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Critiques de Christine Brunet (II) (44)
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Degats Collateraux

C'était bien mal parti ! Au début tous ces sigles utilisés pour mettre en place les différents courants de police et de services de sécurité m'ont agacée. Mais déjà au bout de quelques pages, l'action m'a envoûtée et je n'ai plus longtemps résisté au plaisir de la lecture.



Donc un excellent thriller avec en toile de fond les montagnes du Jura ! Si vous croyez que là-bas, il ne se passe rien, détrompez-vous ! Des chalets explosent, des cadavres apparaissent, des billets de banque se volatilisent, et tout ça à la suite du braquage de deux fourgons blindés transportant des fonds de la monnaie de Paris vers l'Italie.



Et que fait la police ? Et bien justement, le nouveau service européen de sécurité (Fse) y envoie un de ses meilleurs et fins limiers : la redoutable Axelle de Montfermy.

Intelligente, sportive, mais aussi tête brûlée et intrépide, Axelle, pour compléter le tableau, a aussi une plastique irréprochable. C'est bien simple, son coéquipier, Nils Sheridan l'Irlandais, en "Tomb Raider". Ce qui pimente l'action, déjà bien relevée, avec des "je t'aime moi non plus".



Bref, si vous aimez l'action, les retournements de situations, les mensonges, les trahisons, la manipulation, le suspens... ce livre est fait pour vous. Et attention, ici, tout file à la vitesse de l'éclair : ça bouge, ça s'agite, ça se déplace, ça conteste. Pas de temps mort, ni de descriptions qui alourdissent l'action, ici le texte est en grande partie constitué de dialogues.



Enfin, si vous pensez pouvoir vous reposer vers la fin, vous vous trompez : déjà une nouvelle enquête vous mène vers le prochain thriller. C'est que Christine Brunet sait appâter son lecteur...


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E16

Une auteure peu connue, mais avec un grand talent de l'intrigue. Dans un style agréable à lire, ce thriller, comportant moins de 200 pages ne fait pas véritablement peur, mais certains passages sont assez oppressants, épouvantables, même.



Un roman policier qui ne manque pas d'action : le lecteur n'a le droit à aucune seconde de répit, toutes les actions s'enchaînent inlassablement, et c'est tant mieux ! Des aventures toutes plus angoissantes les unes que les autres, et une intrigue qui tient en haleine jusqu'au bout : tout est réuni pour passer un bon moment de lecture. J'ai d'ailleurs lu ce roman d'une traite.



Dans une atmosphère noire, très sombre et oppressante, Christine Brunet nous fait visiter le côté noir de Londres, et ses quartiers plutôt malfamés.



J'ai trouvé la protagoniste de l'histoire vraiment sensationnelle. Cette jeune femme, mère d'un petit garçon précoce qu'elle ne voit presque jamais est également à la tête d'une grande brigade de policiers compétents. Doté d'un mental d'acier, d'une organisation hors pair et d'un fort caractère, elle sait se faire respecter. Elle a également un très grand coeur et est très courageuse, n'hésitant pas à se lancer corps et âmes dans ses enquêtes, à protéger ses coéquipiers ou les personnes dans le besoin. Même si elle ne révèle pas explicitement ses sentiments, nous constatons que les autres passent avant sa propre personne ! Son personnage m'a notamment beaucoup touché à la fin du livre.



Bien que je n'ai pas vraiment compris la définition de tous les terme tels que SPIE, l'IRA, l'E16, ça ne m'a pas empêché d'apprécier ma lecture. Je tiens quand même à souligner le fait que le dénouement m'a surprise, je ne m'y attendais vraiment pas du tout !



Une enquête policière rocambolesque sur fond de thriller, plongé au coeur d'un Londres noir.
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Nid de vipères

Si Anne Rice est la Maîtresse du fantastique, Christine Brunet, assurément, est la nouvelle Reine du roman policier... J'en suis à une centaine de pages, et je suis enchanté d'aller de surprises en surprises... J'ai du mal à ne pas lire les dernières pages pour conserver le suspense...
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Degats Collateraux

A mon retour de vacances, avant même d'avoir défait mes valises, je n'ai pu m'empêcher de parcourir le nouveau thriller de Christine Brunet, tant j'avais adoré son premier Nid de Vipères, publié aux Editions Chloé des Lys.



