Akimi Yoshida

Sachi, Yoshino et Chika sont trois sœurs aux personnalités très différentes mais qui ont en commun d’avoir des caractères bien trempés. Elles vivent ensembles dans la vieille maison de leur défunte grand-mère. La vieille dame s’est occupée d’elles après que leurs parents aient décidé de divorcer et que leur mère disparaisse pour refaire sa vie deux ans après que leur père ait fait de même. Quand un beau matin, des nouvelles leur parviennent, c’est pour leur apprendre que ce père qu’elles n’ont pas revu depuis plus de quinze ans vient de mourir.



Comment se comporter face au décès d’un parent quand celui-ci vous a laissé tomber depuis tant d’années ? Que peut-on bien ressentir ? Que doit-on ressentir ? A chacune son propre ressenti, à chacune sa façon d’extérioriser sa douleur… Elles décident cependant de se rendre aux funérailles où elles font la connaissance de leur quatrième sœur, Suzu, issue d’une union de leur père précédant celle avec son épouse actuelle devenue sa veuve. Contre toute attente, elles vont proposer à leur petite sœur de venir vivre avec elle et celle-ci va s’empresser d’accepter.



Un manga sympathique servi par des personnages attachants dont la psychologie, plus fouillée que d’ordinaire, contribue à susciter l’empathie du lecteur. Habilement combinés à une bonne dose d’humour et de réalisme, des thématiques aussi différentes que le deuil, la famille, les familles recomposées, les rapports dans une fratrie, la compétition sportive ou encore la maladie, à travers un personnage ayant subi une amputation, sont abordés. Le dernier des trois chapitres est moins choral et davantage centré sur une des sœurs, ce qui laisse augurer de la narration des tomes suivants. On peut déplorer ce choix qui, pour ma part, a un peu enlevé à mon plaisir de lecture.



Kamkura Diary, une étonnante plongée dans la vie…





Merci à Babelio et aux Éditions Kana pour cette découverte.


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Dans ce manga, la guerre du Vietnam fait rage, et tandis qu'un dramatique incident vient troubler une unité américaine, un jeune soldat perd tout contrôle de lui-même et tire sur ses coéquipiers, avant d'être neutralisé. Il ne semble plus avoir conscience de ses actes et ne prononce que deux.



On pourrait qualifier Banana Fish comme un thriller à suspense rempli d’action qui a été influencé à l’époque par des films américains tels que Full Metal Jacket. Ce manga explore différents thèmes tels que le traffic de drogue, la prison et ses violences.

Pfiou... me voilà à rédiger cette critique deux mois après ma lecture. >< Je m'en veux, ce n'était pas prévu que je prenne tant de retard sur mes critiques !...

J'ai effectivement lu ce troisième tome début février. J'étais en manque de Banana Fish (de l'anime surtout !), donc c'est la raison pour laquelle j'ai compensé en lisant ce tome 3.



Ce troisième volet m'a fait tellement de mal... j'ai du mal à trouver les mots pour exprimer à quel point.

J'ai beau parfaitement connaitre l'intrigue jusqu'à la toute fin, mon cœur se serrera toujours dès qu'il s'agit de Banana Fish. En commençant ce volume, je savais pourtant très bien les évènements qui allaient se produire, mais même si ici c'est en version manga, les émotions ressenties restent tout autant au rendez-vous.

Avec ce tome 3, l'histoire devient encore plus sombre ; plus violente, aussi. La tension est présente et les moments de légèreté sont rares, voire complètement inexistants. Le récit est addictif, haletant, éprouvant, les pages se tournent avec facilité, on est pris dans l'action aux côtés d'Ash et des autres personnages. Je me doute si l'on découvre cette intrigue pour la première fois, l'agitation doit encore plus être à son comble !

Ce troisième volet est rempli d'action et nous n'avons pas une seule seconde de répit. Et puis la fin...

Bien sûr, la fin.

Je savais ce qui allait arriver. Je le savais, pourtant j'ai eu les larmes au yeux en deux secondes sans que je ne contrôle quoi que ce soit.

C'est Banana Fish, que voulez-vous. ^^

Que ce soit le manga ou l'anime, c'est génial, sachez-le. Mais vous n'en ressortirez pas épargnés, soyez simplement conscient.es de cela :)

Bon allez, moi je n'en dis pas plus et je vous laisse ^^'



Ma critique n'est pas réellement objective, mais merci à vous si vous êtes restés jusqu'au bout !

