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Critiques de Carine Paquin (104)
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Ella, tome 4 : Le ranch magique

J'ai beaucoup aimé ce quatrième tomes des aventure des Ella! Avec ses amis Ella fait une aventure incroyable. J'ai trouvé que l'histoire était très intéressante et qu'il y avait beaucoup d'action! Ce que j'aime aussi c'est que l'auteur est dans l'histoire ce qui la rend encore plus intéressante. Je trouve que ce livre est parfait pour les enfants!
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L'asile du Nord, tome 2 : William

Je suis déçue par ce deuxième tome que j'ai trouvé un peu creux et sans style. La narration au présent, les phrases courtes et simplistes, les dialogues plats enlèvent tout relief au fait divers paranormal. William le pyromane, qui donne son titre au roman, n'est qu'un personnage secondaire en arrière-plan. La première moitié de l'histoire est surtout consacrée à l'amitié ambiguë entre Mylène et Marie-Hélène, les deux véritables héroïnes du drame. La famille de Mylène, qui vient d'arriver dans la ville maudite de Malartic, s'est installée dans l'ancienne maison de William, désormais interné à l'hôpital psychiatrique.



Le roman revêt un peu plus d'intérêt quand les premiers phénomènes étranges interviennent: le froid dans la chambre de Mylène, ses crises de somnambulisme, les dessins prémonitoires de Marie-Hélène ("On dirait que je peux deviner des choses quand je dessine"). La fin, cinématographique, est trop vite expédiée à mon goût. L'ensemble est assez convenu, cependant j'en ai eu un bon retour d'élève, cela vaut donc la peine de le défendre!
Lien : https://www.takalirsa.fr/l-a..
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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

Plusieurs mentions mettent en garde le lecteur en début d’ouvrage, il s’agit de fait réels qui se sont déroulés dans la ville natale de l’autrice. L’effet de réalisme est encore renforcé avec des coupures de journaux, des photos, des extraits de journal intime, la fiche d’identité de Camille, etc. L’autrice affirme donc avoir vécu dans la ville de Malartic où des phénomènes étranges se sont produits, une bourgade surnommée « la ville des fous » qui a son propre asile et l’héroïne, Camille, aurait été une de ses amies proches. Cela rappelle l’introduction de « Félines » de Stéphane Servant et j’ai trouvé ça plutôt bien vu pour immerger un peu plus le lecteur dans sa lecture horrifique.

Mais passées la couverture et une entrée en matière réussie j’ai été déçue et déroutée par le reste de l’ouvrage. Le style est particulier, très « explicatif » et semble donc s’adresser aux jeunes ados, dès 12 ans, dans le même temps c’est en contraste total avec la façon dont la sexualité est brutalement abordée, assez frontalement et comme un cheveu sur la soupe. C’est d’autant plus décevant qu’arrivé au quart le roman ne fait toujours pas vraiment peur, il y a bien sûr des phénomènes étranges et inquiétants, des moments où Camille semble possédée et absente à elle-même mais pas bien plus. Je ne suis pas convaincue et c’est d’autant plus limite que ça s'étale sur des pages et des pages. J’ai profité d’une offre promotionnelle et je me suis fiée aux bons avis sur ce livre pour l’acquérir, mais je regrette mon choix. La façon de raconter l’histoire est quand même très particulière et je l’ai trouvée de plus en plus pesante au fil de la lecture, bien trop explicative à chaque étape, passant parfois dans une même phrase d’une réflexion pertinente à une autre plus discutable. J’ai trouvé cette lecture très déroutante. Je ne l’ai pas trouvé du tout horrifique mais très factuelle.

Le roman se lit vite, les chapitres sont courts, très aérés et très dialogués, mais le style est un peu poussif. Camille a des questionnements et des réflexions pertinentes sur beaucoup de sujets différents, mais tout cela est encore une fois plombé par ce décalage forme/fond je trouve.
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La triple vie de Charlie, tome 1 : Coeur de..

Premier tome de la série, "La triple vie de Charlie" est un roman destiné aux ados du premier cycle secondaire mettant en vedette une adolescente québecoise dont la passion, vous l'aurez deviné à la couverture et au titre, est la batterie. Et autant le dire d'entrée de jeu: ce n'est PAS un roman sur le sexisme, mais ironiquement, comporte des éléments sexistes.





