Critiques de Bernard Simonay (226)
Voici un roman historique fort intéressant .
Sologne , 1845, ses légendes, ses mystères, ses bois, ses étangs, Laetitia, l'héroïne, a huit ans.
Elle court la campagne en compagnie de deux amis, des fils de paysans, jusqu'à ce que son pére, le châtelain du village, rigide, sévére et distant , inflexible, l'envoie durant cinq années en pension......
Au terme de ce long séjour, il la marie à un baron de ses amis , de vingt- quatre ans son aîné, faisant fi des sentiments de sa fille pour son professeur de piano.
Après avoir surmonté bien des obstacles et livré maints combats , Laetitia parvient à s'affranchir de son destin.
Bravant les codes figés et rigides de son époque, avec l'aide de l'empereur Napoléon III, elle devient une femme d'affaires influente, chargée de la direction des entreprises de feu son mari.....
Elle traversera avec courage, détermination,, intrépidité les événements cruciaux de son époque : guerre de 1870, Commune de Paris, Crue de la Loire.......
A l'aide d'une écriture fluide, à la manière des grands feuilletons du dix- neuvième siècle, l'auteur fait revivre avec bonheur et une certaine tendresse ,les " aventures" de cette "indomptable" maniant le colt et la dague comme personne ........quand il le faut.Lorsqu'elle découvre le "trésor du Solognot ", "fameux', elle saura faire bon usage de ses richesses ......
Une saga d'amours romantiques, de sentiments forts, de drames de l'injustice, de vengeance des opprimés, une imagination de bon aloi de la part de l'auteur qui aime décrire et mettre en valeur cette femme attachante, énergique qui choisira de se révolter contre la domination masculine......
Une lecture agréable et simple , bien documentée ,de fin d"été oú l'auteur lutte à sa maniére contre l'ostracisme dont sont victimes les femmes........
Choisi par hasard à la médiathèque !
Sologne , 1845, ses légendes, ses mystères, ses bois, ses étangs, Laetitia, l'héroïne, a huit ans.
Elle court la campagne en compagnie de deux amis, des fils de paysans, jusqu'à ce que son pére, le châtelain du village, rigide, sévére et distant , inflexible, l'envoie durant cinq années en pension......
Au terme de ce long séjour, il la marie à un baron de ses amis , de vingt- quatre ans son aîné, faisant fi des sentiments de sa fille pour son professeur de piano.
Après avoir surmonté bien des obstacles et livré maints combats , Laetitia parvient à s'affranchir de son destin.
Bravant les codes figés et rigides de son époque, avec l'aide de l'empereur Napoléon III, elle devient une femme d'affaires influente, chargée de la direction des entreprises de feu son mari.....
Elle traversera avec courage, détermination,, intrépidité les événements cruciaux de son époque : guerre de 1870, Commune de Paris, Crue de la Loire.......
A l'aide d'une écriture fluide, à la manière des grands feuilletons du dix- neuvième siècle, l'auteur fait revivre avec bonheur et une certaine tendresse ,les " aventures" de cette "indomptable" maniant le colt et la dague comme personne ........quand il le faut.Lorsqu'elle découvre le "trésor du Solognot ", "fameux', elle saura faire bon usage de ses richesses ......
Une saga d'amours romantiques, de sentiments forts, de drames de l'injustice, de vengeance des opprimés, une imagination de bon aloi de la part de l'auteur qui aime décrire et mettre en valeur cette femme attachante, énergique qui choisira de se révolter contre la domination masculine......
Une lecture agréable et simple , bien documentée ,de fin d"été oú l'auteur lutte à sa maniére contre l'ostracisme dont sont victimes les femmes........
Choisi par hasard à la médiathèque !
C’est l’histoire vraie , un véritable défi relevé par l’auteur qui nous conte le destin d’une de ses amies : Hélène , une allemande née en1912, à Hambourg , dans le milieu de la grande bourgeoisie , son père Rudolf Steiner , chef d’entreprise , dirigeait une usine fabriquant des couteaux de luxe ——destinés aux grands hôtels et aux paquebots ——-décédée en novembre 2002 , à l’âge de quatre - vingts dix ans , dont l’histoire serait presque l’exact reflet de ce qu’elle a vécu .
À vingt ans , Hélène , dite Élyane , pour les besoins du récit , un personnage « parallèle » , avait épousé un juif allemand séduisant, Eran Rozenberg , dont elle était éperdument amoureuse .
Nous sommes en Allemagne Nazie , début 1938, Élyane , femme d’affaires , à vingt - six ans , mariée quelques années plus tôt , sacrifie les trois quarts de sa fortune afin de permettre à Eran , d’échapper aux persécutions .
Ils émigrent vers l’Argentine où la sœur d’Élyane, installée, est mariée à un argentin , Roberto .
