AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Caroline Gaynes (97)


- Cette nuit était exceptionnelle, ma douce.
Son sourire me rebute.
Non non non! Ce n'est pas possible, même bourrée, je n'aurais pas laissé le cobra me toucher.
L'enfoiré se met à rire.
- Si tu voyais ta tête !
Et toi la tienne!
- Ça ne me fait pas rire, ne me dis pas que toi et moi on a...
- L'idée n'est pas pour me déplaire, mais les poupées gonflables ce n'est pas mon truc. J'aime quand ça bouge.
Le mufle.
Commenter  J’apprécie          00
Même si je suis profondément blessée, une chose est sûre, je ne peux pas me résigner. Pas après tous ces efforts, pas après toutes ces découvertes.
Commenter  J’apprécie          00
Je sens le flux dense de mon sang pulser dans chacune de mes veines. L’adrénaline est telle qu’elle me met dans un état d’excitation que je peine à dompter. Mon pied ne cesse de marteler frénétiquement le sol crasseux. Je regarde ma montre. Un sourire naît sur mes lèvres à l’idée qu’elle est en route. Elle ne devrait plus tarder. Dans moins de deux minutes, Abbygaël deviendra mon misérable pantin.

Je contiens un rire démoniaque. C’est tellement jouissif de me dire que leur souffle ne dépendra plus que de moi. Je serai Atropos l’implacable, jouant avec ma paire de ciseaux, effilochant le fil de leur existence jusqu’à ce qu’il cède. Je compte me délecter de chaque seconde, me nourrir de leur souffrance, m’amuser de leur faiblesse, jouer de leur torpeur.