Je dois admettre que j'étais curieux de savoir si elle parviendrait à nouveau à me surprendre et aussi un peu inquiet qu'elle ne vienne démentir mes prédictions peut-être un peu trop optimistes… Son premier opus allait-il rester un joli coup isolé ? Pas facile en effet, lorsqu'on place la barre très haut au premier essai de faire mieux par la suite…



Première impression en découvrant l'ouvrage : c'est du pro ! La couverture est superbe, le quatrième de couverture plus qu'alléchant, la finition et la qualité du livre sont vraiment top. Comme mise en bouche, on ne pouvait rêver mieux.



Les soirées de lecture qui ont suivi ont été un pur bonheur. J'ai été littéralement emporté par cette enquête palpitante au cœur du Jura et ai retrouvé avec plaisir les deux protagonistes principaux de Nid de Vipères, Aloys Seigner, alias Axelle de Montfermy et Nils Sheridan.

Dégâts collatéraux se présente en effet dans la continuité du premier ouvrage, sans que la lecture de celui-ci ne soit vraiment indispensable pour la bonne compréhension des événements de ce nouvel épisode. Deux attaques de transports de fonds de la Monnaie de Paris servent de toile de fond à cette aventure qui place la toute nouvelle police européenne, dont nos deux héros font partie, sur la brèche. Je n'en dirai pas plus pour ne pas briser le suspense de cet ouvrage très réussi.



L'intrigue, à nouveau particulièrement bien ficelée, sans le moindre temps mort, est très dense et nous tient en haleine du début à la fin. C'est de l'action à l'état pur. L'histoire rebondit sans cesse avec brio grâce aux coups de génie et aux trouvailles de l'auteur. Les dialogues sont clairs et bien construits, les personnages toujours aussi attachants, on souffre parfois avec l'héroïne, le style, direct et efficace, a muri lui aussi, il est plus fluide. Comme par magie, Christine Brunet est parvenue ici à gommer habilement les aspects un peu durs et cruels de certains passages qui m'avaient dérangé dans Nid de Vipères et nous dévoile dans cette aventure tout son talent.



Son second roman vient amplement confirmer son premier essai et tout le bien que je pensais d'elle.

Si vous aimez les bons thrillers, les vrais romans policiers dans la plus pure tradition, alors dépêchez-vous de vous procurer le dernier ouvrage de Christine. Vous ne serez pas déçus.



En rugby, on appelle cela une pénalité décalée de 55 mètres, qui termine sa course entre les poteaux, à moins que ce ne soit simplement une transformation après un essai de génie…





Walter Macchi

www.waltermacchi.com
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Le dragon bleu

C'est le troisième polar que je lis de Christine Brunet. Je voulais redonner sa chance à cette auteure avec laquelle la magie de l'intrigue n'avait pas franchement opéré lors de mes deux précédentes lectures.

Aussi la couverture de celui-ci et son titre m'a attiré. Cette oeil bleu mystérieux de dragon m'a tout de suite fait penser à un bouquin de fantasy mais pas du tout on est bien ici dans du polar.

Mais alors que raconte "Le dragon bleu"

Alors que des témoins sous protection sont débusqués et tués, en France, le comportement de certains policiers déroute la FSE, la force Spéciale Européenne qui vient d'être mise sur l'affaire.

C'est plutôt complexe de vous résumer ce titre. Surtout que j’ai eu beaucoup de mal à adhérer à cette histoire. J’ai trouvé le sujet improbable. Je n’ai pas non plus apprécié le style. Je ne peux pas dire que c'est particulièrement mal écrit, non mais c’est bourré de clichés. J’aurai pu m’attacher à cette héroïne forte mais elle ne m’a pas su m’émouvoir.

Bref la rencontre avec ce livre ne s’est pas faite. Je le regrette mais c’est comme cela.

Du coup pas certaine de renouveler mon exploration du monde polardesque de l’auteure. Mais peut-être vais-je passer à coté d’une pépite. Pas grave, il sera toujours temps de la rattraper, je ne demande que ça !


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Nid de vipères

Je lis de nombreux premiers romans parce que j’aime assister à l’émergence d’une plume et suivre son évolution au fil des publications. C’est cette logique qui m’a amenée à lire Nid de vipères, le premier titre de Christine Brunet devenue, entre temps, une auteure reconnue pour ses romans policiers toujours bien ficelés. Et celui-ci n’échappe pas à la règle, laissant deviner un talent déjà bien maitrisé et qui ne pourra que se bonifier avec la pratique.



