Citations de Emma Green (1611)
- J'ai lutté et j'ai perdu, souffle l'homme qui fond sur moi. Quoi que je fasse, c'est toi qui gagnes. J'aime toutes les "toi", Willa.
River Farrow est une drogue dure. Un délicieux poison qui s'insinue, contamine chacune de vos cellules, jusqu'à prendre le contrôle de tout votre organisme. Il est un feu que l'on n'éteint pas. Une source que l'on ne tarit pas. Un animal que l'on ne dompte pas sans y laisser sa peau.
Tillie:
-Je fais comment pour vivre sans vous, moi? hurle-t-il soudain. Je vais crever!
-Non tu vas vivre au contraire, fais-je entre deux sanglots. Tu va avancer, Arlo.
-Mais tu ne comprend pas? Sans toi je ne respire plus, Tillie!
- Oublie-moi. Oublie Colleen. Oublie tout. Vis pour toi, maintenant
Je saute à quai et je cours loin du To the Moon.
Loin de Harry.
Emportant avec moi mon secret. Notre secret. Celui qui nous empêche de nous aimer à jamais.
Je repas en cavale, mon secret bien enfoui.
– Je fais la fière la plupart du temps, lui avoué-je tout bas. La forte, l’indépendante, l’intouchable. Mais la vérité, Rio, c’est que je me sens seule, sauf quand je suis avec toi.
- Mais je me fous de gagner, tu comprends ? Je veux juste être, vivre, compter, aussi imparfaite que je sois. Avoir les mêmes droits que tout le monde, ne pas avoir à m’excuser d’être « comme ça », de prendre un peu plus de place et de respirer un peu plus fort que les autres. Je n’ai pas choisi de vivre dans ce corps, mais à force de vouloir en changer, j’ai cru mourir. Alors j’ai décidé de vivre avec… et j’ai trouvé la force de me battre. C’est ça qui m’a donné l’envie de me battre pour les autres aussi. À force d’humiliations, je me suis forgé une âme de guerrière.
"- Ce n'est pas parce que tu es un totale enfoiré d'habitude qu'on doit te féliciter d'être un demi enfoiré de temps en temps."
- Je confirme... On peut tomber amoureux même quand c'est la dernière chose que l'on veut.
Je danse avec moi-même avec mon corps imparfait, avec mon saule pleureur, avec les fantômes de mon passé, mes espoirs de demain,et avec n’importe qui souhaite se défouler avec moi. « Léonore »
En réalité, chaque être se livre avant même de parler, juste en se montrant tel qu'il est. Un physique, ce sont des traits, des lignes qui racontent une histoire, le dessin d'une vie. Ils expriment une sensibilité, un destin subi ou accepté, portent les stigmates des épreuves rencontrées, des combats perdus, des luttes victorieuses. Cette beauté-là est crue, vraie, vivante. Extraordinaire.
'' Je veux etre ton amant, bébé,je veux etre ton homme.Je t'aime comme personne,bébé, comme personne ne peut t'aimer.'''
- S'il leur a laissé quelque chose, elles devront me passer sur le corps pour le récupérer !
- Moi aussi, je n'ai plus que toi, Betty-Sue... Alors on va essayer de préserver ton corps de mémé encore quelques années.
- N'hésite pas à m'insulter, surtout.
- A ton service, grand-mère.
(La statue est nue, debout dans mon salon. Je te veux au même endroit, de la même façon. Ne perds pas de temps à choisir des vêtements que je serai contraint de t'arracher à peine arrivée. S)
-Tu étais mon rêve,Alma, murmure Vadim,d'une voix légèrement tremblante.Tu l'es et tu le seras toujours.Ma raison de vivre,celle qui fait que je me suis pas battu en vain.Tu m'as guéri,tu m'as réveillé,tu m'as sauvé...Je t'aime quand tu souris,quand tu pleures,quand tu dors,quand tu ris,quand tu conduis trop vite,quand tu tournicotes cette petite mèche,quand tu souffles sur ton café même s'il est tiède depuis longtemps,quand tu n'as plus faim mais qu'il te faut absolument cette dernière bouchée,quand tu regardes Clovis avec tes yeux de louve,quand tu me regardes avec ses yeux qui me transportent ,qui me bouleversent.
- La première,c'est que je t'aime.À en crever.C'est chaque jour une peu plus fort.Je suis incapable de l'expliquer,ça me dépasse,mais j'en suis fier.Parce que ce n'est pas donné à tout le monde,de vivre ce qu'on à,toi et moi.
-...
-La deuxième,c'est que tu pourras fuir aussi loin que tu voudras,je te retrouverai toujours.Personne ne t'arrachera à moi,cette fois. Pas même toi.
-...
Ma tentative de rébellion s'est soldée par un nouveau cri de plaisir.Plus rauque,cette fois,plus puissant aussi.Logique,puisque mon enfoiré de PDG vient de me pénétrer sans crier gare.Son foutu sourire aux lèvres,il m' écarter les cuisses et s'est introduit en moi pour me remettre à ma place.
J'essaie surtout de ne pas lui répondre qu'il se trompe,que Vadim me tire vers le haut,chaque jour,malgré tous ses défauts.Que j'ai l'impression de vivre enfin,depuis qu'il est dans ma vie.Que je l'aime jusqu'à manquer d'air,parfois.Et que toujours,il m'insuffle sa force,son courage,sa folie. Vadim Arcadi me coupe le souffle. Vadim Arcadi m'inspire.Comment je pourrais respirer sans lui.
Vadim est mon air.
Ce soir, je crois que j’aurais bien aimé avoir une mère, une femme en qui j’ai confiance, à qui je pourrais raconter mon nœud à l’estomac, mon petit trou dans le cœur, ma peur de grandir et de ne rien comprendre à ce qui m’arrive. Une femme qui aurait pu m’expliquer qu’on peut détester un garçon et quand même trouver qu’il sent bon. Le détester mais bien aimer sa façon de vous regarder. Le détester et repenser à ses bras autour de soi.
On change en grandissant. Tout change.
Tristan Quinn, je te décerne la médaille du mec qui a six mois de plus, même s’il n’a absolument rien fait pour ça. Et qui se croit tellement supérieur et mature qu’il ne peut pas s’empêcher de rappeler à la terre entière que c’est un homme, maintenant !