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EAN : 9791095023241
262 pages
FADM (18/06/2019)
4.54/5   47 notes
Résumé :
Comment faire le deuil de sa propre existence en une semaine ?
Frédérique, 49 ans, apprend par son médecin qu’il ne lui reste que quelques jours à vivre. Son mari est en déplacement à l’autre bout de la France. Ses deux enfants aussi sont loin d’elle. Il lui faut donc affronter seule ce bouleversement. Et tenter de rester debout.
Mais comment peut-elle faire face à la colère ? Au désespoir ? Avoir la force de prévenir ceux qu’elle aime ?
Un inco... >Voir plus
Que lire après 7 jours pour tout se direVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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Je suis tombée sur ce livre par hasard et l'ai ouvert sans savoir à quoi m'attendre.
L'auteur dit que le texte traite de sujets difficiles et qu'il faut être dans de bonnes dispositions lors de la lecture parce qu'il peut bousculer très fort.
C'est là que j'ai vu qu'il parlait essentiellement de cancer, pas trop ma tasse de thé, mais c'est une fiction. Néanmoins...
.
Dès le prologue, la mère de Frédérique, l'héroïne s'éteint après avoir lutté contre le crabe pendant des années.
.
Au début du roman proprement dit, Fred reçoit un appel de son médecin.
Étant occupée à peindre un tableau, celle-ci laisse sonner dans le vide à plusieurs reprises, puis se résout à rappeler le Docteur Leblanc qui veut la voir le soir même.
.
Fred avait consulté parce que ses proches s'inquiétaient de la voir toujours fatiguée. Pour avoir la paix, elle avait accepté des prélèvements sanguins, persuadée que ce ne serait qu'une formalité.
Mais ils sont mauvais ces résultats. Très mauvais.
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Le praticien l'informe qu'elle a un cancer du sang incurable et particulièrement destructeur. Espérance de vie ? une semaine.
.
Frédérique est entourée d'un mari aimant et de deux enfants qui bien que jeunes adultes sont restés très proches de leurs parents.
Mais au moment où la nouvelle lui tombe sur le coin de la figure, ils sont tous absents. Son mari en déplacement professionnel et leurs enfants ont leur propre appartement.
.
Bien entendu, elle va passer par tout un panel d'émotions et de réactions que je vous laisse découvrir.
Les moments les plus difficiles arrivent quand elle doit annoncer la nouvelle à sa petite famille.
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C'est un bon roman, pas trop mon style surtout dans la seconde partie que j'ai trouvée un peu longuette.
Un peu beaucoup dégoulinant de bons sentiments, il faut dire aussi, en plus du hasard qui fait bien les choses...
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Mais il plaira à beaucoup de babeliotes, il me semble, d'autant qu'il est bien écrit.
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J'avoue que je n'ai pas été bouleversée plus que ça parce que je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
C'est peut-être ma faute, beaucoup de lecteurs ont été bouleversés.
Moi j'ai trouvé ça un peu too much.
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Et vous ? que feriez-vous s'il ne vous restait qu'une semaine à vivre ?
Je me suis posé la question et je dois avouer que je n'en ai aucune idée.
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Encore une fois je ne conseille ni déconseille ce roman, à chacun de voir.
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Je remercie énormément Florence Clerfeuille pour l'envoi, en service presse, de son roman : 7 jours pour tout se dire.
Comment faire le deuil de sa propre existence en une semaine ?
Frédérique, 49 ans, apprend par son médecin qu'il ne lui reste que quelques jours à vivre. Et au début elle va devoir affronter la nouvelle seule étant donné que mari et enfants ne sont pas présents ce week-end là avec elle !
Mais comment peut-elle faire face à la colère ? Au désespoir ? Avoir la force de prévenir ceux qu'elle aime ?
Un inconnu va l'y aider, et lui permettre d'affronter enfin sa famille et la dure réalité : sept jours, cela passe très vite...
7 jours pour tout se dire est un très joli roman, qui m'a beaucoup touché. C'est un véritable hymne à la vie, à l'amour et aux valeurs qu'on laisse en héritage.
Frédérique est allait consulter pour une fatigue chronique, car ses proches l'y ont obligé. Elle ne s'attendait pas à recevoir un coup de fil du médecin, à devoir aller le voir en urgence et apprendre... qu'elle allait mourir rapidement !
Cela fait froid dans le dos, et mal au coeur car il est impossible de ne pas se mettre à la place de Frédérique.. et de se demander ce qu'on ferait si, justement, on était à sa place...
J'ai apprécié l'écriture que j'ai trouvé sobre, l'auteure n'en fait pas trop. C'est plein d'émotion, bien écrit, mais sans grandes phrases qui ne veulent rien dire. Au contraire on comprend bien les émotions de Frédérique, son ressenti, l'auteure va droit au but et c'est appréciable.
J'ai été bouleversé à plusieurs reprises par ce roman tout en le trouvant très positif, d'ailleurs à la fin de l'épilogue j'avais le sourire.
C'est une magnifique surprise que cet ouvrage, que je suis ravie d'avoir eu l'occasion de dévorer et je lui donne un énorme cinq étoiles.
Je vous invite bien évidemment à le lire à votre tour.
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Titre :  7 JOURS POUR TOUT SE DIRE

