Catherine Dolto-Tolitch

Voici un tout petit livre cartonné bien à propos pour expliquer à nos bouts de choux que, s'il est normal de faire des bêtises, être grondé est aussi quelque chose de normal.

Les sentiments qui poussent l'enfant à faire exprès des bêtises sont bien expliqués.

Les dessins sont simples et colorés.

Une histoire qui permet de dédramatiser la bêtise et sa punition.

Même s'il manque certains handicaps, le livre reste assez complet. De superbes illustrations dont 02 qui mettent en avant la jalousie que peuvent éprouver les enfants ordinaires face à l'attention des parents envers celui qui a un handicap. Il y a une image de Claire qui va à la plage en fauteur roulant sans mettre en avant les sièges pour invalides qui leur permettent de flotter sur l'eau.

Un petit album pour parler du «oui» et du «non» et mettre des mots sur les différents ressentis qu’ils cachent.

Une page pleine de bon sens, parmi d’autres, mentionne «les grands qui nous prennent pour des poupées»… Ce livre aborde donc le "non" et le "oui" dans le sens du consentement.

Des illustrations très claires, en pleine page, et un texte court qui parlera aux tout-petits.

Dès 10 mois jusqu'à 3-4 ans.

Cet album documentaire sur la mort fait bien le job : évoquer la mort, la peur qu'elle engendre, le deuil, la vie après le deuil. Il permet de répondre aux questions des enfants au mieux.



Cette collection pour les enfants est assez classique sur sa forme et son contenu. Pour autant, chaque album reste de qualité.

Cette collection d'albums documentaires pour les enfants est assez classique sur sa forme et son contenu. Pour autant, chaque album reste de qualité.



Ici, c'est la confiance qui est abordée. La confiance en soi comme celle qu'on porte aux autres. Le texte est assez complet pour expliquer ce que cela signifie, comment elle s'acquière, sans toutefois pousser plus le sujet car l'album est destiné aux enfants entre 4 et 7 ans.

C'est un bon début d'approche sur le sujet avec quelques explications bonnes à rappeler aux adultes également.

Petit livre cartonné très court pour les tout petits qui parle de la mort de manière compréhensive et délicatement, pas de manière brusque ni maladroite en général. En revanche, deux/trois phrases ainsi qu'une illustrations sont légèrement maladroites, l'illustration montre un garçon écrasé avec plein de sang, c'est assez cru comme image ou du moins pour un tout petit ça peut l'être, certains petits sont plus fragiles et sensibles que d'autres, peut-être une image comme celle-ci sans le sang aurait été moins perturbante. Une des phrases du début dit que c'est la fin de la vie or, cela est une vision athée car dans les religions monothéistes, c'est justement le début de la vie, de notre vraie vie. Il y a aussi dit plus loin que personne ne sait ce qu'il y a après la mort or, là encore c'est une façon de penser pour un athée et dernière phrase qui explique que la famille se regroupe pour parler du mort ou d'autre chose or, là encore cela dépend des traditions et des cultures.



En gros, ce livre explicatif est très intéressant pour les touts petits mais il ne faut pas oublier que même les touts petits appartiennent souvent à d'autres traditions, cultures et religions et donc que ce livre devrait être plus général et moins viser un public athée, il faudrait modifier cela pour que ce livre soit parfait pour informer !

Ce petit album raconte et illustre l'arrivée un bébé dans une famille comptant déjà un enfant. Les explications sont claires, avec quelques détails concernant la vie intra-utérine. En revanche, les illustrations ne m'ont pas séduites du tout, malgré les couleurs vives ; peut-être les dessins sont-ils un peu trop "brouillonés" à mon goût.

Un petit album jeunesse illustré sur l'enfance, grandir... bref toutes "Les premières fois". De jolies illustrations colorées toutes simples rendent cette lecture très agréable, un bon petit moment de détente et de lecture, à partager avec son tout petit tout simplement.

