocktail explosif.



Camille est une femme travailleuse, courageuse et dévouée à sa fille. Elle n'a plus eu de relations avec un homme, depuis que Paul et elle se sont séparés. Lorsque ce dernier décide d'agrandir sa famille et de concrétiser son amour pour Alex à travers le mariage, elle se rend compte qu'elle a laissé sa vie de femme à l'abandon et qu'elle est passée à côté d'une partie de sa vie. Cela lui pèse et elle aimerait rencontrer à nouveau quelqu'un. Quand ce quelqu'un sonnera à sa porte, elle espère que les choses se passeront pour le mieux. Mais qu'en sera t-il vraiment?

Concernant l'éducation de sa fille, si jusque là elle n'avait pas eu de problèmes majeurs, le changement familial qui s'opère sera assez lourd à supporter car Léo lui fera vivre un cauchemar et ne cessera de remettre son autorité en cause.

C'est une femme adorable, gentille, intelligente, mais qui n'aura pas su suffisamment de poigne et d'autorité sur sa fille le moment venu. Elle se laisse trop facilement convaincre par Léo et ne sait pas mettre les barrières nécessaires à sa progéniture.



Léopoldine, dite Léo, est une adolescente de seize ans. Le fait que son père est quitté le nid familial et qu'il assume totalement son homosexualité ne l'a jamais dérangé. De plus, elle est très proche d'Alex, le nouveau compagnon de son père. Elle est contente de pouvoir compter sur sa mère et ses deux pères au quotidien. Seulement voilà, l'annonce de l'arrivée très prochaine d'un nouveau-né lui fait peur. Elle a peur d'être délaissée, de ne plus avoir sa place, de ne plus pouvoir compter sur l'attention de ses proches et redoute plus que tout, que quelqu'un dans son lycée, ne découvre la vérité sur sa famille. Si elle a toujours été une bonne élève, une photo relayée sur les réseaux sociaux va tout faire basculer. Léo commet des erreurs, se met à mentir, à être irrespectueuse, à ne plus travailler et à avoir honte de ses pères. De plus, elle a peur de la réaction du garçon qui fait battre son cœur si jamais il venait à découvrir l'homosexualité de son père.

Au début du roman j'ai apprécié Léo que je trouvais gentille et attachante. Puis, plus on avance et plus son comportement change. Elle devient solitaire, têtue, méchante, égoïste et surtout ingrate et irrespectueuse. La seule personne avec qui elle ne change pas est sa meilleure amie. Je veux bien que le contexte dans lequel elle évolue devienne plus difficile à gérer, mais ça ne veut pas dire qu'elle doit se comporter ainsi. J'ai été adolescente (comme tout le monde, me direz-vous) et jamais, oh grand jamais, je ne me serais permise un quart de ce qu'elle fait subir à ses parents. Pour moi, c'est juste inacceptable de se comporter de la sorte. Rien ne justifie cela. Oui ce n'est pas simple, oui le regard et les remarques des gens peuvent blesser, mais merde, à un moment donné il faut apprendre à vivre sa vie en laissant de côté les avis des gens qui pour la plupart ne vous connaissent même pas. Il y aura toujours des gens pour juger, pour pointer du doigt les différences, pour se moquer et critiquer, mais c'est comme ça. Il faut se faire une raison si on ne veut pas finir par passer à côté de sa vie et des bonheurs qu'elle nous réserve. De plus, j'estime qu'elle s’apitoie un peu trop sur son sort et met tout ses problèmes sur la venue au monde de son petit frère. Elle seule est responsable de ce qui se passe, mais au lieu d'admettre ses erreurs, elle s'enfonce et accuse les autres. Je ne peux pas être d'accord avec ça et elle m'a profondément agacée. Si arriver vers la fin, elle se calme enfin, pour ma part, il était trop tard. Le mal étant déjà fait, on ne peut plus revenir en arrière.



