Citations de Cassandra Clare (1023)
"Le sarcasme est le dernier refuge des gens dépourvus d'imagination."
Il n'y a peut-être pas autant de différences que tu le crois entre la lumière et les ténèbres. Après tout, sans l'obscurité, la lumière ne peut briller.
" J'ai toujours pensé que l'amour rendait bête et faible. Aimer, c'est détruire, tu te souviens ? Et puis je t'ai rencontrée. L'amour ne te rendait pas faible, il te donnait de la force. Alors j'ai compris que le faible c'était moi [...] Et maintenant je te regardes, et tu me demande si je veux encore de toi ? Comme si je pouvais cesser de t'aimer ! Je n'ai jamais osé distribuer de marques d'affection autour de moi... Et pourtant dés que je t'ai vu, je t'ai appartenu corps et âme. C'est toujours le cas, si tu veux de moi "
# Jace à Clary
Elle se souvenait d'avoir demandé un jour à sa mère pourquoi elle ne l'utilisait pas comme modèle, elle, sa propre fille. "Dessiner quelque chose, c'est tenter d'en capturer l'essence pour toujours, avait répondu Jocelyne, assise par terre, son pinceau dégoulinant de peinture bleue sur son jean. Si tu aimes vraiment quelqu'un, n'essaie jamais de le figer dans le temps. Il faut lui donner la liberté de changer."
Les chagrins ne préviennent jamais. Il faut essayer de se rappeller que tout passe, même si sur le moment, c’est inimaginable. Nous sommes faits pour la lumière et non pour l’obscurité.
- Si tu étais moitié aussi drôle que tu le penses, mon garçon, tu serais encore deux fois plus drôle que tu ne l'es en réalité.
— Je n'arrive pas à croire qu'il soit venu ici, murmura Clary.
— Et moi, je n'arrive pas a croire que tu connaisses quelqu'un qui s'appelle Pete le Barge, renchérit Simon.
— Je connais beaucoup de gens. Pas sûr que Pete puisse être classé dans la catégorie de «gens», mais je suis d'une nature sociable.
— « Maman. J'ai quelque chose à t'annoncer. Voilà, je suis un vampire. Je sais, tu as peut-être des idées préconçues sur nous. Je comprends que cette révélation te mette mal à l'aise. Mais je tiens à te rassurer, les vampires sont des êtres humains comme toi et moi. »
Il s'interrompit
— Là, ça coince un peu.
— Simon !
— D'accord, je continue. « La première chose que tu dois comprendre, c'est que je reste le même, quoi qu'il advienne. Ma condition de vampire n'est pas ce qui me caractérise en priorité, elle fait simplement partie de moi-même. La deuxième chose que tu dois savoir, c'est que ce n'est pas un choix. Je suis né comme ça. »
Simon lança un coup d'œil à Clary par-dessus la brochure.
— Mort comme ça, plutôt
"[...] A quoi bon pleurer quand il n'y a personne pour te consoler ? Et surtout, quand tu n'es pas capable de te réconforter toi-même ?"
-Il faut toujours être prudent avec les livres et leur contenu, renchérit Tessa , car les mots ont le pouvoir de nous changer.
-Je ne croit pas qu'un livre m'ait jamais changé. Enfin...j'en connais un qui est censé apprendre au lecteur à se transformer en mouton...
— Tes lunettes ! s'exclama-t-elle, comprenant soudain ce qui l'avait chiffonnée quand elle l'avait aperçu en arrivant. Tu ne les as pas retrouvées ?
— Tu as déjà vu un vampire avec des lunettes ?
— Euh... non, mais...
— Je n'en ai plus besoin. Apparemment, nous autres, on a de bons yeux, ça fait partie de la panoplie.
Clary n’eut pas le temps de répliquer, car elle entendit quelqu’un crier le nom de Jace, et Alec s’avança vers eux, pantelant, en jouant des coudes parmi la foule. Il avait les cheveux en désordre et ses vêtements étaient tachés de sang. Le soulagement et la colère se peignaient sur son visage. Il agrippa Jace par le devant de sa veste.
-Où étais-tu passé ?
-Quoi ? fit Jace, indigné.
Alec le secoua sans ménagement.
-Tu étais censé aller faire un tour ! Qu’est-ce que tu as fabriqué pendant six heures ?
-C’était une longue promenade.
-Je vais te tuer, marmonna Alec en lâchant la veste de Jace. J’y songe sérieusement.
-Ce serait contre-productif, non ?
- J'essayais d'aller.... quelque part. Mais mes pas me conduisait toujours ici. Je ne pouvais plus m'arrêter de marcher, de penser à la première fois où je t'ai vue. Après, je n'ai pas pu t'oublier. J'avais beau faire, c'était plus fort que moi.
[...]
- C'était comme si Dieu me crachait dessus. Pourquoi, je n'en sais rien. Pour avoir cru que je méritais d'être heureux, peut-être.
- Cette liberté de choix, ce n’est pas un privilège qu’on t’accorde. C’est un droit que tu gagnes à la naissance.
"_L'amour, ce n'est pas posséder une personne, reprit-elle. C'est se donner à elle."
- Ta mère n'y verra pas d'inconvénient. Elle m'adore.
Clary ne put s'empêcher de rire :
- Preuve qu'elle a des goûts discutables, si tu veux mon avis.
- Personne ne te le demande.
- Nous pourrons enfin vivre ensemble, conclut Valentin
«Génial ! songea Clary. Rien que toi, ta femme comateuse, ton fils traumatisé, et ta fille qui te hait à mort. Sans oublier que tes deux enfants sont amoureux l’un de l’autre. Oui, on ne fait pas mieux comme retrouvailles familiales.» (page 524)
"Dessiner quelque chose, c'est tenter d'en capturer l'essence pour toujours, avait répondu Jocelyne, assise par terre, son pinceau dégoulinant de peinture bleue sur son jean. Si tu aimes vraiment quelqu'un, n'essaie jamais de la figer dans le temps. Il faut lui donner la liberté de changer."
Vous ne devez rien à personne. Vous ne dépendez de personne. Vous êtes libre, et cette liberté est un don qui n'a pas de prix.
Ce n'est pas illégal d'être idiot.