Eran a un gros défaut : aucune parole, il se révèlera infidèle , d’un égoïsme éhonté, séducteur impénitent ! .
Lorsqu’un Français séduisant Paul Mariani, rencontré sur le bateau , lui propose de l’épouser si elle divorce , elle refuse , empêtrée dans ses principes de grande bourgeoise .
Mais elle viendra le rejoindre laissant derrière elle tous ses biens et ce mari qui ne la méritait pas vraiment !
Hélas ! À quelques jours de son mariage en France , son nom d’épouse juif la rattrape .
Nous sommes le dix - sept juillet 1942 , jour marquant pour les juifs . ….
.
Ce roman n’est pas une œuvre d’imagination mais reflète l’histoire d’une femme exceptionnelle, attaquant la vie de face, se lançant dans des aventures hasardeuses , très attachée à ses principes , issue d’une famille riche , elle peut s’offrir bien d’avantage que nombre de gens, elle va vivre des aventures hors du commun, dramatiques , étonnantes jusqu’à se retrouver dans un des camps du « silence français , le camp de Gurs , en automne 1942 , libérée après maintes péripéties par Paul Mariani avec lequel elle vivra cinquante - trois années .
Une histoire incroyable contée avec brio , non pas un roman historique mais un roman d’amour , même s’il traite abondamment de la montée du nazisme , on y trouve , bien sûr , toutes sortes d’informations sur la vie économique de l’Allemagne ,entre les deux guerres de l’effondrement boursier le 24 octobre 1929 à ses conséquences , grèves , arrivée funeste d’Hitler au pouvoir ,…..et la suite …
Comment la folie et la mégalomanie d’un seul homme mèneront au chaos ? .
L’auteur a su capter les émotions, les angoisses , les naïvetés , les aventures hautes en couleurs , dramatiques , les peines , les douleurs et les joies de cette femme exceptionnelle ! .
L’histoire aussi de sa famille , de Melisande , sa petite sœur , disparue à lâge de six ans ,à Adélaïde , Alfred et Peter ses autres frères et sœurs , sa maman Anastasia ….
Une fois de plus , la réalité dépasse la fiction .
À vingt ans , Hélène , dite Élyane , pour les besoins du récit , un personnage « parallèle » , avait épousé un juif allemand séduisant, Eran Rozenberg , dont elle était éperdument amoureuse .
Nous sommes en Allemagne Nazie , début 1938, Élyane , femme d’affaires , à vingt - six ans , mariée quelques années plus tôt , sacrifie les trois quarts de sa fortune afin de permettre à Eran , d’échapper aux persécutions .
Ils émigrent vers l’Argentine où la sœur d’Élyane, installée, est mariée à un argentin , Roberto .
Eran a un gros défaut : aucune parole, il se révèlera infidèle , d’un égoïsme éhonté, séducteur impénitent ! .
Lorsqu’un Français séduisant Paul Mariani, rencontré sur le bateau , lui propose de l’épouser si elle divorce , elle refuse , empêtrée dans ses principes de grande bourgeoise .
Mais elle viendra le rejoindre laissant derrière elle tous ses biens et ce mari qui ne la méritait pas vraiment !
Hélas ! À quelques jours de son mariage en France , son nom d’épouse juif la rattrape .
Nous sommes le dix - sept juillet 1942 , jour marquant pour les juifs . ….
.
Ce roman n’est pas une œuvre d’imagination mais reflète l’histoire d’une femme exceptionnelle, attaquant la vie de face, se lançant dans des aventures hasardeuses , très attachée à ses principes , issue d’une famille riche , elle peut s’offrir bien d’avantage que nombre de gens, elle va vivre des aventures hors du commun, dramatiques , étonnantes jusqu’à se retrouver dans un des camps du « silence français , le camp de Gurs , en automne 1942 , libérée après maintes péripéties par Paul Mariani avec lequel elle vivra cinquante - trois années .
Une histoire incroyable contée avec brio , non pas un roman historique mais un roman d’amour , même s’il traite abondamment de la montée du nazisme , on y trouve , bien sûr , toutes sortes d’informations sur la vie économique de l’Allemagne ,entre les deux guerres de l’effondrement boursier le 24 octobre 1929 à ses conséquences , grèves , arrivée funeste d’Hitler au pouvoir ,…..et la suite …
Comment la folie et la mégalomanie d’un seul homme mèneront au chaos ? .
L’auteur a su capter les émotions, les angoisses , les naïvetés , les aventures hautes en couleurs , dramatiques , les peines , les douleurs et les joies de cette femme exceptionnelle ! .
L’histoire aussi de sa famille , de Melisande , sa petite sœur , disparue à lâge de six ans ,à Adélaïde , Alfred et Peter ses autres frères et sœurs , sa maman Anastasia ….
