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Critiques de Bernard Vrancken (125)
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H.Ell, tome 1 : La mort, sous toutes les fo..

Ambiance médiévale/dark fantasy pour cette série de bandes dessinées. Pourvu qu'on aime le genre, on ne peut qu'être captivé par cette enquête policière que mène un ancien chevalier dans les bas fonds d'une cité. Des crimes sordides perpétrés par des créatures fantastiques.





Sans transpirer l'originalité, ce premier tome s'avère efficace et nous met l'eau à la bouche. Peu de temps morts, un suspens bien entretenu notamment grâce à un jeu sur les apparences et sur les obscures actions complotistes de certains personnages. Les dessins eux mêmes sont beaux et se marient parfaitement avec l'univers proposé.



Cela donne clairement envie d'en apprendre plus et de connaître le fin de l'histoire.
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I.R.$., tome 1 : La Voie fiscale

Je découvre cette bande-dessinée grâce à une opération de la maison d'édition de cet auteur suite au confinement.

Je n'ai pas l'habitude de lire de telle bande-dessinée mais le scénario est bien ficelé et surtout on ne s'ennuie pas ! Que d'actions !

Quant aux dessins, ils sont vraiment bien faits et j'ai adoré me plonger dans les côtés sombres des Etats-Unis.

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I.R.$., tome 2 : La Stratégie Hagen

J'ai emprunté ces deux bandes dessinées à la médithèque car je ne connaissais pas cette série. C'est le titre, La stratégie Hagen qui m'a attiré. Si j'ai été déçu par l'indigence du tome 1, le second est beaucoup plus réussi ne serait-ce que par les dialogues et par l'intrigue. Certes on peut deviner ce qu'est la stratégie Hagen ainsi que comment Geldhof (nom parfaitement choisi) a fait fortune. Un petit retour en arrière vers les camps de la mort, fort probant ma foi, une fille aussi séduisante que possible et une fin bien actuelle, saupoudrée du secret bancaire suisse et on obtient une BD fort honorable.

J'ai trouvé le dessin un peu trop rectiligne, sévère, rigide. Larry Max toujours bien coiffé, comme dans les western de série B, bagarre ou pas. les autos sont superbes, l'action pas mal mais il manque un je ne sais quoi pour être à la hauteur de Largo Winch, par exemple.


Lien : https://www.babelio.com/livr..
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I.R.$., tome 14 : Les Survivants de Nankin

Suite et fin du récit en deux tomes autour des massacres perpétrés par l'armée japonaise à Nankin, et que le Japon peine à reconnaître. Ne parlons même pas d'excuses...



On alterne les flashbacks en 1945 avec le présent, c-à-d la recherche de l'or volé aux Triades par certains officiers menée par Larry, victime de chantage. Et on croise de vieux Japonais qui n'admettent toujours pas la perte de l'or, qu'ils ont volé aux Triades chinoises en 1945. L'implication des USA dans le soutien au Japon d'après-guerre, afin de faire barrage au communisme, est évoquée. C'est un des récits les mieux construits d'un point de vue historique (même s'il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre).



Le tome est mené à toute vitesse et (une fois n'est pas coutume) on a encore droit à pas mal d'action et de revirement de situations. D'habitude, le second tome est plutôt le moment des explications, des choses plus posées, des révélations. Ici, cela tire dans tous les sens.



Larry et Laroya (maîtresse SM à la solde de la triade qui fait chanter Larry) finissent au lit. C'est habituel. Tout comme le dessin évoque souvent des photographies. le découpage est cinématographique, avec des quantités de petites cases horizontales (la technique n'a pas vraiment changé depuis le tome 1) qu!i précipitent l'action (mais le too much est parfois atteint quand même).



La fin est un peu une non-fin, quelques points de suspension... mais bouclée aux forceps, à mon avis. de nouveau on retrouve l'habituelle critique que j'exprime sur l'option des auteurs, concsitant à boucler chaque aventure en deux tomes, alors qu'elle pourrait s'étaler sur davantage de tomes.



