François Gravel

Chaque publication de François Gravel est attendue parce que l’auteur propose des univers uniques, surprenants, où le cerveau, notamment, est observé sous des angles inattendus. Et quand il publie dans la « collection noire », alors c’est la fête !



J’avais donc très hâte de découvrir le nouvel opus du prolifique auteur, qui offre cette fois une intrigue autour de la possibilité du cerveau adolescent d’utiliser des émotions très fortes pour arriver à faire agir des gens sans leur consentement. Terrifiant ? Assurément.
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"Prendre la mort comme elle vient" semble être un petit livre intéressant de prime abord. Il se présente comme un recueil de réflexions sur la fin de vie par un écrivain notoire. L'éditeur nous informe en quatrième de couverture que le tout est empreint d"humour mais on se rend rapidement compte que celui-ci tombe le plus souvent à plat. Agnostique et anticlérical, François Gravel s'emploie à ridiculiser toutes les croyances spirituelles et la foi chrétienne en particulier en utilisant une série de clichés éculés, prétextes à des blagues dignes des années 1950. Il émaille ses propos d'anecdotes historiques ou personnelles qui peuvent faire sourire à l'occasion mais ne réussissent jamais à conférer à l'ensemble l'humanité que lui prête l'éditeur.



Heureusement que j'ai emprunté le livre à la bibliothèque municipale, sinon j'aurais sûrement exigé un remboursement. Je déplore le fait qu'on édite au Québec de tels ratages subventionnés par nos gouvernements dès lors qu'elles sont rédigées par des auteurs reconnus.

Je n'ai pas aimé ce livre car ce n'était simplement pas mon genre de livre. Ma personnalité de lectrice ne collait pas avec l'intrigue et les personnage. Par contre j'ai aimé que la grand-mère montre à son petit-fils des jeux intéressants avec des dictionnaires qui sont des objets classiques et parfois ennuyeux .

Assez glauque finalement. En lisant d'autres commentaires, heureusement que cela ne fait pas FRANCHEMENT peur, ça reste une lecture pour des 9/11 ans. C'est un peu inquiétant de se retrouver seul et surtout abandonné dans une vieille réserve poussiéreuse ... D'autant qu'il n'y a pas que des livres. La fin m'a déçue, je ne saurai trop dire pourquoi. La taxidermie à échelle humaine n'est pas un sujet que j'affectionne, quant au fait que le captif se demande si on le croira un jour, et bien ce qu'il a vécu n'est pas une invention : toutes les preuves sont là dans les faits. Je me fais cette réflexion avec un recul d'adulte, un enfant ne penserait peut-être pas du tout à ce détail. Je trouve donc cette réflexion étrange mais il fallait bien finir sur une note étrange alors je ne cherche pas plus loin. J'ai préféré d'autres titres mais globalement, cette histoire a quand même pas mal piqué ma curiosité. J'apprécie par ailleurs beaucoup ce format de lecture, c'est très rapide à lire, bien construit, et du coup beaucoup moins décourageant à emprunter pour des jeunes lecteurs (en médiathèque).

Très vite lu, très captivant.

Vraiment original de présenter les points de vue des personnages sous forme de rapports d'enquête et journal intime. Çela ne laisse pas de place pour l'ennui, on est dans le vif du sujet, au plus près des émotions. Il n y a pas un grand suspens mais c'est bien construit et suffisamment court pour ne pas rebuter un jeune lecteur. C'est davantage le sujet traité qui chiffonne, c'est macabre oui, mais ce n'est ni approfondi ni détaillé donc très bien pour les jeunes amateurs du genre.

Un roman efficace !

Deuxième livre lu dans cette collection et vraiment je la valide !

C'est bien fait, bien amené, l'écriture est incisive, directe, simple sans être simpliste.

C'est parfait pour les lecteurs de 11-14 ans qui veulent avoir des frissons et parfait aussi pour les petits lecteurs qui n'osent pas s'aventurer dans les grands romans.

Il y a également un plus dans cette lecture : le jeu avec les couleurs et les graphismes. C'est très bien calculé et très efficace pour mettre le lecteur dans l'ambiance... redoutable !!!

J'aurais aimé que ce livre fasse plus peur mais a part de cela, je l'ai beaucoup aimé je le recommande à tout les fans de petites histoires d'effroi ♪♪♪

J'ai beaucoup aimé

le champ maudit et surtout le fait qu'il fasse un peu peur. Franchement M.Beaudet a fait un très bon choix en l'achetant . L'histoire ce déroule à la ferme de l'oncle de olivier à chaque son oncle lui dit: se promener dans un champ de maïs peut être dangereux et lui fait promettre de ne jamais y mettre les pieds...

Qui aurait pu croire que les vieux livres étaient dangereux ? Certainement pas Mathis ni même moi...



Ce court livre, destiné à un public jeunesse, m'a tout de même fait frissonner.



Difficile d'en parler puisqu'étant très court, cela reviendrait à trop en dévoiler et à gâcher la surprise. Donc laissez-vous piquer par la curiosité et embarquez dans le sous-sol du collège...