Viens ensuite Paul, son père. C'est un homme qui s'est voilé la face pendant plusieurs années avant d'accepter la situation et de prendre la décision de voler de ses propres ailes. Depuis, il est plus amoureux que jamais d'Alex, son compagnon. Il a de bons rapports avec son ex-femme et leur fille. Qui plus est, les deux femmes de sa vie adorent l'homme de sa vie, alors que demander de plus?

Les deux hommes sont ensembles depuis plusieurs années et tout naturellement, le désir d'un enfant à eux se fait ressentir, tout comme la concrétisation de leur amour en passant par le mariage. Ce qu'ils étaient loin d'imaginer, c'est que cela remettrait pas mal de choses en questions et que Léo se sentirait délaissée. Paul est un homme doux, patient, toujours à l'écoute, drôle, il ne se prend pas la tête pour des broutilles, profite de la vie, mais il manque parfois lui-même de maturité. Il partage l'éducation de Léo avec son ex-femme mais de manière plus détendue. Néanmoins, sa fille va le pousser à bout et l'obliger à prendre des mesures inédites.

J'ai beaucoup aimé son personnage qui a su me toucher. C'est sans doute lui, qui m'a fait vivre le plus d'émotions dans cette lecture. Après tout, c'est lui qui doit subir le regard des gens, le fait d'être pointer du temps quand il sort de chez lui, le fait d'avoir conçu un enfant et de l'élever avec un homme à ses côtés, la honte qu'il peut lire parfois dans le regard de sa fille, etc... Il a décidé de se battre et de vivre sa vie comme bon lui semble, de faire tout simplement ce qui le rend heureux, et même si ce n'est pas simple tous les jours, il ne regrette aucunement sa décision de vivre pleinement.



La plume de l'auteure est plaisante et fluide. J'aime le fait qu'elle aborde non seulement le thème de l'homosexualité, mais aussi le fait que comme n'importe quel couple, on puisse rêver de concevoir un enfant, de se marier ou d'avoir tout simplement des projets de vie et peu importe le sexe des personnes concernées. C'est un sujet d'actualité qu'elle traite avec délicatesse et pudeur. Ses personnages adultes sont intéressants et travaillés. Les choses sont d'autant plus compliquées à l'âge adulte et pourtant, c'est son personnage adolescent, qui semble porter tout ce poids sur ses épaules. J'ai aimé les idées de l'auteure, la trame de fond, mais je ne peux pas comprendre et apprécier le comportement de Léo. Je ne comprend pas pourquoi elle a poussé aussi loin ce personnage dans cette direction. S'est-elle inspirée de quelque chose dont elle aurait été témoin ou dont elle aurait entendu parler? L'autre thème abordé est le fait de laisser sa vie de femme (ou d'homme) de côté suite à une séparation. Les difficultés et la solitude que cela peut représenter. Du coup, mon avis est mitigé. L'histoire en elle-même est intéressante et plutôt belle, mais encore une fois (je me répète un peu) les réactions et actions de Léo sont incompréhensibles et inacceptables pour moi. Ma lecture aura été grandement gâchée par cette dernière et c'est bien dommage. Si Agathe Colombier Hochberg voulait que j'éprouve de la sympathie pour notre héroïne, c'est raté. J'avais juste envie de la gifler et de lui dire de profiter pleinement de ses parents car, ils ne seront pas toujours là pour l'encourager, la guider et l'aimer. Les gens partent et parfois bien trop tôt, nous laissant avec le regret de ne pas leur avoir dit assez souvent à quel point on les aimait.