On devine quand même que Larry n'en a pas fini avec son passé. le fil rouge qui s'est développé pendant les deux tomes de cette aventure est constitué par les retrouvailles d'anciens du collège (de la fac?, je ne sais plus). Les flashbacks nous offrent alors un Larry jeune, assez dragueur, objet de l'attention de camarades de classe, et on retrouve au présent un Larry plus mûr dont les repères se sont effacés quelque peu. Plus humain, un peu faillible, faisant des erreurs de jugement dès que les choses deviennent personnelles. Pas inintéressant.
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I.R.$., tome 10 : La loge des assassins

Pour une raison qui m'échappe, le lecteur a droit à un résumé en début de tome. Un peu lourd et inutile, à mon avis.



Markus Scailes, un ecclésiaste très haut placé au Vatican, étant Américain, cela laisse une opportunité à Larry Max d'enquêter sur les liens qui peuvent se tisser entre le Vatican, une banque d'affaires, des missions en Afrique, d'anciens nazis...



Pas de sexe dans cette histoire... Desberg semble avoir temporairement renoncé à coller Larry Max dans tous les draps et bras qui passent. Ce côté tombeur, dragueur irrésistible, de Larry Max devenait un peu lassant.



Il découvre que dans les couloirs du Vatican certains aimeraient combattre le terrorisme musulman par les mêmes armes. Alors, sur base du principe qui consiste à couper toute branche malade, la loge vaticane dont fait partie Scailes décide de mesures radicales. Larry Max pourrait être éliminé, mais c'est surtout Scailes qui trinque... ce qui est une première dans les avantures de Larry Max: sans citoyen américain dans son enquête, il se voit donc dans l'obligation d'arrêter... La loge survit, Max engrange une sorte de victoire à la Pyrrhus.



De son côté, Gloria, victime d'un maître chanteur, renoue avec son activité d'escort-girl...



Un album tout à fait décent qui me semble meilleur que le premier tome de l'enquête, avec une intrigue plutôt bien ficelée et bien menée jusqu'au bout. Un Larry Max un peu dépassé, qui ne gagne plus vraiment, qui ne contrôle plus Gloria... cela le rend humain, ce n'est pas plus mal en ce qui me concerne.
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I.R.$., tome 3 : Blue ice

Changement de décor , Los Angeles,

les cartels et le narcotrafic et toujours en fil conducteur de la série la mystérieuse Gloria...
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I.R.$., tome 1 : La Voie fiscale

Larry Max, une allure de James Bond,

gentleman,

expert du département américain spécial de l'Internal Revenue Service (service fiscal) mène l'enquête, entre meurtre commandité,

évasion fiscale et opérations douteuses de milliardaires,

Larry qualifié de génie dans son domaine, à la logique implacable, excelle dans son domaine.

Une série sympathique que j'apprécie pour la diversité de ses thèmes, je recommande donc, sans aucune réserve.
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I.R.$., tome 8 : La guerre noire

Je ne m'en cache pas, la politique éditoriale des auteurs qui consiste à boucler toute histoire en deux tomes, en finissant l'intrigue, tuant les méchants, etc. tout cela me pose des problèmes, car j'en retire un goût de trop peu, un sentiment de frustration. On a à peine le temps de s'habituer aux méchants, de se fondre dans le décor, de se familiariser avec l'atmosphère que cela s'arrête. Clap de fin, et à la prochaine. Il faut avouer qu'à chaque fois, les auteurs arrivent à immerger le lecteur dans une ambiance différente et spécifique. C'est à porter à leur crédit.



Donc je craignais ce deuxième tome des "chroniques pétrolières" de Larry Max...



Et pendant une bonne vingtaine de pages, j'ai été agréablement surpris. Larry est mis en difficulté. Cela bouge du côté de Gloria/Kate. Madsen et Upshaw semblent engranger les succès... Je me suis dit qu'on avait peut-être le début d'une saga plus longue que les habituelles paires de tomes qui forment un récit complet.



Je me disais aussi que cela se comprenait amplement. Larry était confronté à forte partie. Madsen, puissant magnat, sans doute à l'origine de la mort de son père, ou du moins un sale type qui ne recule devant aucune méthode pour arriver à ses fins...



Eh bien non !