Grâce à cette montée en puissance du suspense, le roman est haletant et le lecteur ne peut que dévorer les pages avec frénésie pour connaître le fin mot de l'histoire et, surtout, sortir lui-même de ce cauchemar dans lequel il a volontairement plongé.
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J’ai beaucoup ri et apprécié ce roman de Gravel. Il relate les années d’adolescence, et de la vingtaine de trois amis ayant grandi dans une banlieue montréalaise. C’est un clin d’œil à l’âge d’or des baby-boomers (années 60- 70 ) jusqu’à son déclin où les rêves du militantisme de gauche s’éteignent. Humour et autodérision sont omniprésents tout au long des pages de ce roman.

Les nostalgiques de cette époque d’éveil et les plus jeunes n’ayant pas connu ces décennies y trouveront leur compte.

Petit livre d'horreur, plutôt bien écrit, pour les jeunes de 10-12 ans que j'avais choisi pour son titre. Je ne fais -évidemment- pas partie du public ciblé, mais, à moins d'être claustrophobe, l'histoire ne fait pas trop peur. Par contre, après cette lecture, vous n'aurez plus envie de fréquenter des bibliothécaires ;-)

JAIME BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP
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Public cible : Jeunesse - Dès 9 ans.



Dans ce roman, on suit deux ados, Mathilde et Olivier, qui, un soir, découvre un sac à dos d'enfant au beau milieu d'un chantier de construction. Les objets qui s'y trouvent entraine, à la fois, leur fascination et un bon nombre de questions. Que signifie cette découverte et qui est l'homme qui rôde autour d'eux avec son chien?



J'ai beaucoup aimé ce roman de la collection noire. Comme à l'habitude, c'est une lecture qui donne des frissons, mais cette fois, la forme est différente. Plutôt que d'être présenté sous forme de texte suivi, le livre se présente comme un dossier d'enquête. On y retrouve donc des témoignages, des preuves et des rapports de police. De quoi vraiment nous plonger dans l'enquête!

Comme tout ce qu'écrit François Gravel, j'ai bien aimé ce récit très personnel. L'histoire de sa famille et de son père, tous ou presque alcooliques. Les ravages que ça fait dans une famille, et le piège dans lequel leurs enfants peuvent tomber. Heureusement pour lui il se contente que de 2 verres, d'ou le titre. Un livre qui se lit en une heure.

J'ai adoré ce premier tome de la série KLONK car c'est un mélange entre la science-fiction et la réalité. L'histoire se déroule au Québec entre deux amis qui échappent aux adolescents de leur famille en lisant. Mais, ce n'est rien comparé au prochains tomes. Cette série peut plaire à n'importe qui.

Au fil de mes lectures j'ai apprécié plusieurs livres de monsieur Gravel et je vais sûrement mieux les comprendre maintenant que j'ai lu ce récit/témoignage.



Il décrit, avec une grande ouverture, le rapport complexe que les hommes de sa famille entretiennent avec l'alcool. Une relation tordue, que malheureusement beaucoup trop d'hommes ont également. Lorsque l'alcool est l'unique exutoire, personne ne peut bien aller...



L'écriture de monsieur Gravel est si fluide et naturelle, qu'on l'entend lorsqu'on le lit. On a donc plus l'impression d'écouter un ami que de lire un texte. C'est dans doute pour ça que ce livre m'a autant touché, j'avais l'impression de discuter avec un ami qui m'expliquait ses blessures sans me demander autre chose qu'une oreille compatissante...

Les jeunes lecteurs qui ont apprécié "piste sauvage" vont aimer retrouver leurs personnages préférés dans ce deuxième volume de la série.



Encore une fois on retrouve une ambiance de livre d'horreur avec un ton sombre et tourmenté. Ça ne va pas mieux pour Steve, qui doit maintenant affronter les conséquences que ses histoires peuvent entraîner...



Une série qui peut plaire aux lecteurs de 12 ans et plus, qui aiment les suspense et avoir des petits frissons.



L'histoire explore l'univers des centres de détention pour mineurs et du tribunal pour mineurs. Le livre peut facilement servir de déclencheur pour aborder le thème de la justice avec des adolescents.

Peu importe le temps écoulé depuis la parution des Klonk, cette série de petits romans est toujours pertinente aujourd'hui.



Dans ce onzième tome, Klonk doit affronter la plus grand des dangers, soit la possibilité de mourir ou pire encore... On y voit un Klonk vulnérable et prêt à tout essayer avant de risquer la mort sur la table d'opération. Ça fait du bien de le voir sortir de sa zone de confort, on avait rarement vu Klonk perdre le contrôle sur tout ce qu'il se passe autour de lui.



La série Klonk est facile d'accès pour des lecteurs de 8 ans et plus. Celui-ci est parfait pour parler de peur et de la découverte de nos limites.

Malgré le temps écoulé depuis sa parution la série Klonk de monsieur Gravel est toujours aussi excellente pour les jeunes lecteurs.



C'est une série d'aventures avec juste ce qu'il faut de magie (ou dans ce cas-ci de télépathie) pour garder l'attention des lecteurs les plus endormis. Bien sûr il vaut mieux les lire dans l'ordre pour suivre les changements qui surviennent dans les vies de Klonk ou de son ami Fred. Mais chaque tome est une histoire en soi et peu aussi être apprécié individuellement.



Pour les jeunes lecteurs dès 9 ans, celui-ci est parfait pour aborder les thèmes du secret ou de la vie privée.