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Critiques de Alain Supiot (13)
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Mondialisation vs globalisation

POUR UNE SAGESSE DES CAUSES PREMIÈRES.



Avant d'aller un peu plus loin - quoi que terriblement superficiellement -, il nous faut instamment remercier les éditions du Collège de France, relayés par notre site de lecture préféré - Babelio - pour l'envoi de cet ouvrage d'une grande intelligence, d'un impressionnante profondeur de savoir et de réflexion dans le cadre de la dernière Masse Critique "non-fiction".



Cet ouvrage est le fruit de colloques - qu'il est possible de retrouver intégralement et gratuitement en ligne sur le site de la vénérable institution - organisés à l'instigation du grand spécialiste et théoricien contemporain du droit du travail, Alain Supiot. Il est aussi la première série de conférences organisées en juin 2017 autour de l'oeuvre de Simone Weil et de l'apport fondamental de sa pensée dans des matières aussi essentielles que le droit du travail, la philosophie politique, les sciences sociales ou encore la construction éthique et morale monstrueuse de la colonisation.



Que peut apporter l'expérience vécue - souvenons-nous de l'expérience physique immédiate et dénuée de toute concession intellectuelle ni de mythologie idéaliste de la philosophe au au plus profond de l'expérience ouvrière. Cette expérience ayant fait oeuvre par la suite - de même que la réflexion toujours alerte, fine, inégalable et souvent sévère quoi que régulièrement lumineuse d'une philosophe disparue trop tôt (elle n'avait que 34 ans à sa mort en 1943), ayant "produit" l'essentiel de sa pensée en une dizaine d'années bien remplies ?



L'esprit humain, toujours avide de nouvelles nouveautés, toujours enclin à estimer que ce qui date d'avant-hier n'a déjà plus guère de valeur pour expliquer l'aujourd'hui pourrait s'étonner qu'une communauté de chercheurs et d'intellectuels de notre temps puisse prendre pour centre de leurs réflexions celles d'une sage - au sens grec antique du terme - de l'entre-deux guerres. Pourtant, malgré d'importants changements qu'il serait vain de nier, malgré des paradigmes apparus pour certains bien récemment, Simone Weil semble, en bien des domaines, nous indiquer les chemins à suivre. C'est en particulier le cas - concernant ce symposium - de deux ouvrages majeurs, le second étant sans doute aussi essentiel qu'il demeure, hélas, inachevé. Il s'agit, d'une part, de "La Condition ouvrière" et, d'autre part, de son texte posthume majeur, "L'enracinement". Non que d'autres textes, souvent lucides et fulgurants de Simone Weil, ne soient cités, mais ces deux-là le sont plus encore par leur apport à une meilleure compréhension de notre monde même dans toute sa "post-modernité".



Quant au titre de l'ouvrage lui-même, il rappelle à qui voudrait l'oublier que mondialisation et globalisation ne sont pas synonymes. Que le premier est sans doute irrémédiable et, par certains aspects, souhaitable, tandis que le second en est l'excès, le cancer. Écoutons à ce propos Alain Soupiot dans son introduction :



«[...], le problème de notre temps n'est donc pas d'avoir à choisir entre globalisation et repliement national, mais de bâtir un ordre juridique mondial solidaire, respectueux de la diversité des peuples et des cultures. Cette perspective tierce, la langue française nous offre un mot pour la nommer, avec la distinction qu'elle autorise entre globalisation et mondialisation. Mondialiser au sens premier de ce mot (où «monde» s'oppose à «immonde» comme «cosmos» s'oppose à «chaos»), consiste à rendre humainement viable un univers physique : à faire de notre planète un lieu habitable. Autrement dit, mondialiser consiste à maîtriser les différentes dimensions écologiques, sociales et culturelles du processus de globalisation. Et cette maîtrise requiert en toute hypothèse des dispositifs de solidarité, qui articulent la solidarité nationale aux solidarités locales ou internationales.»