En résumé, une histoire contemporaine dans l'air du temps avec des thèmes difficiles qui y sont abordés. Des doutes, des désirs, de l'amour, de la honte, de la joie, des peines et de la colère rythmeront votre lecture. Des personnages adultes fort intéressants et touchants, mais une héroïne tête à claques, égoïste et irrespectueuse qui aura gâchée ma lecture. Une lecture en demi-teinte que je recommande aux personnes voulant découvrir une histoire de famille recomposée avec des protagonistes homosexuels qui rêvent d'agrandir la leur.
Commenter  J’apprécie          30
Nos (pires) meilleures vacances à Tel-Aviv

Pour pouvoir assister à la bar-mitsva de son neveu, Géraldine embarque toute sa famille (+ Yannis le meilleur ami grec) à Tel-Aviv. Là bas, les aventures vont se succéder et les vacances ne seront pas de tout repos.



Contente d'en avoir enfin fini avec ce livre. Ces 220 pages sont interminables. Aventures foldingues et invraisemblables, humour lourd et répétitif avec des clichés à la pelle. Les personnages sont caricaturaux et en font des tonnes, surtout Yannis que j'ai trouvé insupportable. Une lecture dont j'aurai très bien pu me passer.
Commenter  J’apprécie          30
Nos (pires) meilleures vacances

Un ouvrage extraordinaire, l'auteur nous offre une comédie exubérante et remplit d'humour. Un livre qui nous transporte dans le rythme d'une famille recomposée en vacances, les rôles sont vites réparties, l'organisation y est méticuleuse jusqu'au moment où tout part en vrille ! Des vacances ensoleillées mais endiablées entre maladresse et découvertes surprises. Une histoire rocambolesque qui swing aux allures d'un roadtrip mêlé de fracas et d'humour. Un livre pour s'échapper et avoir des fous rires, et Dieu sait que l'on en a besoin !
Commenter  J’apprécie          30
Les vies turbulentes de Lady M

Les aventures campagnardes d'une vieille dame excentrique et un peu à côté de la plaque, de sa petite fille en pleine déroute sentimentale et de son majordome fraîchement retraité...

Vous avez aimé "complètement cramé" de Gilles Legardinier ? Alors foncez, vous allez en retrouver l'esprit dans ce roman léger.

Mais ne comptez pas sur moi pour vous en dire plus !

Ce n'est pas du snobisme, je ne boude pas la littérature légère et détendante, mais je n'ai apprécié ni l'un ni l'autre, et ne suis donc pas un bon juge pour ce genre de littérature.
Commenter  J’apprécie          30
Ce crétin de prince charmant

Oui sans plus. Juste divertissant en ce qui me concerne.
Commenter  J’apprécie          31
Nos (pires) meilleures vacances

Ce livre aurait pu être sympa si l'histoire avait été interressante ou le déroulement des événements un minimum plausibles seulement là ce n'est pas le cas, c'est trop trop trop. J'ai tout au long de ma lecture l'impression d'avoir suivie les aventures de Mr Bean, Droopy et Gaston Lagaf en vacances. Ca reste cependant un livre à emporter à la plage il ne prend pas de place,ne craint ni le sable ni l'eau salé et ne demande aucune réflexion, de plus il se lit vite et s'oublie très vite aussi.
Commenter  J’apprécie          30
Ce crétin de prince charmant

Un roman féminin plus que décevant! Une histoire sans saveur pour le moins ennuyeuse, des personnages sans caractère avec une psychologie un peu douteuse...Bref ce n'est pas un coup de cœur, je ne vous le conseille pas si vous ne voulez pas perdre votre temps, ce qui est bien dommage à la lecture du résumé qui donne envie de le lire (paradoxe?).
Commenter  J’apprécie          31
Mes amies, mes amours, mais encore ?

nul, nul, nul!!!!

Un livre qui tire dans tous les sens.

Le résumé promet à ses lecteurs une histoire aussi palpitante

que Bridget Jones, Mes amies, mes amours, mais encore ? n'arrive même pas à la cheville d'une comédie aussi drôle!!

Commenter  J’apprécie          30
Nos (pires) meilleures vacances

Un roman, pour les vacances qui se lit très vite.

