Citations de Brian K. Vaughan (390)
Malgré ce qu’on raconte, trouver de l’aide n’est pas si difficile…il faut juste en payer le prix.
- J’ai toujours voulu appeler mon fils Barr.
- Comme un bistrot ? Comme un poisson ?
- Mon père s’appelle Barr.
- Oh. J’adore ce prénom !
À cet instant, ma mère a prié de toutes ses forces pour que leur premier-né soit une fille.
Je ne travaille pas avec des femmes, je travaille avec les meilleurs artistes.
(Sur le fait qu’il connaît ses meilleurs succès grâce à des collaborations avec des femmes, 2013)
Il faut être courageux avant de pouvoir être doué.
Pour un couple, le contraire d’une lune de miel doit ressembler à la semaine qui suit la naissance d’un premier enfant. Peu importe leurs efforts et la pureté de leurs intentions… tout tourne toujours mal.
Et, en général, c’est à ce moment précis que les visiteurs se pointent. Venus de loin pour inspecter les nouveaux parents désespérés. Ceux qui sont sympas apportent de quoi manger…
- On... on est morts ?
- Non... nous sommes libres.
- La liberté ne se donne pas. Elle se gagne.
- Oui, mais on dit autre chose. Le gibier qui t’es offert, tu le manges.
Ne vous souciez pas de ce que les gens pensent de vous, car personne ne pense à vous.
L'opposé de la guerre... c'est le sexe.
- Je... euh... sais que vous avez beaucoup d'ennemis.
- Si seulement. Ces temps-ci, je n'ai plus que des adversaires.
- Il y a une différence?
- Oui. Les ennemis vous attaquent de front.
[...] ce film tout naze, "quand Harry rencontre Sally", disait vrai. Les hommes et les femmes peuvent pas être amis. Je vous comprends pas, les filles. Putain, vous êtes...impénétrables.
- Comment diable es-tu née ?
- Eh bien, ma maman est de cette planète et mon papa est de la lune et il l’aimait tellement qu’il a mis son pénis dans elle et puis je suis arrivée dans le ventre de Maman et elle était contente sauf que maintenant elle peut plus aller dans les châteaux gonflables parce que ça lui fait faire un peu pipi.
Au cours des années, nous avons rencontré toutes sortes de gens imaginables, mais personne ne fait de pire impression que les écrivains.
Les idées sont des choses fragiles. La plupart ne vivent pas longtemps hors de l'éther dont on les a tirées, hurlantes et agitées.
— t'as fait ta communion depuis que tu t'occupes de saint... de cette église, quoi ?
— sainte Bernadette. Impossible, les femmes ne peuvent pas consacrer l'hostie. Sans prêtre, c'est pas le corps du Christ, c'est... du pain dégueu.
— eh, franchement. Tu pensais vraiment manger la chair et le sang de Jésus ? C'est pas du catholicisme, c'est du cannibalisme.
Désolée. Mais « il faut penser à notre famille », c'est le cri de ralliement des lâches. Mon vieux a gâché sa vie dans un boulot qu'il détestait pour pouvoir « nourrir sa famille ». Au final, ça l'a transformé en une espèce de monstre qui nous traitait comme de la merde les rares fois où on le voyait.
(dixit la mère de la petite fille).
Devenir parent, c'est la certitude qu'on ne passera quasiment plus une minute seul. Un vrai cauchemar, hein ?
CANDY: "Je dois me ranger à l'avis de votre adjoint, monsieur. Vous ne pouvez pas célébrer ce mariage. Littéralement! Le mariage homosexuel est interdit par la loi dans l'état de New York... Je me trompe?"
MITCH (le maire): "Vous savez ce que la loi de l'état de New York interdit d'autre, Candy? Secouer un chiffon à poussière par la fenêtre. C'est écrit.
Dois-je appeler une section d'assaut pour arrêter notre personne de ménage?
— AAH !
— merde, quoi ?
— eux. Tu avais dit que tous les rats étaient morts il y a des années !
— c'est vrai. Mais ceux-là ont l'air jeunes.
— alors comment ...? Parce que si c'est un miracle, il est pourri.
— c'est peut-être un genre de signe ?
— de quoi ?
— j'en sais rien. Mais si la vermine est de retour, peut-être que NOUS non plus nous ne serons pas les dernières de notre espèce.
Tous les bons contes pour enfants se ressemblent : une jeune créature enfreint les règles, vit une incroyable aventure, puis rentre chez elle en ayant appris que les susdites règles ne sont pas là pour rien. Bien sûr, le vrai message pour le lecteur attentif est qu'il faut enfreindre les règles aussi souvent que possible, car qui diable ne voudrait jamais vivre d'aventures ?