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Critiques de Allison Hoover Bartlett (85)
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L'homme qui aimait trop les livres

Tous les éléments étaient réunis pour me plaire ... en théorie.

Le sujet est intéressant mais la forme est mauvaise. Ce n'est ni un roman, ni un polar, ni un documentaire. Le récit ne suit pas de logique narrative ou chronologie. Que l'on soit passionnée de l'univers du livre, rare ou non, on n'y trouve pas son compte.

Au final, déstabilisée et déçue, je n'ai trouvé aucun plaisir à le lire.
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L'homme qui aimait trop les livres

In the mood for…stupeur et tremblements.

Voici un livre qui traite de la maladie d’amour…des livres. L’auteure, journaliste, nous fait pénétrer dans le très petit monde des collectionneurs de livres précieux. Un monde dans lequel la frontière entre passion et pathologie est mince…

C’est pourquoi elle veut comprendre ce qui pousse John Gilkey, un voleur de livres rares, à sévir.



Elle va non seulement enquêter sur son passé, sa famille, mais aussi interroger des libraires qu’ils a volés, des collègues. Elle finira même par rencontrer l’escroc à plusieurs reprises, toujours plus fascinée par cet homme qui ne voit pas le mal dans ses actes, seulement une passion.



J’ai aimé le caractère tout à fait différent de ce livre, précieux témoignage sur les manies des collectionneurs avisés, mais également truculent recueil d'anecdotes historiques.



C’est passionnant pour qui aime les livres.



Si le rythme n’est pas celui d’un polar, j’ai vraiment apprécié le double point de vue : d’un côté le libraire tenace, obsédé par la traque du voleur, de l’autre le voleur, obsédé quant à lui par la traque de la bibliothèque parfaite.



Bref, vous irez de stupeur en tremblements - en particulier si comme moi, vous frisez le T.O.C. quand votre bibliothèque est concernée !



Merci @editions_pocket pour cette découverte.



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L'homme qui aimait trop les livres

Il s’agit d’un ouvrage très factuel qui nous présente différentes librairies et différentes anecdotes sur les livres rares. Entre temps, on suit l’enquête de Ken Sanders pour mettre la main sur John Gilkey, un voleur de livre pas comme les autres.



C’est un livre... sur les livres... et les librairies... et les collections de livre... et les livres rares. Présenté comme la traque du plus grand voleur de livre rare, j’ai été très déçu que l’enquête ne soit pas au centre du livre. Tantôt essai sur la littérature, tantôt récit, ce livre peut aussi bien être une biographie sur les deux hommes principaux de l’histoire qu’être un récit sur le vol de livres. L’auteure se sert d’interviews et de philosophie pour essayer de comprendre l’obsession des humains avec les livres.



Personnellement, je suis resté sur ma faim. Plusieurs questionnements restent à être répondu. De plus, on a l’impression que l’auteure veut donner son opinion sur le personnage de John, mais elle ne le fait finalement pas. Le dénouement du livre est très faible selon ma perspective.
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L'homme qui aimait trop les livres

Un sujet excellent. J’espérais lire quelque chose dans la veine du 'Traducteur cleptomane".

Hélas! La façon dont l'histoire a été traité est nulle. Mal écrit; sans nerf, sans humour ... Au final : incolore, inodore et sans saveur. C'est vraiment dommage de rater un livre à ce point.
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L'homme qui aimait trop les livres

Un avis mitigé. Attention ce n'est pas un roman.C'est une enquête sur un fameux voleur de livre et un libraire tenace. On découvre le milieu du livre ancien en Amérique qui est fait de quelques passionnés et de beaucoup de spéculateur. Le livre devient objet précieux et plus véhicule plus d'idées. Les libraires eux semblent toujours aussi passionnés et l'on apprend des choses sur les livres anciens. L'enquête est intéressante, le voleur est complexe et l'écriture est facile d'accès. Mon souci c'est cette façon de voir le livre comme un placement et le fait que la journaliste qui écrit semble avoir la même approche. Elle se décrit comme une passionnée de livres et dans le même temps écrit qu'elle ne mettrait pas aussi cher dans un livre que dans une paire de chaussure. J'ai eu du mal avec ce double jeu mais elle n'aurait peut-être pas pu mener l'enquête si loin en étant une vraie passionnée.
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L'homme qui aimait trop les livres

Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à cette histoire lorsque j’ai commencé « L’homme qui aimait trop les livres » d’Allison Hoover Bartlett.

