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Citations de Cassandra O’Donnell (742)


- Je ne vois pas ce qui te plaît à ce point chez elle. Elle est faible.
- Ressentir des émotions n'est pas une faiblesse, Serpaï, c'est ne pas les dominer qui en est une, répliqua sèchement Maya avant de muter et de s'élancer vers la forêt.
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Alors rentrer à la maison et dévorer la dernière saison de "Mon oncle Charlie", avec un énorme paquet de chips, me sembla tout à coup la meilleure chose à faire...
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Le combat entre le crotale et le cobra n'avait pas duré plus de quelques secondes comme à chaque fois. A chaque défi. Wan n'avait jamais perdu un combat. Tuer était un réflexe. Un peu comme quand on écarte sa main d'une flamme qui vient de vous lécher la peau ou comme le fait de respirer. Il agissait sans même y penser.
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L'espoir est le pilier du monde.
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- C'est un bon garçon, tu sais. Je crois que ton père l'aime bien, ajouta ma mère.
Papa aimait aussi la mayonnaise industrielle, les chips au vinaigre et la carpe farcie, bref, ça ne voulait rien dire.
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« - Allez, debout fainéant ! Il est presque huit heures ! claironna Hélène en pénétrant dans la chambre de Victor.

Ce dernier émit un grognement puis leva la tête de son oreiller, repoussa la longue mèche rousse qui lui barrait le visage et regarda la jolie femme blonde au regard doux qui lui souriait.

- Tu ne voudrais pas appeler l’école et dire que je suis malade ? gémit-il

Hélène fronça les sourcils et posa –d’un ait inquiet – la main sur le front pâle du jeune garçon pour vérifier qu’il n’avait pas de fièvre. […]

- Pas question. Tu n’as rien du tout ! Lève toi et dépêche-toi de t’habiller !

- Mais je suis fatigué ! protesta-t-il

- Tu serais bien plus en forme si tu ne t’étais pas sauvé et que tu n’avais pas traîné dehors toute la nuit ! »
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- Est-ce que… est-ce qu’elle est… ? finit-il par balbutier.
- Oui, fis-je dans un souffle.
Alors il me gifla. Oh pas suffisamment fort pour me mettre KO, mais assez pour que j’arbore demain, un très joli bleu sur la joue. J’allai répliquer lorsque je vis l’éclair de souffrance qui traversait ses yeux.
- Dis-lui qui je suis, Rebecca. Dis-le-lui maintenant, fit-il en s’approchant de Leonora.
- C’est inutile, dit-elle d’un ton dur. Je sais parfaitement qui vous êtes. Je vous ai tout de suite reconnu.
- C’est vrai ?
- Oui, dit-elle en reculant vers Bruce qui assistait silencieusement à la scène.
- Tu as peur de moi ?
- Non, mais je ne parle pas aux gens qui frappe ma mère, cracha-t-elle.
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— C'est une affaire privée, n'en fais pas un drame d'État. Ce serait ridicule.
— Elle a raison, elle n'en vaut pas la peine, Consiliere, ricana tout à coup Glastrow.
Michael tourna lentement la tête vers lui tandis que ses yeux luisaient d'une dangereuse lueur argentée. Glastrow avait commis une grave erreur. Déplaire à Michael était un peu comme patiner sur un lac en train de dégeler. On passait son temps à se demander quand la glace risquait de se briser.
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Les métamorphes ne comprenaient jamais rien a la torture, ils se contentaient généralement de bouffer ceux qui les mettaient en rogne et étaient incapables de mener un interrogatoire correctement. Et même si je reconnaissais généralement l'efficacité et la rapidité de leurs méthodes, questionner un cadavre à moitie dévoré posait certaines difficultés auxquelles je ne voulais pas être confrontée.
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Elle [Beth] me jeta un regard surpris.
- Quoi ?
- Ben l'immeuble, je vais le cramer, répondis-je.
- Rebecca, c'est pas parce que je trouve qu'un édifice a un style d'architecture un peu trop banal ou aseptisé à mon goût qu'il faut te sentir obligée de l'incendier..., souligna-t-elle tandis que je sortais de la voiture en riant.
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Quand les crocs et les griffes parlent, les lois se taisent.
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- La louve est la proie de Wan, pas la tienne. [...]
- Sa proie ? Il va la manger ?
- Non. Il la chasse.
Les yeux de Dji s'arrondirekt sous l'effet de l'étonnement.
- Il la chasse mais il ne veut pas la manger ?
Miu sourit d'un air énigmatique.
- C'est une chasse spéciale.
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- Ça c'est bien passé avec la petite ?
- À la place de sa mère, je me serais fait ligaturer les trompes et j'aurais adopté des yorkshires.
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_ Peut-être est-il différent de ce que tu imagines...
_ Différent, lui? ricana Mei.
_ Et si je te disais que notre jeune prince apprécie la compagnie d'une jeune fille, tu le croirais?
_ Non.
_ Qu'il passe son temps à sourire quand il est avec elle?
_ Non.
_ Qu'il se montre incroyablement protecteur avec elle?
_ Non.
_ Et si je te disais qu'il l'a embrassée?
_ Non plus. Tu veux bien arrêter ton cirque, oui? Tu ne crois pas que quelqu'un l'aurait remarqué si Wan avait fait la cour à une jeune cobra?
A une jeune cobra, sûrement, mais la jeune fille dont parlait Yourk n'était pas une jeune cobra ni même une Serpaï, mais Maya, la jeune princesse des loups.
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Dji regardait de loin l'étrange combat qui se déroulait entre Wan et Maya, d'un air perplexe.