Un album jeunesse illustré sur l'immigration et le fait d'avoir deux pays dans son cœur.

Un album jeunesse illustré sur l'adoption, ses questions normales et le temps nécessaire d'adaptation pour cette nouvelle vie pour les nouveaux parents et l'enfant, à lire avec son enfant pour en discuter plus facilement.

Le caca, ça ne sent pas bon et ça fait rire.

Les prouts font des bruits très amusants.

Tout le monde fait caca !

Même les plus chics, même les plus puissants..

Les bébés et le caca ne se mélangent pas

ils ne sortent pas par le même trou.

Quand on fait bien caca, on vous félicite

autant, que pour un joli dessin!



Le caca, dans tous ses états

Le caca prout expliqué

joyeusement par Catherine Dolto.

Un sujet obsédant pour les tous petits

et les... très vieux..

Et vous comment allez vous?

A partir de 2 ans commence une sorte de fascination pour un ensemble de productions du corps humain. Ils se bidonnent en disant caca-boudin d'autant quand les adultes leur interdissent de le prononcer. Comme aime à le dire le docteur Catherine Dolto : "quand on comprend mieux, on grandit mieux". Alors tout simplement, avec Colline Faure-Poirée, elles expliquent pourquoi on doit déféquer, comment cela se passe, pourquoi on fait des prouts, l'importance de la propreté, d'écouter son corps... C'est proposé de façon très simple, humoristique et compréhensible. Une vraie source d'informations pour mieux les préparer à réfléchir à tout ce qu'ils vont devoir faire face en grandissant. Ce tombe puisque l'ouvrage fait partie d'une collection qui aborde les émotions, la mort, les changements... Donc si le chérubin accroche au format, le parent pourra poursuivre l'aventure. Les dessins de Robin sont pleins de peps, de dynamisme, de bienveillance et d'énergie. Ils apportent vraiment le plus pour le plaisir et le confort de lecture.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..

Cette bande dessinée traite de l'émission de Françoise Dolto sur France Inter de 76 à 78. A cela s'ajoutent des bribes biographiques. Nous suivons donc Françoise Dolto et sa fille Catherine dans la préparation des émissions. Nous découvrons d'un côté une biographie (succinte), Dolto étant pionnière dans son domaine, elle révolutionna la psychanalyse et la vision de l'éducation. D'autre part cet ouvrage traite également les "réponses" aux questions posées par les parents, ou comment Françoise Dolto amène les parents à puiser les réponses en eux, ainsi que les critiques qu'elle a pu recevoir à ce sujet. L'histoire prenant place au milieu des années 70, la société et les familles sont bien différentes d'aujourd'hui.



J'ai toujours voulu me renseigner sur le travail de Dolto, j'ai des ouvrages (non lus ...) dans ma bibliothèque. Ce livre m'a donné envie de mieux connaître son travail et de lire ses livres, ainsi que le deuxième tome de la BD.

Papa de deux jeunes enfants, j'ai d'autant plus apprécié les contenus "éducatifs".

Et si on parlait de la mort. Nous avons déjà lu plusieurs livres de cette collection et nous les trouvons plutôt bien expliqués. Le thème n’est pas facile. Nous l’avons abordé car une amie parlait de la mort et nous avons vu un cercueil. Les interrogations sur le sujet se font de plus en plus nombreuses nous avons pris les devants…je le recommande.

Le danger serait de croire à des solutions toutes faites.

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Ce tome et le premier d'un diptyque consacré à la vie de Françoise Dolto (1908-1988), quand elle animait l'émission de radio Lorsque l'enfant paraît, sur France Inter. Sa première édition date de 2019. Cette bande dessinée a été réalisée par Séverine Vidal pour le scénario, Alicia Jaraba pour les dessins et les couleurs, avec la participation de Catherine Dolto, la fille de la psychothérapeute.