On boucle tout en 2 volumes... Et je ne m'apesantirai pas davantage sur le dénouement, que j'ai vu arriver avec la désagréable impression de déjà vu... Il y avait sans doute mieux à faire.

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I.R.$., tome 7 : Corporate America

Pour la 4è fois, le duo Vrancken-Desberg démarre en fanfarre... C'est riche, vif, envolé, dense, touffu... peut-être un peu trop, d'ailleurs.



On a, en quelques pages, un condensé de la vie de Larry Max, avec son père, Kate Absynth (dont on sait qu'il s'agit de Gloria), Madsen (le mari de Gloria, mais ami/ennemi du père de Larry)...



Par un hasard (je réprouve assez fréquemment l'usage du hasard comme rouage principal d'un récit) "qui fait bien les choses", Madsen et Upshaw, deux hommes d'affaires américains suivis par Larry Max, remontent à la surface de ses préoccupations. On a droit à quelques flashbacks, Larry connaît bien les deux hommes, côtoyés via son père dans sa jeunesse.



La pomme de discorde entre Larry et les deux magnats de la finance/du pétrole est grande.



S'en suit une course-poursuite en Géorgie, avec des ramifications en Azerbaïdjan ou en Arabie Saoudite... où les montages financiers rivalisent d'audace avec les trahisons... Cela roule comme un bon film de Série B, style Steven Seagal...



C'est très bien vu. Cela se lit facilement. C'est didactique. Pas trop abscons dans les rouages financiers... On a (comme toujours) des méchants assez convaincants. Hélas, ils sont souvent (pour les seconds couteaux) plus bêtes que méchants...



Côté dessin, statu quo. Vrancken se débrouille plutôt bien dans le découpage cinématographique. Idem pour les portraits et les nus. Par contre, les poursuites en voiture et les carambolages sont toujours fort statiques.
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I.R.$., tome 5 : Silicia Inc

C'est le premier tome de la série I.R.$. qui me passionne.



Desberg aborde la question du financement des dictatures et les implications financières des USA, tout autant que les malversations de la CIA dans l'ordre (ou le désordre) mondial.



Suite à la mort d'un dictateur en exil, les autorités américaines se penchent sur les activités d'un colonel de l'armée américaine qui semble avoir des comptes un peu partout sur lesquels transitent des sommes importantes, sans doute destinées à alimenter les dictatures ou à fomenter des coups d'état.



Larry Max découvre qu'une société Silicia Inc. est abondamment sollicitée. Et il s'aperçoit qu'il s'agit ni plus ni moins d'un tueur à gages, grassement payé pour des meurtres ou des manoeuvres d'intimidation ou de déstabilisation.



Ce que Larry ignore, c'est qu'il s'agit d'une femme et que celle-ci est sur ses traces. Elle remonte au domicile de Larry, fouille dans ses affaires, trouve les coordonnées de la call-girl que Larry appelle et lui tend un traquenard.



Pendant ce temps, Larry est au centre d'un maelstrom financier, où trempent la CIA et pas mal de monde. Il semble bien naïf et protège peu ses arrières. Mais ce n'est peut-être qu'une façade.



J'ai trouvé le propos intéressant, plutôt bien mené, il y a de la tension, du suspense, une vraie méchante, et pas mal de faux amis autour de Larry. Le dessin s'est amélioré, mais reste parfois en-dessous du minimum syndical (accidents, cascades, etc. ne sont pas toujours des mieux rendues).
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H.Ell, tome 1 : La mort, sous toutes les fo..

Harmond Ellmander, ancien chevalier banni du château et dépouillé de ses droits, est affecté au donjon en tant que questeur criminel. Connu désormais sous le nom de H.ELL, il enquête sur une affaire de meurtres sordides de prostituées dont les corps dévorés semblent indiquer que le meurtrier n’est pas humain. Il tente de s’adapter à son nouveau milieu, aidé par quelques-uns tandis que d’autres complotent pour le faire définitivement tombé.

Avec ce premier tome, on plonge dans un univers moyenâgeux très sombre, mêlant polar et fantastique, où les apparences sont trompeuses et où la mort règne constamment autour d’un héros torturé qui se bat pour regagner son honneur. On attend davantage de révélations dans le tome 2 (La nuit, royaume des assassins) à paraître.