Dès les premières pages, le personnage d’Aloys est entouré de secrets et de mystères. Le fait qu’elle se dévoile peu la rend difficile à cerner mais attise aussi notre curiosité de lecteur. Les raisons qui la poussent à aider Nils Sheridan sont ainsi très floues et ne nous seront dévoilées qu’au compte-goutte. D’ailleurs, ce roman est l’occasion d’une première rencontre avec ce médecin et agent infiltré au MI6, que nous retrouverons dans d’autres livres de l’auteure.



Un thriller dense, qui ne nous laisse pas une minute de répit et qui confronte les personnages à un très grand nombre de situations totalement différentes. De la Polynésie française à Honk Kong en passant par Paris, le rythme est effréné et les surprises se multiplient. Seuls les passages autour de l’amour naissant entre Nils et Aloys nous autorisent un peu de calme, quoique les « amoureux » aient du mal à se comprendre.



Un très bon policier qui mêle enquête et vie privée, qui pourrait tout à fait être transposé à l’écran sous la forme d’une série policière tellement il est riche. Pour finir par une chute pour le moins étonnante, que l’on n’imagine pas une seconde.
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E16

J'accroche toujours autant...



C'est avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans ce quatrième opus (après Nid de vipères, Dégâts collatéraux et Le dragon bleu). Cette fois-ci Axelle de Montfermy doit mener une enquête sur Nils Shéridan et cette mission ne sera pas sans risques. Les retrouvailles des anciens amants vont être plus que... mouvementées!

Une aventure menée tambours battants, une Axelle de Montfermy toujours aussi "unbreakable" face à un Nils Shéridan torturé. Pas facile pour la jeune femme d'être confrontée à cet homme qu'elle a aimé passionnément, le père de son fils, et qui lui a fait également le plus de mal.

Cette fois-ci l'action se déroule à Londres. Si je me suis parfois perdue dans les différents intervenants: SPIE, FSE, Yard etc., honnêtement ça ne m'a pas gênée pour lire ce livre d'une traite. Le personnage d'Axelle est si peu conventionnel, presque surnaturel, il dégage quelque chose de très fort. C'est elle qui domine, qui mène la barque et les autres n'ont d'autre choix que de se plier à son bon vouloir.

Ce quatrième opus est un concentré d'actions, pas de temps mort, on est en apnée du début à la fin, les révélations s'enchaînent, dès qu'un élément gênant s'interpose, aussitôt il trouve une réponse, ça va vite, très vite et c'est génial! On ne sait pas vraiment si Nils est bon ou mauvais, puis tac: il se passe quelque chose qui fait que... et puis il y a aussi le moment où Axelle a un doute et tac: on repart dans une autre direction!

Bref, à lire!


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Le dragon bleu

L'avis de Walter Macchi pour Le Dragon bleu



J'ai particulièrement apprécié le troisième épisode de la saga d'Aloys Seigner et de Nils Sheridan, Dragon Bleu. A mon avis, c'est le plus réussi des trois ouvrages, probablement parce que l'analyse des personnages, désormais "bien installés" dans leur rôle, est y plus poussée, et sans rien dévoiler de l'intrigue, les espions/flics y apparaissent également sous un côté plus humain.



Le style du roman est très efficace, identique à celui déjà rencontré dans Dégâts collatéraux, beaucoup plus mûr que dans Nid de Vipères.



L'intrigue est solide et bien structurée. Les descriptions vraiment très réalistes des lieux et des personnages transportent le lecteur dans la réalité du trio de protagonistes principaux. (La description de la ville de Naples est une perle en soi.) La recherche des détails du monde occulte de l'espionnage est particulièrement soignée, ce qui rend encore plus "palpables" certaines scènes. Malgré l'habituel lot de victimes, j'ai eu l'impression que ce tome était moins noir que les deux autres, ce qui ma foi était agréable.



Le rythme de l'enquête est à nouveau très soutenu, on ne s'ennuie jamais. Au contraire, au terme de l'ouvrage, le lecteur réalise qu'il a bel et bien été mené par le bout du nez par l'auteure qui a un réel don pour brouiller les pistes et amener les rebondissements successifs, comme s'ils allaient de soi.



Comme dans toutes les séries, on aurait pu s'attendre à ce qu'il vaille mieux avoir lu les deux premiers épisodes pour percevoir la continuité du scénario mais là encore, Christine Brunet parvient à nouveau à nous surprendre en résumant habilement à plus d'une reprise les éléments clés de l'histoire.



Le dernier chapitre nous amène à penser que la saga est loin d'être terminée. Personnellement, j'attends la suite avec impatience.