Je ne me sentirai en paix avec moi-même que lorsque je lui reprendrai mon dû, et que le sang aura coulé. Finalement, ce qui va se passer ce soir n’est autre que la conséquence de ses actes. Elle n’aura que ce qu’elle mérite. Je vais lui faire amèrement regretter d’avoir appuyé sur la détente. Depuis cette nuit où tout a basculé, la douleur n’a cessé de grignoter mes chairs, elle s’est insinuée dans chaque parcelle de mon corps, et a dévoré mon cœur.
Commenter  J’apprécie          00
La peur s’infiltre dans mes veines, jusqu’à me glacer le sang. Des images de mort inondent mon esprit. « Torture, soumission, mort » voilà le leitmotiv qui tourne en boucle dans ma tête. Je sens les chaînes de la folie s’enrouler autour de mon cou, se resserrer jusqu’à m’étouffer.
Commenter  J’apprécie          00
Je suis lentement en train de tomber amoureux, comme on glisse dans un bain chaud. C'est agréable, doux. Mais je suis en train de tomber aussi et ça fait mal, c'est douloureux.
Commenter  J’apprécie          20
Croire en toi m’a donné confiance en moi.
Commenter  J’apprécie          00
Ses doigts sont partout, elle me touche le corps, mais c’est mon cœur qu’elle caresse.
Commenter  J’apprécie          00
La vérité est mon meilleur angle de défense. Je n’ai pas de mobile, je n’ai jamais eu de troubles psychotiques, je n’ai jamais consommé de drogues dures, je n’ai jamais été alcoolique, je suis sain d’esprit, je ne suis pas réputé pour être violent. Je saurai répondre à cet expert.
Commenter  J’apprécie          10
Elle rougit, le rose qui colore ses joues la fait paraître encore plus belle. Cette petite brunette va me rendre dingue. Elle porte un tailleur jupe de couleur bleu foncé, ses cheveux sont attachés en un chignon strict, comme pour me dire « pas touche ». Ses yeux sont soulignés d’un trait de crayon noir, mais ça ne masque pas la fatigue qui semble s’être incrustée dans ses traits.
Commenter  J’apprécie          00
Cette femme s’est incrustée dans ma chair, elle hante mes nuits et monopolise mes pensées. La manière dont elle s’est enfuie après notre baiser en dit long sur sa perception de la situation.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai beau me tourner dans tous les sens dans mon lit, rien n’y fait. Le sommeil ne vient pas. La cause évidente porte un nom : Dixon Davis. Je soupire. Il est dans toutes mes pensées, comme si notre étreinte m’avait marquée au fer.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai aimé ce que j’ai ressenti, c’était inédit. Jamais je n’avais connu pareille sensation, excitation. J’étais à deux doigts de le laisser aller plus loin, mais dans un éclair de lucidité, j’ai mis un terme à notre étreinte. Et je me suis sauvée comme une fugitive, n’assumant pas mes actes, ses gestes.
Commenter  J’apprécie          00
Quand je ferme les yeux, ce sont les siens qui apparaissent. Je les rouvre aussi sec, mais c’est comme si ses mains, douces et fermes à la fois, étaient encore sur mes bas. Comme si prendre possession de mon corps n’était pas suffisant, le voilà qui envahit mon esprit. Vouloir chasser ces images ne fait qu’accroître mon désir inassouvi. C’était bon, addictif, comme le goût d’un nectar divin.
Commenter  J’apprécie          00
Je me console en me rappelant que je ne suis qu’un homme faible devant la chair et qu’elle est attirante comme le diable. J’espère maintenant qu’on saura surmonter ce moment d’égarement et revenir à des relations professionnelles entre un client et sa défenseure. Toutefois, la sortir de mon esprit alors que j’ai encore l’odeur de sa peau collée à mes mains est une entreprise impossible..
Commenter  J’apprécie          00
Je glisse les lèvres sur son cou, à l’opposé de sa blessure, je la dévore de baisers, je la hume, ne respire plus que par elle. La tête en arrière, elle me laisse accéder à toute la peau que je peux goûter. Ma bouche descend jusqu’à son pendentif, ma langue caresse la naissance de son sein, ses petits gémissements m’enhardissent. Je retrousse les plis de sa jupe, mes doigts se dirigent vers l’intérieur de ses jambes et quand je pense tomber devant un rempart de collant, je suis surpris de rencontrer la dentelle de ses bas. Je reprends possession de ses lèvres et poursuis l’incursion jusqu’à la fine étoffe qui recouvre son intimité.
Commenter  J’apprécie          00
Notre baiser devient plus fougueux, ses mains s’égarent sur mon dos meurtri ; trop envahi par l’allégresse, je ne ressens aucune douleur. Je la pousse doucement jusqu’à ce que ses fesses heurtent le plateau du bureau. Je la soulève pour l’asseoir dessus, mes mains se faufilent sous sa jupe, mes doigts agrippent ses cuisses comme si j’avais peur de tomber.
Commenter  J’apprécie          00
Son odeur me percute comme une violente vague. Elle avance sa main et quand elle frôle mon arcade, je la saisis pour l’arrêter. Je me lève à mon tour et me mets face à elle.
Commenter  J’apprécie          00
Il est tout ce que j’exècre : la fourberie, la malhonnêteté, le vice dans toute sa splendeur. Aucun scrupule, aucune morale, aucune valeur, c’est un vil opportuniste, déterminé à obtenir ce qu’il veut. Mon cas ne l’intéresse pas, ce qu’il cherche c’est la reconnaissance, une affaire déjà entamée dont il pourra se glorifier si elle aboutit à ma libération.
Commenter  J’apprécie          00
On ne m’a jamais fait de cadeau aussi personnel. Je n’ai pas l’habitude d’être le centre d’intérêt d’autrui et pourtant, grâce à ses questions anodines, Dixon a réussi à m’ébranler. Il faut que l’on mette un terme à son jeu perturbant. Je ne peux pas me permettre d’être affaiblie. Ce n’est bon ni pour lui ni pour notre affaire. Focus, Rayley, reste focus !
Commenter  J’apprécie          00
Je n’ai jamais autorisé personne à m’approcher comme il s’est permis de le faire. Dans mon quotidien, je calcule tout, rien n’est dû au hasard. C’est ma façon bien à moi de me protéger, de gérer ma vie.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Caroline Gaynes (214)Voir plus

Quiz Voir plus

Fleurs, fruits, livres, chansons 🌸🍓📘🎶

Quelle chaleur!😓 Heureusement, j'ai gardé une ... pour la soif.

pomme
poire

10 questions
377 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}