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Citations de Agnès Abécassis (395)


C'est toujours le même scénario : on se rencontre, on se plaît, on se découvre, on se cherche, on se désire, on s'aime, on se chope, on s'habitue, on s'agace, on s'insupporte, on se sépare. Non, allez, je suis trop fatiguée pour refaire un tour de ce manège-là.
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C'est toujours le même scénario : on se rencontre, on se plaît, on se découvre, on se cherche, on se désire, on s'aime, on se chope, on s'habitue, on s'agace, on s'insupporte, on se sépare. Non, allez, je suis trop fatiguée pour refaire un tour de ce manège-là.
A moi la retraite (des sentiments) anticipée !
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Il y a des hommes attirants physiquement, qui deviennent tellement moins ensorcelants dès qu'ils ouvrent la bouche, qu'on n'a plus du tout envie d'y faire adhérer la nôtre.
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Un jour, dans une prochaine vie, j'aurrai moi aussi un de ces petits engins si pratiques pour tout gérer dans une maison. Comment ça s'appelle déja? Ah oui
: une femme.
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- Excuse-moi d'avoir un mari cloué au lit par une gastro ! Je t'assure que j'aurais préféré venir parader avec toi ce soir dans ma petite robe noire, plutôt que de le regarder vomir !
- Mais tu ne le regardes pas vomir, puisque tu es là.
- Ouais, ben il a une mère, qu'il s'en serve. Il n'a pas voulu assister à l'accouchement du petit pour préserver notre vie sexuelle, je refuse d'assister à la délivrance de ses tripes pour les mêmes raisons.
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L'âge véritable, c'est celui qu'on a dans sa tête.
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Comme le dit merveilleusement Vaclav Havel : «Sauver l'humanité ne dépend de rien d'autre que des actes des hommes et de la bonté de leurs cœurs.»

La Paisible - Hélène Grémillon - page 107
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Car mon grand-père était de ces amoureux du livre qui veulent partager leur passion. Il en offrait à tout le monde, tout le temps ; c'était un vieux monsieur pensif, que d'aucuns qualifiaient même d'«éteint», mais lorsqu'il vous parlait d'un roman, ce n'était pas une lumière qui s'allumait brusquement dans son regard mais tout un lustre, et il soliloquait jusqu'à ce qu'il n'y ait plus personne dans la pièce pour l'écouter, alors il retournait à ses précieuses pages.

La dernière heure - Maxime Chattam - pages 48-49
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Agnès Abécassis
Et moi je me suis retrouvé seul, abandonné comme un gland.
Ce qui m'a fait me rappeler pourquoi je détestais ce genre de réceptions : à cause de cette abominable sensation d'isolement au milieu de la foule.
J'ai eu violemment envie de me tirer.
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Ce jour-là,
je ressentis ce qu'«être» signifiait.
Je n'avais sûrement pas les mots
mais le cœur, lui, vibrait comme jamais.
Si aujourd'hui je mettrais des mots
sur ce sentiment profond,
je parlerais de «l'âme hors»,
la mort des apparences.

Ce jour-là,
j'ai compris que nous n'étions
rien sans nos racines,
même si, pour rester en vie,
elles doivent être cachées,
dissimulées, reliées à la terre.
Là sûrement est le problème !
Comment se rappeler ses racines si on ne les voit pas ?
Dans ce monde d'apparences, «hors sol»,
y-a-t-il une place pour l'invisible ?
Avons-nous tendance à oublier ce qui n'est pas sous
nos yeux ?

Ce jour-là,
j'ai compris que paraître n'est rien,
que nous sommes sur cette terre pour «être»,
qu'il n'y aurait pas d'arbres sans racines,
pas de fruits sans branches,
rien sans la transmission ...

Les racines de l'Hêtre - Matthieu Chedid - page 61
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L'âge n'est pas une maladie, au contraire, c'est la récompense d'être parvenus à exister.
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Mais pourquoi j'en voudrais ? C'est vrai, quoi. J'adore ne pas avoir à servir de femme de ménage permanente et gratuite à un rustre qui me confond avec sa mère. Ni à planquer mes paquets de serviettes hygiéniques au fin fond de l'armoire de la salle de bains pour maintenir le glamour de ma relation. Ou à hurler "vas-y, t'es le meilleur !" un dimanche matin au lieu de faire la grasse mat, en suivant une équipe d'amateurs dégarnis sur un terrain de foot pour prouver mon amour au plus lent d'entre eux.
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Timide, c'est mon deuxième prénom. Je n'y peux rien, ça changera jamais.
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Un mec qui flatte trop pour obtenir ce qu'il veut, j'ai toujours trouvé ça suspect.
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L'existence, ils la savouraient. Pas de place aux chamailleries ou aux prises de bec, tant ils s'ingéniaient à les désamorcer avant qu'elles n'aient pu les atteindre.
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Il n'y a pas que notre appartement, que j'ai eu besoin de relooker. Mon moi profond a également nécessité de grands travaux de ravalement. Dont je ne vois pas la fin.
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Je crois que tu n'as pas très bien compris , là , Viviane . Je n'ai plus envie de fréquenter qui que ce soit . Tout ça pour découvrir ensuite un type qui se révélera un invalide de sentiments , un raté des émotions ou un incompétent de la vie amoureuse , comme la plupart de ses semblables . C'est bon , ils ne valent pas tout le mal qu'on se donne pour eux . J'ai donc pris la décision ferme et définitive de ne plus jamais brader ça ...
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Les certitudes de l'homme sont des nouilles qui ne résistent pas à la grande passoire de l'histoire!
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J'avais entendu parler du cerveau reptilien, celui qui fait s'agiter le reptile à la vue d'un décolleté, je constate l'existence du cerveau dindonien, celui qui fait s'agiter la futile à la vue d'une célébrité.
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Au niveau des femmes, je constate que les plus de cinquante ans sont pratiquement toutes blondes.
C'est un fait scientifiquement reconnu, qui se vérifie ce soir parmi la foule.
Le poids qu'elles prennent avec leur ménopause, elles en allègent leur couleur.
Certaines sont rousses, ou auburn, mais c'est juste une question de mois avant qu'elles n'abreuvent leur chevelure d'eau oxygénée. Et plus elles prennent de l'âge, plus elles s'éclaircissent. D'ailleurs, elles se trahissent inconsciemment.
Se référer à leur carnation capillaire est plus efficace pour estimer leur âge réel qu'une datation au carbone 14.
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