Le thème exploité est une bonne base mais aurait pu déboucher sur un livre hilarant. Il m'a manqué un petit quelque chose dans l'écriture pour que j'adhère à l’histoire.
Commenter  J’apprécie          30
Nos (pires) meilleures vacances

Et oui, parfois j’ai besoin d’un petit roman spécial détente !

Alors une histoire de vacances, ponctuée de péripéties en tout genre, le tout sous un ton empreint d’humour, c’est l’idéal.

Pas de quoi en parler pendant des heures, mais si vous avez envie de passer un bon moment allongé sur le sable cet été, glissez le dans votre valise !
Lien : http://leschroniquesdhistoir..
Commenter  J’apprécie          30
Mes amies, mes amours, mais encore ?

So pink, so girly, so fresh mais tellement pas mon genre - merci quand même à Elise et Taïna grâce auxquelles je m'affranchis du sentiment de honte que je peux éprouver à 1/ lire un truc pareil et 2/ parler d'un livre aussi inintéressant ici.



Mais une promesse est une promesse.



Ce doit être le premier ouvrage assimilable "chick lit" que je lis depuis l'Age de raison (la suite - décevante selon moi - du journal de Bridget Jones.)



Je vous laisse savourer le quart de couverture:

Dur, dur de supporter un homme passé les premiers mois et les premiers émois ! Et aux remarques en tout genre, s'ajoutent bien entendu les petites manies horripilantes, les fautes de goût navrantes, l'égoïsme permanent...

Confrontées chacune à de remarquables - quoique différents - spécimens de veulerie masculine, Jeanne, Violette et Natacha, trois amies d'enfance, doivent bien reconnaître qu'à trente-cinq ans les choses ne se passent pas exactement comme dans leurs rêves. Mais contre mauvaise fortune coeur vaillant et, avec énergie et détermination, ces trois-là sont bien décidées à botter le derrière à leur destin...

et à leurs hommes ! `



Donc déjà, avant même d'ouvrir le livre, on voit très vite les grosses ficelles et les caricatures du genre masculin et du genre féminin (oui vous ne le savez pas? Dans ces bouquins les hommes sont toujours égoïstes, puérils et ce sont toujours les femmes qui intellectualisent, sont mures, réfléchissent pour deux, etc.).



Donc déjà, première thématique: les relations hommes / femmes.



Vaste sujet, qu'Hochberg ambitionne d'aborder parmi d'autres. Parmi d'autres, car différentes thématiques sont évoquées: rapport de la femme à la maternité, à l'amitié, au travail, au père, à la fidélité, etc.



Fear. D'autant que "Psychologies magazine" revue hautement scientifique au sérieux incontestable, promet au lecteur "Un livre dans la veine du Journal de Bridget Jones (...) mais plus profond, plus psy, et 100% français !"



Bon, en fait non. Je ne garderai ce bouquin chez moi que pour la dédicace qu'on m'y a faite.



Alors, voilà, on a trois copines qui ont dépassé les trente ans et qui se posent plein de questions sur leur vie, leurs désirs d'avenir, bref, plein de questions existentielles.



On a donc:

Jeanne, Mariée, deux enfants, fumeuse, malheureuse en couple car se sentant incomprise par son époux, qui donc se pose des questions sur son couple

Violette, biologiste, travaillant dans l'ombre de son mari souvent absent, revivant au travers de sa fille sa relation avec sa mère décédée, et souffrant de la distance de son père

Natacha, Working girl bossant dans l'événementiel, tentant désespérement d'avoir un enfant avec son mari qui, selon elle, ne comprend pas à quel point elle est éprouvée par les traitements hormonaux

Intéressant: on a trois femmes qui se trouvent incomprises par leurs maris, et qui souffrent.



