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Critiques de Elif Shafak (779)
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Crime d'honneur

Quel beau livre...quelle histoire poignante, quelles destinées bouleversantes....!



Ce roman nous permet de comprendre, de vivre les difficultés, les angoisses, les terreurs, les hontes, les dilemmes de cette famille turque exilée au Royaume Uni. J'ai eu peur, j'ai tremblé avec Pembe ; tout au long de cette tragédie, j' ai pensé à toutes ces jeunes filles qui se cachent de leurs grands frères pour aimer, qui résistent et font face aux pressions familiales avec courage...

Cette famille turque aurait pu être irakienne, palestinienne.... prise dans un véritable étau formé d'un côté par la culture d'origine, de l'autre par la culture du pays d'accueil.

Ce roman est tout en nuance.

Il ne porte de jugement sur quiconque et avec beaucoup de délicatesse, nous fait pénétrer dans les profondeurs des âmes...

Comme Pembe, nous voulons aussi pardonner Iskender.



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Soufi, mon amour

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Crime d'honneur

Ce roman est intense et parfois déroutant. D'autant qu'il est un peu difficile à suivre, au début, à cause de nombreux aller et retour dans le temps. Au fil des pages, tous les morceaux du puzzle finissent par se mettre en place.
Lien : http://rss.lapresse.ca/c/336..
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La Bâtarde d'Istanbul

: A la fin des années 1990, chez les Kazanci, famille turque d'Istanbul, les femmes sont de grandes amoureuses, tandis que les hommes ne vivent pas vieux. Chez les Tchakhmakhchian, installés à San Francisco, Rose abandonne son époux et se remarie avec un Turc. Armanouch, sa fille, se rend à Istanbul et rencontre Asya, la plus jeune des Kazanci, la bâtarde. Peu à peu des secrets se révèlent.
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Crime d'honneur

Un monde où règne un code d’honneur qui provoque la mort sociale des hommes ayant échoué à se comporter en hommes, et la mort bien réelle de plusieurs de leurs parentes [...] Shafak montre que les femmes ont leur part de responsabilité dans ce système : notamment en élevant leurs fils comme des « sultans ».
Lien : http://www.books.fr/en-libra..
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La Bâtarde d'Istanbul

Gynécée, odeurs d'Orient et d'Occident, Arménien, Istanbul, viol, inceste...
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La Bâtarde d'Istanbul

Quand deux demi-soeurs se rencontrent presque par hasard à Istanbul alors que l'une a été élevée dans la tradition arménienne et l'autre dans la turque, il y a forcément du Elif Safak derrière tout ça.

Un style enlevé, un humour décapant, un petit bijou à savourer comme un loukoum/
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La Bâtarde d'Istanbul

vrai guide touristique si vous visitez Istanbul
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La Bâtarde d'Istanbul

deux adolescente, une arménienne et une turque se rencontrent. Si l'Histoire les sépare, leur rencontre leur permet d'analyser les différents héritages du génocides arménien. L'intrigue est prétexte à l'analyse de deux communautés fortement ancrées dans les traditions, de deux familles matriarcales où toute vie individuelle est impossible. Livre très intéressant sur le thème du poids de la famille, de l'héritage de l'Histoire (identité arménienne fondée sur la haine des Turcs) et les histoires (absences de hommes, père inconnu, viol...)
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Soufi, mon amour

JI aí adoré. Ce qui m a frappé c est comment deux êtes tellement différents se retrouvent et s aiment.
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Bonbon palace

Bonbon Palace est un immeuble croulant, miteux, à bout de souffle. Une dizaine d’habitants pour un millier de cafard, poux et autres bestioles qui pullulent, une odeur putride et des habitants… pittoresques. Au fil des chapitres on découvre les portraits de ces habitants.

On s'imagine à Istanbul avec ses bruits, ses odeurs, certains passages sont trop longs à mon goût (flash back de certains locataires), on décroche facilement
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La Bâtarde d'Istanbul

D'un côté, Istanbul, une famille turc ou les femmes ont toutes une forte personnalité et une histoire familiale que l'on préfère passer sous silence...

De l'autre côté, une famille arménienne vivant en Arizona ou le passé est lourd et très présent dans la mémoire familiale...

Au fil des pages de ce roman, Elif SHAFAK nous conduit dans l'histoire de ces deux familles très éloignées qui petit à petit se rejoignent en faisant remonter à la surface tant de secrets...

La cuisine est très présente dans ce roman et pour ma part la lecture a été un peu compliquée par l'évocation de tous ces plats mais j'ai aimé partir à la rencontre de ces cultures si proches et si tristement éloignées dans le même temps.
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La Bâtarde d'Istanbul

Cette histoire de destins croisés entre une famille turque et une famille arménienne est magnifique; je me suis retrouvée très vite plongée dans cette histoire mais je me suis retrouvée frustrée quand la dernière phrase du livre est apparu; je serai bien restée encore un peu au milieu de toute ses femmes.
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La Bâtarde d'Istanbul

C'est un roman qui se dévore au sens propre du terme : Elif Shafak crée une atmosphère gastronomique que l'on soit aux Etats-Unis ou à Istanbul. C'est une découverte complète de la culture stambouliote. Dynamique et précise, l'auteur tient son sujet même s'il s'agit d'un thème aussi fragile que le génocide arménien.
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Bonbon palace

Au delà de ces bémols, il est un talent que l'on ne peut renier à Elif Shafak, celui de conteuse, celui de savoir manier les mots qui roulent sous la langue comme le bonbon qui donne son nom à l'immeuble. Elle joue avec, les marie, les répète, les énumère pour en faire par moment une musique poétique. Ce sont ces mots, cette musicalité qui m'ont aidé à terminer cette lecture, que je rapprocherai d'ailleurs grandement de Chicago d'Alaa El Aswany, qui m'avait également laissé un sentiment mitigé.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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La Bâtarde d'Istanbul

Une histoire originale, une très belle écriture, des personnages atypiques, et tout ça sur fond de génocide arménien et de recherche de ses origines.