Auteur : Florence Clerfeuille

Editions : FADM ROMAN

Genre : Roman 

Dépôt légal : juin 2019

Nombre de pages : 281

Prix : 15 €





Présentation physique du livre :

Ce livre de grande taille contient près de 300 pages. 

La couverture semi-rigide représente le visage d'une femme partiellement caché par des plantes.



Résumé : 

Comment faire le deuil de sa propre existence en une semaine ?
Frédérique, 49 ans, apprend par son médecin qu'il ne lui reste que quelques jours à vivre. Son mari est en déplacement à l'autre bout de la France. Ses deux enfants aussi sont loin d'elle. Il lui faut donc affronter seule ce bouleversement. Et tenter de rester debout.
Mais comment peut-elle faire face à la colère ? Au désespoir ? Avoir la force de prévenir ceux qu'elle aime ?
Un inconnu va l'y aider.
7 jours pour tout se dire est une fiction, véritable hymne à la vie, à l'amour et aux valeurs qu'on laisse en héritage.





AVIS
Encore un livre reçu via le site simplementpro.

Mais pas un auteur inconnu. Non Florence Clerfeuille a déjà écrit de nombreux livres donc deux polars que j'avais lus et chroniqués, et avec lesquels je m'étais tout simplement régalée.



Début du livre

Ma mère vivait tant bien que mal avec le cancer depuis près d'un an. Je sais, en général, on dit qu'on se bat contre cette maladie. Mais se battre ce n'était pas son truc.



Frédérique a assisté au décès de sa mère suite à une longue maladie, et pas n'importe laquelle , un cancer. Ce fut très long et douloureux, comme l'on peut s'en douter.

Aujourd'hui elle vit sa vie de femme, marié à Jean-Baptiste, et de mère de Coline et Lucas leurs deux enfants, qui désormais ont pris leur indépendance.

Jean-Baptiste est souvent en déplacement pour son boulot. Frédérique passe donc ses journées à peindre (sa passion).

Mais depuis quelques temps elle se sent plus fatiguée que d'habitude. Après quelques hésitations, elle se rend finalement chez le médecin qui lui prescrit des examens complémentaires pour rechercher la cause de cette fatigue persistante.

Alors qu'elle est plongée dans sa nouvelle toile, son téléphone sonne plusieurs fois. Son médecin généraliste essaie de la joindre de manière pressante et insistante.

Après l'avoir enfin eu il lui demande de passer au cabinet de manière urgente.

Et le diagnostic tombe : Frédérique, dont les résultats sanguins ne sont pas bons du tout, apprend qu'elle n'a plus longtemps à vivre. Quelques mois ? quelques semaines ? non malheureusement quelques jours : 7 pour être précis.

Le ciel lui tombe sur la tête. Elle ne sait comment réagir ni que faire. Comment profiter de ces derniers instants.

Elle décide de partir au gré du vent, et des chemins pour s'évader et essayer de penser à autre chose. 

Et elle va faire une rencontre qu'elle n'est pas près d'oublier...



Les personnages sont attachants, émouvants, bouleversants avec tous un caractère de combativité, et beaucoup d'empathie.

- Frédérique est une femme résignée, qui va pourtant devoir affronter la maladie, et surtout va devoir trouver le courage d'avertir ses proches, que ce soient son mari et ses enfants, mais aussi sa plus proche famille.

- Coline et Lucas vont à leur manière devoir accepter le décès prochain de leur mère, et vont décider de l'accompagner en mettant entre parenthèse leur quotidien.