De cette mondialisation raisonnable et raisonnée, dans les rapports entre les états ou de l'état envers ses membres, dans ceux qui régissent le monde du travail et ses rapports au capital, Simone Weil a, indubitablement, de nombreuses choses à nous dire voire à nous apprendre, quand bien même ce serait pour reconnaître que ses analyses ne valent que parce qu'elles ont été approfondies à l'aune des bouleversements des temps.



C'est en quelque sorte ce que ce brillant ouvrage essaie et parvient très largement à communiquer au lecteur patient, attentif, réfléchi. En ce milieu d'été, il est évident que cet ouvrage est l'inverse absolu d'une "lecture de plage", mais il n'est jamais inutile de faire vibrionner ses neurones... malgré les éprouvantes chaleurs !

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Mondialisation vs globalisation

Voilà un essai passionnant d’après les écrits de Simone Weil en revisitant ses réflexions sur l’enracinement, les conditions du travail, le droit …

Je ne cache pas que c’est un peu ardu par moment mais quel plaisir d’avoir les neurones en ébullition, d’autant que j’ai fait cette lecture tout en suivant les conférences de juin 2017 sur le site du collège de France que je recommande.

Revenir sur la colonisation, le patriotisme au Japon, la réflexion indienne m’ont appris beaucoup, le chapitre sur - repenser la condition juridique des travailleurs dans une économie « disruptive » - avec sa politique du droit juridique et social est très instructive sur les conditions de travail contemporaines, comme « l’ubérisation du travail ».

Ce livre est une belle réflexion sur le travail et le droit, sur l’enracinement et l’ouverture, une contribution de douze intervenants internationaux.

Un livre à garder sous le coude pour une/des relecture(s).

Merci à Babelio et aux éditions Collège de France pour cet essai passionnant.
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La gouvernance par les nombres

J'aurais souhaité pouvoir qualifier ce texte d'indigent, mais c'est très riche ... en contre-sens, raccourcis, prophéties idéologiques, erreurs factuelles, économie de comptoir. Le Roi est nu, et il est entré au collège de France. Critique à suivre...
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L'esprit de Philadelphie

Alain Supiot, auteur notamment de Homo juridicus, essai sur la fonction anthropologique du droit, a récemment publié un ouvrage marquant, à plus d’un titre, aux éditions du Seuil : L’Esprit de Philadelphie, la justice sociale face au marché total. D’utilité publique, L’Esprit de Philadelphie n’est pas qu’un ouvrage à destination des juristes et intéresse le Citoyen soucieux d’interroger les évolutions de la société. Il est difficile de décrire le contenu de cet essai : d’abord parce qu’il serait dommage de se priver de sa lecture; ensuite parce que le propos qui y est tenu force le respect par sa clarté et son intelligence. L’essai est également une belle illustration du rôle que la doctrine et le Droit peuvent avoir dans la vie civile
Lien : http://sinelege.hypotheses.o..
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Prendre la responsabilité au sérieux

L’ouvrage (...) est d’une brûlante actualité, et on rêve que les participants à la COP 21 en fassent leur lecture du matin.
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La gouvernance par les nombres

Ne pas négliger la mention "Cours au Collège de France 2012-2014" quand on lit ce livre d'Alain Suppiot : c'est didactique, passionnant, euristique et...un peu indigeste si on va jusqu'au bout!

Les quatre premiers chapitre décrivent les différents systèmes de lois, tant il est vrai que gouverner c'est soumettre une société au règne des mêmes lois...puis l'auteur nous déporte vers le vieux rêve de l'harmonie par le calcul.

Le gouvernement devient gouvernance et les lois vont s'effacer derrière les algorithmes. On passe du calcul économique sous l'égide de la loi à l'ultralibéralisme qui place la loi sous l'égide du calcul économique.