Walter Macchi


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Nid de vipères

Pour découvrir l'avis des lecteurs, les fiches de lecture, rendez-vous sur le site de l'auteur www.christine-brunet.com ou sur bandbsa.be/contes.htm.
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Nid de vipères

Vous me connaissez maintenant, vous savez que j’aime lire les premiers romans et que j’aime entrer dans l’écriture de nos auteurs par leurs tous premiers écrits. Aussi, après avoir découvert la plume de Christine Brunet avec ce qui semblait être son second polar, je voulais commencer par le début et m’attaquer à son premier thriller « Nid de vipères ».

Alors de quoi parle ce premier roman :

Après une mission qui a mal tourné, l'agent secret Nils Sheridan est laissé pour mort. Il parvient à s'échapper et se retrouve face au commissaire divisionnaire Aloys Seigner, qui accepte de l'aider. A Paris, cette dernière est confrontée à une série de meurtres curieux qui l'entraîne sur les traces d'un psychopathe eugéniste et d'une substance capable de modifier la chaîne ADN humaine.

Nid de vipères est un thriller pas de doute mais un thriller qui se lit trop rapidement, un vrai page turner, un héros récurent Nils Sheridan. Je l’avais déjà rencontré dans "Dégâts collatéraux", un titre qui ne m’avait pas vraiment convaincu. Cette fois ce nouveau titre me laisse aussi un peu sur ma faim. Beaucoup de rebondissements, de l'action, une histoire complexe pour ne pas dire compliquée. J’avoue je n’y suis un peu perdue. Et surtout je n’ai pas été touchée par cette intrigue. Une lecture facile certes mais de celle que l’on oublie aussitôt le livre terminé. Oh je sais que ce roman a tous les ingrédients d’un bon thriller et que s’il n’ait pas fait pour moi, oui j’en attends beaucoup plus d’un polar maintenant, je suis sans doute devenu trop exigeante, je sais que « Nid de Vipères » peut plaire aux amateurs du genre.




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Non Nobis Domine

J’avais adoré le précédent roman de l’auteure et j’attendais beaucoup de celui-ci. Le fait que la quatrième de couverture dévoile un des thèmes majeurs du roman a un peu gâché ma surprise, d’autant que le sujet a déjà fait l’objet d’un nombre incalculable de romans ces dernières années et qu’il a perdu de son originalité et de son intérêt. Et si j’ai trouvé l’histoire moins crédible, Christine Brunet reste une auteure à suivre pour son style caractérisé par l’action et les rebondissements inattendus, avec juste ce qu’il faut d’histoire d’amour pour nous émouvoir, et qui nous emporte dans son imaginaire sans que l’on puisse lâcher son livre.



Le fait que l’héroïne de ce roman souffre d’un handicap m’a particulièrement interpellé. C’est la première fois que je lis un livre dont le personnage principal est chaisard et cette rareté témoigne d’une ouverture d’esprit que l’on retrouve peu en littérature.
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E16

Dès les premières pages, le décor est posé : plusieurs policiers sont retrouvés morts sur un chantier de construction et tout accuse Nils Sheridan, présent sur les lieux au moment de l’arrivée des autorités. Les preuves matérielles l’accablent mais cela semble trop simple, tous les éléments s’emboitent trop facilement… C’est la Commissaire Axelle de Montfermy qui est chargée de l’enquête mais Nils étant son collègue et ex-amant, les choses ne vont pas être simples.



E16 est un policier comme je les aime : de l’action, des quiproquos, de la manipulation et un suspense qui nous tient en haleine jusqu’à la dernière page, que demander de plus ?



Sans longueurs inutiles, l’enquête avance vite et nous immerge complètement au cœur de l’équipe qu’Axelle dirige d’une main de fer mais que tous apprécient. Le roman jongle efficacement entre trafic de drogue, menaces de morts à l’encontre d’Axelle, flics corrompus et guerres religieuses sans jamais tomber dans l’excès mais en nous faisant réellement ressentir la tension présente entre Axelle et Nils. Même si j’avoue que je perdais parfois un peu le fil entre l’Irlandais, le Hollandais, le Grec et l’Ecossais, j’ai apprécié ce très bon policier que je verrais bien adapté au cinéma tellement l’écriture de Christine Brunet est visuelle, sans être trop descriptive.



Et si Axelle et Nils ont déjà eu l’occasion de collaborer sur d’autres enquêtes, on réussit malgré tout à suivre l’histoire sans avoir lu les tomes précédents. Pire, la lecture d’E16 donne envie de se plonger dans leurs autres aventures !