Une fois de plus , la réalité dépasse la fiction .
Intriguée par la 4è de couverture , en particulier par ces premiers mots:
"Au XVIe siècle, au Moyen-Orient et en Finlande, ont été établies des cartes sur lesquelles figure l'Antarctique... débarrassé de ses glaces. Ces cartes sont pourtant authentiques.
Cette énigme, qui déconcerte les historiens et les scientifiques, a inspiré à Bernard Simonay l'écriture de son roman le plus ambitieux.",
je me suis enhardie à emprunter ce roman .. et à ma plus grand surprise je me suis laissée séduire, que dis-je transporter dans le temps et l'espace, j'ai découvert grâce à la mediumnité de Lara ,Tanithkara une femme exceptionnelle, reine du royaume des Hedeens, protectrice des Hosythiens... J'ai compris que l'Ensis Dei voulait leur anéantissement parce que la Prophétie des glaces risque d'anéantir leur suprématie sur le monde des humains...
le voyage que nous propose Bernard Simonay n'est pas sans risques, la mort rôde, la nature se rebelle, les plaques tectoniques glissent , le monde devient terre de chaos ...
Thriller, ésotérisme, fantastique, histoire avérée, supposée ou contestée, tout y est . y compris les grands maux de notre société contemporaine .
A bientôt Mr Simonay....
"Au XVIe siècle, au Moyen-Orient et en Finlande, ont été établies des cartes sur lesquelles figure l'Antarctique... débarrassé de ses glaces. Ces cartes sont pourtant authentiques.
Cette énigme, qui déconcerte les historiens et les scientifiques, a inspiré à Bernard Simonay l'écriture de son roman le plus ambitieux.",
je me suis enhardie à emprunter ce roman .. et à ma plus grand surprise je me suis laissée séduire, que dis-je transporter dans le temps et l'espace, j'ai découvert grâce à la mediumnité de Lara ,Tanithkara une femme exceptionnelle, reine du royaume des Hedeens, protectrice des Hosythiens... J'ai compris que l'Ensis Dei voulait leur anéantissement parce que la Prophétie des glaces risque d'anéantir leur suprématie sur le monde des humains...
le voyage que nous propose Bernard Simonay n'est pas sans risques, la mort rôde, la nature se rebelle, les plaques tectoniques glissent , le monde devient terre de chaos ...
Thriller, ésotérisme, fantastique, histoire avérée, supposée ou contestée, tout y est . y compris les grands maux de notre société contemporaine .
A bientôt Mr Simonay....
Un souffle de la vie du XIX ème siècle traverse ce simple roman du terroir :
La Commune, la guerre de 1870, le métier difficile et méconnu des "perriers" ( carriers) sur les rives du Cher, le sort réservé aux filles puis aux femmes et bien d'autres sujets encore, tous très intéressants.
Comme l'auteur sait très bien raconter, ce fut un agréable moment de lecture.
La Commune, la guerre de 1870, le métier difficile et méconnu des "perriers" ( carriers) sur les rives du Cher, le sort réservé aux filles puis aux femmes et bien d'autres sujets encore, tous très intéressants.
Comme l'auteur sait très bien raconter, ce fut un agréable moment de lecture.
L'amazone de Californie est une grande épopée sur la colonisation de la Californie qui couvre plusieurs décennies. D'ailleurs le récit s'étale sur une période trop longue pour que les différentes situations soient développées avec le soin nécessaire. Du coup certaines péripéties sont trop prévisibles ou trop rocambolesques.
J'ai également trouvé que le dénouement sonne complètement artificiel. Cependant ce qui m'a le plus dérangée, c'est le ton trop didactique du roman : certains passages ressemblent trop à des cours d'histoire.
J'ai également trouvé que le dénouement sonne complètement artificiel. Cependant ce qui m'a le plus dérangée, c'est le ton trop didactique du roman : certains passages ressemblent trop à des cours d'histoire.
L'odyssée d'une femme amoureuse, le titre donnait un avant goût de cette lecture, hélas je m'étais plus attardée sur la quatrième de couverture qui résumait un roman historique basé sur des faits réels.
Le style ressemble plus au journal intime d'une adolescente narcissique ( tout au moins au début), intelligente, belle , qui transforme tout ce qu'elle touche en or qu'à un roman.
La petite histoire dans la grande Histoire, des années 20 en Allemagne à la fuite en Argentine de l'héroïne et de son mari pourchassé par les lois de Nuremberg.
Les épreuves vont la rattraper en ces temps de guerre mais son côté "fleur bleue" perdurera.
Je n'apprécie pas d'abandonner un livre, j'ai donc terminé cette lecture mais ce fut en perte de temps.
Le style ressemble plus au journal intime d'une adolescente narcissique ( tout au moins au début), intelligente, belle , qui transforme tout ce qu'elle touche en or qu'à un roman.