Charlie Paradis Mendez est différente à plusieurs égards. C'est une jeune fille qui adore porter des vêtements relaxes, joue de la batterie, adore les groupes de rock et a les attributs physiques de sa mère mexicaine. Son père a trouvé un travail de pharmacien sur l'une des Îles-de-la-Madeleine et Charlie a fait le choix de le suivre. On y fait bon accueil, les jeunes sont cools et intrigués par cette nouvelle venue. Lorsqu'elle tombe sur une annonce sur laquelle on peut y lire qu'un band de jeunes hommes , les Voyous, cherchent un batteur, Charlie se voit concrétiser un vieux rêve. le seul soucis est que ces trois musiciens ne prennent que des garçons pour les auditions. Charlie cherche alors un moyen de se faire accepter, quitte à commencer une longue série de mensonges dans lesquelles elle va progressivement s'embourber.





Alors, je dois dire que le Libraire en moi était assez intrigué par ce roman, qui semblait promettre une fille vraiment différente. Au début, somme toute, c'était assez vrai. Charlie semblait assez confiante en elle-même, fière de son look décontracté, batteuse passionnée et même - ça c'est rare - se trouve jolie sans une panoplie de cosmétiques! Son ami Émile aussi est assez original avec son amour du maquillage, son côté fashionista - sans le côté stéréotype gay!- et ses longs cheveux.





Mais en toute honnêteté, la suite est assez déjà-lue et va devenir un vrai condensé de cachotteries sentimentales sur, non pas deux, pas trois, mais bien QUATRE axes! Woah. Parce que Charlie n'a pas deux, mais TROIS identités ( quoique je perçoit mal où est la troisième en fait). Je suppose que c'est "elle" en parlant de la Charlie de Québec vs la Charlie-garçon-des-Îles vs Lily-fille-des-Îles.





Les histoires d'identités cachées existent déjà beaucoup, ça n'a rien de nouveau, et rendu à autant de personnalités, ça devient rapidement n'importe quoi. Charlie occupe plus de temps à gérer ses groupes sociaux et ses nombreux prétendant(e)s qu'autre chose. Ah, les joies du mensonge!





Charlie va cacher son identité de fille en raison de cette consigne plutôt sexiste des Voyous, mais on apprend en cours de route que ce n,est pas par sexisme, mais devoir de mémoire. Ok. C'est à ce moment là que tout aurait pu aboutir, les mensonges tomber et Charlie s'exclamer haut et fort que c'est absurde. Ce l'est d'autant plus que, de manière logique, elle compétitionnait avec une seule autre personne pour le poste, et médiocre de surcroit! Entre faire un devoir de mémoire envers une défunte et ne pas avoir du tout de batteur compétant aurait du, en principe, être assez logique pour qu'elle ait gain de cause, mais non! Elle s'enfonce dans encore plus de mensonges comme dans les comédies romantiques hollywodiennes.





Je suis dépité par les stéréotypes de genres auxquels Charlie adhère. Quand elle se "travestie" en fille - ironie, c'est une fille - elle se maquille, porte une mini-jupe et des talons. (Soupir) Alors comme ça, Charlie, devenir une "vraie fille", c'est ressembler à ça? Merci, c'est surtout pas insultant pour les filles en général. Et bien sur, c'est le Mâle alpha de service de Voyous qui bave sur cette version là d'elle. Bon sang, Charlie, un peu de fierté! Si ce gars là ne t'aime pas au naturel, ça prouve que tu n'es pas son genre. Surtout que tu as trois prospects... Bref, j'en ai ma claque de voir que le modèle de fille "normal" est une fille sexy, pas très habillée et peinturlurée. Et bien sur, la version "gars" d'elle même est habillé de vêtements décontractés super confortables, une casquette vissé sur la tête et le visage au naturel. Bonjours, stéréotypes sexistes. Je pense que je suis fâchée là...





Côté personnalité, ça contraste aussi: on part d'une Charlie bien dans sa peau, fière rockeuse et amateur de coton ouaté à une Charlie super fifille, toujours gênée, toujours mal-à-l'aise, qui se découvre un fort béguin pour trois personnes en même temps! Qu'elle va d'ailleurs accepter les demandes de rendez-vous galant et les embrassades! La typique héroïne de romance pour ado américain, finalement, aussi cruche et incohérente . Là je dois dire que ça m'a déçu. Elle n'a rien d'une battante et trouve des solutions qui rendent sa vie encore plus compliquée. Mais quelle idée de sortir avec trois personnes différentes avec deux identités - dont l'une devenue sexuellement différente en plus ( histoire de compliquer encore plus les choses!).