Mais les mathématiques exigent la quantification de toute chose, y compris de l'humain. Nature, animaux, travail (donc les personnes), sont traités comme des marchandises. C'est le règne du Marché, le démantèlement de l'état social et l'arrivée des désastres écologiques.

Est-ce vraiment l'avenir que nous voulons?

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Le travail n'est pas une marchandise

Cet ouvrage met en évidence la nécessité de rendre intelligibles le contenu et le sens du travail au XXIe siècle pour deux raisons :



Premièrement, la société numérique, mais surtout phygitale, implique de définir l'interface entre le monde virtuel, numérique et le monde physique. Cette interface concerne non seulement les rapports entre êtres humains, mais aussi les rapports entre êtres humains et machines, qui s'annoncent bien plus complexe que les familiers écrans-claviers-souris, et les rapports de machines à machines.



Deuxièmement, la crise écologique , dont l'activité humaine est en partie responsable et pour laquelle les modèles de société présents ne nous munissent pas des moyens efficaces pour l'endiguer, menace notre vie sur terre.



Si nous attendons, cette crise écologique nous échappera de nouveau et inéluctablement une tragédie régulatrice malthusienne se mettra en place pour notre détriment selon l�ge : « il n’y a pas de problème sans solution à condition qu’on ne s𠆞n occupe pas. »

.

Souvenons-nous que la première élévation significative de notre niveau de vie dans l'histoire de l'humanité, fut engendrée par la révolution industrielle de la vapeur. Elle a permis d'accroître les richesses à une vitesse exponentielle telle qu'elles ne soient pas immédiatement compensées par l'augmentation de la population.



L'espoir d’étendre ce bienfait à l'ensemble de l'humanité représentait alors une utopie du progrès.



A contrario , l'état d'esprit guerrier des pays devenus riches à engendrer une barbarie industrielle où les êtres humains étaient considérés comme un matériau, une marchandise à consommer - la chair à canon des tranchées de la Première Guerre mondiale, l'holocauste, le génocide d'un peuple de la Seconde Guerre mondiale.



Donc, vraisemblablement, les hommes au pouvoir, les modèles de société, les états d'esprit n'ont pas conduit au bien-être global des êtres humains sur terre. Soulignons aussi, que la grippe espagnole de 1918, nous a fait comprendre que l'humanité n'avait pas fait fructifier ses connaissances sur des sujets vitaux laissés en jachère.



Donc, que va-t-on faire de la révolution numérique ?



Saurons-nous saisir cette seconde chance ?



La pandémie de 2020 nous laisse pantois en ce qui concerne la résilience de l'humanité qui, pour le profit d'un petit nombre, n'a pas orienté les efforts dans un sens assurant la prospérité de tous dont la santé.



En effet, l'ultralibéralisme a contrecarré les leçons tirées par la conférence de Philadelphie , suite au deux guerres mondiales, dont la nécessité d'une justice sociale, d'un sentiment d'appartenance à un dessein commun, d'une cohésion d'ensemble, d'une vision porteuse de l'avenir.



Serons-nous donc capables ou pas de construire, d’œuvrer, de travailler, de penser les contributions de la multitude pour la prospérité, a minima la résilience, du village monde ?



La lecture de cet ouvrage nous incite à poser ce type de question et à envisager des réponses



A l'évidence, la gouvernance par les nombres qui conduit à l'avènement des imposteurs n'est pas une réponse.



Bonne lecture.

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La force d'une idée - L'idée de justice sociale..

