Nationalité : Russie
Né(e) à : Moscou , le 13/01/1931
Mort(e) à : Moscou , le 24/04/2005
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Né(e) à : Moscou , le 13/01/1931
Mort(e) à : Moscou , le 24/04/2005
Biographie :
Arkadi Alexandrovitch Vaïner (Аркадий Александрович Вайнер) est un écrivain russe né dans une famille d'origine juive.
Après avoir été diplômé à la faculté de droit de l'Université d'État de Moscou en 1953, il devient juge d'instruction puis responsable du Bureau d'Investigation de la Direction de la milice judiciaire de Moscou (MOUR).
Le premier roman coécrit par Arkadi et son frère Gueorgui (1934-2009) est publié en 1967.
Dans les années 1990, ils ont écrit une dizaine de romans policiers qui se vendent à plusieurs millions d'exemplaires, le plus célèbre étant "38, rue Petrovka" (en russe : Эра Милосердия, 1975) qui deviendra par la suite une série télévisée à succès en Union soviétique, avec pour acteur-vedette Vladimir Vyssotsky (1938-1980), série dont les frères Vaïner signeront le scénario.
Arkadi Vaïner meurt à Moscou d'une crise cardiaque en 2005.
+ Voir plusArkadi Alexandrovitch Vaïner (Аркадий Александрович Вайнер) est un écrivain russe né dans une famille d'origine juive.
Après avoir été diplômé à la faculté de droit de l'Université d'État de Moscou en 1953, il devient juge d'instruction puis responsable du Bureau d'Investigation de la Direction de la milice judiciaire de Moscou (MOUR).
Le premier roman coécrit par Arkadi et son frère Gueorgui (1934-2009) est publié en 1967.
Dans les années 1990, ils ont écrit une dizaine de romans policiers qui se vendent à plusieurs millions d'exemplaires, le plus célèbre étant "38, rue Petrovka" (en russe : Эра Милосердия, 1975) qui deviendra par la suite une série télévisée à succès en Union soviétique, avec pour acteur-vedette Vladimir Vyssotsky (1938-1980), série dont les frères Vaïner signeront le scénario.
Arkadi Vaïner meurt à Moscou d'une crise cardiaque en 2005.
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Nous avons déjà fait beaucoup, mais la situation [à Moscou] est encore malgré tout tendue. Chaque citoyen est en droit de nous demander : «Comment se fait-il, chers camarades, que nous ayons tordu le cou à Hitler, anéanti le fascisme mondial, porté sur nos épaules une guerre comme il n'y en a jamais eue et que, aujourd'hui, il soit encore risqué d'aller se promener le soir dans le parc d'Ostankino et, la nuit, d'emprunter le pont Krestovski, comment ça se fait?»
Dans la vie il est très important de juger correctement les hommes, surtout s'il s'agit de tes amis...
Comme toutes les femmes, Varia aimait les hommes de pouvoir, les chefs et les beaux parleurs, et je pensais qu'il me serait difficile de lui expliquer que lorsque, à dix-neuf ans, des ordres qu'on donne à une compagnie de cent vingt-trois hommes dépend le nombre de ceux qui reviendront vivants, on préfère, plus tard, ne plus avoir à répondre que de soi-même.De tous les chefs que j'avais pu voir au front, j'avais compris que les seuls vrais étaient ceux qui vivaient leur pouvoir comme une lourde responsabilité et non comme un privilège.
L'escargot a beau voyager, il ne quitte jamais sa coquille.
L'entêtement, c'est le premier signe de la bêtise !
Je pense que si l'on se permet de fermer les yeux sur la loi une fois, quand on en a besoin, puis une deuxième fois, si nécessaire, puis ensuite qu'on se sert des lois pour boucher les trous chaque fois que nous en aurons besoin, alors ce sera plus une loi, mais une vraie matraque ! Oui, une matraque.
- Tout l'art de la psychologie réside dans le fait qu'une belle femme détourne l'attention par sa seule présence, on a toujours envie de faire quelque chose d'agréable pour elle. [...]
Si j'admirais l'expérience de Jeglov et son aptitude à tirer le meilleur des ses hommes, j'étais néanmoins terrorisé par sa manière de faire une croix de façon instantanée et irrévocable sur les gens qui l'avaient déçu, comme s'il effaçait d'un coup de chiffon un mot au tableau noir.
La première qualité de l'homme, c'est d'être humain, je le sais pour sûr, moi...
La loi aime la précision : on s'en éloigne juste d' un brin et c'en est fait d'un innocent.
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