À Antibes, en août 1976, Françoise Dolto est en train de préparer une citronnade dans la cuisine avec sa fille Catherine qui prend le café, attablée. Une fois prêtes, elles sortent dans le jardin pour apporter la boisson et les verres sur la table du jardin, son époux Boris étant en train de lire dans une chaise longue. Françoise évoque le fait que France Inter lui ait proposé de réaliser une émission de radio quotidienne, mais qu'elle ne se voit pas renoncer à ses consultations. Elle se souvient encore de l'émission à laquelle participait sur Europe 1, entrecoupée de publicités intempestives. Sa fille lui fait remarquer qu'il n'y a pas de coupures de publicité sur France Inter : sa mère est catégorique, c'est non. En septembre 1976, Pierre Wiehn, le directeur de Radio France, l'appelle pour discuter du projet avec elle : elle explique quelles seraient ses conditions si elle acceptait. Un fois le coup de fil terminé, elle va demander l'avis de son époux et elle trouve qu'il ne l'aide pas beaucoup. Sa fille arrive et entre dans le salon, tout en écoutant. En réfléchissant à haute voix, Françoise a fini par changer d'avis et par se décider à accepter cette émission. Elle se fera sur la base de lettres envoyées par des parents, et sa fille supervisera le courrier, ainsi que les réponses.



En octobre 1976, en marchant dans la rue, Françoise Dolto explique l'organisation de l'émission. Sa fille s'occupera du courrier, car elle tient à ce que les auditeurs n'interviennent pas en direct, mais écrivent. En mettant les choses noir sur blanc, ils commencent à réfléchir, à travailler. Catherine triera les lettres par thème et les résumera, et elles répondront à tout. Chaque personne qui aura écrit sera prévenue du jour où ils répondront à sa lettre à l'antenne. L'émission dure trois heures chaque après-midi, et sa rubrique environ dix-douze minutes. Elle aura un jeune journaliste avec elle : Jacques Pradel, un débutant très sympathique paraît-il. Son rôle sera de présenter le courrier du jour, de raconter ce qui dit la lettre, puis elle répondra et ils échangeront. Ce sera un dialogue, plutôt qu'une psychanalyse radiophonique. Elles arrivent à l'immeuble où se trouve le cabinet de consultation et le journaliste les salue car il est arrivé en même temps qu'elles au pied du bâtiment. Une fois dans le cabinet, il dit toute son admiration pour le franc-parler de la psychanalyste, tout ce qu'elle a mis en place autour de la psychanalyse des enfants. Elle répond que le titre de l'émission lui plaît beaucoup : Lorsque l'enfant paraît. Jacques ajoute qu'il s'agit d'une idée de Jean Chouquet, conseiller des programmes.



Ce premier album d'un diptyque raconte la première année de l'émission Lorsque l'enfant paraît, diffusée sur France Inter, au cours de laquelle la psychanalyste Françoise Dolto répond à des questions rédigées par des parents et envoyées par courrier. C'est le format qu'elle a elle-même choisi. Le récit se partage en deux types de scènes : celles correspondant à la vie de la psychanalyste autour de l'émission et trois séquences de souvenirs d'enfance, et celles mettant en scène le courrier d'une auditrice et la réponse de Dolto par le biais d'une discussion avec le coanimateur Jacques Pradel. L'artiste a choisi de réaliser des dessins doux, agréables à l'œil, avec une forme de simplification et d'exagération de certaines émotions, que ce soient celles des enfants sans filtre, ou celles des parents éprouvant des difficultés à élever leur progéniture. Il peut également s'agir de l'enthousiasme des adultes écoutant l'émission de radio. Ainsi le lecteur peut voir l'entrain des jeunes enfants et leur énergie qui semble inépuisable, un acte agressif tel que la morsure d'un autre enfant, la sérénité absolue de l'enfant en train de dormir, sa colère figurée par des dents en pointe (un code graphique emprunté aux mangas), le rire franc des enfants en train de dire des gros mots, le rouge qui monte à la figure de la mère en même temps que la colère, le désarroi quand le parent ne sait pas comment faire (avec une goutte proche du front, un autre code manga), sans oublier la tendresse sans réserve entre l'enfant et son parent.