Aussi, c'est vraiment prendre les madelinots ( habitants des îles de la madeleine) pour des imbéciles. Dans une école aussi petite, est-ce crédible de nous faire croire qu'une ado peut se faire deux versions d'elle-même sans que cela éveille les soupçons? C'est LA nouvelle de l'école, vous pouvez être surs qu'elle ne passe pas inaperçue, alors comment est-ce possible pour ce personnage de s'être inventer un jumeau? Bon sang que c'est débile.





Bref, ça commençait bien, les personnages semblaient modernes, actuels et ça se profilait pour une lutte contre-stéréotypé pour une place pour les filles dans un band de rock, mais je déchante devant ce bordel amoureux ennuyeux et totalement invraisemblable, qui nous éloigne de la prémisse de base ( la place de Charlie dans le band).





Ah, et ces tests de personnalités qui jalonnent le roman, parlons-en. Il y en a trois et ils occupent plusieurs pages. S'il y a bien une chose que je trouve peu fiable, ce sont bien ce genre de test sur base de psycho-pop à deux sous, qui vous donnent en quelque mots des réponses trop peu crédibles et trop peu scientifiques sur des états d'âmes et des situations quant-à elles complexes. J'imagine que ça peut plaire aux ados, mais je trouve ces tests très réducteurs et les personnages s'en servent comme d'une boule de cristal: si le test le dit, c'est que c'est vrai!





Pour ce qui est de l'écriture est simple, très accessible, sans fioritures et sans grande poésie. le genre qui ne demande pas de prise de tête et se lit facilement, mais aussi inélégant. Je souligne aussi que même s'il y a présence de textos, ceux-ci sont bien écrits et sans fautes ( si vous demandez pourquoi je le mentionne, je vous répond que ce des textos écrits en "langage MSN" remplis de fautes, dans les romans, j'en ai vu!)





Ce n'est pas un roman qui, à mon avis, se démarque des autres et tend même vers des comportements d'ado assez mal avisés. Et cet étrange quadruple axe amoureux est tout simplement de trop. Savoir si Charlie va se sortir de ce fatras sentimental - et avec qui - ne m'intéressait déjà plus avant même de finir le roman, moi qui aime bien les romances pourtant.





Que dire pour conclure? Que le départ avait du potentiel, rapidement éclipsé par une tournure très cliché à la sauce Occupation Double qui ramène une fois encore l'adolescente de roman sentimentaux à ce qu'elle fait de mieux: tomber en amour et de facto, faire des bêtises! Dommage.





Pour un lectorat du premier cycle secondaire, 13 ans+.
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L'asile du Nord, tome 2 : William

Littérature jeunesse. Autrice québécoise native de ma place. Thriller quand même assez bon. Le texte est assez simple. Se lit très bien et rapidement.
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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

• Basé sur des faits réels •

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Déjà, j'ai lu ça, j'ai flippé. Puis j'ai tourné les premières pages de "L'asile du Nord" de Carine Paquin publié chez Kennes éditions ... Et j'ai été submergée par le suspens et la folie de l'intrigue.



L'histoire se passe dans un village du Québec qui a essuyé l'une des plus grosses tragédies minières. L'autrice a même failli ne jamais écrire se roman car elle y relate des faits qui se sont déroulés lorsqu'elle y était en dernière année de secondaire. Camille était une ado comme elle, entamant sa dernière année à l'école avec un gars qui la faisait craquer et des copines qui avaient peur des films d'horreur. Mais un soir de fête avec ses amies où elles s'amusent à se faire peur, le téléphone fixe sonne : la grand mère de Camille est décédée. Sur place, elle aperçoit un étrange signe sur le bras de l'aïeule. Un huit en sang. Elle a dû se mutiler avant de mourir. Le stress de la mort de celle qui l'a élevée rend Camille irritable, absente, paranoïaque... La schizophrénie de sa maman semble s'installer en elle. Mais peut-être que c'est plus que ça.