(Critique également publiée sur la page Facebook de la Librairie Bulles et crayons où je travaillais.)
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I.R.$., tome 1 : La Voie fiscale

Un modeste retraité suisse meurt dans un accident de voiture en Californie. Rien d'étrange, me direz-vous... Sauf pour l'IRS, le service des impôts américains, qui observait de près le retraité depuis quelques mois suite à une rentrée d'argent suspecte.

En remontant la piste de cet argent par la voie fiscale, l'agent Larry Max met le doigt dans un dossier bien plus énorme et qui n'a rien à voir.

BD bien dessinée, avec une intrigue curieuse et un agent qui sort du commun, IRS est plutôt agréable à lire même si elle ne fait pas rêver.
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Les Enfants du ciel

Un impression mitigée pour ce très beau livre.

Commençons par les remarquables illustrations de Bernard Vrancken, ses tableaux magnifiques des grands sites du moyen orient, même si ses mises en pages sont parfois un peu confuses.

La situation est plus compliquée pour l’intrigue, très ambitieuse, mais finalement assez confuse. Le contexte choisi est très intéressant, mais l’album s’avère finalement peu lisible, malgré un découpage en chapitres sensé faciliter la lecture.

On ne s’attache pas au héros, malgré son histoire tragique, sa transformation en pretre est totalement gratuite… et improbable, et si sa comparse Esther est bien mignonne et assez travaillée psychologiquement, le troisième protagoniste Bilal reste très superficiel.

Peut être fallait il alléger l’intrigue, se passer des références à l’antiquité juive, même si celles ci sont instructives et offre l’occasion de très belles illustrations.

Un album finalement assez décousu, pas simple a suivre, sans doute parce que trop ambitieux.

Mais des illustrations magnifiques.
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I.R.$., tome 2 : La Stratégie Hagen

Bande-dessinée relue plusieurs dizaines d'années après.

Cette critique vaut pour les deux premiers tomes qui forment une histoire complète.



Un inspecteur des impôts américain qui joue à l'agent secret dans un style typique de la fin des années 90. Aucune surprise, notre James Bond fiscaliste est autant beau gosse que intelligent, sportif et tireur d'élite. Sans oublier sa parfaite maitrise des mathématiques et des montages financiers obscurs.

Le thème de l'argent nazi aurait pu être intéressant à travailler mais les auteurs choisissent forcément la facilité et les éléments les plus impardonnables. Aucune vraie profondeur à attendre. L'histoire est claire et simple à comprendre: il faut bien identifier les gentils et les méchants. Les adolescents devraient adorer, enfin ceux qui ne veulent pas trop réfléchir.



De la bonne Junk-lecture de divertissement qui remplit complètement son rôle. Pour ma part, je crois que je vais m'arrêter là pour la série.

Avis aux amateurs.
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I.R.$., tome 17 : Larry's paradise

Que dire qui n'a déjà été dit sur Larry Max et cette saga qui compte déjà 17 tomes?



En fin de tome précédent, Larry avait donné sa démission. On le retrouve donc dans une de ces grosses boîtes de consultance fiscale. On a du mal à le croire. Voilà Larry qui donne des conseils pour mieux éluder l'impôt. Je ne vais pas spoiler, mais la surprise du lecteur ne dure pas très longtemps, et c'est àmha très dommage. Desberg, très inspiré sur le coup de la démission en fin de tome 16, aurait pu faire durer le courroux du lecteur de voir Larry Max aider ceux qu'il pourchassait auparavant.



Le gibier a l'air de très grosse taille. On est un cran au-dessus des méchants des tomes précédents. J'ai apprécié l'absence de piste, le flou dans lequel Larry lui-même semble se mouvoir.



Par contre, ressortir Gloria, que ce soit elle ou un piège, cela ne m'a pas paru particulièrement judicieux.



Bon dessin avec de plus en plus d'effets de mise en page. Bon, c'est encore fort faiblard par rapport à ce qui est envisageable, mais on note l'effort quand même.