La petite histoire dans la grande Histoire, des années 20 en Allemagne à la fuite en Argentine de l'héroïne et de son mari pourchassé par les lois de Nuremberg.
Les épreuves vont la rattraper en ces temps de guerre mais son côté "fleur bleue" perdurera.
Je n'apprécie pas d'abandonner un livre, j'ai donc terminé cette lecture mais ce fut en perte de temps.
J'aime beaucoup Bernard Simonay et l’Atlantide est un sujet qui m'a toujours intéressée et fait un peu rêver. Donc les 2 ensembles... BANCO ! Bon sur ce premier volume je suis un peu restais sur ma faim, mais je sais que Bernard Simonay crée des univers complexes donc disons que ce 1er tome pose le décor et les personnages, à suivre donc !
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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Franchement après l'avoir lu, j'ai eu mal à me replonger dans un autre bouquin tans le style est énergique et l'histoire des plus passionnante ainsi qu'une intrigue que certains auteurs de thriller pourrais lui envier. Enfin la restitution de la Bretagne médiévale est vraiment bien. Bref un excellent livre, à lire d'urgence.
L'île des Cormorans est située au large de la côte sud de la Bretagne, elle compte 1000 âmes en hiver et l'été elle est visitée par de nombreux touristes venus du continent !
Gwenaelle Joncourt, 22 ans travaille dans la librairie avec ses parents, et comme les autres habitants elle croit en la légende de la Lande maudite à propos du serviteur de la mort : l'Ankou !
Elle va devenir amoureuse de Daniel le Guen , un photographe parisien, plus âgé qu'elle et, qui a acheté une belle propriété sur la fameuse Lande, il a beaucoup voyagé et, sur l'île tous se demandent pourquoi il est venu s'isoler et quel est son passé, mais Gwen va affronter l'avis de sa mère et celui de la plupart des habitants pour continuer à le fréquenter, à l'aimer !
Car depuis qu'il réside sur l'île, des meurtres abominables s'accumulent ! Tous les habitants sont angoissés, et la peur vire à l'hystérie collective car : le vieux docteur est mort, suivi du bedeau, de la vieille Hermine : est-ce l'Ankou ou l'étranger ? des griffes "Bantaïs " de Daniel sont retrouvées à coté de certains corps, le notaire Charles de Saint- Yvain veut racheter la maison de Daniel pour faire un complexe hôtelier et le menace et, entre-temps on découvre le cadavre de Judith, la copine de Gwen , puis celui de Mireille la coiffeuse et enfin Nicolas ! Heureusement, Vidal et son collaborateur Domenech de la brigade de recherche sont venus en renfort auprès du commandant Besnard pour élucider ces meurtres ! Ils vont découvrir le passé douloureux de Daniel et, du coup : le(s) meurtrier(s) venu(s) sur l'île assouvir une terrible vengeance !
Un polar très " bretonnant " pour les paysages mais aussi pour la mentalité des anciens de l'île qui sont exagérément superstitieux et suspicieux vis à vis des étrangers du continent !
Gwenaelle Joncourt, 22 ans travaille dans la librairie avec ses parents, et comme les autres habitants elle croit en la légende de la Lande maudite à propos du serviteur de la mort : l'Ankou !
Elle va devenir amoureuse de Daniel le Guen , un photographe parisien, plus âgé qu'elle et, qui a acheté une belle propriété sur la fameuse Lande, il a beaucoup voyagé et, sur l'île tous se demandent pourquoi il est venu s'isoler et quel est son passé, mais Gwen va affronter l'avis de sa mère et celui de la plupart des habitants pour continuer à le fréquenter, à l'aimer !
Car depuis qu'il réside sur l'île, des meurtres abominables s'accumulent ! Tous les habitants sont angoissés, et la peur vire à l'hystérie collective car : le vieux docteur est mort, suivi du bedeau, de la vieille Hermine : est-ce l'Ankou ou l'étranger ? des griffes "Bantaïs " de Daniel sont retrouvées à coté de certains corps, le notaire Charles de Saint- Yvain veut racheter la maison de Daniel pour faire un complexe hôtelier et le menace et, entre-temps on découvre le cadavre de Judith, la copine de Gwen , puis celui de Mireille la coiffeuse et enfin Nicolas ! Heureusement, Vidal et son collaborateur Domenech de la brigade de recherche sont venus en renfort auprès du commandant Besnard pour élucider ces meurtres ! Ils vont découvrir le passé douloureux de Daniel et, du coup : le(s) meurtrier(s) venu(s) sur l'île assouvir une terrible vengeance !
Un polar très " bretonnant " pour les paysages mais aussi pour la mentalité des anciens de l'île qui sont exagérément superstitieux et suspicieux vis à vis des étrangers du continent !