J'ai dévoré ce roman en une grosse journée. Impossible de le fermer, je sursautais au moindre bruit. Le suspens nous happe et les faits réalistes nous forcent à chercher des réponses logiques lors de la lecture. Qui n'arrivent pas! Parce que tout le long, on trouve des éléments fantastiques qui nous rappellent que rien n'est explicable et nous forcent à remettre en question ce qu'on connait. Les personnages sont hautement attachants et le récit nous donne envie de connaître la vérité. J'ai hâte de lire le tome 2 car la fin M'A DÉFINITIVEMENT FAIT CAUCHEMARDER.

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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

Dans le même genre, j'avais lu le premier tome d'Anna Caritas il n'y a pas très longtemps et, je ne sais pas si c'est en comparaison ou non, mais celui-ci fait bien moins peur pour le coup... Ça reste sympa à lire mais, malheureusement, je n'ai rien retrouvé de ce qui fait un bon livre d'horreur.



Camille est en pleine période de deuil ; elle vient juste de perdre sa grand-mère. Peu de temps après, elle sort enfin avec le garçon dont elle est amoureuse depuis toujours. Mais peu de temps après également, le comportement de Camille change progressivement. Ses proches ne la reconnaissent pas toujours mais n'osent pas trop remuer le couteau dans la plaie, étant donné qu'elle vit déjà un moment difficile avec la mort de sa grand-mère. Seul son père prend les devants, voit un spécialiste, puisque sa fille présente des symptômes dont il a déjà vu par le passé... Camille finit donc par être hospitalisée, après que la schizophrénie paranoïde soit diagnostiquée. Mais quelques personnes dans la ville sont persuadées que Camille n'est pas malade et que c'est un autre mal qui la ronde. Ces personnes sont d'ailleurs prêtes à tout pour l'aider...



Ce roman nous est présenté comme un fait vécu. Je ne sais pas si c'est réellement le cas, j'ai voulu me renseigner mais, à la fin de ma lecture, je n'étais plus sûre de vouloir. Vu la tournure des choses, je préfère encore rester sceptique que constater que ça a vraiment eu lieu, par exemple (oui, j'aime bien faire l'autruche des fois). Je sais que cet hôpital psychiatre existe et il y a au moins un élément dans l'histoire qui pourrait nous faire croire que l'auteure connaissait Camille, même de loin. Mais, pour certaines histoires, je trouve ça bien aussi de garder un peu de flou aussi... Disons clairement que si c'est vraiment réel, alors oui, cette histoire fait peur ; si ça ne l'est que partiellement, elle fait déjà moins peur. Alors le scepticisme a parfois du bon !

Dans tous les cas, même si je n'ai pas ressenti réellement d'effroi en lisant ce roman (j'évite de penser à ce que j'ai dit plus haut, après lecture), l'intrigue est vraiment bien menée. Les événements bizarres qui se produisent sont tellement bien relatés qu'on n'a aucun mal à imaginer la façon dont ça s'est produit au moment-clé et, pourtant, ça parait quelque chose de très difficile à décrire. J'ai donc beaucoup aimé les descriptions, très réalistes. Mais j'ai trouvé l'ensemble assez enfantin, et je pense que ça vient de la façon dont tout a été raconté. Ça se lit très vite, on est vraiment pris dans l'intrigue, au point de ne pas voir les pages défilées, mais ça ne m'a pas empêchée de rester un peu en retrait de l'histoire. Certains passages accrochent plus que d'autres, on est maintenu en haleine et la fin laisse présager une bonne suite, si c'est une suite directe à l'histoire de ce premier tome mais il m'a manqué les petits pics d'adrénaline, le cœur qui s'emballe un peu parce qu'on sait que quelque chose de terrible va arriver sans savoir quoi. Bref, il m'a manqué un peu d'angoisse.



Un autre point que j'ai bien apprécié dans cette histoire, c'est l'approche de l'auteure quant aux maladies mentales. Ce sont des maladies souvent jugées négativement, rejetant les personnes atteintes puisqu'on les considère trop souvent comme "folles" mais l'auteure, a aucun moment, ne porte ce regard sur ces maladies. Elle est bienveillante, du début à la fin, et on le ressent tout de suite. Que ce soit voulu ou non, ça reste un beau message que l'auteure a fait passer.