Mais ô surprise, à l'occasion d'une séance de jogging de la page 202 à la page 205 ("Victor, Gilles et Philippe finissent leur jogging dans le bois de Boulogne. Ils ralentissent le pas et reprennent leur souffle. Victor leur désigne un banc et ils se laissent tomber dessus."), les maris en question parlent entre eux et - miracle - on comprend enfin, à la fin du livre ( je rappelle qu'on est page 202 et que l'édition en fait 215 ) qu'eux aussi ont une âme, se posent des questions, et ne se sentent pas "à la hauteur" des exigences de leurs épouses! Une cohabitation enrichissante et épanouissante serait donc possible???



Oui parceque dans ces ouvrages, les femmes se sentent nécessairement incomprises et endossent volontiers le rôle de victimes qui souffrent d'avoir des maris jamais dispo. Déjà rien que ça, ça m'agace.



Si encore on avait un humour britannique, un peu noir, subtil pour mettre un peu de second degré là dedans, ça passerait. Mais non, je crois que l'auteur se prend vraiment au sérieux, en fait. Les passages se voulant un peu drôles tombent très vite à plat, heureusement que le schéma narratif, qui fait beaucoup penser à celui de Thérapie, de D. Lodge, évite au lecteur de sombrer complètement.



Pour ma part, aucune identification à quelque personnage que ce soit, alors qu'en général c'est ce qui fait fonctionner ces ouvrages.



Que retenir de ce livre, donc? Il m'a évité de devoir discuter une matinée avec ma voisine de chambre d'hosto, c'est déjà pas mal. Rien d'autre, si ce n'est la dédicace de mes précieuses amies que, bien sûr, j'embrasse bien fort au passage.

Commenter  J’apprécie          32
Une semaine avec mes frères



• UN DOUX ROMAN •



Je découvre la plume de l’autrice et j’ai été complètement embarqué par cette histoire, par le trio que forme ces trois frères, par leurs vies, par leurs doutes, par tout en faite.



Nous nous retrouvons dans cette fratrie où chacun a sa place mais ne l’a trouve pas vraiment. Étant moi même à la tête d’une fratrie de trois enfants, cela m’a rappelé énormément de souvenirs.

On vit les choses comme on les vit quand on est enfants et une fois adulte on en a plus du tout la même perception.



J’ai beaucoup aimé passer du temps avec les personnages. Ils sont quelques fois un peu clichés mais ils nous font forcément penser à quelqu’un de notre entourage, ils ont forcément des traits de caractères en commun avec vos frères, vos sœurs.



Un roman tout doux sur la réconciliation, sur la famille, sur ce qui nous unit et ce qui nous sépare. Un roman dans lequel chacun retrouvera une petite part de lui-même.

Commenter  J’apprécie          20
Une semaine avec mes frères

À la suite de quelques déboires conjugaux, et sur un coup de tête, Romain rachète la maison dans laquelle il a passé toutes ses vacances avec ses deux frères et ses parents. Il invite Philippe et Stan sans rien leur dire de sa « folie » à venir passer une semaine avec lui dans cette maison de Blonville-sur-mer. Leur mère, décédée trente ans auparavant, a laissé le parfum de leurs souvenirs d’enfance dans ce lieu de villégiature. Depuis son décès, peu à peu, les frères se sont éloignés. L’aîné Philippe est violoniste, Stan le benjamin travaille dans l’humanitaire, Romain le cadet est chef d’entreprise obsédé par son travail et sa réussite. Ces quelques jours sont l’occasion de reformer le trio, resserrer les liens et se souvenir ensemble des bons moments. Quel est le poids de nos souvenirs ? Comment remontent-ils à la surface ? Se souvient-on vraiment des anecdotes de notre enfance ou restent-ils en mémoire à force d’être racontés ? Romain, Philippe et Stan n’ont pas le même âge, donc pas les mêmes souvenirs, ni les mêmes sensations, ni les mêmes blessures. Romain et Philippe ont respectivement 10 et 12 ans de plus que Stan. Si eux se souviennent de nombreuses choses, Stan, lui, ressemble à un oisillon tombé du nid : sa mémoire lui joue des tours. Une semaine pour réveiller les sensations, une maison pour abriter trois âmes, comme un cocon. Libérer la parole, s’écouter et tenter de se comprendre, et pourquoi pas se « réconcilier ».



