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4.38/5 (sur 243 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Buzançais , le 23/08/1967
Biographie :

Autrice et correctrice en Midi-Pyrénées.

D'abord, analyste-programmeur dans le domaine de la gestion des entreprises, puis en mission humanitaire comme administratrice. Responsable des finances, de l'administration et des ressources humaines sur des missions employant plusieurs centaines de personnes.

Elle a écrit une vingtaine de livres en polar et littérature blanche.

Elle fait partie depuis une vingtaine d'années de l'équipe correspondance de l'association "Vivre et l'Écrire" qui milite pour le développement de l'expression écrite, notamment des jeunes.

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Citations et extraits (92) Voir plus Ajouter une citation
Des sons scandés se détachent du reste : Tous ensemble! Tous ensemble! Ouais! Rien de bien original, en somme. C'est le refrain qu'on entonne dans toutes les luttes sociales pour se donner du courage, tout en sachant que ce n'est qu'un vœu pieux; quand il s'agit de sauver son job, c'est chacun pour sa pomme. Mais dans un défilé, ça sonne bien. Et ça donne l'impression que la solidarité existe encore.
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Des coups vite faits et qui ne prêtaient pas à conséquence, j'en avais tiré pas mal dans ma vie; Forcément; quand on est journaliste pour un grand quotidien national, on se retrouve auréolé d'une image d'aventurier qui attire les filles comme les fleurs odorantes attirent les abeilles.
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Je n'aime pas les taxis. Ou plus exactement je n'aime pas me faire conduire assis à l'arrière d'une voiture. Il y a des tas de pays ou ça ne pose pas de problèmes. les chauffeurs acceptent sans aucune difficulté qu'on s'asseye à coté d'eux. Mais en France, la culture de la peur généralisée est tellement ancrée dans l'imaginaire collectif que je ne m'aventure plus à demander ce genre de chose. C'est le coup à se retrouver accusé de terrorisme
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On la détaillait sous toutes les coutures et plus d'un mâle en manque de compagnie avait l'air de se dire: Si un vieux bougon comme celui la peut s'envoyer une jeunette comme elle, pourquoi pas moi?
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Une nouvelle fois, je note qu'elle ne prononce pas le prénom de son demi frère; Il l'a salement traumatisée, on dirait. Comme quoi, il n'y a pas besoin de se faire violer pour être marqué à vie par une agression sexuelle.
Nos forces de l'ordre, qui rechignent trop souvent à prendre les plaintes des victimes, et notre justice, qui met trop souvent leur parole en doute sur ces questions là, feraient bien de s'en apercevoir.
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Chaque année en France, plus de cent femmes meurent sous les coups de leur conjoint ou de leur ex. Un nombre qui reste stable depuis des années et qui s'est même mis à augmenter en 2019 pour approcher les 140 A croire que tout le monde s'en fout. D'ailleurs, les exemples ne manquent pas, de femmes qui sont tuées après avoir alerté les forces de l'ordre à multiples reprises ; près d'un tiers d'entre elles sont dans ce cas.
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Que voulez vous, jeune fille, même les plus grands idéaux finissent par se briser... Alors, vous vous dites qu'un magasin d'antiquités qui marche bien et une jeune fille de bonne famille sont un lot de consolation acceptable
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« Veuillez décliner votre identité. Nom, prénom, date de naissance.
- Je m'appelle Linard, Madame le Jude. Marc Linard, mais vous le savez déjà. Je suis né le 15 mars 1959. Et c'est une putain d'histoire que je vais vous raconter. Sacrement bizarre... Une histoire de chat, de quilles, et de meurtres. Un putain de mélange.
- Monsieur Linard, si vous pouviez arrêter de dire putain toutes les cinq secondes, j'apprécierais.
- Bien, Madame le Juge. Comme vous voudrez. Je vais essayer, mais je ne vous promets rien...
- Essayez donc, Monsieur Linard. Essayez donc... Et dites-moi tout ce que vous savez. »
Elle en a de bonnes, la juge d'instruction... Dire tout ce que je sais... Mais par où commencer pour être sûr qu'elle comprenne ?
« Il va falloir remonter un peu dans le temps, pour planter le décor. Sinon, ça ne va pas être très clair...
- Eh bien, remontez, Monsieur Linard. Aussi loin que nécessaire. Mais ne musardez pas trop en route ; vous savez que le temps presse : nous avons une affaire à résoudre.»
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"Gaël Herneau, se présente le type en me tendant la main. J'habite tout près d'ici. Vous étés en vacance?
ça se voit tant que ça? Sourit Manon.
Je connais tout le monde ici, je n'ai pas de mérite à repérer de nouvelles têtes ! Et puis, il n'y a que des touristes pour venir sur la jetée à cette heure là.
Vous y étés bien vous! dis je, un peu vexé.
Pour promener mon chien avant d'aller travailler. Ne me dites pas que vous promenez votre femme; ce serait désobligeant pour elle!"
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Le type qui me regarde dans le miroir de la salle de bain à une tronche à faire peur. Des valises sous les yeux de la taille d'un camion poubelle, des joues pas rasées dont la peau a comme une légère tendance à pendouiller vers le bas (ce n'est pas pour rien qu'on parle de bajoues...) et une haleine proche celle du chacal.
Je sais, ça ne se voit pas, mais quand je m'approche de la glace et qu'elle me renvoie au nez l'air qui sort de ma bouche , je ne remarque plus que ça : une odeur à faire gerber le plus inébranlable des journaleux.
Pourtant, je n'ai pas bu grand-chose. Je n'ai même pas accepté le double whisky que Gaston m'a proposé à mon arrivée. Et pourtant. Dieu sait que je l'aurais bien avalé cul sec !
Non, cette odeur, elle vient de moi. De mes tripes. Nouées serré par l’inquiétude. Devant Gaston, j'ai fait mine de rien. L'habitude de craner, ou plutôt de ne pas montrer ce que je ressens, mais là, devant ce miroir, je suis bien obligé de reconnaitre l'odeur que je renifle : c'est celle de la peur. La trouille avec un T majuscule.
S'il est arrivé quelque chose de grave à Manon, je ne me le pardonnerai jamais.
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