Voilà, c'est fini... ce dernier tome clôt une belle histoire que j'ai eu plaisir à suivre.

Un dernier tome pour conclure tout en douceur cette saga familiale. Les quatre soeurs ont évolué, grandi. Suzu est maintenant une toute jeune adulte qui a pris en main son destin et s'engage vers un avenir prometteur.



Ce que j'ai vraiment apprécié dans cette série, c'est l'alternance entre la vie amicale d'une adolescente et sa vie familiale, ainsi que l'immersion dans la vie professionnelle et sentimentale de ses sœurs.

Une fois encore, j'ai été ravie de découvrir la culture japonaise avec la gastronomie, la religion, les traditions...



Alors, oui, un peu triste de quitter cet univers et cette ville de Kamakura, mais je suis satisfaite de l'évolution et de la fin de la série.

Tout d'abord je souhaite remercier Babelio pour son opération masse critique et les éditions Kana pour l'envoi de ce manga. Je l'avais sélectionné, intrigué par le résumé et surtout a cause des bonnes critiques que j'avais lu a son sujet.



Je serai un peu moins enthousiaste, j'ai aimé ou mais je suis loin du coup de cœur que j’espérais. L'histoire est sympa, on fait la connaissance de trois sœurs de caractère et de physique très différents! au vu du nombre de personnages que l'on rencontre dans ce tomes, ça m'a bien aidé de ne pas les confondre! Elles viennent de perdre leur père et découvre par la même occasion, une demi-sœur. Elle lui propose de venir habiter sous leur toit. Voila le point de départ.

A part ça il ne se passe pas grand chose, je sais bien qu'il s'agit la d'un tome d’installation mais je m'attendais a un peu plus d'intrigue. On suit la vie amoureuse des filles, l'inscription au club de foot de Suzu la petite dernière..... Ce chapitre sur le foot m'a d'ailleurs moins intéressé que les chapitres précédents.



Je formulerais juste un autre bémol : c'est la quantité de dialogue, il y en a trop. Un même cadre contient trop de bulle ce qui fait que parfois il est difficile d’apprécier les dessins et de savoir qui dit quoi ou dans quelle ordre lire les paroles.



Il y a quand même des points positifs je vous rassure. Les dessins justement sont vraiment très travaillés, les rares paysages sont juste magnifiques et les visages des personnages sont très bien dessinés. On est loin des mangas ou les visages sont juste tracés par quelques coup de crayon qui donne des figures a angle droit.



J'ai apprécié aussi le coté psychologique du manga. Il commence immédiatement avec le décès du père et on voit que chacune des sœurs réagit différemment et explique le pourquoi de cette réaction. C’était la première fois que je lisais un manga ou la psychologie et les sentiments été traités de cette manière.



Les personnages des sœurs sont attachants, il y a l'ainé infirmière, mature et réfléchie, la seconde qui est un cœur d’artichaut, qui boit trop et qui tombe toujours amoureuse des garçons peu fréquentable (j'avoue qu'elle est ma préférée), la troisième, un peu fofolle et rigolote et enfin Suzu la petite dernière qui est franchement attachante.



Un peu déçue en tout cas par ce premier tome, je pense que j'en attendais trop.... Je lirai peut-être quand même le second tome pour me faire un avis définitif!
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Bon, me voilà de retour pour la critique de ce tome 2 !! *danse de la joie*



Cela fait un petit moment que je l'ai lu à présent, et entre temps j'ai pu revoir l'anime, comme je l'avais mentionné lors de ma critique du premier tome... (est-ce que j'ai à la fois adoré et de nouveau pleuré toutes les larmes de mon corps ? bon- je crois que je n'ai même pas besoin de répondre à cette question aha)

Je pense qu'il est inutile de préciser que Banana Fish fait sans nul doute parti de ces oeuvres que j'aime tellement qu'il m'est inutile de les critiquer objectivement... Donc ne vous attendez pas à des avis très constructifs. *oups* Il m'est tout simplement impossible de donner un commentaire approprié sur l'intrigue (que je connais déjà) ou de dire quelque chose de négatif à propos des personnages... (enfin, à quelques exceptions près, bien évidemment... *tousse*)

Ash et Eiji sont des personnages fictifs qui font partis de moi. Je les vois sur mon fond d'écran, dans mes pourtoi Tiktok, dans mes suggestions Instagram, dans ma Playlist de musique quand j'écoute les openings et endings de l'anime... (moi, une obsession ? je ne vois pas de quoi vous parlez...)