Le titre est bien sûr attirant... De mon côté, j’adore la lecture et les livres mais neufs.

L’histoire n’est pas fictive comme je pensais. Il s’agit d’une histoire vraie, d’une sorte d’enquête de l’auteure qui est journaliste. Elle raconte l’histoire d’un homme qui aime tellement les livres anciens qu’il en vole énormément. D’un côté, elle a enquêté sur cet individu et de l’autre, elle a suivi l’un des libraires les plus impliqués dans la lutte contre le vol de livres anciens.

C’était intéressant, je me suis laissée emporter malgré ma surprise de tomber sur ce style d’histoire.
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L'homme qui aimait trop les livres

J'attendais beaucoup de ce livre, et comme d'habitude je fus déçue. Alors pour la traque haletante, on repassera. Il s'agit d'une enquête ou plutôt d'une quête d'une auteure qui découvre l'univers des livres anciens, des collectionneurs. Des personnes qui sont prêtes à tout pour obtenir l'objet de leur rêve. Allison Hoover Bartlett tient entre ses mains un exemplaire très rare, le Kräutterbuch de BOCK, Hieronymus datant de 1630. Sa curiosité pour ce monde inconnu la titille. Elle va donc sur le net et découvre l'univers des livres anciens, de leur collectionneur et de leur voleur. Et oui, certains n'hésitent à construire leur collection en volant ce qu'ils ont envie. Durant ses recherches Allison découvre le libraire Ken Sanders, le gentil, et John Gilkey, le méchant.

John Gilkey voulait avoir plein de livres, des premières éditions, des livres rares... Mais il n'avait pas l'argent. Alors, ni une ni deux, il les volent. L'arnaque était bien ficelée mais c'était sans compter sur Ken Sanders et son humeur de chien. Un voleur de livres ? Impensable. Si John Gilkey est parti à la quête de son paradis, Ken Sanders est partie à la quête de ce voleur caméléon qui rentre dans la librairie et qui repart avec un ou plusieurs livres sous le bras. Se met en place une traque sans merci entre ces deux hommes.

Bon, on ne va pas se mentir, ce n'est pas le récit de cette traque. Non, c'est un recueil de témoignages des principaux protagonistes de l'histoire : libraires arnaqués, voleur, proches du voleur, police... Je considère ce livre plus comme un documentaire plutôt qu'un roman haletant. On essaie de comprendre le mécanisme qui s'est mis en place dans la tête de Gilkey, cette obsession du livre qui occulte tout le reste. Et comment il en est arrivé à considérer ces livres exposés dans les librairies, dans les salons, comme lui étant dû. C'est un juste retour des choses.

Nous découvrons le monde des collectionneurs, des livres anciens qui est vraiment un monde à part. La description de certaines librairies est époustouflante et donne vraiment envie de pousser la porte. Pour le reste, il manque le petit plus qui aurait permis de rendre ce livre intéressant et passionnant.
Lien : https://jelisquoi.blogspot.c..
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L'homme qui aimait trop les livres

Agréable moment de lecture, à la narration très fluide. Ce récit rempli d'anecdotes sur les livres anciens, les collectionneurs et la littérature classique ravira les chineurs et les esprits curieux.
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L'homme qui aimait trop les livres

Le titre intrigue : est-il possible de trop aimer les livres ? Allison Hoover Bartlett nous donne l’exemple d’un excès avec L’Homme qui aimait trop les livres, au point qu’il les volait. Vous qui vous aventurez entre ces pages, soyez avertis : cet amour est très contagieux.

Allison Hoover Bartlett est avant tout une journaliste américaine. Et c’est avec la rigueur de sa profession qu’elle retrace l’histoire entière du plus grand voleur de livres rares qui a sévi aux État-Unis au début des années 2000. L’autrice dissèque les motivations de ce criminel peu ordinaire, ses entourloupes et autres escroqueries, et rappelle la façon dont l’enquête a été résolue par un libraire particulièrement zélé. En se plaçant à la fois dans la tête du voleur et du « détective », elle donne à son enquête journalistique des allures de véritable roman d’aventures et de chasse, aux trésors pour l’un, à l’homme pour l’autre.

