Citations de Cassandra Clare (1023)
- Et à part crier, qu'avez-vous fait pour lui venir en aide ? demanda Will.
- Mais j'ai beaucoup crié ! Protesta Tatiana d'un ton indigné.
- Tu ne peux pas sauver tout le monde.
- Peut-être pas, admit-il. Mais j'aimerais bien sauver quelqu'un pour changer.
Pourquoi ne pas risquer sa vie si l'on y tient pas ? Pourquoi ne pas risquer sa vie si l'on sait qu'on ne sera jamais heureux quoiqu'il arrive ?
- Tu es mon meilleur ami, dit Clary. Je ne suis pas fâchée contre toi.
- Et pourtant, tu n'as pas pris la peine de m'appeler pour m'informer que tu sortais avec un faux blond pseudo-gothique que tu as sans doute rencontré au Pandémonium, dit Simon avec amertume. J'ai passé ces trois jours à me demander si tu n'étais pas morte.
- Je ne sors avec personne, répondit Clary, soulagée que Simon ne puisse pas la voir rougir dans l'obscurité.
- Et mes cheveux sont naturellement blonds, ajouta Jace. Simple précision.
- On est venus ici pour s’entrainer. Si on passe tout notre temps à s’embrasser, ils ne me laisseront plus m’en charger.
- Ils ne sont pas censés embaucher quelqu’un pour me former à temps plein, de toute manière ?
- Si répondit-il en se levant et en la hissant sur ses pieds, et j’ai bien peur, si tu prends l’habitude d’embrasser tes instructeurs, que tu finisses par te jeter à son cou.
- Ne sois pas sexiste. Ils pourraient très bien me confier à une femme.
- Dans ce cas, tu as ma permission de l’embrasser tant que je peux regarder.
- (...) Je me souviens de t'avoir entendu dire un jour que grandir, c'est regarder en arrière et regretter de ne pas pouvoir changer le passé. Eh bien, ça signifie que j'ai grandi, maman.
- Tu ne peux même pas m'attraper, répliqua-t-elle en donnant un coup de pied dans le vide pour tourner paresseusement sur elle-même.
Les yeux de Jace étincelèrent.
- Tu veux parier ?
Clary connaissait cette expression.
- Non, s'empressa-t-elle de répondre. Je ne sais pas ce que tu mijotes ...
Mais il était trop tard.
Les histoires, il valait mieux les écrire : ainsi on pouvait faire en sorte qu’elles ne soient ni trop tristes ni trop effrayantes.
C'est aussi beau d'aimer que d'être aimé. L'amour n'est jamais un gâchis.
Une bonne partie est vraie, si tu tiens vraiment à le savoir. Les meilleurs mensonges sont toujours basés sur des vérités.
Quel bien en aurais-tu retiré, de savoir ce que tu avais perdu avant même d'être née ?
— Ah, ces elfes ! Qu'est-ce qu'ils sont sérieux ! marmonna-t-elle (Isabelle) quand les autres l'eurent rejointe.
— Oh, je ne dirais pas ça, objecta Jace. Il paraît qu'il y a un club pixie en ville baptisé l'Elfrodite... Moi, je n'y ai jamais mis les pieds, s'empressa-t-il de préciser.
Kyle secoua la tête.
- Très bien. Quoi que vous me cachiez, je finirai bien par le découvrir. (Il se leva.) Bon, je suis crevé. Je vais me coucher. A demain matin, lança-t-il à Simon. Quant à toi, ajouta-t-il à l'intention de Jace, je suppose qu'on va se recroiser. Tu es le premier Chasseur d'Ombres que je rencontre.
- C'est triste, observa Jace, parce que maintenant, les autres risquent de te décevoir.
On peut relire indéfiniment une histoire et y déceler mille et un détails nouveaux chaque fois.
Jem sourit. Son visage rayonnait. Will ne l'avait jamais vu aussi heureux. Il avait toujours considéré que la joie, au même titre que la colère, était une émotion trop extrême pour Jem, qui était d'un naturel extrêmement placide.
Sophie, ma chère, il n'y a pas de quoi vous inquiéter. Moi-même, j'ai souvent eu envie de frapper Jessamine à la tête. Personne ne peut vous en vouloir.
" La beauté est cruelle." Aurait-on été aussi indulgent avec Will s'il avait été laid ?
- C’est bien un portemanteau ?
Jordan reposa lourdement l’objet par terre et poussa un soupir.
- Si tu avais été un vampire, ç’aurait pu être beaucoup plus utile.
- Ou alors quelqu’un avec plein de manteaux sur les bras.
Un petit kiosque se dressait au-dessus des eaux : c’était là qu’Isabelle s’était assise, telle une princesse de conte de fées qui languit en haut de sa tour, attendant que son chevalier vienne la délivrer.
Cependant, le tempérament d’Isabelle ne collait pas du tout à l’étiquette traditionnellement respectée chez les princesses. Avec son fouet, ses bottes et son arsenal de couteaux, elle aurait taillé en pièces le premier qui aurait eu l’idée de l’enfermer dans une tour, et construit un pont avec les ruines de l’édifice avant de s’éloigner avec nonchalance vers le soleil couchant sans s’être décoiffée.
-Je ne vous ai pas sauvé la vie pour que vous me remerciez !
-Alors pourquoi ? Parce que c'est votre devoir ? Parce que la loi vous oblige...
-Je l'ai fait parce que je vous aime ! cria-t-il, et devant son air ébahi, il répéta en baissant la voie : Je vous aime, Tessa.