Ce livre, en deux parties, présente ce qu'est la force d'une idée puis présente l'idée de justice sociale d'Alfred Fouillée. L'air du temps présent nous fait vivre dans une société néolibérale dont les fondements idéologiques sont la foire d'empoigne et la course à l'échalote maquillées en darwinisme frelaté et cannibale. Elle encense les parvenus éphémères, dans une période où nous prenons conscience de la nécessité de penser à très long terme conjointement à notre responsabilité, notre influence concernant l'harmonie de la vie sur terre. Ce contexte, par lequel une ultra-prospérité indécente semble captée, prisonnière, esclave, confisquée, confiscalisée -si vous me permettez ce néologisme dont la définition va de soi - par un tout petit nombre d'individus, "libéraux", exacerbe la volonté, la nécessité d'une justice sociale, qui comme un phénix ressurgit de ses cendres. La force de cette idée tend à nous ramener vers un point d'équilibre qui stabilise une paix durable et libère la prospérité prise en otage. En effet, le mouvement brownien, la pression du résultat immédiat maximum impose une marche au hasard, dénuée de sens, qui tarit les sources de richesse véritable et supprime le temps constructeur du progrès pour le remplacer par les rustines de l'innovation. le résultat global est une perte de temps qui nous ralentit puisque la précipitation remplace la vitesse et dévalorise, démotive ceux qui produisent des richesses. Ainsi que le souligne le Général d'Armée Pierre de Villiers dans L'équilibre est un courage, la stratégie, la cohésion, le sentiment d'appartenance à un destin commun deviennent impératifs puisque nous marchons désormais en équilibre sur une ligne de crête. Donc, il est grand temps d'abandonner des modèles économiques, défendus par des "platistes", inventeurs d'un "mouvement perpétuel" fondé sur l'avidité, qui brûlent la chandelle, la Terre, par les deux bouts. Il est grand temps de prendre en compte la rotondité de notre planète, une oasis dont nous devons prendre soin avec le vivant qui l'abrite. Donc, cette humilité forcée, qui nous confine au voisinage de la Terre, impose de repenser l'idée de solidarité, de fraternité pourtant inscrite avec force dans l'ADN de l'ère chrétienne.

Alain Supiot, juriste, titulaire de la chaire de droit au Collège de France, souligne que la globalisation, qui irait de pair avec un certain nomadisme, malgré le confinement causé par la pandémie de 2020, s'accompagne d'un reflux de la territorialité des lois (selon laquelle la même loi s'applique à tous les habitants d'un même territoire ) au profit de la personnalité des lois ( selon laquelle la même loi applicable à chacun de ses habitants dépend de son lignage ou de sa religion). L'auteur fait remarquer les limites de cette dernière approche dont la nécessité d'être trois, une corde triple, les deux parties prenantes et un garant, pour que le droit prime sur la force. Cet ouvrage d'une actualité saisissante nous conduit à la recherche d'une justice sociale moderne conjointe à celle d'un temps redevenu constructeur. Parmi les composants de la justice sociale pourquoi pas l'idée d'un revenu universel ?

Bonne lecture
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L'esprit de Philadelphie

L'esprit de Philadelphie est un des plus mauvais essais qu'il m'ait été donné de lire depuis une éternité. L'auteur, dont la réputation fut faite sur l'analyse de la théorie juridique, déborde ici de son sujet et tente de mobiliser des concepts dont il ignore tout à tel point que cela en devient proprement ridicule d'ignorance. On aura rarement vu un aussi long chapelet d'erreurs factuelles, de contre-sens et de raccourcis sur la théorie économique, la logique ou la sociologie quantitative, qu'il accuse de tous les maux et dont il fait des hommes de paille incohérents. Au final, hormis quelques analyses de textes de lois, le titre confine à la discussion de comptoir sur le méchant marché (sur lequel, ne nous méprenons pas il y a des critiques en profondeur à mener) ou les gens qui comptent mais n'ont pas de coeur (sur ce sujet lire la critique de la vie des idées : http://www.laviedesidees.fr/Vers-la-fin-de-l-histoire-de-la-statistique.html). Parmi les nombreux concepts qu'il malmène et semble ne pas maîtriser, l'auteur évoque l'effet Matthieu. A l'origine, cette loi désigne des mécanismes d'attachement préférentiel par lesquels les plus favorisés tendent à accroître leur avantage sur les autres et prend comme illustration les universitaires qui jouissent d'effets de réputation. Quand on voit que Supiot est professeur au collège de France, on se dit que de ce point de vue, il n'a pas été lésé.
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Grandeur et misère de l'Etat social