Les notes de bas de pages sont également pas mal appréciées en ce qui concerne des explications pour des choses que l'on aurait seulement pu connaître en ayant grandi dans les années 90.



En bref, c'est un roman vraiment sympa à découvrir, avec une intrigue bien menée qui tient en haleine du début à la fin et qui se lit vraiment rapidement, sans que l'on ne s'en rende compte. Dans l'ensemble, je n'ai pas grand chose à y redire, si ce n'est qu'il m'a manqué cette petite tension palpable, cette petite angoisse que j'aime trouver dans les romans d'horreur habituellement.
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Coupable. L'affaire Mana Thompson

Trouve le coupable ! Une enquête efficace en 130 pages!

Le roman policier n'est pas mon genre, pourtant j'ai vraiment aimé suivre la nuit blanche de notre enquête qui repasse son dossier pas à pas avec nous le lecteur. Le charme c'est qu'à la fin de l'enquête, nous avons le choix d'etablir qui est le coupable. Est-ce que notre flaire de "Sherlock , Elana Holme" est bon?

C'est un thriller que les amateurs de crimes et les néophytes vont aimer. De mon côté, j'ai échoué à trouver du premier coup le coupable. Mais ce n'est que partie remise à la prochaine enquête : Charlène Pettigrew!
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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

Que dire. Une bonne histoire avec une bonne intrigue style film d'horreur. Les trois livres de cet autrice sont tous bons. Ça m'intrigue de passer qu'il y a un peu de vraie dans ces histoires. Elle marque de pas faire aucune recherches sur ces sujets quand j'ai le goût d'en faire
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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

Ouf! Une finale essoufflante! J’ai adoré « L’Asile du Nord - Camille » de Carine Paquin Auteure. Une histoire troublante, des événements problématiques, et une course pour renverser la situation, tout y est pour une histoire poignante et intéressante. Je vais sûrement lire les autres livres de la série!
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L'asile du Nord, tome 3 : Simone

C'est clairement le meilleur des trois tomes ! Contrairement aux autres, il n'y a aucun moment de longueur, je ne me suis pas dit que certains passages auraient pu être retiré, et il y avait assez de suspense pour me tenir en haleine même si je pouvais prédire ce qui allait se passer. Je suis un peu triste de terminer ces livres
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Full textos, tome 1 : Qui a fait quoi ?

Ce livre et le premier tome de la série "Full texto",ce roman nous fait vivre plein d'aventures avec les quatre filles: Rébéqua,Marianne,Lou et Juliette. Ces quatre filles vont rencontrer plein d'autres personnages qui se rajouteront au fil des livres. Je trouve que ce livre est parfait pour les enfants car il est très facile à lire. C'est pourquoi je vous recommande ce roman.
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L'asile du Nord, tome 1 : Camille



Un bon roman basé sur une histoire vraie. Avec ça on commence toujours bien !

Et en plus pour un livre classé Jeunesse d’après se que j’ai compris, il fait quand même un bon effet.



Dans cette lecture on alterne entre des moment d’ambiance anxiogène et d’autre plus légers. Par contre je ne sais pas si ça peut convenir à de ados de 6° ou 5 ° certaines scènes sont un peu dures, et peuvent effrayer.

(Je fait du babysitting j'ai passé ce livre à ma petite cousine elle ne l'a pas fini et je l'ai peut être un peut traumatiser avec cet ouvrage, elle est en 6° 😅 désolé ma Lou si jamais un jours tu passe par là )



Pour un jeune fan de surnaturel, ou de films d'horreur, il n’y auras par contre aucun problème. J’aurais était contente personnellement si je l'avais trouvé dans mon CDI ou dans une boite à livre quand j'était au collège .


Lien : https://www.instagram.com/fu..
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La théorie ratée de l'évolution, tome 1 : Princip..

Je ne comprends pas pourquoi ça s'appel La théorie raté de l'évolution ,mais ce n'est pas ça l'important.Ce livre est le fun car c'est un chapitre chaque personnage (Coralie et Carma.) Je ne sais pas si vous comprenez mais vous aller comprendre si vous le lisez.Aprè ce livre, je l'aimais trop donc je ne voulais pas changer de thème. Je vous le conseille
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Forfight, niveau 1 : Bataille fatale

A votre avis, que se passe-t-il quand vous arrêtez de jouer à Fortnite ?