Même si je n'hésite pas une seule seconde pour dire que je préfère l'anime (qui les rend vivants à mes yeux, bien mieux que les mangas...), cela ne fait pas de doute que je prends énormément de plaisir à lire cette saga version papier. On tourne les pages avec facilité, addict et pris dans l'histoire. Les dessins ont peut-être effectivement 'vieilli' (c'est d'ailleurs pour cela que dans l'anime, l'histoire a été modernisée et se déroule dans les années 2010, contrairement aux mangas ^^), néanmoins j'ai dévoré ce deuxième tome en adorant tout autant que le premier, sans surprise au final.



Le tome 3 est dans ma PAL et je risque de le lire très bientôt... ♥

Alala, première critique de Banana Fish sur mon compte Babelio !

Ceci risque d'être... eh bien, pour tout dire, absolument non-objectif ! C'est le genre d’œuvre que j'adore et que je suis incapable de critiquer négativement... Sachant qu'en plus c'est un manga, j'ai d'autant plus de mal à écrire un avis constructif quand ce n'est pas un roman... ^^'



Vous vous demandez alors probablement s'il y a un l'intérêt à lire cette critique. Honnêtement ? Je ne pense pas (rires). Mais ça me tenait à cœur quand même, sincèrement.



J'ai connu Banana Fish vers fin mai 2021, quand un pote m'a conseillé de regarder l'anime. Je n'avais aucune idée de quoi ça allait parler et si ça allait me plaire, mais je lui ai fait confiance.

Bon et ben... j'ai bien fait. J'ai binge watché ces 24 épisodes en 24h. Cette adaptation en série m'a à la fois détruite mentalement et fait pleurer toutes les larmes de mon corps, mais est également devenu mon anime préféré.



Aujourd'hui, on est fin novembre. Six mois plus tard, j'ai toujours une obsession pour Banana Fish. (je crois que je suis sur le point de me refaire l'anime...) La vérité, c'est que je suis réellement tombée amoureuse des personnages. Je les aime d'une manière indescriptible, c'est dingue ! (suis-je folle ? peut-être xD)



Ce n'était pas prévu que je lise les mangas (parce que quand je vais en librairie je préfère m'acheter des romans, et que je ne lis pratiquement pas de mangas du coup... -mais bon, ce n'est pas l'envie qui manque... plutôt l'argent et la place dans ma bibliothèque xD-). Sauf que... il y a eu un léger imprévu l'autre jour. J'étais avec un pote qui a voulu acheter le premier tome. Du coup résultat : j'ai craqué avec lui.



Je me suis retrouvée à dévorer ce premier tome et à être allée acheter les tomes 2 et 3 deux jours plus tard. (RIP mon porte-monnaie...) Mais bon, ça valait le coup. Parce que c'est Banana Fish. Logique.



L'anime fut vraiment fidèle aux mangas. Donc ce tome 1, eh bien je l'ai juste adoré. À part l'image de Shorter chauve à laquelle je vais réellement avoir du mal à m'habituer (pourquoi pourquoi pourquoi ??!!), je sais que je vais lire la suite (après ma lecture scolaire du Rouge et le Noir, snif...) avec grand plaisir. Ash et Eiji font partie de mes personnages fictifs préférés toutes œuvres confondues, c'est indéniable. J'ai beau connaître la fin (hum...), j'ai extrêmement hâte de lire la suite !

A peine reçu, je l'ai dévoré!!!!

Il faut dire que je l'ai attendu ce livre, merci à Babelio et aux éditions Kana pour cette belle découverte.



Tout commence avec la mort d'un père, un père parti depuis longtemps et oublié par ses filles. néanmoins, c'est l'occasion pour découvrir les caractères de trois sœurs très différentes, leur attachement, leurs chamailleries, leurs conceptions tellement différentes de la vie et bientôt une quatrième sœur les rejoindra.



Alors oui l'histoire n'est peut-être pas toujours très gaie mais elle est touchante, les personnages sont attachants, tellement réels avec leurs états d'âmes, leurs soucis, leurs grains de folie.



C'est également l'occasion de découvrir un quartier: Kamakura, avec ses particularités historiques, ses légendes et ses kamis. Une visite guidée qui émaille les tranches de vies de la famille Khoda, les joies, les peines, les souvenirs et les histoires de cœur douces-amères.