Bon, vous l’aurez compris, j’ai adoré ce roman, que je vous recommande de lire de toute urgence !



Découvrez aussi l’interview de l’auteure sur le blog, elle explique la genèse d’E16, partage sa passion pour la littérature et nous fait part de ses projets d’écriture…
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Le dragon bleu

J'ai commencé par Le Dragon bleu. L'intrigue est posée dès les premières pages. Le récit est très rythmé. Et même si, de temps à autre, j'ai eu l'impression de passer à côté de quelque chose concernant le passé des personnages, je me suis laissée aller à la découverte et j'ai été prise au jeu. J'ai retrouvé Naples et même un peu plus. Une lecture qui a entraîné la découverte du précédent roman de cet auteur. Pas déçue du tout !
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Le dragon bleu

Un troisième volet très réussi!!!



Après Nid de vipères et Dégâts collatéraux voici enfin la suite des aventures d'Aloys Seigner/Axelle de Montfermy et Nils Shéridan.

Un récit toujours aussi palpitant. J'ai une fois de plus été complètement embarquée par les aventures incroyables de cette femme hors du commun qu'est Axelle. Même si il y a une petite part de surnaturel, on plonge la tête la première. Le récit est mené tambours battant, il y a de l'action à chaque page, des renversements de situations et... des révélations!

Attendez-vous à être surpris par ce volume car les masques tombent et de vieux fantômes refont surface.

Moins charnel que les deux précédents volets, j'ai trouvé Le dragon bleu plus intime et encore plus abouti que les autres. J'aime cette façon qu'à Christine Brunet de nous faire voyager et de mettre en danger son héroïne. Le côté "unbreakable" d'Axelle passe décidément toujours aussi bien même si cette fois, son cœur va être plus que mis à rude épreuve. Sa relation avec Nils n'est décidément pas simple. Sauront-il se retrouver?



Je suis complètement accro pour ma part au style de Christine Brunet (que je remercie également pour sa très gentille dédicace). Je me suis une fois de plus régalée!!!

A découvrir au plus vite!!!




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Degats Collateraux

Un polar comme il y en a tant, sans réelle surprise au bout du compte. Le style concis, presque télégraphique m'a quelque peu dérangé.

A découvrir malgré tout.
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Le dragon bleu



Critique sur Parfums de livres



Quatrième de couverture:



Naples.

Des témoins sous protection sont débusqués et éliminés. En France, le comportement incohérent de certains policiers ébranle la toute jeune Force Spéciale Européenne, mise sur l'affaire. Entre défiance et révélations scabreuses, l'enquête entraînera les héros sur les traces du Dragon bleu et de ses mystérieux maîtres... Un chassé-croisé dont aucun ne ressortira indemne.



Un troisième volet très réussi!!!



Après Nid de vipères et Dégâts collatéraux voici enfin la suite des aventures d'Aloys Seigner/Axelle de Montfermy et Nils Shéridan.

Un récit toujours aussi palpitant. J'ai une fois de plus été complètement embarquée par les aventures incroyables de cette femme hors du commun qu'est Axelle. Même si il y a une petite part de surnaturel, on plonge la tête la première. Le récit est mené tambours battant, il y a de l'action à chaque page, des renversements de situations et... des révélations!

Attendez-vous à être surpris par ce volume car les masques tombent et de vieux fantômes refont surface.

Moins charnel que les deux précédents volets, j'ai trouvé Le dragon bleu plus intime et encore plus abouti que les autres. J'aime cette façon qu'à Christine Brunet de nous faire voyager et de mettre en danger son héroïne. Le côté "unbreakable" d'Axelle passe décidément toujours aussi bien même si cette fois, son cœur va être plus que mis à rude épreuve. Sa relation avec Nils n'est décidément pas simple. Sauront-il se retrouver?



Je suis complètement accro pour ma part au style de Christine Brunet (que je remercie également pour sa très gentille dédicace). Je me suis une fois de plus régalée!!!

A découvrir au plus vite!!!



Paru le: 6 janvier 2012

Editeur: Pierregord (Editions du)

Collection: Encre rouge

ISBN: 978-2-352-91114-2
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Nid de vipères

Gauthier Hiernaux a lu Nid de vipères!



Je l’attendais depuis longtemps…

Christine Brunet était, pour moi et avant tout, la maman dévouée des blogs Aloys et Passion créatrice, deux outils promotionnels et dynamiques destinés aux auteurs de la maison d’édition Chloé des Lys.