La leçon inaugurale prononcée par Alain Supiot lors de son entrée au Collège de France, en 2012, résonne avec l'actualité. Cet éminent juriste est titulaire de la chaire intitulée « Etat social et mondialisation: analyse juridique des solidarités ». Reprenant une formule à l'un de ses maîtres, Jean Carbonnier, il a gardé en mémoire que « le seul droit absolument indispensable, c'est le droit du travail, soit le droit social au sens général du terme. » Et c'est bien de cela dont il est question dans ce discours. En quelques pages, il nous éclaire sur ce qu'est le droit social dans lequel on trouve le droit du travail, le droit de la sécurité sociale et le droit de l'aide sociale. L'Etat social, quant à lui, est bien plus large. Il englobe en plus le droit fiscal, le droit l'éducation et du logement. Il réunit toutes les politiques publiques de solidarité qui mobilisent des outils de la justice sociale. Toutefois, cette dernière reste toujours enfermée entre la « redistribution des biens » et la « reconnaissance des personnes ». Or, le travail ne se réduit pas à la marchandisation; il est aussi une possibilité d'émancipation, faut-il encore le concevoir comme un moyen de se réaliser. de ce point de vue, l'avenir semble bien sombre ...
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Homo juridicus

Essai très éclairant sur la construction intellectuelle de l'occident. Seule la fin déçoit.



En effet après nous avoir savamment compté comme le rationalisme et la valeur de la parole donnée et l'importance des droits de l'homme en occident sont le résultat d'une histoire originale, il finit en contradiction en souhaitant en voir étendre une partie sur le reste du monde.
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La justice au travail

Alain Supiot, théoricien du droit et spécialiste du droit social, revient sur le statut du travail aujourd'hui et sur ce qu’il pourrait être avec davantage de justice.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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Le travail au XXIe siècle

Ce recueil d'interventions lors du Centenaire de l'OIT (Organisation Internationale du Travail) était intéressant bien que le titre m'a un peu induit en erreur par rapport au contenu.



L'OIT, vieille dame un peu plus que centenaire maintenant, œuvre sans relâche et sans bruit pour rendre le travail plus humain partout dans le monde. Une vaste tâche !



C'est la plus vieille et une des plus méconnues des organisations internationales. Créée par le Traité de Versailles, elle fait partie de l'ONU. En France, elle est représentée par le BIT (Bureau International du Travail). Son acte fondateur est la Déclaration de Philadelphie (je le dis car on n'arrête pas d'en parler au début du livre et je ne savais pas ce que c'était, cette fameuse Déclaration de Philadelphie.)



Ce recueil d'interventions de professionnels reconnus est tout à fait intéressant pour un lecteur motivé.

Autant certains sujets sont passionnants mais difficiles à comprendre car très techniques (comment on enseigne aux machines et pourquoi ce n'est pas demain la veille qu'elles pourront être autonomes dans leurs apprentissages), autant j'en ai carrément sauté d'autres (la réglementation du travail en Amérique latine, par exemple).

En revanche, j'ai beaucoup aimé la partie sur le GATT - pardon ! feu le GATT, puisqu'il a été remplacé par l'OMC en 1995, cequi m'a rappelé mes années à la fac où j'avais justement un cours entier sur le GATT... tout ça pour ça ...



On retrouvera le colloque en lui-même sur le site du Collège de France où Alain Supiot a occupé la chaire "État social et mondialisation : analyse juridique des solidarités" sur https://www.college-de-france.fr/agenda/colloque/le-travail-au-xxie-siecle-droit-techniques-ecoumene/introduction-la-premiere-partie-la-communaute-des-problemes
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