Tout naturellement, L’Homme qui aimait trop les livres s’attache à comprendre qui est John Gilkey, ce voleur unique en son genre. En effet, tel qu’il est dépeint, il n’a pas vraiment le profil d’un malfaiteur. Quand d’autres n’ont d’yeux que pour les richesses ou les biens qu’ils peuvent revendre, Gilkey est davantage un homme ordinaire dévoré par sa soif de livres et dont le seul crime est qu’il en vient à se les procurer de façon peu conventionnelle. Il en devient une sorte de gentleman cambrioleur, ne dévalisant les librairies que pour se constituer la bibliothèque idéale. On en éprouverait presque de la sympathie pour cet « homme qui aimait trop les livres ».



Lire la suite sur : https://lesmarquespagedunecroqueusedelivres.wordpress.com/2019/06/24/lhomme-qui-aimait-trop-les-livres-allison-hoover-bartlett/
Lien : https://lesmarquespagedunecr..
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L'homme qui aimait trop les livres

Un cadeau reçu parce que j’aime les livres. Donc je découvrais ce livre de manière neutre.

Ce livre est écrit par une journaliste et cela se sent. Imaginez que vous lisez un article de 300 pages. Au fil des pages vous naviguez avec elle dans sa découverte et sa recherche autour du monde des collectionneurs de livres précieux ou rares. L’écriture est agréable et vous passez sans arrêt entre ses découvertes et réflexions sur le monde des libraires et des collectionneurs (elle a fait plein de recherches documentaires), ses entretiens avec des libraires et ses entretiens avec un voleur au profil un peu particulier : John Gilkey.

Ce mode d’écriture a des avantages et des inconvénients. Avantages parce que cela rebondit sans cesse. Inconvénients, parce que vous vous y perdez un peu dans la chronologie des évènements et les idées à en tirer sur le monde des collectionneurs.

Donc, c’est bien un article de journal.
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L'homme qui aimait trop les livres

La quatrième de couverture a tout pour titiller la curiosité des lecteurs. L’attention est attirée directement sur cette enquête qui se présente comme un polar. Et bien que nenni ! C’est une véritable histoire, tirée donc de faits réels. Cet essai a eu le mérite de me surprendre. La journaliste Allison Hoover Bartlett a eu l’audace de narrer un récit qui plonge le lecteur entre la frontière de la fiction et de la non-fiction.





Pas évidemment de démêler tout ça, d’ailleurs je me suis posée la question jusqu’au point final et c’est après des recherches internet que je me suis exclamée « oh nooooooonnnnn ».





Du coup donner mon avis est compliqué. Je n’est pas assez d’expérience avec ce genre littéraire (mon second « essai » de l’année) pour pouvoir le juger. Je n’apprécie pas trop ce terme mais c’est le plus adéquat (quand on parle de roman tous les jours ?). Me voilà donc dans la mouise. Je vais commencer par une question que je te pose :

Te considères-tu comme un collectionneur (de livre par exemple) ? Cette passion est-elle frénétique ? As tu un intérêt quelconque a empilé les livres ?





Bon cela fait trois questions (je m’excuse). Lorsqu’Allison Hoover Bartlett a dans les mains la première édition original d’un herbier, elle découvre alors un monde qu’il lui est totalement inconnu. Etant journaliste, voici un sujet qui l’intéressa. Commença une enquête hors norme dans un milieu mystique : les livres de collection. Ces derniers revêtent un pouvoir non substantiel dans un milieu qui se livre la guerre à celui qui détiendra la première édition avec bonus. Les libraires dont Ken Sanders (super flic-libraire) fait parti, dénicheurs et fournisseurs de collectionneurs en mal de reconnaissance, forment une communauté un peu à part et sont la cible de voleurs. Son enquête la porte à rencontrer un voleur bien singulier : John Gilkey (qui existe véritablement). Elle rencontre un personnage atypique que l’on peut considérer comme illuminé. Allison Hoover Bartlelt décrit alors un homme tourmenté sans tomber dans la caricature morbide du délinquant. Elle décrit ses aspirations et ses convictions qui ont le mérité d’effrayer et d’interroger. Elle amène certaines réponses quant à la motivation de Gilkey de voler ces livres de grandes valeurs.





Cet essai est mené avec ingéniosité et intelligence. La journaliste donne la forme de polar à son récit. Ainsi donc le lecteur est vite interpelé et adhère.





Le travail d’investigation a du être titanesque et mérite amplement que le lecteur se plonge dans la lecture.