Magnifique, subtil, profond!

Ma lecture du tome 7 remontait à octobre… Pour vous dire à quel point il était temps que je continue !!



*Comment retrouver une safe place que j’aime plus que tout, tout en me faisant du mal.* (mais ce mal là a quelque chose de réconfortant, je ne saurais l’expliquer…)

Bref, la réponse tient en deux mots : Banana Fish.



Il ne m’a fallu qu’une ou deux pages pour savoir où en était le récit. Je ne savais plus où je m’étais arrêtée la dernière fois, mais il ne m’a pas été très difficile de reconnaitre la scène sur laquelle s’ouvre ce tome 8. (Après avoir vu l’anime quatre fois, je suis bien obligée de dire que je commence à bien connaitre…)



Sans surprise, on retrouve une grosse dose d’action et de tension. Même si je connais déjà l’histoire, je ne m’en lasserai jamais. C’était chouette de voir la partie au Musée d’Histoire Naturelle, sachant que j’y suis allée durant l’été 2022… Il y a des images où j’ai presque pile les photos qui correspondent (à l’angle de vue près), cela m’a fait grandement sourire. :’)



J’ai aimé retrouver cet univers, retrouver New York et retrouver ces personnages. (Enfin, pas tous. Je pense au retour de Fox… Il ne m’avait pas manqué celui-là. Il me dégoûte, me fout la gerbe. Y a pas d’autres mots…)



La deuxième partie du tome est particulièrement intense, avec toujours aussi peu d’instants de répit et un nombre incalculable d’ennemis… Bon, la routine, finalement.

Il y a peu de moments d’émotions ou de moments un peu plus légers. Juste de l’action, de la survie. Ce n’est clairement pas un tome de tout repos…!



Dire qu’il ne reste que deux volets avant de finir la saga !!… (c'est fou)

Après ma lecture du tome 5, je n'ai pas pu m'empêcher d'enchainer avec le sixième volet... j'en avais trop besoin. Avec la période de révisions pour le bac (j'ai effectivement lu ce manga la semaine de l'épreuve écrite de français), j’avais à tout prix besoin d’une lecture de réconfort (même si je conçois parfaitement que Banana Fish n’a rien de feel good, je sais... ne cherchez pas ma logique). D’une valeur sure, si vous préférez.



Bref. Qu'est-ce que j'ai aimé ce tome 6 bordel !



Je pense que ça relève du miracle de rire ou d’être 'amusé' avec une œuvre telle que Banana Fish. Pourtant... ça m’est bien arrivé (oui oui). Et c’est rare, si rare ce genre de moments !! Mais les répliques d'Ash (qu’il se dit à lui-même en fait) et ses mimiques au début du tome sont tout simplement 'iconic' ! Arf je l’aime tellement purée !! (bon je le plains aussi énormément j’avoue, le pauvre... T-T) (mais bon aussi, les dessins de citrouilles à une vignette c’est juste du génie, j’adore xD)



Bref… les enjeux redeviennent vite sérieux.



L’alliance de Golzine et Yut Lung, l’arrivée de Blanca… l'ambiance se tend de plus en plus, l’étau se resserre, la pression monte, encore plus si l'on ne sait pas encore qui est ce fameux Blanca.



Encore une fois, sans surprise, ce tome est génial. On ne s’ennuie pas une seule seconde, c’est fou. Les moments de répit sont rares, même si dans ce volet certains passages arrivent à être un peu plus 'légers', comme le début que j’ai cité tout à l’heure ou des dialogues entre Ash et Eiji. Mais cela ne dure jamais très longtemps. Après tout… c’est Banana Fish.



Certains dialogues font mal, j’avoue. Quand Ash et Eiji parlent du Japon, quand Ash dit qu’il aimerait bien y aller et qu'Eiji lui répond qu'il l’emmènera… En tant que personne connaissant déjà l'histoire de A à Z et qui aime cette œuvre d'une puissance inimaginable, ça fait mal, oui.

Puis aussi juste après, quand on a les pensées de Eiji qui comprend que Ash lui ment…



Je vous avoue que vers la fin du volet, j’en ai eu les larmes aux yeux, parce que bordel cette œuvre me détruit et en même temps je l’aime tellement que ça m’en sera toujours indescriptible...

Bref. Moi et mon amour pour Banana Fish.

