Suite et fin de l'histoire qui mène au Vatican : une loge très discutable y a été créée, et Larry va y mettre un terme.
Au delà de l'intrigue, l'histoire perd un peu en intensité, car l'histoire personnelle de Larry et de Kate est mise en pointillé....
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Un très bon tome ou se mêlent l'histoire personnelle de Larry et une sombre histoire de pétrole.
Afin de faire monter le prix du pétrole, une compagnie est prête à mettre le chaos en Arabie Saoudite.....la suite au prochain épisode ...
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Suite de l'album I.R.$. 1, la voie fiscale : l'enquête menée par Larry B. Max le mène à Berne où il découvre des événements liés au camp d'extermination d'Auschwitz.
Un deuxième tome qui est la fin du diptyque,qui clôture l'histoire et met en relief les parties sombres du premier tome.
Le personnage principal est attachant : il a la manie d'appeler un numéro payant , pour se libérer de ses angoisses,, en discutant avec une belle et mystérieuse Gloria, une espèce de confidente....
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Une bonne série construite sur des suite de deux tomes. On s’attache à Larry Max et à son amie au bout du téléphone !
Dans ce tome, Larry Max s'attaque aux narcotrafiquants. Ce qui l'emmène dans une course poursuite du fameux Ricks ....
Sympa !
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Quelle est donc cette Silicia : une société ...et bien non, cela va se révéler autrement plus dangereux pour Larry ...car Sllicia sait trouver la faille chez n'importe qui ....
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Série toujours en 2 tome : celui ci et les loges romaines à venir.
C'est un nouveau départ pour la série, car Larry a libéré son "amour téléphonique" de Madsen dans le tome précédent. On ne sait pas ce que va devenir la relation de Larry et de Kate.
Malgré cela, c'est encore une bonne intrigue dans laquelle il se lance, une intrigue liée à la fin de la seconde guerre mondiale, et au Vatican.
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Une aventure sympa mais pas extraordinaire. L'ambiance est bonne et l'environnement -original- donne tout son intérêt à cet album.
A lire mais, j'en avais un souvenir plus fort. Je dois me faire une idée plus précise avec un deuxième album.
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Dans ce cinquième diptyque, Desberg va réutiliser la toile de fond nazie, comme il l’avait fait lors du premier diptyque. Après avoir parlé des détournements de fonds placés en Suisse par les juifs avant la guerre dans ‘La stratégie Hagen’, l’auteur va maintenant baser son récit sur la relation controversée entre l’Église catholique et le Troisième Reich et le manque de dénonciation officielle de l’Holocauste par Pie XII.
Mais Desberg, va également faire un clin d’œil à son autre série populaire, en recyclant une scène du tome 6 du "Scorpion". Ayant balancé dans le vide les parchemins tant convoités par Armando Catalano, Desberg va ici réutiliser ce passage afin d’introduire une piste ésotérique à son thriller financier.
Malheureusement, après avoir bien exploité le personnage de Gloria afin de rapprocher son héros du lecteur, ce filon semble maintenant épuisé. Du coup, Desberg va à nouveau réduire la vie privée de son héros à une relation téléphonique. Et puis, il y a cette entrée en scène de Larry, plus proche de la voyance et du ridicule que des capacités du super-agent à détailler la personnalité d’une personne sur base de sa déclaration fiscale.
Heureusement, au fil d’allers-retours d’une septantaine d’années bien placés, le scénario va finir par captiver. Des voyages dans le temps traités de manière différente au niveau graphique, à l’aide d’un style moins lisse. Le dessin de Bernard Vrancken (qui a gagné en souplesse depuis le début de la série sans pour autant exceller dans le mouvement) souffre ici de la comparaison avec Enrico Marini, imposée par cette revisite du château de Saint Sérac sur les traces d’il Scorpione.
Suite et fin dans le dixième album, ‘La Loge des Assassins’.
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Suite et fin de ce nouveau diptyque construit autour d’une intrigue classique, mais bien menée et approfondissant le côté personnel d’un héros qui en avait grandement besoin.
Grâce à un flashback, ce huitième tome va revenir sur la première rencontre entre Larry B Max et son pire ennemi, Johnny Madsen, ainsi que sur sa première confrontation avec Kate Absynth, héroïne d’un film («Hello Paradise») dont elle utilisera ironiquement le nom pour former le pseudo de Gloria Paradise.
Afin de se venger d’un passé qui le rattrape depuis quatre tomes, Larry B Max compte bien lever le voile sur les plans de La Eastern Garden Oil, cette boîte bidon qui cherche à tirer profit d’un contrat juteux sur un pipeline de la mer noire devant servir d’alternatif à la dépendance du pétrole saoudien.