- Il joue avec elle, remarqua Dji en se tournant vers Miu.

Ce dernier acquiesça.

- Exact.

- Et après, il va la tuer ?

- J'en doute...

Dji haussa les épaules et regarda Maya comme s'il évaluait son poids et le temps qu'il lui faudrait pour la digérer.

- Dommage, elle doit avoir bon goût.

- Je n'y songerais même pas, si j'étais à ta place, fit Miu en faisant claquer sa langue. La louve est la proie de Wan, pas la tienne.

Une lueur de déception s'alluma dans le regard de Dji.

- Sa proie ? Il va la manger ?

- Non. Il la chasse.
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La mort est un vêtement que tout le monde finit par porter.
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Elle me jeta un regard soupçonneux.
- Qu'est-ce que tu as encore fait ?
J'ouvris la bouche puis la refermai, vexée.
- Rien. Pourquoi est-ce que tu... ?
Elle me lança un regard appuyé.
- Tu as exactement la même expression que lorsque tu étais petite et que tu avais fait une grosse bêtise...
Madeleine s'esclaffa.
- Exact ! On l'appelait la tête qui fait « oups ».
Elle me dévisagea attentivement.
- Qu'est-ce que tu as fait ?
Je ne répondis pas et poussai rageusement la porte de la maison.
- Bon vous entrez oui ou non ?
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Oh bon sang, je sentais que j’allais détester cette journée. Et pas seulement à cause de ma gueule de bois. Même si à l’instant T, je préférais accepter un rendez-vous galant avec Hannibal le cannibale plutôt que de toucher à un autre verre d’alcool de ma vie.

-OK, OK, laisse-moi juste cinq minutes et fais-moi chauffer mon café, tu veux ? marmonnai-je en enfouissant ma tête sous l’oreiller.

-Et lui ?

-Quoi ? fis-je d’une voix étouffée.

-Il prend quoi au petit déjeuner, demanda-t-elle en soulevant brusquement mon oreiller au-dessous de ma tête.

Je levai les yeux vers elle mais elle ne me regardait pas. Son regard était rivé sur quelque chose quelque part de l’autre côté du lit. Intriguée, je me retournai et tombai pratiquement nez à nez avec… un homme complètement nu.

-Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!

Okay, okay, pas de panique, de toute maniéré, il n’y a pas trente-six solutions : tu peux soit piquer une crise de nerfs – ce qui, avouons-le, est assez peu constructif-, soit te rendormir en attendant que le mec à poil finisse par disparaître de ton plumard comme par magie, soit surmonter tes angoisses et assumer le réveil le plus glauque de toute ta vie.
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- Je peux vous arracher la tête en moins d'une seconde, courir plus vite qu'un train, battre la plupart des Alphas, discuter avec les anciens présidents morts, lancer des sorts simples et créer plein de fantômes qui peuvent vous pourrir la vie.
Je fronçais les sourcils.
- Comment le sais-tu? demandais-je.
- Quoi?
- Pour les fantômes,?
- Ah... ben j'en ai ramené un, là, histoire de voir si j'y arrivais. Il s'appelle Jimmy. Un mec sympa mais du genre alcoolique. Un jour qu'il attendait le métro, il est tombé sur les rails et crac.
- Leo, je refuse que tu fréquentes ce genre de personne ! lançais-je sans réfléchir.
Elle haussa les épaules.
- Ben tu sais, maintenant, il a décroché. Forcément.
- Oui, forcément, dit grand-mère en se mordant les lèvres pour ne pas rire.
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Malcom reporta son attention sur l’échiquier et sourit. Troublé par son délicieux parfum, par les pulsions et le besoin qu’il ressentait, il n’avait pas vu le piège que lui avait tendu son adorable petite peste et en avait perdu son cavalier.

- Il me serait très difficile de le nier, fit-il en la fixant soudain d’un regard si intense qu’elle rougit aussitôt.

L’attirance qu’elle avait ressentie pour Malcom dès leur première rencontre ne s’était pas estompée comme elle avait eut la naïveté de l’espérer. Bien au contraire. Elle avait découvert en le fréquentant que sous ses discours légers et ses provocations risquées se cachait un homme d’une vive intelligence, d’une immense culture et d’une grande profondeur…
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