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Citations de Elizabeth Haynes (74)


Quand la Mort nous rend visite, elle revêt le plus inattendu des déguisements.
Harriet Monckton n’a pas eu le temps de penser à cela, ni de réfléchir à quelque chose d’aussi profond que la vie et la mort. Elle n’a même pas, à la fin, eu le temps de dire ses prières, de demander de l’aide ou de confesser ses péchés.
Mais au moins, elle n’était pas seule. Un tel privilège n’est pas accordé à tous ; peut-être était-ce une manifestation de miséricorde.
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J'ai passé une heure à parcourir la maison, les joues ruisselantes de larmes, cherchant par où il était entré. En vain. Puis j'ai eu une attaque de panique. Pour la première fois.
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Jusqu’à récemment, je trouvais que les femmes qui se laissaient maltraiter étaient des imbéciles. Après tout, il devait y avoir un moment où on se rendait compte que ça dérapait et où on se mettait à avoir peur de son partenaire. Et là, il fallait rompre, se tailler. Pourquoi rester ? Les femmes que j’avais vues à la télé et ou dont j’avais lu les interviews dans des magazines expliquaient que « ce n’était pas aussi simple », et moi je me disais que oui, ça l’était.
À présent je les comprenais. Ce n’était pas simple de rompre. J’avais essayé et commis l’erreur de renouer avec Lee. Être encore amoureuse de lui, de son côté vulnérable encore enfoui quelque part, n’était pas la seule raison ; je redoutais par-dessus tout ce qu’il risquait de me faire si je le provoquais.
Il ne s’agissait plus de rompre, il s’agissait de fuir.
De sauver ma peau.
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Je le vois partout, en permanence. Je sais qu’il ne peut s’agir de lui : il est en prison, à des centaines de kilomètres. Il n’empêche qu’il me hante, une apparition fréquente qui me rappelle que jamais je ne lui échapperai. Comment serait-ce possible, puisqu’il est toujours dans ma tête ?
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Tellement emballée par le premier livre écrit et publié en français d’Elizabeth Haynes, Comme ton ombre, j’ai laissé passer quelques lectures avant de me plonger dans Écume de sang, de peur d’être déçue.

Mais j’ai tout de même été déçue...

L’histoire de départ est plutôt intéressante : Gennie a plaqué son boulot, son appartement, bref, sa vie d’avant à Londres pour retaper une péniche dans le Kent, le rêve de sa vie.
Mais la nuit suivant sa pendaison de crémaillère, une de ses anciennes connaissances, Caddy, est retrouvée morte noyée près de sa péniche.
Gennie ne veut pas dire qu’elle la connaissait, car Caddy et elle exerçaient une activité de danseuses de pole-dance dans un club pour messieurs. Et qu’un des proches du patron, Dylan, avait confié à Gennie un colis en toute discrétion, dont elle soupçonne qu’il n’est pas très légal.
Gennie ne sait plus trop vers qui se tourner, surtout lorsqu’elle se fait agresser sur sa péniche. Mais un gentil policier pourrait bien l’aider...
Alternance du passé et du présent qui permettent de découvrir l’histoire de Gennie à Londres, mais il y a beaucoup d’invraisemblances.

Pour moi le plus intéressant a été de découvrir la partie concernant la retape de la péniche, ainsi que celle des activités nocturnes de Gennie. Le reste est plutôt cousu de fil blanc, sauf un petit retournement qui fait sourire.

A lire pour se divertir, mais pas du tout dans la lignée du précédent ouvrage.

lirelanuitoupas.wordpress.com
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Faut vraiment être con pour croire qu’on peut transformer en un système de voie à double sens une ville conçue entièrement pour fonctionner en sens unique !
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Le fric, le vrai, se gagnait avec les danses-contacts et dans le coin VIP – donc, pour la plupart, la pole dance n’était qu’une perte de temps, utile seulement pour repérer ses réguliers depuis la scène avant d’aller les retrouver sitôt qu’on avait fini.
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Y a ceux qui veulent que tu les fasses jouir. Et ceux qui attendent que tu te casses la figure. C’est pour ça qu’on est là. Pour divertir, d’une façon ou d’une autre…
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L’argent afflua dès que je commençai à les utiliser dans ce milieu nouveau pour moi. Quant à l’aspect strip-tease, très vite ce ne fut plus un problème. Ce n’était que du spectacle, tout comme la vente. On repérait ceux qui vous portaient une attention particulière, qui cherchaient votre regard ; en priorité ceux qui en étaient déjà au champagne et au whisky, donc qui étaient pleins aux as et déjà pas mal ivres. Le reste était facile.
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Mon rêve était d’acheter une péniche. J’avais des rapports d’amour-haine avec mon job de commerciale, et j’ai toujours su que ça n’aurait qu’un temps. Un boulot trop prenant, avec trop de pression. Quand tout roule, c’est super,mais sinon, quelle horreur ! C’est comme se battre contre des moulins à vent.
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C’est dommage d’avoir une péniche, si c’est pour rester en rade.
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Un visage que seule une mère peut aimer .
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- Il a fait beau tous les jours. Les gosses se sont tellement amusés que j’ai pu lire quatre livres de poche, les doigts de pieds en éventail, près de la piscine.
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acheter ce matin ....
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