Trois soeurs japonaises à la personnalité marquée apprennent la mort de leur père qu'elles ont très peu connu. A l'occasion de l'enterrement, elles découvrent une demi-soeur et lui proposent de venir habiter avec elle...



Un manga doux amer avec d'un côté le plaisir des relations entre soeurs et de l'autre le manque laissé par l'absence des parents et la difficulté à construire ensuite une histoire d'amour. Chaque soeur est différente. L'aîné se noie dans le travail, la seconde boit beaucoup et la troisième s'épanouit au niveau des relations sociales. La nouvelle venue est une championne de foot !

Tous ces êtres aiment, travaillent et interagissent... au grand plaisir du lecteur. Les dessins sont agréables et les personnages faciles à différencier. A lire

Ahhhh depuis le temps que je voulais continuer de lire du Banana Fish !!...



J’étais en manqueee haha, mais il fallait que je lise d’autres livres entre temps (des romans empruntés à la bibliothèque, surtout). Et me voilà à pouvoir enfin continuer cette saga si chère à mes yeux ! (les trois derniers tomes sont dans ma PAL ^^')



Lire du Banana Fish, je sais que c’est retrouver une safe place. Bizarre à dire peut-être, étant donné la violence et la dureté de l’histoire. Néanmoins, c’est devenu aujourd’hui un univers que je connais si bien, dont je ne pourrai me lasser et dans lequel je retrouve des personnages qui font partis de moi. Bref, une comfort place pour ma part, malgré les thèmes abordés dans cette saga.



J'avais lu le tome 6 en juin, à la période du bac de français.

J'ai été tellement heureuse de poursuivre enfin les mangas avec ce septième volet.

Ce tome était génial, sans surprise (l’anime en est encore une fois resté très fidèle). Tout le troisième tiers de ce manga est particulièrement addictif. Rempli d’adrénaline, d’action. J’ai beau parfaitement connaître le déroulement de l’intrigue, je la redécouvre sans m’en lasser un seul instant !



Bref... je pense qu'il est inutile de vous dire que j'ai hâte de lire la suite ?...

J'étais en manque de Banana Fish, ce fut plus fort que moi. Malgré mon désir d'en garder le plus possible dans ma PAL (parce que oui, une fois que je serai à jour, eh bien… ça aura un côté frustrant. À l'heure actuelle, je peux au moins me dire qu'il me reste trois tomes à lire dans ma pile avant d'attendre la sortie du prochain. Bon, ça peut paraitre stupide comme raisonnement, surtout que les tomes de cette réédition sortent relativement rapidement, mais ne cherchez pas ma logique. xD), je n'ai pu résister à lire ce tome 4.



Ce volume était vraiment dur psychologiquement à lire. Bon, c'est Banana Fish, je ne devrais pas être étonnée… Mais c'est fou comme les larmes me viennent facilement dès qu'il s'agit d'Ash et Eiji… (dois-je vraiment vous préciser que les larmes me sont montées dès qu'il a été question de l'anecdote sur les citrouilles ? ou juste de certaines phrases d'Eiji qui juste me mettent dans tous mes états…?)

D'un autre côté, contrairement à ce qu'on pourrait penser, j'aime cet univers de tout mon coeur. Chaque fois que j'y suis, je n'ai pas envie d'en partir. C'est dingue comme des oeuvres (que ce soit littéraires ou cinématographiques) peuvent autant me marquer, faire parties de moi et me faire ressentir des milliers d'émotions indescriptibles chaque fois qu'il en est question…



Enfin bref. À l'heure actuelle, j'écris ceci plus d'un mois après avoir lu ce tome 4, mais je n'ai pas encore lu le cinquième… (en sachant que j'ai le 5, le 6 et le 7 dans ma PAL, que le huitième volume sort pendant les vacances et que je risque très fortement d'aller l'acheter sans même hésiter une seconde…) M'enfin bon, vous vous doutez sans doute que ce n'est pas une question d'absence d'envie, mais plutôt que je me retiens de ne pas les dévorer tous d'un coup… (et puis comme je le disais au début de ma critique, j'aime ce côté satisfaisant d'avoir des tomes de Banana Fish dans ma PAL. Ça me permet de me dire qu'il m'en reste à lire ^^')

Enfin bon, vu mon manque de Banana Fish qui s'avère, eh bien, quotidien, je risque néanmoins de craquer dans les prochaines semaines :')



En attendant, malgré mon manque d'objectivité, je ne peux que dire que cette suite est tout aussi géniale et incroyable. On ne s'ennuie pas un seul instant et je ne pourrai jamais me lasser de ces personnages... ! Je suis très clairement amoureuse de cette saga (même si la version anime >>), c'est un fait indiscutable. :')

Ce second tome évoque surtout les questionnements de Suzu qui se demande si elle doit continuer le football et les relations de sa soeur aînée avec sa mère et les hommes.

