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Citations de Dorothée Piatek (43)


Il existe les enfants et les drames. Moi, je suis un drame
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On venait de m’écarter de ma vie, on m'a mis au ban des criminels. Dans neuf ans je ferai cette même traversée en sens inverse, l'esprit riche d'un métier que je n'aurai pas choisi.
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Le rire n'a pas de drapeau et l'amitié pas de frontière.
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Il faut que vous m'aidiez à trouver une épouse. Une épouse qui posséderait deux qualités fon-da-men-tales !
1. Qu'elle aime mes proportions.
2. Qu'elle ait des pieds de taille respectable.
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La mer, c'est un peu le paradis, je me suis dit, alors comment ne pas l'aimer?
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Très beau livre mêlant tristesse et dureté de la vie. Au bagne de Belle-Ile en Mer, la vie n'est pas facile, comme nous le montre ce livre, où Marcel, emprisonné comme voleur, devra surmonter le regard des autres, la faim et les coups des surveillants.
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En 1914, Pierre, instituteur dans l'école de son village, doit quitter sa femme Élisabeth pour aller combattre au front contre les Allemands. Pierre ne voit plus sa femme et les enfants de son école. Mais il peut leurs écrire par lettre.
Exemple: "Nous sommes épuisés. Il nous faut chaque jour chercher des forces que nous ne trouvons plus. Hier, on nous a fait chanter des chants patriotiques alors que le ronflement des canons se faisait entendre à moins d'un kilomètre.
Au loin, je voyais les maison qui flambaient comme des torches, quel spectacle!
Élisabeth, j'ai l'impression d'être poursuivi par la mort. je t'écris cette lettre avant d'entrer dans le champ de bataille car je crains pour ma vie. Tant de mes camarades sont déjà tombés...
Ce sont tes yeux et ton joli sourire qui m'accompagneront si je viens a mourir.
Sois courageuse ma chérie"
A la fin il prennent la route, une longue route qui les conduira vers leur nouvelle vie. Une vie qu'ils souhaitent douce et tranquille, sans se douter qu’Élisabeth les y attend...
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Calme-toi,j'ai quelque chose à te dire. T'es mon pot'Pierrot? Lui demande Gariel.
-C'est le moment de me demander ça ? répond Pirre.
-Je voulais te dire adieu, parceque je quitte le camp ce soir. On va me chercher partout, mais personne ne doit le savoir que tu ma vu. Si tu parle, je suis un homme mort. Jesais que je peux te faire confiance. Tu vas me manquer..."
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Aujourd'hui, dans la vie de mamie, les mots se promènent à l'envers, à l'endroit, ils n'en font qu'à leur tête. ... Je me souviens pour elle...
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Avant d'aller visiter Arras je voulais lire des livres. J'ai trouvé celui-ci qui m'a bien illustré la visite des carrières de Wellington. Un soldat anglais passe une semaine dans ces carrières avant l'attaque surprise le 9 avril 1917 à 5h30 au delà de la ligne de front.
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L’abbé Florant le Bon était la bonne conscience du seigneur Walter. En contrepartie des orgies et des guerres sanglantes auxquelles il se livrait. Walter exigeait de l’abbé qu’il offrît la charité aux voyageurs passant par Lisley Bataille. L’enfant venant de lui être confié effaçait donc l’horreur de la prise du Fort Noir. L’abbé savait que Walter de Montrouge oublierait la petite dès que les portes de la chapelle se refermeraient et qu’à la même seconde il deviendrait sa seule famille.
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Pierre est un instituteur français qui quitte son établissement scolaire, sa femme, ses élèves pour partir à la 1ère guerre mondiale; il écrit beaucoup à sa femme et aussi a ses élèves, il envoie des photos de lui et de ses camarades pour les prévenir que tout va bien; il leur raconte la guerre. Il restera 4 longues année dans les tranchées, il attend que la guerre se termine enfin pour retrouver l'amour de sa vie. J'ai trouvé ce livre très bien car c'est une belle histoire. Je le conseille.
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« Il existe les enfants et les drames. Moi, je suis un drame. »
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Monsieur Hoc porta une main sur son coeur et entraïna son visiteur à l'abri des oreilles indiscrètes. "Où as-tu trouvé cette fleur? Est-elle jolie? Sent-elle bon? Combien de pétales a-t-elle? Son coeur est-il d'or?
-Vous êtes bien curieux". s'étonna l'enfant.

Monsieur Hoc pleura comme un gros bébé avant d'avouer:
"Je rêve d'avoir une fleure depuis si longtemps...
-Si vous me donnez de l'eau, je vous offrirai une graine.
-Oh, petit... comme tu es gentil...
-Mais vous me promettez d'en repndre soin? insista l'enfant.
-Promis, juré, cra...
-C'est bon Monsieur Hoc, marché conclu." dit l'enfant
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Je ne peux te donner plus de détail sur ma détention car le courrier est lu, et il nous est interdit d'écrire plus d'une fois par semaine. Mon parcours dans cette guerre est insensé, il me faudra des années pour tout te raconter, si je raconte un jour...
Je t'embrasse.
Pierre
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Parce que la nuit était devenue éternelle, l'allumeur de rêves travaillait inlassablement pour apporter un peu de lumière sur la Terre. Les nuits s'enchaînaient, identiques aux précédentes, pareilles à celles à venir.
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J'ouvris la fenêtre pour regarder au loin. Le ciel bleu s'étirait toujours vers l'infini, bien au-delà de la ville. Mais le bout du monde, je ne le voyais plus. L'horizon était devenu une frontière sur laquelle butait mon esprit.
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Les pavés sont balayés et recouverts de sel pour la seconde fois de la journée. Le ciel de Gion s'est assombri, la lueur des lampions sous lesquels dansent les premiers flocons de l'hiver ont pris le relais du soleil.
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Vous y trouverez quelques photos, un carnet, la plaque de matricule et les deux boutons de manchette de votre mari…
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Une vingtaine de gars sont regroupés dans un trou d’obus, rangés comme des fourmis, le fusil sur l’épaule. Gabriel voit les casques ronds posés sur les têtes, les bardas alourdis par la boue. Il fixe l’horizon où des soldats tourbillonnent sous les balles, c’est irréel. Il n’entend plus aucun bruit. Seule la douce mélodie d’un piano file devant ces images comme pour les adoucir. Les fumées noires montent lentement vers le ciel et soudain les hommes se jettent dans les bras du diable.
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