Un tome qui se situe avant la trilogie du Phénix, il nous explique la genèse du royaume sa création, les grandes forces en présence...
J'ai nettement moins aimé que la trilogie du Phénix mais on se laisse quand même prendre par la belle plume de Bernard Simonay !
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J'ai nettement moins aimé que la trilogie du Phénix mais on se laisse quand même prendre par la belle plume de Bernard Simonay !
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La plume de Bernard Simonay est toujours aussi belle. On rentre rapidement dans l'histoire, où le contexte est rapidement mis en place et où l'on imagine très bien les décors, les lieux et les paysages, les personnages aussi grâce aux descriptions de l'auteur. Nous nous retrouvons plongés dans cette Bretagne du XIème siècle où les temps sont difficiles, où la religion chrétienne commence à être bien ncrée, mais où les légendes ont encore une grande place dans la tête et le cœur de la population, et où la chevalerie fait rêver tout un chacun. On se rend compte également, bien qu'il y ait encore des progrès à faire de ce côté-là encore de nos jours, que la condition des femmes était déplorable à l'époque et qu'elle a bien évolué quand même (en France en tout cas).
Nous faisons connaissance avec Sterenn dès l'âge de 9 ans, que nous apprécions de plus en plus au fil de l'histoire. On sent dès le départ que des secrets et des non-dits règnent autour d'elle, ce qui nous donne l'envie de continuer à lire pour en savoir un peu plus. Et plus on en sait, plus on avance dans l'histoire et plus on en devient accro, surtout à partir de la seconde partie quand Sterenn commence véritablement sa quête. On a même droit à quelques surprises étonnantes ! Et quel final époustouflant !
J'ai quand même un reproche à faire à l'auteur : l'héroïne, Sterenn, représente en tous points la femme "trop" parfaite ; elle est, en plus d'être très jolie, intelligente, déterminée, indépendante, douée dans tout ce qu'elle entreprend, généreuse, indomptable, courageuse, etc...
[Lu en novembre 2019]
Nous faisons connaissance avec Sterenn dès l'âge de 9 ans, que nous apprécions de plus en plus au fil de l'histoire. On sent dès le départ que des secrets et des non-dits règnent autour d'elle, ce qui nous donne l'envie de continuer à lire pour en savoir un peu plus. Et plus on en sait, plus on avance dans l'histoire et plus on en devient accro, surtout à partir de la seconde partie quand Sterenn commence véritablement sa quête. On a même droit à quelques surprises étonnantes ! Et quel final époustouflant !
J'ai quand même un reproche à faire à l'auteur : l'héroïne, Sterenn, représente en tous points la femme "trop" parfaite ; elle est, en plus d'être très jolie, intelligente, déterminée, indépendante, douée dans tout ce qu'elle entreprend, généreuse, indomptable, courageuse, etc...
[Lu en novembre 2019]
Ce quatrième tome est tout à fait surprenant, la mythologie et le monde qu'imagine l'auteur est une version futuriste pessimiste de notre propre planète et en même temps c'est un texte profondément humaniste et écologique qui m'a vraiment surprise par rapport au reste de la série ! Je ne sais pas trop quoi pensais d'ailleurs de cette série car j'avais imaginé tout autre chose et donc je suis un peu déçue, mais certaines réflexions de l'auteur sont très intéressantes, j'aimerai bien savoir comment tout cela va finir...
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A ne pas classer dans les romans historiques (on ne parle que très peu du Moyen-Age) mais plutôt dans les romans d'aventures entraînants, l'écriture m'a fait penser au rythme des romans ou films de cape et d'épée que j'ai toujours affectionné.
Les personnages principaux sont attachants, les méchants sont très méchants !!
S'ajoute à ces points positifs qui ont fait que j'ai vraiment aimé ce roman sans prétention, le suspens présent au fil de l'intrigue et ce, jusqu'à la dernière page.
Les personnages principaux sont attachants, les méchants sont très méchants !!
S'ajoute à ces points positifs qui ont fait que j'ai vraiment aimé ce roman sans prétention, le suspens présent au fil de l'intrigue et ce, jusqu'à la dernière page.
Ce deuxième tome m'a un peu déçue. Pourtant il est très intéressant d'un point de vue mythologique et essentiel pour l'histoire mais j'ai trouvé ça un peu long. Espérons que ça aille mieux dans le tome suivant maintenant qu'on a planté le décor !
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"Bien souvent, l'homme déclenche des forces dont il ignore tout,et qui finissent par le détruire" va comprendre l'intuitive Ele'a, une jeune danseuse sensuelle Koralyenne,manipulée et arrachée à son îlot de pêcheurs paradisiaque, suite à "l'effacement" de son fiancé Darys, par l'implacable Seigneur Ykhare à la puissance et aux pouvoirs surnaturels (immortalité,télépathie..)incommensurables.