Les fils se tendent et l'heure des choix approche...



Un manga que j'ai beaucoup de plaisir à lire tant il nous rend proche de la vie quotidienne de ces quatre soeurs avec leurs forces et leurs faiblesse.

On s’approche de plus en plus de la fin de la saga et du dénouement final… Cela fait bizarre. J’ai hâte et pas du tout hâte en même temps.

Étant donné que je connais déjà la fin, cela m’enlève du suspense, certes, mais malgré tout mon plaisir de lire Banana Fish est toujours le même.



Ce tome 9 est encore une fois rempli d’actions. (Et bordel que je déteste Fox… C’est vraiment un des personnages les plus détestables - et Dieu sait qu’il y en a dans Banana Fish… ) Il se passe tant de choses qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer une seconde.

Des moments font mal. Même si j’ai une préférence pour l’anime (qui ajoute énormément d’émotions avec la musique et la voix des personnages…), le manga ne laisse pas indifférent, loin de là… Et j’ai beau connaitre certains passages par cœur, les revoir ne me laissera jamais insensible.



Je me souviens encore de mes émotions quand j’avais vu l’anime pour la première fois… Par précaution, je ne veux rien spoiler. Mais je sais à quel point cela m’avait mise dans tous mes états.



On approche de la fin, mais des personnages continuent d’être creusés. Je pense notamment à Yut Lung (dont on apprend le passif) et Blanca (dont on apprend quelques éléments de son histoire également, même si c’est assez bref). Chaque personnage a son histoire, et est plus complexe qu’il n’y parait. Et c’est ce qui rend Banana Fish si intéressant, même jusqu’au bout.



Bref. En vrai, c’est possible que ce soit un de mes tomes préférés. Je l’ai pratiquement lu d’une traite, il s’y passe tellement de choses, c’est incroyable. On assiste à des retournements de situations, toujours autant de moments de survie où on retient sa respiration en même temps que les personnages… Lors de ces moments d’action, on ne respire plus ; on est dans le récit, à tourner les pages pour savoir comment cela va se finir. J’ai beau tout connaitre, cela reste complètement addictif et je n’ai pas vu les pages se tourner.

Et puis, ce qui a fait que j’aime autant ce volet, c’est que c’est un tome d’action, mais aussi d’émotion. Je ne peux rentrer dans les détails, mais ceux qui l’ont lu comprendront…



Et cette fin…

Tout semble s’apaiser. La discussion Ash/Blanca a un ton un peu mélancolique et… comment dire ? Calme. L’ambiance n’est plus celle de quelques pages plus tôt, les ennemis sont désormais loin…

Et ça me brise le cœur.

Car ça semble être la fin.

La véritable fin.

Et on y croit…



Akimi Yoshida est quand même incroyable.

*secoue la tête en soupirant*

Vous ne pouvez juste pas imaginer à quel point j’ai été heureuse quand j’ai appris que ce guidebook allait sortir en français !!...

Je connaissais son existence depuis des mois et je le voulais à tout prix, mais il n’existait qu’en japonais il me semble... (ou en anglais aussi peut-être) Malheureusement à mon plus grand désespoir (rires), j’ai dû me résoudre à partir à New-York cet été sans avoir en ma possession la fameuse carte avec les lieux indiqués apparaissant dans Banana Fish... Snif… (Bonn en vrai je n’en aurais pas eu taaant besoin que ça haha. Et puis de toute manière, j’ai eu quand même cette chance extraordinaire de réaliser un de mes rêves.. ^^’ et ça, je n'avais pas besoin de la carte pour savoir où c'était :)).



En tant que fan inconditionnelle de cette saga, je n'ai pas patienté bien longtemps avant de courir dans la librairie de ma ville pour acheter ce guidebook. Et comme vous pouvez sans doute le deviner, j'ai passé un très (très) (très) bon moment à le découvrir.



Petite dédicace à la partie des frontispices, juste parce que j'ai adoré les illustrations ahhhh. Elles sont trop belleuuhhh !!