L’HOMME QUI AIMAIT TROP LES LIVRES est un essai atypique sur un sujet plus qu’intéressant.
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L'homme qui aimait trop les livres

L’homme qui aimait trop les livres tout en étant l’histoire vraie d’un voleur, d’un détective et du monde des collectionneurs est une histoire d’histoires, c’est-à-dire que c’est le genre de livre de non-fiction où un récit parfaitement absorbant pourrait être un parfait roman.



L’auteure nous dévoile que c’est bien une enquête en précisait au fil des pages ses réflexions et avancées.



Le lecteur devient «un collectionneur », pas de livres, mais de morceaux de cette histoire.



L’écrivaine compare Gilkey à la description donnée par Sigmund Freud selon laquelle «collectionner» est la deuxième addiction en intensité seulement après la dépendance à la nicotine », dont le plaisir vient du sens de la conquête. Gilkey «obtient» des livres (il ne dit jamais «vole») il a besoin de les posséder !



Agréable à lire ce titre ne doit pas manquer à nos collections.


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L'homme qui aimait trop les livres

Déception: sûrement parce que je m'attendais à un roman racontant l'histoire d'un homme qui vole des livres et pas à des descriptions sur la vie de ce vrai voleur de livres rares, John Gilkey.

Quel dommage car l'idée était excellente et originale.

Ce roman intéressera les gens passionnés d'anecdotes sur les livres anciens, sur les collectionneurs de livres, pour les autres, vous feriez mieux de passer votre chemin.
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L'homme qui aimait trop les livres

Un bon roman, pour tous les passionnés de livres, de bibliothèque et de librairies.



Je m'attendais à une histoire avec une enquête policière, mais en fait, c'est plus un témoignage d'une journaliste qui raconte l'histoire d'un des plus grands voleurs de livre ancien. On sent que l'auteure s'est beaucoup documentée et que cet ouvrage a demandé beaucoup de recherches et d'analyse. Ce qui rend la lecture très plaisante et passionnante.



J'ai été un peu prise au dépourvu au début, m'attendant à un roman et me confrontant plus à un recueil des faits. Mais cela ne m'a pas gênée dans ma lecture et j'ai apprécié découvrir le monde des livres anciens et des collectionneurs.



Ce n'est donc pas un coup de coeur, mais une bonne lecture que je recommande pour tous les amoureux des livres !
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L'homme qui aimait trop les livres

Je ne vais pas développer ma critique de cet ouvrage. J'ai bien aimé mais par moment, c'était plus ennuyant.



J'aimerais juste vous prévenir que comme les autres ouvrages des éditions Marchialy, il s'agit d'un récit basé sur des faits réels (légèrement modifiés pour préserver l'anonymat) et racontés par un journaliste. Donc on ne lit pas un polar ou un roman. Cela pourrait vous surprendre à la lecture.

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L'homme qui aimait trop les livres

'ai trouvé que le livre était rempli d'informations très intéressantes (la justice américaine, le système carcéral, les livres rares, les couvertures...), les sources et la bibliographie sont impressionnantes. Par contre, j'ai eu un peu de mal avec le mélange des sous genres littéraires (tantôt fiction, tantôt essai, tantôt témoignage), cela créait un hybride un peu bizarre sous format écrit mais qui aurait beaucoup plus marché selon moi sous format vidéo (documentaire).
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L'homme qui aimait trop les livres

Une enquête qui nous emmène dans les dessous de la bibliophilie, de la collection à la folie.

Un très bon moment de lecture, surtout quand on adore les livres !
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L'homme qui aimait trop les livres

Roman intéressant mais qui a mon sens aura pu rester un long article. Manque de rythme, ne tient pas sa promesse d'enquête policière ou trop d'attente peut être.
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L'homme qui aimait trop les livres

Je pensais me retrouver dans un personnage qui aimait lire des livres... au lieu de cela , celui ci les collectionne pour leur valeur et souvent ne les lit même pas... Du coup c’est plutôt l’histoire d’un voleur d’objets de collection donc je l’ai lu mais j’ai pas accroché
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L'homme qui aimait trop les livres

L'amour des livres est irrésistible. Plus on en a, plus on en veut. N'est ce pas ?

Pour John Gilkey, c'est d'autant plus vrai que c'est un collectionneur. Problème, il ne voit pas pourquoi il doit payer les livres qu'il veut. Passion livresque, traque captivante font de ce roman un incontournable pour les amoureux des livres.
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