Quand elle m’a annoncé l’arrivée de premiers exemplaires, je dois avouer que je l’ai un peu pressée pour l’obtenir en primeur.

Un peu plus de quatre cents quatre-vingts pages, une superbe couverture qui m’avait séduit des semaines auparavant, un texte aéré et propre, une écriture extrêmement fluide.

« Nid de Vipères » est présenté par son auteur comme un polar-thriller mais, au-delà de toute l’enquête dont je ne dévoilerai rien (ou très peu) pour ne pas déflorer ce sujet, ce sont les aspects humains qui n’ont surtout intéressés.

L’héroïne, Aloys Seigner, est une personnalité comme je les aime : complexe et torturée, une femme forte et fragile à la fois, pleine de contradictions et de doutes.

La maladie qui la ronge et contre laquelle elle se bat sans cesse, la rend désespérément attachante.

Nils Sheridan, le « faux Bob » (en comparaison avec notre « vrai Bob » ), le premier rôle masculin de « Nid de Vipères », est autant professionnel quand il s’agit de mettre en pratique ses qualités d’agent du gouvernement, que « chien-fou-qui-court-après-chaque-bagnole » quand il est confronté aux femmes. On se surprend parfois à vouloir pénétrer dans le livre pour lui en coller une quand on assiste à ses réactions face à Aloys. Mais on lui pardonne l’instant d’après quand, suite à un acte de bravoure, il se rachète… ou, tout simplement parce qu’il réagit en être humain, faible et désemparé.

« Nid de Vipères » est un livre qui n’a rien à envier aux best-sellers américains. Ce qui le différencie, c’est l’approche particulière de Christine et son amour pour les voyages qui transparaît au fil du récit.

La Polynésie, Paris, Hong-Kong, Malte, la Birmanie… autant de destinations qui nous font rêver et qu’Aloys et Nils traverseront tout au long de l’histoire, pour notre plus grand bonheur.

Ce livre, je l’ai lu rapidement, trop vite sans doute parce qu’il donne une impression de vitesse dans l’action. « Nid de Vipères » est un bolide lancé à deux cents à l’heure sur une autoroute à quatre bandes et qui nous promet une suite tout aussi dingue !

Quoi ? Elle n’est pas annoncée ?



Gauthier Hiernaux

grandeuretdecadence.wordpress.com

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Nid de vipères

Bob Boutique a lu Nid de vipères !



Normalement, quand on arrive au bout d’un bouquin de 485 pages, on doit pousser un petit ouf d’étonnement ou d’admiration… mais sûrement pas de soulagement. Sinon on l’aurait abandonné en cours de route.



J’ai déposé le livre sur la table et souri. Car j’étais sûr que la petite Christine nous réserverait une chute de derrière les fagots. Puis j’ai fait un peu d’introspection, comme lorsqu’on sort du bruit et de la fureur d’une salle de cinéma, les yeux encore remplis d’images virevoltantes. Quelle gonzesse que cette Aloys Seigner, commissaire principal de la police judiciaire et héritière d’une des plus grosses fortunes du monde. Une sorte de Largo Winch au féminin.



Puis j’ai râlé un peu sur mes amis Gauthier Hiernaux et Nadine Groenecke qui m’avaient brûlé la politesse en publiant leurs commentaires avant moi ( je pensais avoir reçu le roman avant tout le monde ) et en plus, avec les mots que je m’apprêtais à écrire : une histoire menée tambour battant, à deux cents à l’heure etc… etc…



Vrai. Tout est vrai. Si vous entrez dans ce ‘nid de vipères’, vous ne pourrez pas en ressortir avant la dernière page. Ou alors, c’est que vous n’aimez pas les thrillers à l’américaine, avec des super héros qui se baladent à travers la planète comme vous passez de la cuisine au salon et n’ont jamais le moindre problème pour trouver un hôtel ou acheter un billet d’avion.



Elle me fait penser quelque part aux romans de Jean Vigne. En différent évidemment.



Je ne vous raconterai pas l’histoire. D’abord pour ne pas vous gâcher le plaisir de la lecture, car ça rebondit à chaque chapitre et rebat les cartes toutes les cinquante pages, au moment ou vous croyez avoir pigé. Ensuite, parce qu’il suffit de se laisser emporter, comme un surfeur sur un spot, style ‘mission impossible’ ou mieux ‘Tomb raider’, car là aussi il y a un gars musclé à la peau couleur de miel pour épauler ou… enfoncer Angelina Jolie.