Carine Paquin imagine dans ce roman la vie de ces avatars, pendant le jeu mais aussi quand il s’arrête.

C’est assez marrant même s’il ne se passe pas grand chose dans ce premier tome qui permet surtout de mettre l’histoire en place.

Une chose est sure, il plaira beaucoup aux collégiens du CDI où je travaille et tout particulièrement aux amateurs de jeux vidéos.





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L'asile du Nord, tome 3 : Simone

Simone est une nouvelle enseignante passionnée et tout juste diplômée. Elle va rencontrer un petit garçon de cinq ans qui n'a jamais voulu parler.



Elle se donne pour mission de lui faire dire quelques mots avant la fin de l'année.



Mais elle va vite découvrir qu'à Malartric , rien ne se passera comme souhaité et il y a des choses qu'il vaut mieux taire.



L'auteure nous tient constamment en haleine comme pour les 2 autres Tomes, Carine Paquin possède un beau talent pour l'écriture.



J'ai adoré cette trilogie, j'aurais aimé que celle-ci continue, car l'auteur à une belle plume qui sait nous faire vivre des moments angoissant.



Une trilogie à découvrir et partager !!!
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L'asile du Nord, tome 3 : Simone

J'aime bien me faire peur. J'adore les films d'horreur et depuis quelques temps, je me suis lancée à nouveau dans la littérature d'horreur. J'en ai beaucoup consommé lorsque j'étais étudiante et puis je me suis lassée parce que je trouve ça un peu répétitif et sans grande originalité. Et puis, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de redécouvrir un peu tout ça. Je suis donc très contente d'avoir pu découvrir ce livre de Carine Paquin grâce à Babelio et aux Editions Boomerang que je remercie.



Simone est une nouvelle enseignante passionnée tout juste diplômée de l'université. Quand elle rencontre Félix-Olivier, un petit garçon de cinq ans qui n'a jamais voulu parler, elle se donne pour mission de lui faire dire quelques mots avant la fin de l'année. Mais la jeune femme découvrira à ses dépens qu'à Malartic, il y a des choses qu.il vaut mieux taire, et que la personne qui manipule cet enfant a un plan; un dessein auquel Simone n'échappera pas.



C'est une belle surprise que ce livre dont je n'attendais pas grand chose à part me divertir. Il se lit rapidement, je l'ai lu presque d'une traite, profitant d'un week-end prolongé. Mais ce n'est pas parce que je l'ai trouvé court qu'il n'est pas de bonne qualité. Franchement, j'ai beaucoup aimé ma lecture. Bon, j'ai été un peu perturbée peut-être par les expressions québecoises qui émaillent de temps en temps le récit mais au bout du compte, j'ai fini par m'y habituer.



Les chapitres sont assez courts et c'est un truc que j'aime dans les livres parce que je trouve que ça donne beaucoup de rythme, et en plus ça me donne l'impression d'avancer rapidement. Ajoutez à ça mon envie goulue de connaitre le dénouement de tout ça et vous obtiendrez un super moment de lecture ! L'histoire ne parait pas être hyper originale quand on démarre le livre parce que l'auteure semble utiliser des ficelles que nous connaissons déjà, rien que du très classique en fait. Franchement, vue comme ça, ça donne pas forcément envie mais le récit prend rapidement un chemin inattendu et j'ai aimé me faire surprendre ainsi.



Le bémol que je pourrai apporter concerne Félix-Olivier qui n'est autre que le fils de Camille l'héroïne du premier tome de cette trilogie. Comme sa mère lorsque j'avais lu le premier tome, je ne l'ai pas particulièrement aimé, je l'ai trouvé un peu antipathique. J'ai beaucoup aimé le fait de pouvoir lire ce bouquin sans avoir lu le tome 2. Le lecteur ne se sent pas perdu et ça, c'est un bon point.



Une chouette découverte que je ne peux que vous conseiller !
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L'école des superhéros, tome 1 : Attaque mordante

Cette BD jeunesse a été reçu dans le cadre de l'opération "Masse Critique Édition Québec", première édition. Je remercie donc la maison Michel Quintin pour cet envoi. Cependant, je sort très déçu de ma lecture et je considère, avec mon expérience dans le monde de la BD jeunesse, que cette série n'est franchement pas novatrice, ni pertinente et en réalité peu divertissante.