L'apparence douce et gentille des dessins n'obère pas la qualité et la densité de la narration visuelle. Alicia Jaraba réalise des dessins descriptifs avec un bon niveau de détails. Elle recrée les deux époques concernées par le récit : l'année allant de l'automne 1976 à l'été 1977, ainsi que les souvenirs d'enfance de Françoise coloriés en sépia pour marquer la différence. En fonction de sa familiarité avec la fin des années 1970, le lecteur peut reconnaître certains types de vêtements (les robes et les jupes de Dolto, identiques à celles qu'elle porte sur les photographies), le matériel à bande pour enregistrer les émissions dans le cabinet de la psychologue, la machine à écrire de Blanchette, un numéro de Paris-Match évoquant le divorce de Donna Summer (1948-2012), le tourne-disque. En revanche, il n'est pas bien sûr que les voitures correspondent à des modèles ayant vraiment existé. La dessinatrice représente également avec soin l'immeuble abritant le cabinet de Dolto, ainsi que sa villa d'Antibes. Le lecteur aimerait bien pouvoir se détendre à l'ombre des arbres du jardin, et siroter lui aussi la citronnade à l'ombre.



La représentation des individus, adultes comme enfants, montre des personnes sympathiques, même quand elles s'énervent, sans forme de critique ou de mépris, et souvent avec le sourire. De ce point de vue, les autrices ont fait en sorte d'appliquer l'un des principes de vie de la psychanalyste : ne pas juger les gens, ne pas avoir d'opinion personnelle autour de ce que les gens lui exposent. Dans un premier temps, le lecteur peut trouver cette approche un peu insipide, sans réelle tension autre que les conflits entre parents et enfants, sans beaucoup de critique. D'un autre côté, il s'agit avant d'exposer ce qu'était cette émission, comment elle a été conçue et pourquoi elle a été conçue comme ça, et d'évoquer plusieurs sujets de ces émissions. Le lecteur peut ainsi voir expliqué en des séquences d'une à quatre pages les thèmes suivants : l'arrivée d'un bébé, un enfant qui pleure vers 17h00, l'importance de parler au bébé, la fatigue et l'énervement du parent, la jalousie de la plus jeune pour l'aînée, la fessée, la jalousie, l'obéissance, ranger sa chambre, l'heure du coucher, les gros mots, l'apprentissage de la propreté (vers deux ans et demi), le sommeil (et la contestation d'une auditrice sur les recommandations faites), l'arrivée d'un deuxième bébé, l'âge pour parler (avec un développement sur le fait que tout est langage chez le bébé), la mort, les relations avec les grands-parents, les jumeaux, une famille bilingue, un enfant autiste.



S'il connaît déjà un peu l'œuvre de Françoise Dolto, le lecteur retrouve ses principaux thèmes : l'enfant est une personne, tout est langage, le parler vrai. Sinon, il bénéficie d'une présentation en exemple des idées qu'elle a apportée dans la thérapie avec l'enfant, dans la manière de le considérer et de dialoguer avec lui, de l'élever. Les autrices résument son positionnement ainsi : les enfants ont besoin d'être accueillis par la société aussi bien à la naissance qu'à chaque stade de leur développement ensuite. Plus tard ce seront des citoyens. Le lecteur en apprend un peu sur la vie personnelle de Françoise Dolto : la mort de sa sœur, la réaction de sa mère, sa propre éducation, l'éducation de ses enfants, son internat à l'hôpital des enfants malades et sa découverte des modalités de leur traitement par les médecins, surtout ceux qui avaient des difficultés psychologiques. Au fil des séquences, le lecteur éprouve l'impression de lire une hagiographie, ou en tout cas un ouvrage ne présentant la psychanalyste que sous un angle positif. En 1976, elle est âgée de 68 ans et a déjà accompli la quasi-intégralité de sa carrière. Ses principales idées sont arrivées à maturité et ont été exposées dans de nombreuses institutions. Elles ont été validées par l'expérience, et acceptés par les milieux spécialisés. Il est donc légitime que dans un tel ouvrage entre vulgarisation et biographie les autrices la présentent sous un aspect positif. Par ailleurs, le lecteur ne peut pas résister longtemps à la gentillesse de la psychanalyste, et à son humilité, étant prête à entendre que certains parents ont très bien réussi en faisant différemment de ce qu'elle préconise.