Savoir susciter l'envie de lire le second tome du diptyque, au bout de 17 albums, c'est quand même assez bluffant. Surtout que Desberg est prolifique.
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I.R.$., tome 15 : Plus-values sur la mort

Larry découvre le monde obscur du trafic d'armes et d'influence. Des armes, du matériel militaire, des munitions disparaissent et vont grossir les fournitures utilisées par les dictatures et leurs opposants. Qui sst responsable, où va l'argent, à quoi sert-il... autant de questions sur lesquelles Larry Max va se pencher.



Larry est pris entre Laroya en qui il a trouvé l'âme soeur et Angela, son amour de collège. La massion d'un côté, la raison de l'autre.



Très vite, il voit la politique derrière les trafics. Créer et maintenir des dictatures, relancer l'industrie de l'armement, s'assurer de gros profits de la guerre et des dividendes de la paix, quand elle arrive.



Larry va gêner, déranger, et va se trouver bien des fois en marge des procédures et de la loi. Il retrouve une vieille connaissance, Silicia, tueuse à gages qui sait s'offrir à celui qui paie le plus. En l'occurrence, un sénateur dont les buts semblent honnêtes. Direction Afrique en fin de tome, là où tous les trafics fleurissent, armes en échange de ressources premières, cobalt, manganèse, cuivre...



Le sujet est important et crucial. C'est chaud, d'actualité et plutôt bien abordé. Les auteurs montrent (parfois un peu trop, d'ailleurs) les complexités de trafics d'armes, les implications, les stratégies politiques... à un point tel que parfois, c'est un peu obscur.



Dessin très bon, suspense, intrigue. Bon album.
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I.R.$., tome 9 : Liaisons romaines

Pour cette 5è enquête de Larry Max, une double intrigue. On pense être dans une traque de nazi protégé par le Vatican, et on finit par un gros scandale de blanchiment d'argent, style Banque Ambrosiano et Loge P2...



Cela donne lieu à de nombreux flashbacks intéressants sur les événements fondateurs d'une des deux intrigues lors de la Seconde Guerre mondiale.



Ce qui est chouette avec ce genre de BD, pour l'auteur, c'est qu'il suffit d'allumer son poste de télévision pour avoir un scénario... Sauf que cela coince pas mal, c'est confus parfois. Heureusement, pour le lecteur, qu'il est capable de boucher les trous avec ce qu'il sait des scandales en question.



Et on a droit aux habituelles scène de sexe, Desberg adore ça. Larry et Kate se ratent, se déchirent un peu, il s'éloigne et elle fait l'objet d'une attention particulière des journalistes et d'Hollywood. Bref, rien de bien neuf.



Côté dessin, c'est honnête, mais cela manque toujours de dynamisme et de mouvement. le découpage est pourtant largement pensé en terme cinématographique. Mais cela ne fonctionne pas complètement.



Un album honnête, sans plus.
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I.R.$., tome 2 : La Stratégie Hagen

Les albums fonctionnent par diptique, la voie fiscale et le meurtre conduisent donc Larry à une autre affaire, contexte plus lourd, le temps du nazisme, la persécution des Juifs, Auschwitz et les comptes suisses...
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I.R.$., tome 15 : Plus-values sur la mort

Un cycle où Larry Max se heurte à de hauts dirigeants politiques et militaires en poursuivant des mouvements de fonds liés à des ventes d'armes clandestines. Le graphisme épuré de Vrancken est toujours là, mais le scénario se fait tortueux et pas facile à suivre. D'autant que Larry continue à être toujours aussi tourmenté, notamment dans ses relations avec les femmes, l'aimante Angela, la fougueuse et passionnée Laroya, et même Sicilia de retour...
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I.R.$., tome 15 : Plus-values sur la mort

Larry Max, avec son flair légendaire, est alerté par le nom, d'un citoyen moyen, qui apparaît dans uns liste de personnages beaucoup plus suspects....

Malgré le refus de sa hiérarchie et la pression qui est mise sur ses proches, il se lance dans l'enquête qui va le mener à un trafic d'armes mondial.

Une histoire intéressante mais qui manque de relief.

Je ne suis pas fan du dessin de Vrancken.
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