Compte tenu du peu de lecture qu'on y trouve, je pense que cette Bd est destinée au lectorat du premier cycle primaire, autours de la deuxième année, donc les 7-8 ans environ. C'est une lecture que j'ai faite en 5 minutes top chrono.





Côté scénario, c'est expéditif: On nous présente le héro principal, Noah, et ses amis, qui nous informe du processus de vieillissement des héros, du superbébé au superdécès. Puis, ils doivent aller en cours où les attendent un examen. Noah s'enfuit parce qu'il n'a pas étudié et cherche à y échapper. Son alter égo professoral le renvoie en classe où il trouve ses amis ligotés. C'est parce que le Super Vilain SuperVilain a endormie les profs et a ligoté les élèves parce qu'il veut conquérir le monde. Mais finalement les version âgés des super-héros vont se joindre à Noah pour battre le Méchant. Noah se réjouit de les avoir sauver et d'avoir échappé à son examen.





Dans les éléments qui m'ont particulièrement dérangés, on trouvera la manière maladroite, voir indélicate de traiter le troisième âge. On nous explique dans cette histoire que les super-héros semblent immortels parce qu'ils se renouvellent de génération en génération. On a donc des bébés super-héros qui passent divers stades de leur vie jusqu'à la mort. Mais la façon qu'on a dans la BD de parler des désavantages physiques de la vieillesse, de la perte des dents, de la surdité, de la lenteur de déplacement, etc, est dérangeante. Pire, on nous explique qu'après une jeunesse couverte de gloire et de vitalité, puis une période en tant que professeur pour la vie adulte, on passe ensuite au stade de vieux croutons grabataire concierge dans l'école. Wow, quelle chouette façon de montrer que l'expérience et la connaissance sont récompensés par un statut humiliant et ouvertement moqué par les plus jeunes! ( Notez le sarcasme).





Nous sommes dans une école de super-héros, mais dans les faits on ne verra strictement aucuns entrainements ni cours. Mais on nous montrera une énième personnage qui "foxe/sècher" un examen - bel exemple, merci bien. J'ai toujours trouvé un brin désespérant ces BD et romans qui illustre à quel point une école c'est le summum de la platitude, au lieu de remanier simplement l'école en elle-même pour la rendre attrayante. Merci de rappeler aux enfants que les examens sont chiants, ça va les aider à passer au travers de onze ans d'école primaire et secondaire. Sérieusement, cessez de mettre ce genre de détail plate dans la littérature jeunesse, on sait que c'est pénible les évaluations, mais quand on a à peine 48 pages à remplir, ce genre de truc est inutile et surfait.





Pour les personnages, ça ne vole pas haut. Rien à voir avec "les Incroyables" ou même les "Légendaires", on est au degré zéro du super-héro avec des noms nazes tels que "SuperTorpille" pour l'héroine qui tourne sur elle-même ou SuperMusclar pour le duchebag de service super fort. Incroyablement cliché et basique, je ne vois par le moindre élément nouveau dans la palette des personnages. On a même le droit au SuperVilain ( oui, c'est son nom), qui bien sur est moche, méchant et veut , sans raisons logiques, veut contrôler le monde...bien sur, évidement. Pfff





Il y a plusieurs incohérences, dont la plus évidente est l'école en elle-même: beaucoup de classes, seulement quelques profs et quelques élèves. Le fait que l'école a une énorme pancarte qui stipule "École des super-héros" alors que leur filiation générationnelle est supposée être un "secret". On ne nous explique pas non plus d'où viennent les héros, naissent-ils super ou sont-ils recrutés puis formés? Parce que si on suit la logique des auteurs, il y a un remplaçant pour chaque héro type. Donc, comment marche ce système de remplacement perpétuel?





Côté graphique, on ne vole pas haut non plus, avec des super-héros masqués assez standards, des pouvoirs vus et revus, le beau blond caucasien qui tiens la vedette, la meilleure amie qui tiens le rôle de compagnon, un tas de super-héros sans personnalité pour meubler le décor...Les mouvements manquent cruellement de fluidité, les expressions sont très figés et caricaturales. C'est très voyant au niveau des couleurs et les décors sont très peu exploités, voir inexistants sur certaines pages. Tout ça respire le travail rapide et un manque chronique d'originalité.