Plus sérieusement... quelles parties ai-je préférées ? Et bien, j’ai beaucoup aimé le passage de l’entretien, enfin de la "conversation" entre Akimi Yoshida, l’animateur, ainsi que deux rédacteurs en chef de magazines, dont l’un était aussi l’ancien responsable éditorial de la mangaka. (si je ne dis pas de bêtise...) C’était extrêmement intéressant et j'ai adoré lire les mots d'Akimi Yoshida sur son œuvre. Sincèrement, j’aurais voulu que leur conversation ne s’arrête jamais.

D’ailleurs, je me suis toujours demandé si Akimi Yoshida avait vu l’adaptation de 2018 de Banana Fish… J’aimerais tellement savoir ! (et ce qu’elle en a pensé, si c'est le cas)



Sinon, j'ai aussi adoré la partie intitulée « Perfect analysis » !! C'était super intéressant et pareil... : j'aurais voulu que ça puisse durer encore des pages et des pages.



J’ai fini cette œuvre le cœur serré parce que j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. (tiens ? est-ce que je ne serais pas en train de me répéter depuis tout à l'heure ? si, complètement.) J’aurais voulu rester dans cet univers encore et encore, sans qu’il y ait de fin.



Les mots me manquent pour exprimer tout l’attachement et l’amour que j’ai pour cette saga. (bien que je sois davantage attachée à l'anime qu’au manga, car c'est lui que j'ai découvert en premier... m'enfin peu importe : après tout, que ce soit la saga de mangas ou l'adaptation, elles ne forment qu'un pour moi.)



Bref... Il faut vraiment que je retourne à New York un jour.

J'avais du retard à rattraper dans la série Kamakura Diary. J'ai donc lu quatre tomes d'un seul coup. Et j'aurais bien voulu poursuivre encore la lecture avec le tome 8, mais il n'est pas sorti pour le moment.



Au début de la série, je redoutais que l'auteure s'attarde trop sur l'équipe de football que fréquente Suzu. Mais finalement, la série est relativement bien diversifiée au niveau des thématiques abordées. Les personnages évoluent, les situations sont variées au fil de la lecture.



Dans ce tome 7, Suzu va devoir prendre une décision pour la poursuite de ses études. Elle vient de se voir accorder une bourse pour entrer dans un lycée et intégrer leur toute nouvelle équipe de football féminin.

Mais Suzu hésite car elle se sent bien à Kamakura avec ses sœurs et ses amis.



J'apprécie beaucoup cette série. Akimi Yoshida, la mangaka, a trouvé un juste équilibre entre une part de romance et la description de la réalité à savoir les préoccupations des adolescents, les relations familiales, et des sujets plus sensibles comme le handicap et la fin de vie.

Je dis vivement la suite.

J’avais acheté le premier tome de Yasha en même temps que le dixième (et dernier) volet de Banana Fish. Je n’avais pas pu m’empêcher de craquer… Il suffit qu’on me dise ‘Akimi Yoshida’ pour que je sois automatiquement intéressée, c’est plus fort que moi… Cette mangaka a littéralement créé une des œuvres m’ayant le plus marquée ces dernières années et ayant eu un réel impact dans ma vie, alors bon, évidemment…



Je m’étais fixée cette règle là, pourtant : je n’achèterai plus de mangas après Banana Fish !

Mais franchement, après avoir découvert le premier tome de Yasha, je ne sais pas si ma bonne résolution va tenir définitivement… (en tout cas, je suis prête à signer une pétition pour que la saga soit adaptée en anime !! Cela donnerait une masterclass à coup sûr…!)



Bref. Je parle je parle, mais je dis pas grand chose de l’œuvre.

Que dire ? Eh bien, j’ai adoré. (Est-ce une surprise ? Je ne pense pas…) Banana Fish n’était pas une exception ; je crois que je deviens réellement fan des oeuvres d’Akimi Yoshida et de sa façon de construire des intrigues palpitantes.



Il est vrai que dès le début, je n’ai pas pu m’empêcher de faire quelques comparaisons avec Banana Fish… Sei, le protagoniste, a un QI élevé, une intelligence hors norme, un bon instinct, et même des traits un peu féminins… J’y ai vu des points communs avec Ash, évidemment. Sans même parler du fait que cela est même évoqué au tout début de l’ouvrage, dans une petite présentation : des parallèles entre les deux protagonistes sont précisés d’eux-mêmes dans le petit texte, alors pour dire !