Graphiquement, j’ai trouvé ce diptyque moins réussi que le précédent au niveau des décors et d’une colorisation trop jaunâtre.
Bref, un nouveau diptyque plutôt concluant, mais l’on est tout de même curieux de voir sur quel pied Desberg va danser dans le tome suivant, maintenant qu’une grande partie du passé de Larry semble exploité ........, les auteurs prolifiques étant souvent attendus de pied ferme par un lectorat ayant soif de qualité au milieu de toute cette quantité.
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Ce quatrième diptyque de la série enchaîne sur les événements du précédent et continue donc d’explorer la vie personnelle de Larry B Max.
Usant de flashbacks concernant la relation de Larry avec sa sœur Lane et son père Robert, tout en nous révélant pourquoi il s’intéresse tant à Gloria Paradise, Stephen Desberg poursuit son entreprise d’humaniser son héros avec succès.
Habitué à traquer les gros poissons, Larry B Max, va pouvoir enquêter sur une des sociétés de son pire ennemi, Johnny Madsen, donnant ainsi également un caractère privé à l’histoire principale. De plus, en construisant son histoire principale autour de l’or noir, l’auteur parvient à surfer sur un sujet d’actualité.
La série semble donc avoir atteint un certain niveau de qualité après quelques solides dérapages lors des deux premiers diptyques !
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Après la qualité lamentable du diptyque précédent, cette série semble redorer son blason grâce à un début de troisième diptyque très prometteur.
Stephen Desberg va tout d’abord réussir à rapprocher son héros du lecteur en fouillant un peu plus subtilement dans son passé. Grâce à cette femme qui orne la couverture en compagnie de Larry B Max, l’auteur prolifique va enfin rendre son personnage plus humain, en faisant participer Gloria Paradise à l’histoire et approfondissant les relations avec son père, Robert Max. On est donc bien loin des tentatives maladroites (la rencontre avec sa sœur) des tomes précédents.
Basé sur une intrigue toujours assez classique, reposant sur des sociétés écrans, Desberg va tout de même réussir à livrer un récit riche en rebondissements, tout en fouillant dans l’histoire personnelle de Larry B Max. Même au niveau du graphisme, le dessin paraît en nette amélioration par rapport au style statique et froid des tomes précédents.
Le meilleur tome jusqu’à présent !
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Silicia Inc.: tome 5
«Silicia est là, quelque part à absorber de l'argent. Il est capital que nous découvrions dans quel but». Une fois encore, Larry B. Max traque les criminels de la haute finance. Exilé en France et accusé de détournements de fonds, l'ex-président d'une république asiatique a été assassiné. Officiellement, par des islamistes ! Pendant ce temps, dans le désert californien, l'I.R.S. tente de prendre le maire d'une ville en flagrant délit de corruption. La preuve espérée ne peut toutefois être établie : l'homme de main du corrompu ayant été abattu. Sur son cadavre, Max a néanmoins découvert un message intrigant, «Silicia. 10 AM. Ocean drive». En outre, une mystérieuse jeune femme s'efforce de faire disparaître tous les indices sur la piste qu'il suit.
Le corrupteur : tome 6
Estimant que les morts du colonel américain Stosky et de l'ex-dictateur asiatique Sumadayo clôturaient le dossier, la commission sénatoriale sur les affaires illicites de ces deux hommes a décidé d'abandonner ses travaux. L'agent de l'I.R.S., Larry B. Max n'en poursuit pas moins ses recherches sur la mystérieuse gestionnaire des trafics incriminés. La CIA nie toute responsabilité, mais veille à ce que rien ne mène à cette Silicia que le colonel Stosky définissait comme «un génie qui observe et analyse jusqu'à ce qu'elle trouve la faille dans n'importe quel groupe industriel, n'importe quel gouvernement». Apprenant que Silicia vient de doubler ses activités pour un seul et même commanditaire, Larry s'obstine à découvrir la cible qu'elle a reçu l'ordre de corrompre. Un soir, fidèle usager du téléphone rose, Larry ne résiste pas au désir de rencontrer Gloria, sa correspondante...
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Scénario toujours aussi bon, dessin amélioré en comparaison des 2 tomes précédents un peu bâclé à mon goût...
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Le scénario de Desberg est toujours aussi entraînant, mais j'ai du mal avec le dessin pressé de Vrancken. Ses personnages sont moins consistants, moins expressifs, ses personnages féminins quelconques, la perspective est approximative, et cela nuit au récit. Vrancken m'a semblé bien meilleur, plus perfectionniste, plus inspiré dans des albums précédents de la série.
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