Je ne comprend pas du tout ce qu'on a essayé de faire avec cette BD aussi soporifique qu'insipide. Mon impression est que les auteurs ne connaissent pas grand chose de l'univers des super-héros. L'action est mauvaise, les personnages stupides, les répliques clichés et déjà-vue, l'univers pas le moins du monde original. On ne sort ni plus intelligents ni plus instruits. Ça se lit en moins de 5 minutes et ça donne une très mauvaise image des personnages âgées, représentés comme l'âge ingrat, grabataire et quasi-inutiles. Je suis donc assez insatisfait de ma lecture et si on compare aux autres BD jeunesse sur le même univers, c'est sans aucun doute la pire BD du genre que j'ai lue.



Je ne recommande donc pas cette BD.



Pour un lectorat du premier cycle primaire, plus spécifiquement la deuxième année, 7-8 ans.

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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

L'auteur nous met tout de suite dans l'ambiance avec sa préface dans laquelle elle nous présente, photos à l'appui, la ville de son enfance, Malartic, surnommée "la ville des fous" car connue pour son hôpital psychiatrique et les histoires inimaginables qui y sont liées. Des histoires basées sur des faits réels, qui tiendraient leur origine de l'incendie de la mine locale en 1947 dans lequel ont péri douze mineurs: "On raconte que l'âme de ces travailleurs frustrés n'a jamais quitté le sol de Malartic"...



Pour Camille, tout commence avec une partie de Ouija entre copines. Depuis ce soir-là, qui coïncide avec la mort de sa grand-mère adorée, l'adolescente commence à multiplier les épisodes d'hallucinations (elle voit l'image de sa mère, également décédée, et de sa grand-mère dans les miroirs), les "absences" pendant lesquelles elle trace des symboles infini jusqu'à se mettre l'index en sang, sans oublier les sautes d'humeur où ses proches ne la reconnaissent plus et dont elle ne garde aucun souvenir ("J'ai l'impression de ne plus être dans mon corps et de regarder une autre personne")...



Pour Daniel son père, cela ne fait aucun doute: comme sa mère, Camille est schizophrène. Les symptômes correspondent. La jeune fille, férue de films d'horreur, a une autre théorie: et si elle avait le don de communiquer avec les morts? Sa mère n'était peut-être pas malade non plus, mais "capable de voir des choses que les autres ne voient pas"? La vieille madame Langelier va même jusqu'à parler de possession... Le traitement médical de la mère de Camille n'a-t-il pas été un échec? Pour Victor, son petit ami, il faut tout tenter pour la sauver, y compris, pourquoi pas, un exorcisme...



Alors, maladie mentale ou hantise? Tout au long du récit, le roman oscille entre les deux. Présenté comme un témoignage (écrit à la 3e personne), il est complété par des extraits de journal intime qui lui donnent une dimension réaliste prenante, que l'on croit à l'histoire ou pas. Quoi qu'il en soit, j'ai bien envie de découvrir celle de William!
Lien : https://www.takalirsa.fr/l-a..
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L'asile du Nord, tome 1 : Camille

La grand-mère de Camille vient de mourir, c'est elle qui l'a élevé dès son plus jeune âge ,suite à la mort de sa mère dans un accident de voiture après sa naissance.



Suite à ça elle devient agressive, extravertie mais heureusement son petit copain est là pour l'aider.



Camille à seize ans et voit des phénomènes étranges dans les miroirs , et a des absences qu'elle ne sait expliquer, mais elle n'ose pas en parler à son père.



Elle possède un journal intime, ou elle se confie à sa mère.



Camille croit fortement qu'elle a des dons de médium et est persuadée que sa maman veut entrer en contact avec elle suite à différentes apparitions dans le miroir.



Son père décide de lui dire la vérité sur sa mère ,qui était schizophrène et s'est suicidée.



Elle découvrira qu'elle est enceinte, et son père commencera à s'inquiéter sur son état mental.



Ce roman est tiré de fait réel, avec une intrigue bien menée qui nous tient du début à la fin.



Une histoire paranormale assez inquiétante mais passionnante !

Le style est rythmé et bien écrit, avec une plume facile et une histoire saisissante.



J'ai aimé ce style de lecture, avec des copies du journal intime mis dans ce roman.



J'ai réellement hâte de lire le Tome 2 !!!
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