C'est dans un futur lointain que Bernard Simonay, à l'imagination fertile pour créer un monde du futur extra-ordinaire (voir Phénix prix Cosmos 2000 et prix Julia Verlanger ou voir Les enfants de l'Atlantide) avec langage à part, animaux fabuleux (ici des licornes) et engins spéciaux (on se déplace dans La porte de bronze en "stratoglisseur", "engins supportés par des forces antigravifiques"..); situe ce roman de science fiction qui revisite à l'envers le mythe d'Orphée au féminin puisque la fidèle Ele'a, bien que "traitée comme une reine",après moult périls (de palais luxueux en désert aride habité ou non) ira chercher son amoureux par delà la mort, après avoir découvert le terrible secret qui se cache derrière La porte de bronze.
Bernard Simonay qui sait rendre l'angoisse palpable par moult rebondissements,écrit ici un excellent roman de science fiction entre amour,terreur et haine,lutte du bien et du mal. De plus,il soulève, dans ce livre d'aventures, des questions intéressantes: Et si l'homme se prenant pour un dieu créait un dieu plus fort que lui? Dieu est-il une création humaine?
Soumis à la violence, l'être humain devient-il capable de tuer? Jusqu'où ira le monde informatique? L'homme maîtrise-t-il ses propres créations même s'il est un génie?
A lire ou à relire pour passer un agréable moment!
C'est dans un futur lointain que Bernard Simonay, à l'imagination fertile pour créer un monde du futur extra-ordinaire (voir Phénix prix Cosmos 2000 et prix Julia Verlanger ou voir Les enfants de l'Atlantide) avec langage à part, animaux fabuleux (ici des licornes) et engins spéciaux (on se déplace dans La porte de bronze en "stratoglisseur", "engins supportés par des forces antigravifiques"..); situe ce roman de science fiction qui revisite à l'envers le mythe d'Orphée au féminin puisque la fidèle Ele'a, bien que "traitée comme une reine",après moult périls (de palais luxueux en désert aride habité ou non) ira chercher son amoureux par delà la mort, après avoir découvert le terrible secret qui se cache derrière La porte de bronze.
Bernard Simonay qui sait rendre l'angoisse palpable par moult rebondissements,écrit ici un excellent roman de science fiction entre amour,terreur et haine,lutte du bien et du mal. De plus,il soulève, dans ce livre d'aventures, des questions intéressantes: Et si l'homme se prenant pour un dieu créait un dieu plus fort que lui? Dieu est-il une création humaine?
Soumis à la violence, l'être humain devient-il capable de tuer? Jusqu'où ira le monde informatique? L'homme maîtrise-t-il ses propres créations même s'il est un génie?
A lire ou à relire pour passer un agréable moment!
Il m'aura fallu lire presque 300 pages (sur 599) pour me retrouver "impliquée" dedans, beaucoup de descriptions et d'explications sur les faits historiques pour peu de dialogues. Mais une fois dedans, je ne l'ai plus lâché. Je me suis retrouvée plongée au cœur de cette Australie, à peine découverte et pas encore apprivoisée. Dans ses paysages de l'Outback que l'on imagine magnifiques. Dans la ruée vers l'or où la vie est, d'une autre manière, tout aussi rude. Dans ses déboires politiques et parfois religieux... Que d'aventures et de découvertes que l'on vit aux côtés de Judith ! Elle n'a pas été, pour moi, un personnage attachant (elle est "trop parfaite") mais cela ne m'a pas empêché d'apprécier cette lecture et surtout de vouloir enfin connaître la vérité sur son passé.
[Lu en septembre 2019]
[Lu en septembre 2019]
Le chef-d’oeuvre méconnu de la science-fantasy française
Flash-back. Seconde moitié des années 90 (me souviens plus de la date exacte). A la fin d’un TP de chimie quelconque (on doit en étudier cinq types différents dans ma fac), deux de mes camarades de promo (un couple) viennent me voir, très excités, avec un ENORME livre à la main. Ils tiennent ab-so-lu-ment à me le prêter, parce que « c’est encore mieux que le Seigneur des anneaux ! ». Je suis sceptique, je sais très bien qu’ils manquent de références, n’ayant lu QUE le SdA en fantasy justement, et qu’elle a tendance à s’enthousiasmer très facilement. La couverture très roman sentimental, la quatrième, l’éditeur de l’édition en question (Editions du Rocher, pas un spécialiste reconnu de Fantasy, donc), bref rien ne m’inspire particulièrement confiance non plus. Je crains fort de tomber sur une fantasy de bas étage et devoir me taper les plus de 800 pages pour rien ou pas grand-chose. Mais bon, parce que le geste est amical, je le prends.