(Note à part, mais son tee-shirt « Banana » plus tard dans le manga, c’est pour m’achever ???)

On découvre donc un Sei enfant en tout cas très attachant, avec son pote Toichi, tout aussi attachant. Ils forment vraiment un bon duo.



Et puis paf, élément déclencheur… Les deux se font séparer, la mère de Sei est abattue sous les yeux de ce dernier et le voilà qui est enlevé par des hommes louches…



Ellipse.



On découvre un Sei des années plus tard. Ado. (Bon, enfin il a 18 ans. Très jeune adulte, devrais-je dire.) Devenu chercheur. Ayant grandi dans un milieu complètement atypique qu’est ce laboratoire, privé d’une vraie famille, dans ce groupe pharmaceutique, Neo Genesis… Doctorat à dix-huit ans, sens plus aiguisés que la normale… On sent très vite que Sei n’est pas une personne ordinaire, loin de là.

Dès le début, des gens lui en « veulent »... Il est considéré comme quelqu’un de précieux. (« C’est un patrimoine important de Neo Genesis » T-T pfouah, même Toichi a tiqué au mot de « patrimoine »…)



Enfin bon. En tout cas, le fait qu’il ait ce regard froid, qu’il intériorise beaucoup ses sentiments et ne laisse pas vraiment apparaitre ce qu’il ressent, qu’il ait beaucoup de responsabilités… Il me fait tellement penser à Ash purée !… (Et puis, il est la « propriété » de Neo Genesis… Comme Ash et le fait qu’il ne soit pas libre à cause de Golzine… )

Le fait que Sei ait des doutes et des remises en question permet d’avoir de la compassion pour lui. Personnage certes pas banal, mais il reste humain ; et Akimi Yoshida arrive parfaitement bien à nous en faire un portrait creusé dès le premier tome et qui donne envie d’en savoir davantage !



On retrouve donc aussi Toichi, qui a un visage vraiment enfantin pour un lycéen. Mais il est très touchant, je l’aime beaucoup ! Et il n’a pas oublié Sei même après les années passés… Il tient beaucoup à lui et cela se ressent très rapidement.



Enfin bref. Si j’ai pu noter des petits parallèles avec Banana Fish, cela ne veut en aucun cas dire que c’est un copier-coller. Pas du tout. Les thèmes de l’histoire ne sont bien sûr pas du tout les mêmes. Et Ash et Sei n’ont pas vécu les mêmes choses. Par exemple, Sei n’a jamais tué, même s’il sait extrêmement bien se battre. (Ses gardes du corps ressemblent plus à Ash sur cet aspect-là… : tuer fait limite partie de leur quotidien et ils ont toujours une arme à portée de main…)



Boooon par contre il se passe tellement de choses en un seul tome, c’est juste une dinguerie ! Akimi Yoshida a vraiment un don pour happer le lecteur dans son œuvre, c’est fou ! L’histoire est extrêmement prenante, je suis fan !!

Et la fin nous donne beaucoup de révélations qui m’ont laissée pantoise ! C’est assez complexe mais juste passionnant, j’adore !…



(Après ça, j’ai juste beaucoup trop envie de lire la suite !…)

J’ai commencé ce tome 5 même pas par envie, mais par besoin.

Certain.e.s trouveront ça risible, mais c'est la pure vérité. J'allais mal, j'avais besoin de quelque chose pour me 'réconforter', et c'est tombé sur Banana Fish, sans grande surprise finalement. (oui, alors que cette saga me fait du mal en même temps, c'est assez paradoxal je sais)

Mais voilà, c'est comme ça. Quand ça ne va pas, j'ai un besoin de me replonger dans l'univers de Banana Fish, parce que cet univers m'apporte juste un réconfort indescriptible.



J’ai donc replongé dans ce 'comfort universe' sans soucis. Je connais déjà tout de l'histoire mais cela ne me dérangera jamais de la redécouvrir, même en sachant toute l'intrigue. (Comment pourrais-je me lasser de ces personnages ?)

Pendant tout ce volet, Ash est affaibli et n’est pas libre. Un coup à l’hôpital, puis à l’hôpital psychiatrique… J’ai hâte qu’il puisse retrouver Eiji !!

J'aime vraiment énormément ce manga. Il fait parti de mes grands coup de cœur. L'univers est dur, violent et n'épargne pas les sentiments, mais les personnages et la trame et le style de l'histoire... tout est immersif. je suis très attachée à chaque détail de ce manga.