Ce premier tome permet de (re)découvrir les apports de Françoise Dolto au travers de l'évocation de la première année de l'émission radiophonique Lorsque l'enfant paraît. La narration visuelle est douce et agréable à l'œil, avec une forme de prévenance pour les différentes personnes. L'évocation est respectueuse et pédagogique, avec une bonne restitution de l'entreprise que pouvait représenter une telle émission.

Caca prout! Voilà un titre accrocheur pour un enfant. à la lecture du titre vous serez assuré de son entière attention! Soyons honnête, le reste du livre est moins drôles mais il suscite l’intérêt. le sujet passionne les petits et surtout les textes sont abordables. je vous recommande ce livre

Un joli livre qui permet de dédramatiser la nuit en montrant aux petits que la nuit ce n'est pas seulement le noir, et qu'il ne faut pas en avoir peur, il peut aussi s'y passer de jolies choses.

Une lecture pour apaiser et rassurer avant d'aller dormir.

Je le recommande. J'avais acheté ce livre, en plus de celui des colères, dans la même série, pour expliquer à mes filles que tout le monde a peur et que petit à petit on peut se défaire de ses peurs. L'histoire leur a parlé et elles ressortent de temps en temps le livre toutes seules.

J'avais acheté ce livre pour expliquer à ma fille que les colères sont normales et qu'elles sont parfois dures à maîtriser. La métaphore de l'animal a été très bien visualisée par ma fille et elle a été rassurée de lire qu'elle n'était pas la seule à avoir parfois du mal à se calmer.

Bien vivre tous ensemble fait partie d’une longue série d’écrits à destination des enfants et des adultes, par le docteur Catherine Dolto, fille de la célèbre psychologue Françoise Dolto.



Dans cet ouvrage, en langage clair, elle explique pourquoi les règles de vie en société sont si importantes et amène les enfants à réfléchir sur l’intérêt de ces règles de vie : pourquoi ranger ? pourquoi se tenir correctement à table, dire bonjour, ne pas se moquer... elle invite les enfants à exprimer leur ressenti sur ces règles afin de les aider à comprendre que ce qu’ils n’aiment pas vivre (les moqueries, la médisance...), il ne faut pas le faire vivre aux autres. Puis elle aborde des sujets plus graves tels que le harcèlement, le respect de l’intimité, la violence.



Loin de culpabiliser, elle donne un exemple de personne modèle tel que le papa de Jean qui part soigner des gens dans le monde, elle souligne l’intérêt de se montrer respectueux pour adoucir sa vie et celle des autres, pour voir grandir cette estime de soi si importante chez tout être humain.



Ce livret sera une base de discussion intéressante pour parents et éducateurs afin d’assurer aux enfants, une vie en société harmonieuse, en complément avec les albums jeunesses variés dont on dispose aujourd’hui.



Catherine Dolto ne s’en est pas tenu à cet ouvrage puisque dans cette collection, on trouve des livres sur beaucoup de sujets d’inquiétude ou de questionnement des enfants : les mensonges, les cadeaux, changer de maison, la famille, les colères, les gros mots, jaloux... pas moins de 82 titres. Une bonne aide pour tout adulte qui aurait besoin d’exprimer clairement des idées avec son enfant.
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