Vous savez quoi ? Ils avaient raison. Enfin presque. On ne va quand-même pas dire que c’est « mieux que le Seigneur des Anneaux », mais c’est quand-même à lire. Vraiment. Pour moi, ça fait partie de ces chefs-d’oeuvre méconnus, voire quasiment inconnus, qui n’auront jamais l’aura du Trône de Fer ou d’Hyperion, mais qui, pourtant, n’ont pas à rougir face à eux en termes de qualité. On peut aussi citer Replay de Ken Grimwood ou l’incroyable Inexistence de David Zindell, un des livres de SF les plus visionnaires, riches et hard-SF qu’il m’ait été donné de lire.
Voilà pourquoi c’est intéressant : attention, je préviens, il y a du spoiler (un peu, sur la nature de l’univers du roman) :
Outre l’univers, relativement original et sans conteste plaisant, c’est le style, très prenant et extrêmement immersif, qui donne son intérêt à ce roman. On est happé dedans, on ne peut plus en sortir. Le livre est énorme, mais on le dévore, et une fois fini, on en redemande (sauf que… enfin voyez plus loin quand-même…).
L’intérêt tient aussi aux deux personnages principaux et à leur relation très, très particulière. Ils sont frère et sœur (faux-jumeaux), mais ils sont déchirés par une attirance (romantique mais aussi sexuelle, il faut dire les choses clairement) irrésistible. Etant donné que ce sont deux êtres admirables, hors-normes (si vous saviez à quel point…), ils résistent à cette attraction contre-nature, ils se marient, s’évitent, bref… Cette relation complexe est le moteur du roman, et sa nature réelle, la révélation finale, sa grande réussite. Sous la plume d’un autre auteur, tout cela aurait pu être carrément glauque, mais chez Simonay, c’est traité avec une grande délicatesse, bref comme le disait un célèbre animateur de radio pour djeun’s à l’époque de mes études universitaires, « ce n’est pas sale ». C’est même une très belle histoire, contée avec beaucoup de sensibilité.
A noter également un fort aspect initiatique dans l’intrigue, surtout au début mais ça se poursuit plus ou moins jusqu’à la fin (ENORME révélation finale !).
Bon, donc l’univers est intéressant (à défaut d’être complètement original), les personnages fascinants, l’écriture prenante, donc ce livre n’a que des qualités ? Eh ben non. Les deux personnages principaux sont certes attachants et tout et tout, mais ils sont aussi un peu énervants, surtout Dorian, qui tient du surhomme à qui tout ou quasiment réussit (et même Solyane fait très Vierge Marie et peut agacer). Certes, la fin expliquera beaucoup de choses, mais vous serez peut-être un certain nombre à grincer des dents.
De plus, les personnages secondaires sont un peu transparents, et ce qui fait d’une bonne histoire une GRANDE histoire, à savoir un ennemi crédible et charismatique, est également un peu caricatural ou sans grande consistance.
Enfin, certains pourront trouver le rythme fluctuant, avec de très gros pics d’intérêt mais aussi des longueurs ou des scènes dispensables (ça dépasse les 800 pages après tout). Ça n’a pas été mon cas, mais bon je suis bon public on va dire.
EN RÉSUMÉ
Un très bon roman de science-fantasy à la française, inspiré par Moorcock mais avec son identité propre. Un monde riche, une belle histoire, deux beaux personnages principaux, une écriture prenante, mais des personnages secondaires et des antagonistes fades, et quelques longueurs sans doute pour la plupart d’entre vous. Mais dans l’ensemble, une histoire riche et cohérente, à fortement conseiller. Attention toutefois, si vous n’aimez pas les héros qui tiennent du surhomme à qui tout réussit, c’est un peu le cas ici. De plus, ce n’est pas à mettre entre toutes les mains, le cœur de l’intrigue est quand-même une envie d’inceste entre deux faux-jumeaux (même si c’est en fait beaucoup plus compliqué que ça).
Pour info, il y a une préquelle et deux suites : la préquelle est fort recommandable, sans atteindre le niveau de ce tome 1; le tome 2 est relativement correct, mais le tome 3 est franchement dispensable.
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Flash-back. Seconde moitié des années 90 (me souviens plus de la date exacte). A la fin d’un TP de chimie quelconque (on doit en étudier cinq types différents dans ma fac), deux de mes camarades de promo (un couple) viennent me voir, très excités, avec un ENORME livre à la main. Ils tiennent ab-so-lu-ment à me le prêter, parce que « c’est encore mieux que le Seigneur des anneaux ! ». Je suis sceptique, je sais très bien qu’ils manquent de références, n’ayant lu QUE le SdA en fantasy justement, et qu’elle a tendance à s’enthousiasmer très facilement. La couverture très roman sentimental, la quatrième, l’éditeur de l’édition en question (Editions du Rocher, pas un spécialiste reconnu de Fantasy, donc), bref rien ne m’inspire particulièrement confiance non plus. Je crains fort de tomber sur une fantasy de bas étage et devoir me taper les plus de 800 pages pour rien ou pas grand-chose. Mais bon, parce que le geste est amical, je le prends.
