Vivre avec son ikigai, c'est avant tout se sentir à sa place, bien dans son élément, utile, compétent.
C'est, quand on travaille, se dire "Je suis là où je dois être."
Le conseil que je pourrais donner à quelqu'un qui cherche sa voie professionnelle, c'est de s'accrocher. Continuer. Prier.
Croire qu'il y a un chemin pour soi.
Travailler sur soi - car c'est d'abord en soi que se trouve la solution.
- Se poser la question de son utilité au groupe,
et se demander "Qu'est-ce que j'apporte ?"
Une autre personne, un autre témoignage
- Trouver sa mission de vie, c'est se demander quelle contribution au monde on a envie de faire
"Passez en mode action". L'action vous aide à déterminer votre motivation, à affiner votre réflexion. "Je fais peut-être fausse route ..." : l'action permet de le vérifier. Posez-vous les questions de ce que vous voulez vendre, à qui, combien. Et pourquoi vous voulez faire ça, et comment vous voulez le faire.
Et ensuite, régularité et confiance. Pour chaque objectif que vous vous fixez, faites un plan d'action très simple, avec une petite action chaque jour. Si vous y passez 10 minutes par jour, sur un mois ça fait une demi-journée.
On peut en faire, des choses, avec 10 minutes par jour.
Les deux formes de contribution ont un sens pour moi. (...)
Et vous, cher lecteur
Que décidez-vous de donner ?
Que décidez-vous de vendre ?
Cette distinction est-elle claire dans votre tête ?
Ce n'est pas le temps qui guérit les échecs, c'est de faire :
retenter ce qui a déjà été tenté, ou tenter autre chose,
mais agir plutôt que ruminer.
Qui ne tente rien, n'arrive à pas grand chose. Tentez! Mais tentez simple.
Fais ce que tu aimes, et parles-en avec passion
S'il vous est arrivé d'éprouver un certain dépit, lors d'une fête de Noël ou un anniversaire, d'avoir dépensé 20 ou 30 euros pour un "petit" cadeau aussitôt relégué dans une armoire... voire revendu sur internet dès Le lendemain...
Si vous avez été triste de recevoir un cadeau acheté à la va vite, qui disait très peu de celui qui l'offrait et qui ne semblait pas vous être adressé...
S'il vous arrive d'être écoeuré devant l'amoncellement de ces objets que l'on s'échange par obligation et qui tapent rarement dans le 1000...
Alors ce livre est fait pour vous !
J'ai fini par être élève aux beaux-arts de Londres, et j'ai été très surprise, car on ne m'y a pas appris tellement de techniques, sinon à regarder.
Pour pouvoir dessiner quelque chose, le plus important ce n'est pas le trait.
Ce qui compte, c'est le regard que tu poses sur le paysage, la personne ou l'objet dessiné (...) Je pense aussi, d'ailleurs, que c'est le regard que tu poses sur elle qui détermine ta vie.