Mais attention, avec une différence essentielle. L’héroïne de Christine Brunet est beaucoup plus qu’une figurine de cinéma, qui garde un maquillage impeccable et une allure de gazelle même après un combat de kung-fu ou une semaine de jungle birmane sans boire ni manger. Aloys Seigner est un vrai personnage, torturé, malade, à bout de souffle… une femme qui souffre, qui vomit et aime quelqu’un dont jusqu’ à la fin du livre on a constamment envie de casser la gueule !



Ce quelqu’un, s’appelle Nils Sheridan est irlandais, beau comme peut l’ être un grand rouquin aux yeux azur et ( mais là on n’est pas très sûr non plus , p’têt que c’est vrai, p’têt pas ) fourbe et lâche comme une vipère. Un jour de son coté, un autre dans le clan des mauvais !



Même ceux-là ne sont pas certains. Car rien n’est plus faux qu’un agent double ou triple qui essaie d’infiltrer des consortiums obscurs dans lesquels on retrouve des entreprises mondiales dévoyées, des savants psychopathes , les triades de Hong-Kong et j’en oublie au passage.



Bref, vous n’avez pas intérêt à sauter des pages, ni à laisser passer quelques jours dans votre lecture, si vous voulez rester dans le coup. Je vous conseille même de noter quelque part (moi je griffonne carrément sur les pages blanches du bouquin ) les noms des protagonistes au risque de ne plus très bien comprendre qui fait quoi. Surtout lorsqu’on parle de la famille Seigner où ( je peux vous l’apprendre, sans dévoiler le récit ) on trouve quelques belles ordures et un fameux sac de mensonges bien enchevêtrés.



***



Bon reprenons le bouquin en mains. La couverture est superbe, c’est un bel objet bien imprimé (je l’ai tourné et retourné dans tous les sens pendant une semaine et il n’a pas bougé) avec un marque-page adapté qui rappelle au passage que Christine a publié un autre roman chez un autre éditeur. 10 sur 10 pour le marketing.



Le style est vif, direct, à l’américaine et ne s’encombre pas de littérature pompeuse. Avec des dialogues qui sonnent juste et des paragraphes courts et bien découpés. Comme un scénario de film. On court à l’essentiel. Pendant cinq cent pages ? Oui , pendant cinq cent pages. C’est dire s’il s’en passe des choses !



Avec toutefois quelques lignes par ci par là pour nous rappeler qu’elle est une écrivaine et sait aussi nous forger de jolies phrases : « … elle parvint au bord d’un étang à la surface étincelante sous les reflets de la lune. Elle s’assit au pied d’un grand chêne, entre deux grosses racines et respira à plein poumons les senteurs nocturnes. L’endroit était particulièrement bruyant, rempli des chants des grillons, des coassements des grenouilles et des crapauds, de légers clapotis, du bruissement des feuilles sous le léger souffle de la brise, de l’appel des hiboux, des glissements des petits rongeurs sous le feuillage sec. »



Elle a tout d’un grande, mais faut suivre… car ce livre est plein de détours, de circonvolutions et même parfois de zigzags. Pour mieux nous leurrer ? Sans doute. Mais je la soupçonne aussi de se complaire dans l’univers qu’elle a inventé. Elle aime ses personnages, elle en est dingue, surtout de son Aloys que je l’imagine mal abandonner après un seul roman. Même si…



Une chose est certaine. Je commande déjà le prochain livre de Christine Brunet. Même s’il n’est pas encore commencé.







Bob Boutique

www.bandbsa.be/contes.htm



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Nid de vipères

Walter Macchi a lu Nid de vipères !



Début avril. Je viens de déménager, ne suis pas encore tout à fait installé dans mon nouvel appartement quand le livre de Christine arrive dans ma boîte aux lettres. C'est un des premiers courriers, un présage peut-être…



Un enfant, le boulot, des milliers de choses à faire, un tas de formalité à remplir, le livre que je dépose sur une pile de cartons en attente au milieu du salon. Une semaine passe. Les jours s'écoulent comme une course sans fin. Finalement le weekend pour mettre un peu d'ordre dans ce capharnaüm, je range toute la journée. Lorsque le soir arrive, je m'attaque à ses foutues caisses.



