Citations de Cassandra O’Donnell (742)
- qu'est ce que tu veux, c'est mon coté français, on n'est jamais content, dis je ....
- Elle est timide ?
- Réservée, précisa Morgana.
- Comme c'est charmant.Elle compte rester dans cet état encore longtemps ?
Donc si je résumais bien, Andrew n’avait pas d’ami, n’avait peu ou pas de vie sociale, il passait ses journées à bosser ou à étudier de vieux livres poussiéreux… pfff… j’aurais dû être en train d’enquêter sur un suicide, pas sur un meurtre.
- Nous appartenons à deux espèces différentes et tu me donnes constamment envie de t'étrangler, mais je tiens à toi. Je tiens à toi comme je n'ai jamais tenu à personne.
- Ne me remercie pas, je te l'ai dit, un jour, je devrai sans doute te tuer.
Elle leva vers lui un regard bleu saphir dépourvu de la moindre appréhension.
- Du moins, tu essaieras...
Il s'exclaffa et passa un bras autour de la taille de Maya pour l'attirer contre lui.
- En attendant, sois prudente et prends soin de toi, petite louve. N'oublie pas que je ne serai pas toujours à pour te protéger.
Pour connaître le cœur des autres, il faut d'abord connaître le sien.
- T'es encore fâché ?
- Un peu, reconnut Bregan.
Mika prit une ou deux secondes de réflexion.
- Et si je t'attrape un lièvre et que je te le donne, tu seras toujours fâché ?
- Tu essaies de me corrompre ?
- Je ne sais pas ce que ça veut dire, mais si c'est que je veux te donner quelque chose pour que tu ne dises pas à maman que j'ai séché l'école, alors oui. C'est ça.
- Nous sommes tous prêts ici à risquer nos vies pour vous sauver.
- Nous sauver ? Mais de qui ? De quoi ? demanda Gabriel.
- De ceux qui craignent le changement. De ceux qui ont peur de perdre leurs pouvoirs, leurs privilèges et leurs habitudes. De ceux qui veulent que les choses restent comme elles l'ont toujours été.
Il y a toujours des conséquences aux décisions que nous prenons
L'imagination est le berceau de tous les rêves, sans elle, nous sommes comme des oiseaux à qui on aurait coupé les ailes.
Tu sais, à ta place, je me fatiguerais pas, le prof a dit qu'elle parlait pas très bien français, alors y'a des chances pour qu'elle comprenne rien de ce que tu dis...
[...]
- Et alors ? Si on lui parle pas, comment veux-tu qu'elle apprenne ?
- Tu sais, les souvenirs, même les plus mauvais, finissent toujours par s'estomper...
- Et la haine ?
- Tu veux la vérité ? Peu importe ce que tu fais ou ce que tu éprouves, la vie continue. Et c'est ça le plus terrible. Elle se fiche que tu sois dévasté, furieux ou malheureux, elle continue et tu dois en faire autant.
Jolan était blessé. Son âme et son esprit souffraient et les conséquences risquaient d'être terribles. Pas seulement pour lui mais pour tous les Lupaïs. Le chef de meute reflétait la bonne santé mentale et physique du clan. Il était leur équilibre. Leur guide et leur refuge. Celui qui les empêchait tous de sombrer. S'il perdait le contrôle, le reste de la meute ne tarderait pas à suivre.
Cook lui lança un regard incrédule.
- Ben voyons... Et à ta mère ? Je lui dis quoi à ta mère ? "Désolé d'avoir abandonné votre crétin de fils seul en territoire ennemi, vous ne m'en voulez pas, j'espère ?"
- Si je comprends bien, tu préfères te faire bouffer par la meute plutôt que de devoir affronter ma mère ?
Cook hocha vigoureusement la tête.
- Sans hésitation.
- Non, je n'ai pas de fiancé.
- Nous n'en sommes pas encore à ce stade de notre relation, mais croyez bien que je le déplore, monsieur, me coupa Mickaël avec un sourire hypocrite qui me donna envie de l'étrangler.
- Il a l'air plutôt pas mal, celui-là. Vous avez un problème avec les morts, enfin avec les cadavres ? s'enquerra papy.
A ma grande surprise Michaël ne broncha pas et réussit à prendre un air semi-décontracté comme si la question de grand-père était tout à fait normale.
- Avec les morts, non, mais il m'arrive d'en avoir avec les vivants.
Je secouai la tête.
Laisse tomber , papy, Michaël est flic et il bosse à la criminelle.
- A la criminelle? Tant mieux, il pourra nous faire de la publicité et nous rapporter de nouveaux clients, approuva papy en tendant sa main à Michaël.
Ce dernier eut une ou deux secondes de flottement puis la serra chaleureusement.
- Tu trouves qu'on n'a pas assez de travail , comme ça ? soupira mon père.
- Si mais on n'est pas très versé en "mort violente" et je ne voudrais pas que la petite finisse par s'ennuyer (..)
Avec son chignon défait, ses longs cheveux gris et mouillés, sa robe noire collant à son corps maigre et l’expression douloureuse qui déformait ses traits, elle ressemblait à la sorcière de Blanche-Neige. Enfin, à la sorcière de Blanche-Neige atteinte d’une rage de dents et en pleine période de menstruation.
— Qu'est-ce que vous allez voir ?
— Twilight 4 deuxième partie.
— Ça dépend. Bella tue le vampire à la gueule d'ange et choisit de rester avec le loup-garou au final ?
Léo éclata de rire.
— Non.
Beth me jeta un regard appuyé.
— Alors je crois que ça ne va pas m'intéresser...
- Ne me touche pas, l'avertis-je en m'écartant.
- Pourquoi ?
"Parce que tu ne m'aimes pas" me semblait pathétique, "parce que tu n'es qu'un salopard" un peu trop primaire et "parce que tu as une pétasse dans ta vie" un peu trop impliqué. Je me contentait d'un :
- Parce que je ne t'en accorde plus le droit.
Simple, clair, exhaustif...et sincère.
- Tes mots chantent une chanson mais ton pouvoir ne semble pas jouer la même partition, fit-il avec un sourire amusé.
- Hum… les films d’horreur se terminent mal en général.
- Ça, c’est parce que les personnages principaux n’ont pas la jugeote de partir dès qu’ils remarquent qu’il se passe des trucs bizarres…
Qui veut devenir dragon doit manger d'abord beaucoup de petits serpents.