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Citations de Cyril Massarotto (490)


On a les amis qu'on mérite.
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L'homme n'est intense que quand il parle ; il n'est véritable que lorsqu'il dit.
La parole est la majuscule de l'Homme.
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Au bout d'un moment , je lui ai dit qu'elle me fatiguait avec son histoire d'horloge ; du coup , un jour , elle est allée demander l'heure au voisin , et elle a eu son enfant .
Avec lui.
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Je pense profondément que rien de mauvais ne peut surgir d'un livre. Jamais. A-t-on vu des gens tuer après avoir lu un livre ? S'étriper à la lecture d'un roman ? Non, en aucun cas. Car la littérature et la poésie sont ce qu'il y a de meilleur, en l'homme.
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-Attends, mets-toi à ma place, rencontrer Dieu, ça fait quelque chose ! Un peu comme la fois où j'ai vu Ophélie Winter pour de vrai dans la rue...
-Merci de la comparaison...
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Ce que je veux te faire comprendre, c'est qu'il faut juste vivre, prendre les choses comme elles viennent. Le bonheur n'est pas un projet. Sois-en bien conscient. Vis, et ne t'encombre pas l'esprit de questions inutiles.
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Ce jour-là, j'ai compris pourquoi Alice chantait toujours une petite chanson à notre fils au moment du coucher. Ce n'est pas uniquement pour qu'il s'endorme, c'est aussi pour le protéger. Une berceuse pour le protéger d'un futur où il devrait abandonner la lutte contre ses pensées. Une berceuse pour qu'il ait le courage de lutter contre lui-même. Une berceuse pour qu'il devienne un homme.
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Les passions ne sont dévorantes que si on les nourrit suffisamment ; dans le cas contraire elles dépérissent et l'on en vient à oublier qu'elles sont là, tapies au fond de nous.
P129
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Il dévore tous types de romans, de manière compulsive, l'idéal étant de finir un livre le jour où il le commence afin que son sommeil ne soit pas perturbé par l'envie de connaître la fin.
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Peut-être que le plus important n'est pas l'amour, mais la personne qui nous apprend à aimer
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Savoir numéro Trois, tout ce qui a trait aux Hommes, c'est moi, donc je peux tout me permettre. L'amour, c'est moi, la poésie c'est moi, la vulgarité c'est aussi moi, la littérature c'est moi, la musique c'est moi, l'humour c'est moi...
- La modestie c'est quelqu'un d'autre apparemment...
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Il paraît que c'est très féminin d'augmenter les doses de sucre quand le moral n'est pas au top ; eh bien, nous dirons que ma part de féminité se cache là, au fond du pot de Nutella.
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Les anges gardiens, les vrais, ils sont sur terre, avec nous. Les anges gardiens, ce sont ceux qui nous rendent heureux, qui nous disent qu'ils nous aiment, qui nous soutiennent quand ça ne va pas bien. Les anges gardiens, ce sont ceux qui ne savent trouver les mots. Car c'est ici-bas qu'ils nous apportent la joie et qu'ils veillent sur nous ; ce n'est qu'entre leurs bras que nous sommes véritablement heureux.
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- Attention, dès que j’ai fini de te la poser, tu as dix secondes pour répondre, pas une de plus !
- Oui, j’ai compris ! Vas-y.
- Alors voilà. Dieu apparaît devant toi…
- Ça commence bien.
- Il claque des doigts et tu te retrouves dans une pièce un peu vieillotte. Dans cette pièce il y a un berceau, et dans le berceau, un bébé.
- Un bébé, dans un berceau ? Quelle surprise, ça commence fort !
- Attends, tu vas moins faire le comique. Dieu claque à nouveau des doigts, et un grand couteau apparaît dans ta main. Un couteau de boucher, hein, énorme, affûté commune une lame de rasoir. Là, Dieu te dit : ‘Je viens de nous transporter en Autriche en 1889. Ce bébé, devant toi, s’appelle Adolf Hitler. Tu as dix secondes avant que nous revenions dans le présent.’ Que fais-tu ? Dix secondes.
- Je dois tuer Hitler ? C’est ça ?
- J’en sais rien, à toi de me dire. Huit, sept, six…
- Mais je ne peux pas poignarder un bébé !
- Mais en faisant ça, tu sauves des millions de vie ! Quatre, trois…
- Attends, mais quand même, un bébé, je…
- Un, zéro ! Perdu !
- Mais il est nul, ton jeu ! Elle vaut rien, cette question ! En dix secondes, j’ai pas eu le temps de réfléchir ! Tuer Hitler, d’accord, mais en petit bébé…
- Alors ? Qu’est-ce qui est bien ? Qu’est-ce qui est mal ? Le tuer à coups de couteau ou pas ?
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Aimer et être libre. Le reste, ce n’est que des secondes vides, qui se perdent.
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La vie les a séparés il y a environ dix ans, mais ces années d'éloignement ont disparu en l'espace d'un instant. C'est le miracle de l'amitié, celui que l'amour lui envie tant.
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Amour, espoir et résignation: les 3 maux qui nous forcent à vivre.
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Prend-on la réelle mesure de nos sentiments si on ne les dit pas?
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L'avantage quand on est vieux, c'est qu'on n'a plus la sale tête au réveil tellement la normale est déjà abimée.
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J'ai appris à pleurer en silence. Un silence total : pas le moindre sanglot, pas le plus petit reniflement, rien.
J'aurai pu être un agent secret des larmes, le 007 de la tristesse, impossible à démasquer.
C'était ma grande fierté : personne n'a jamais su que j'étais un petit garçon désespéré.
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