- Jean-Baptiste va devoir surmonter ses appréhension, et sa première réaction sera de fuir. Mais l'amour qu'il porte à sa femme est au-dessus de tout cela, et fera de lui un accompagnant à la hauteur de son amour.

Je préfère ne pas dévoiler les autres personnages, vous laissant la joie de les découvrir ......



Le point fort de l'histoire réside dans la force de caractère de Frédérique face au séisme qui a fait de sa vie un chaos. Ses décisions sont peut être pas celles qu'on aurait prises, mais comment le savoir en n'ayant jamais été confronté à la situation ?



Le style de l'auteure :

Même si ce livre est tout à fait différent des deux autres que j'ai lus, je redécouvre la plume de Florence Clerfeuille avec plaisir.

Une écriture fluide, de nombreux chapitres courts, et un texte très aéré fait de ce livre une lecture agréable.

Le récit est à la première personne du singulier, et la narratrice est Frédérique, personnage principal, sauf pour les deux derniers chapitres; et je vous laisse découvrir pourquoi.

La couverture quant à elle est magnifique.

Au-delà de la douleur et des interrogations de Frédérique, on parcourt cette histoire pleine d'émotions, en n'ayant de cesse de se mettre à la place de cette dernière pour deviner les réactions qui seraient les nôtres.

Le récit est délicat, sobre, l'auteure n'est pas dans la pitié ni dans le voyeurisme. On découvre juste une Fred totalement à la dérive, qui va devoir trouver un sens à sa vie aussi courte soit elle. 

Dans chacune des phrases de l'auteure on ressent une certaine sensibilité, mais également une envie de faire passer un message. A cela, on ajoute un soupçon d'ironie que l'auteure a su distiller avec parcimonie.

Elle réussit à mêler de nombreux sentiments comme la colère, l'empathie, l'incompréhension avec une sincérité incroyable.

Pas de joie, mais une redécouverte des plaisirs simples de la vie : comme passer du temps avec les gens qu'on aime, profiter du moment présent et surtout ne pas avoir peur de dévoiler ses sentiments. Tel est le message que j'ai retenu de cette histoire. Ne pas perdre une miette de cette vie si précieuse dont l'issue est connue mais l'échéance incertaine.



Plongez dans cet hymne à la vie et à l'amour .....




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Fred doit mourir dans une semaine. Mais elle tient encore suffisamment debout pour aider ses proches, après avoir fui pendant quelques jours hors du temps pour digérer la nouvelle.
Le style est léger, mais l'histoire comporte quelques balises qui la maintiennent dans le domaine du crédible. Et elle permet d'aborder de nombreuses questions que l'on n'ose pas forcément se poser : comment annoncer, puis vivre une maladie incurable ?
La construction est impeccable. On a envie d'avancer. La fin boucle bien le récit sans être aussi inattendu que le thème traité dans le livre. Chaque personnage y trouve sa place.
Une lecture agréable et marquante. Qui se trouve au coeur des relations de tout un chacun avec ses proches...
Lien : https://partagerlecture.blog..
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Vivre jusqu'au bout.

Depuis quelque temps Frédérique ressent une forte fatigue.
Sur insistance de ses proches elle finit par consulter un médecin. le verdict est sans appel , il ne lui reste plus que quelques jours à vivre. Déstabilisée elle fuit vers un ailleurs qui lui permettra d'échapper quelques heures à la mort.

Cela fait déjà un petit bout de temps que j'ai lu ce roman et pourtant je ne vous en parle que maintenant. Pour quelle raison me direz-vous ? Tout simplement parce qu'il a été une telle claque que je n'ai jusqu'ici pas su trouver les mots pour exprimer à quel point il est bouleversant.

Ce n'est pas le premier roman de Florence Clerfeuille que je lis et ce ne sera certainement pas le dernier. Chacun de ses romans a su me toucher, pas forcement pour les mêmes raisons mais toujours avec sincérité. Et celui-ci est sans doute aucun celui qui m'a le plus touchée.
Comme le dit si bien la quatrième de couverture c'est "un texte qui peut bousculer très fort".

Ce roman nous met face à une chose terrible, notre mort. Certes elle plane toujours au-dessus de nous mais ne sachant pas quand elle nous tombera dessus nous vivons notre vie sans trop y penser. Mais qu'en est-il quand l'échéance devient palpable ? Quand l'on vous annonce que vous n'avez plus que quelques jours devant vous ?
C'est ce qui va arriver à Frédérique. Mise face à l'annonce de l'imminence de sa mort elle va d'abord perdre pied. Elle va fuir son quotidien le temps de quelques heures, fuir pour échapper à ce qui lui fait le plus peur .