Un très beau premier roman et une belle leçon d'histoire.



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La Bâtarde d'Istanbul

J’ai tout simplement dévoré ce livre avec gourmandise, à l’instar des nombreux protagonistes du roman qui passent, disons-le, beaucoup de temps à table. Il faut dire que dans la famille turque Kazanci ou dans celle venue d’Arménie, les Tchakhmakhian, les repas c’est sacré ! Un point commun, et c’est loin d’être le seul, pour deux familles que tout semble séparer : entre les Turcs et les Arméniens, il y a un génocide qu’on tait et qui a laissé des traces.

Pourtant entre les deux familles, malgré la distance - une en Turquie, l’autre aux Etats-Unis – un lien est tissé. La rebelle Zeliha Kazanci a donné naissance à 19 ans à Asya, né de père inconnu. Dans une famille essentiellement composée de femmes et où les hommes disparaissent prématurément (le seul encore vivant vit aux Etats-Unis), Asya ne ressent pas vraiment le manque de père mais à l’extérieur, certains mots blessent : elle est « la bâtarde ». De l’autre côté du monde, Rose, l’épouse américaine de Barsam Tchakmakhian quitte son mari (et son envahissante belle-famille arménienne), emportant avec elle leur fille Armanoush… et épouse un Turc, Mustafa Kazanci. Devenue étudiante, Armanoush s’interroge sur ses origines arméniennes et décide d’aller retrouver ses racines à Istanbul en secret. C’est chez la famille de son beau-père qu’elle sera hébergée, chez les Kazanci. Loin de chez elle, elle trouve presque une nouvelle famille dans ce gynécée bien particulier qui l’accueille avec gentillesse et générosité. Et Armanoush va se lier d’amitié avec Asya : les deux jeunes femmes vont apprendre à se connaître et découvrir que leurs histoires familiales sont bien plus liées qu’elles ne l’auraient imaginé.



Roman foisonnant et tourbillonnant, La bâtarde d’Istanbul est rempli d’odeurs de cuisine, de ragots de bonne femme, de personnages hauts en couleur et d’amour. Elif Shakaf aborde l’histoire de son pays et celle polémique du génocide arménien – qui lui a valu des interdictions et des menaces d’emprisonnement – à travers deux familles que l’Histoire a dressé l’une contre l’autre et qui pourtant ont des racines bien proches. A travers de menus détails, l’auteur démontre subtilement l’absurdité de ces guerres fratricides sans pour autant faire de son roman un livre historique. Et toute la force de ce petit livre réside sans doute ici : un ton enlevé, enjoué, une trame qui vous emporte, des personnages attachants et derrière la légèreté apparente, un coup de pied dans les consensus et l’évocation d’un conflit sensible qui déchire encore aujourd’hui deux peuples. A lire et à partager!
Lien : http://lencreuse.over-blog.com
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La Bâtarde d'Istanbul

Elif Shafak a longtemps vécu à l’étranger et travaille entre Istanbul et l’Arizona comme auteur, chroniqueuse et professeur d’université. L’héritage cosmopolite de son pays, les droits des femmes ainsi que la coexistence de l’Islam et des valeurs démocratiques occidentales sont au centre de son œuvre. Menée devant la justice turque pour "avoir insulté l’identité nationale" en raison de propos tenu par certains des personnages Arméniens de ce roman, elle encourait un peine de 3 ans de prison et a finalement et fort heureusement été graciée.

À aucun moment au cours de la lecture de ce livre je n’ai senti la moindre intention insultante ou revendicative. Ce roman est au contraire une invitation au voyage dans ce pays merveilleux qu’est la Turquie, où l’on rencontre des gens généreux et ouvert, simples et vrais, amusants autant qu’attachants et attachés à leurs racines, à leur histoire. Voilà ce qui justement pose question à Asya Kazanci, "la bâtarde" turque et à Armanoush Tchakhmakhchian, la jeune révoltée, mi-arménienne mi-américaine, belle-fille d’un Turc.

Intrigues, personnages extravagants, drames du passé entremêlés de la tendresse des rapports familiaux complexes vous laissant un léger sourire sur les lèvres tout au long des pages de ce livre : voilà le cadeau que nous offre Elif Shafak avec ce roman sur la Turquie contemporaine avec ses blessures, ses contradictions, ses questionnements sur ses origines, sur son histoire et son avenir…
Lien : http://culturetribu.blogspot..
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Bonbon palace

Istanbul, une promenade dans un ancien palace, divisé en appartements plutôt décrépis, et la vie de ses occupants, très excentriques. Très bien écrit. Les personnages sont attachants, et nous rendent un juste portrait de la Turquie contemporaine. Différent de « L’immeuble Yacoubian ».



Club de lecteurs de la M"diathèque des Chartreux
Lien : http://www.mediatheque-agglo..
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