Vous savez quoi ? Ils avaient raison. Enfin presque. On ne va quand-même pas dire que c’est « mieux que le Seigneur des Anneaux », mais c’est quand-même à lire. Vraiment. Pour moi, ça fait partie de ces chefs-d’oeuvre méconnus, voire quasiment inconnus, qui n’auront jamais l’aura du Trône de Fer ou d’Hyperion, mais qui, pourtant, n’ont pas à rougir face à eux en termes de qualité. On peut aussi citer Replay de Ken Grimwood ou l’incroyable Inexistence de David Zindell, un des livres de SF les plus visionnaires, riches et hard-SF qu’il m’ait été donné de lire.
Voilà pourquoi c’est intéressant : attention, je préviens, il y a du spoiler (un peu, sur la nature de l’univers du roman) :
Outre l’univers, relativement original et sans conteste plaisant, c’est le style, très prenant et extrêmement immersif, qui donne son intérêt à ce roman. On est happé dedans, on ne peut plus en sortir. Le livre est énorme, mais on le dévore, et une fois fini, on en redemande (sauf que… enfin voyez plus loin quand-même…).
L’intérêt tient aussi aux deux personnages principaux et à leur relation très, très particulière. Ils sont frère et sœur (faux-jumeaux), mais ils sont déchirés par une attirance (romantique mais aussi sexuelle, il faut dire les choses clairement) irrésistible. Etant donné que ce sont deux êtres admirables, hors-normes (si vous saviez à quel point…), ils résistent à cette attraction contre-nature, ils se marient, s’évitent, bref… Cette relation complexe est le moteur du roman, et sa nature réelle, la révélation finale, sa grande réussite. Sous la plume d’un autre auteur, tout cela aurait pu être carrément glauque, mais chez Simonay, c’est traité avec une grande délicatesse, bref comme le disait un célèbre animateur de radio pour djeun’s à l’époque de mes études universitaires, « ce n’est pas sale ». C’est même une très belle histoire, contée avec beaucoup de sensibilité.
A noter également un fort aspect initiatique dans l’intrigue, surtout au début mais ça se poursuit plus ou moins jusqu’à la fin (ENORME révélation finale !).
Bon, donc l’univers est intéressant (à défaut d’être complètement original), les personnages fascinants, l’écriture prenante, donc ce livre n’a que des qualités ? Eh ben non. Les deux personnages principaux sont certes attachants et tout et tout, mais ils sont aussi un peu énervants, surtout Dorian, qui tient du surhomme à qui tout ou quasiment réussit (et même Solyane fait très Vierge Marie et peut agacer). Certes, la fin expliquera beaucoup de choses, mais vous serez peut-être un certain nombre à grincer des dents.
De plus, les personnages secondaires sont un peu transparents, et ce qui fait d’une bonne histoire une GRANDE histoire, à savoir un ennemi crédible et charismatique, est également un peu caricatural ou sans grande consistance.
Enfin, certains pourront trouver le rythme fluctuant, avec de très gros pics d’intérêt mais aussi des longueurs ou des scènes dispensables (ça dépasse les 800 pages après tout). Ça n’a pas été mon cas, mais bon je suis bon public on va dire.
EN RÉSUMÉ
Un très bon roman de science-fantasy à la française, inspiré par Moorcock mais avec son identité propre. Un monde riche, une belle histoire, deux beaux personnages principaux, une écriture prenante, mais des personnages secondaires et des antagonistes fades, et quelques longueurs sans doute pour la plupart d’entre vous. Mais dans l’ensemble, une histoire riche et cohérente, à fortement conseiller. Attention toutefois, si vous n’aimez pas les héros qui tiennent du surhomme à qui tout réussit, c’est un peu le cas ici. De plus, ce n’est pas à mettre entre toutes les mains, le cœur de l’intrigue est quand-même une envie d’inceste entre deux faux-jumeaux (même si c’est en fait beaucoup plus compliqué que ça).
Pour info, il y a une préquelle et deux suites : la préquelle est fort recommandable, sans atteindre le niveau de ce tome 1; le tome 2 est relativement correct, mais le tome 3 est franchement dispensable.
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Dernier tome de la trilogie, comment vont s'en sortir les jumeaux... à découvrir.
Lien : http://latetedelart2.blogspo..
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Très touchant, j'ai vraiment apprécié comment l'auteur nous faisait découvrir la Nouvelle-Zélande. Un livre riche d'informations avec une touche d'amour. Quelques larmes versées, il m'a beaucoup plu.
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