Frédérique va alors faire une rencontre qui va lui permettre d'émerger un peu, lui redonner le souffle d'air nécessaire pour affronter ce qui l'attend.

Elle va ensuite retrouver ses proches , leur annoncer l'effroyable nouvelle. Pris dans le tourbillon du temps qui s'égrène inexorablement ils vont tout faire pour profiter de la vie et de ce qu'elle a à leur offrir, des moments certes courts mais oh combien intenses et nécessaires.

Tout au long de ce roman nous sommes au plus près de Frédérique, de ses émotions, de ses errements, de ses doutes. Nous sommes témoins de ce qu'elle affronte , de ce qu'elle vit au plus profond de sa chair. On la voit vaciller , se heurter à son destin , reprendre pied , accepter l'inacceptable pour mieux profiter du temps qui lui reste.

Face à ce qu'elle vit nous ne pouvons rester insensibles. L'écriture de Florence Clerfeuille tout en finesse et en émotions nous frappe en plein coeur tel un uppercut . Difficile de ne pas s'imaginer ce que nous ressentirions si nous étions confrontés à l'imminence de notre mort ou de celle de l'un de nos proches. La force de ce texte , son écriture, nous donne le sentiment de faire partie des proches de Frédérique , d'être de ceux qui vont devoir accepter de la laisser partir. Tout cela rend ce texte bouleversant d'émotions.

Les pages s'égrènent comme le temps qui file dans un compte à rebours mortel. Mais bien que l'histoire soit bouleversante ce qui en ressort après avoir tourné la dernière page c'est l'impression d'avoir vécu un formidable moment de vie car bien que la mort soit palpable tout au long de ce roman c'est la vie qui malgré tout prend l'avantage. En effet même si la mort nous sépare, tous les instants de vie que l'on a vécu continue de vivre à travers ce et ceux que l'on laissent derrière nous.

Un roman fort , intense , bouleversant qui nous rappelle combien nous devons profiter de la vie.
Lien : http://mellectures.canalblog..
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Me faire une petite place, dans un petit creux, quelque part. Au chaud. Un endroit secret qui fait du bien. Là où on met le souvenir de ceux qu’on a aimés. En tout cas, n’oubliez jamais une chose : putain, que la vie est belle !
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Rester vivant. Rester capable de ressentir et de s’émouvoir. Être présent. Aux autres, mais surtout à moi-même. Et me prélasser dans un palace, ce n’est clairement pas le truc qui me fait rêver. Cette attraction pour le luxe, les yeux qui brillent devant des vêtements ou des bijoux de grande marque, c’est quelque chose que je n’ai jamais compris. Le coup du « si on n’a pas une Rolex à cinquante ans, on a raté sa vie », ça m’a toujours fait doucement rigoler. Qu’est-ce qu’il faut être déconnecté de soi-même pour s’imaginer que réussir sa vie ou ne pas la réussir tient à la possession d’une montre...
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Il me regarde d’un air tellement sérieux. Et tellement attentif. J’ai l’impression qu’il me sonde. Qu’il me fouille. En temps normal, je me serais arrachée à ce regard. Je n’aime pas qu’on essaie de mettre mon âme à nu. Mais plus rien n’est normal depuis hier après-midi. Et puis, peut-être que mon âme a quelque chose à lui dire ?
Je me perds dans ses yeux gris. Le laisse descendre aussi loin qu’il veut. De toute façon, je n’ai plus grand-chose à cacher. Plus de raisons de cacher quoi que ce soit. Je n’ai plus rien à perdre : en fait, j’ai déjà tout perdu.
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Comme la plupart des couples, nous avons eu des désaccords. Notamment en ce qui concerne l’éducation des enfants. Un grand classique. Universel et intemporel. Mais bon an mal an, nous avons toujours réussi à nous rejoindre sur des compromis.
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Les enfants sont parfois prodigieux. Là où moi, il m’aurait fallu user de diplomatie pendant de longues minutes, elle, en une phrase, elle l’avait séché. Ma Coline. Une fonceuse qui ne s’en laisse pas compter. Un sourire me vient aux lèvres en pensant à elle. Qu’est-ce que je l’aime, ma fille... C’est simple, elle est exactement la jeune femme que j’aurais rêvé d’être à son âge. Une version améliorée de moi, en somme, puisque physiquement, elle me ressemble.
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