« Une semaine avec mes frères » explore la thématique de la famille, l’un de mes sujets de prédilection en littérature. Ce qui est intéressant ici, c’est le focus que fait Agathe Colombier Hochberg sur Stan par rapport à ses deux aînés. Enfant, ses frères étaient ses modèles, il était obnubilé par leurs jeux et leurs façons d’être, avide de les imiter. Chaque séparation, Philippe et Romain étant en pension durant la semaine, devenait une véritable torture qui a marqué Stan au fer rouge. « L’attente de ses retrouvailles, toujours assombries par la conscience de la séparation qui suivrait, avait fait grandir Stan dans une frustration permanente. » Ainsi s’est forgé Stan, dans une attente constante, privé des deux êtres qui comptaient le plus pour lui. Cette frustration a sans doute fait de lui un homme différent, redoutant les attaches, fuyant les contraintes d’une vie trop conformiste. « Être en mouvement perpétuel avait fait taire l’interminable attente, et il avait trouvé la paix en se déracinant. Stan avait choisi un métier qui l’appelait à voyager sans cesse et il s’interdisait de trop s’attacher à ceux qui étaient voués à traverser rapidement sa vie. Il passait d’une mission à l’autre, donnait en se gardant de prendre, et s’arrangeait toujours pour partir quand il commençait à se sentir chez lui quelque part. » Il est celui qui a le plus souffert du manque de souvenirs, du manque de ses frères, du manque des anecdotes familiales comme le choix de son prénom qu’il découvre dans cette maison d’été, bien des années plus tard. Et même là, revenu aux sources, il avance sur la pointe des pieds, avec prudence et méfiance. S’attacher ? Non, très peu pour lui. « Stan n’aimait que les petites pièces, les lieux étroits ; dans un espace réduit, il parvenait à se donner l’illusion qu’il contrôlait le vide qui l’accompagnait. Plus le monde autour de lui était vaste, plus les absents prenaient de place. » Stan est en mode autoprotection. Entre Romain volubile, travailleur acharné, et Philippe retranché sur son violoncelle à la moindre contrariété, il est difficile de prendre sa place.



« Une semaine avec mes frères » est aussi l’histoire d’une maison qui, comme un phare, évite aux hommes de s’écraser sur les rochers. À la fois écrin de protection contre les fantaisies imprévues de l’existence, source de révélations du passé et passerelle pour laisser l’enfance derrière soi et passer à l’âge adulte sereinement, la maison de Blonville-sur-mer est un personnage aux pouvoirs étranges et salvateurs. Les êtres qui y vivent rejouent le passé, font le point sur leurs vies respectives, et sont encouragés à s’accepter malgré leurs défauts d’hommes. Le lecteur est le témoin privilégié de ce cheminement, d’une recherche du bonheur plus philosophiquement pérenne et des non-dits qui trouvent un chemin vers la parole. Agathe Colombier Hochberg raconte avec beaucoup de tendresse, de nostalgie et de lucidité qu’il est possible d’avoir des souvenirs inégaux et de s’accepter quand même, de vivre ensemble malgré les différences, en s’apprivoisant pas à pas. Une semaine pour repartir sur de bonnes bases, se réconcilier, s’écouter, et partager pour repartir ensemble sereinement.


Lien : https://aude-bouquine.com/20..
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Agathe Colombier-Hochberg (1243)Voir plus

Quiz Voir plus

Littérature latino-américaine

Quelle période marque le boom de la littérature hispano-américaine ?

Les années 1890-1900
Les années 1910-1920
Les années 1930-1940
Les années 1950-1960

10 questions
46 lecteurs ont répondu
Thèmes : amérique du sud , littératureCréer un quiz sur cet auteur

{* *}