Je saisis ce Nid de Vipères un peu volumineux mais à la couverture très réussie. Je l'ouvre pour y jeter un œil tout en grignotant un sandwich, lis les premières pages, fais la connaissance du Commissaire divisionnaire Aloys Seigner, termine le premier chapitre, puis le second. La nuit tombe…



Ma première impression : c'est pas bon ! Non, ce terme est mal choisi. c'est tout simplement excellent !



Maintenant que je l'ai terminé, ou plutôt dévoré, je peux vous dire que l'intrigue de ce polar qui flirte avec le roman d'espionnage est particulièrement bien ficelée, le rythme soutenu, les dialogues bien construits. Les voyages à travers le monde nous emmènent sur les traces d'une héroïne particulièrement attachante, les personnages plus vrais que nature ont du corps, ils sont froids et cruels par moments, dérangeants à d'autres, le scénario est plein de rebondissements et la fin tout à fait étonnante. Après avoir tourné la dernière page, j'ai regretté que le livre soit déjà fini. En deux mots, une perle !



Avec Nid de Vipères, j'ai eu l'impression de renouer avec la grande tradition du polar à la française, avec une touche de Brunet et un style bien particulier en plus. Du grand art.



Pour un premier roman publié, c'est un coup de maitre et il y a fort à parier que ce ne sera pas le dernier et qu'on entendra bien vite parler d'Aloys Seigner.



Je conclurais en disant que les caisses trônent toujours dans mon salon…





Walter Macchi

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Nid de vipères

Nils Sheridan, en mission d'infiltration qui a mal tourné, parvient à échapper à ses tortionnaires qui l'ont laissé pour mort, et se réfugie clandestinement sur le voilier d'une inconnue, la commissaire Aloys Seigner, qui profite de ses dernières semaines de

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villégiature avant de gagner Paris où elle doit prendre sa nouvelle affectation et relever le difficile défi de remplacer le commissaire Karmann, considéré comme irremplaçable par ses collaborateurs. "Aloys Seigner arrivait là comme un cheveu sur la soupe...Sans doute trop tendre pour un poste pareil, sans connaissance du milieu et même des procédures du service puisqu'elle venait de la PAF, planquée en Polynésie..." (Page 37).

Après avoir fait la connaissance de son passager clandestin, elle lui fait une proposition surprenante: se faire passer pour son ex-mari dont elle a conservé les papiers d'identité, rentrer ensemble à Paris et l'héberger le temps qu'il trouve un job. Dans un premier temps surpris et se demandant ce que cela cache, dans un monde où rien n'est jamais gratuit, mais pas l'entraide, Nils finit par accepter.

Dans quelle nouvelle galère vient de s'embarquer Aloys alors qu'elle doit faire ses preuves en tant que nouvelle commissaire, que son mari vient de la trahir une fois de trop et que sa santé se détériore? Tandis que sa vie privée prend un tour inattendu, enquêtes et interventions la mèneront sur les traces de tueurs redoutables et de trafics honteux où la vie humaine ne pèse pas plus que le poids d'une plume...



Pour son premier roman, Christine Brunet a placé la barre très haut: une intrigue complexe où se mêlent éléments de l'enquête principale, les nombreuses autres affaires sur lesquelles la commissaire Seigner et son équiper enquêtent; les fils des différentes trames courent au sein de l'histoire comme des tentacules toujours plus invasives; mais également les vies privées des personnages principaux et les problèmes auxquels ils sont confrontés. De quoi se perdre pour un auteur non averti, ce qui visiblement n'est pas le cas de Christine.

Ne pas oublier l'agent Sheridan et sa mission d'infiltration, certes mise en sourdine pendant les trois quarts du roman, mais qui revient à la fin. Je ne vous en dirai bien entendu pas une syllabe de plus...Force m'est de signaler, dans un souci d'honnêteté et de respect envers l'auteur, de petites erreurs dans les détails, notamment la secrétaire de Chanteloup qui change miraculeusement de nom en cours d'histoire; où le salutaire coup de téléphone du légiste capable de transmettre les résultats d'autopsie de cadavres non encore découverts...

Sa plume est acérée, aussi nette et précise qu'un scalpel bien aiguisé. Elle va au fond des choses, elle triture l'abcès jusqu'à le faire crever et que se répande le liquide purulentqu'il renfermait. Ses personnages sont torturés à souhait, engoncés dans une gangue de sentiments contradictoires, de peurs, de fantasmes aussi. En tout cas, ils posent question à nous pauvres lecteurs embarqués dans cette périlleuse aventure pour notre plus grand bonheur !!!
Lien : https://legereimaginarepereg..
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