Frédérick Rapilly

Après un premier roman, Le Chant des âmes qui a reçu la faveur du public, ce journaliste amateur de polars signe avec Dragon Noir un nouveau thriller à l'intrigue implacable.



Marina est une jeune escort qui se vend à une riche clientèle depuis deux ans. Avant de souvenirs, elle n'en a aucun. Un soir, alors qu'elle rejoint son client dans un luxueux appartement parisien, elle sent que quelque chose cloche. En effet, comme un parfum de danger flotte dans l'air. Son instinct ne la trompe pas, un homme est attaché sur une chaise. Il a visiblement été torturé à mort. En un clin d’œil, elle enregistre la scène et visualise la présence d'une webcam en train de filmer. De terribles choses se sont passées ici sous le regard d'une ou de plusieurs personnes. Alors qu'elle pense s'enfuir, Marina est attaquée par le tueur encore présent sur les lieux. Faisant appel à des réflexes enfouis et inconnus jusque là, la jeune femme réussit à mater son adversaire et à le tuer. Sans chercher à comprendre, elle prend la fuite. Mais qui que ce soit qui se cache derrière cette odieuse exécution, il ne compte pas la laisser en vie et semble disposer de moyens illimités pour la traquer.



Frédérick Rapilly nous attache aux pas d'une héroïne d'apparence fragile qui cache un passé trouble. Jouant beaucoup sur les contrastes ici, il faut savoir se méfier des apparences. Qui est-elle en vrai? C'est la question qui nous taraude tout au long de ce polar. Volontiers présentée comme une nouvelle Nikita, ce qui est certain c'est que cette Lara Croft en a sous la pédale. Tueuse implacable ou vraie victime, seul Frédérick Rapilly détient la vérité.



Il nous emmène dans une intrigue menée à 100 à l'heure. Cette chasse à l'homme ou plutôt à la femme nous entraîne dans l'univers sombre des cartels de drogue et de la prostitution. On y côtoie de près les pires truands, on se frotte à la folie meurtrière de tueurs sanguinaires. C'est un roman qui nous fait froid dans le dos tant il touche de près l'actualité. Et pourtant il nous fascine tout autant en abordant la thématique de la vengeance d'une femme contre les bourreaux modernes. Dans le fond, si on avait le pouvoir de faire payer, ne nous vengerions-nous pas nous aussi?

Alors, il est vrai que pour moi la lecture du début du roman a été un peu laborieux. Il y a beaucoup de descriptions qui m’ont dérangé car trop nombreuses. Cependant, quelques chapitres plus loin…Nous y sommes et le rythme s’accélère enfin. Ce qui fait la force de ce thriller, c’est le style de l’auteur qui je le rappelle est reporter et journaliste. Dans ce roman, on suit l’héroïne, Marina qui semble être en quête de vérité. Escort girl, la jeune femme avec l’aide d’un journaliste, se prénommant Pierre, tentera d’obtenir des réponses mais surtout elle essayera de sauver sa vie. Dans ce roman, l’auteur met en scène la mafia Russe et le moins que l’on puisse dire c’est que ce ne sont pas des enfants de cœur.

Alors que Marina rejoint son client dans un luxueux appartement parisien, elle sent que quelque chose cloche. Elle retrouve un homme attaché sur une chaise qui semble avoir été torturé à mort. Marina est attaquée par le tueur alors qu’elle essaye de s’enfuir

Frédérick Rapilly a su rendre Marina attachante de part sa fragilité mais aussi de part les secrets qu’elle renferme.

Il nous porte au fil des pages dans une intrigue palpitante. C’est une terrible chasse à l'homme dans le monde des cartels de la drogue et de la prostitution. Un thriller glaçant car très actuel !

Un roman que je vous recommande donc vivement !

Marina, escort girl, se retrouve confronté au cadavre d'un homme.

Ce cadavre va lui rappeler son passé, assez trouble, et dont elle n'a que très peu de souvenirs.

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On suit Marina dans sa quête de ela vérité, de sa vérité... Un thriller qui démarre tambour battant et qui ne s'arrête pas.

Un #livre addictif où il n'y a pas de temps mort écrit par un grand reporter.

L'intrigue est bien ficelée et c'est très bien documenté. Rare pour être souligné mais il y a une bibliographie à la fin du livre.. C'est très réaliste. La crédibilité est d'autant plus renforcée par les liens avec l'actualité.

Il m'a fait penser à de nombreuses reprises à des films d'espionnage.

La musique est très présente. Des extraits de chansons au début de chaque chapitre m'ont permis de m'établir une playliste.

Quant à la fin, elle pourrait faire présager une suite, enfin c'est comme ça que je l'ai comprise..

Vous l'aurez compris, c'est un livre à ne surtout pas manquer, foncez !

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Bref, c'est un coup de cœur !



Livre reçu dans le cadre d'une masse critique, merci à Babélio et aux éditions Critic pour l'envoi!

Dragon noir est un thriller qui va à 100 à l'heure ! Il commence par l'entrée en scène d'une escort girl qui arrive pour une soirée comme elle en a l'habitude, sauf que sur place rien ne se passe comme prévu, elle tombe sur un corps et surtout sur l'assassin qui est toujours là.

A partir de ce moment, une course s'engage la jeune femme fuit, mais trop tard elle a été vue et sa fuite est plus compliquée que prévu. Dans Paris, le Morvan, elle va tenter de fuir, se cacher puis finalement cette jeune femme se rend compte qu'elle n'est pas ce qu'elle prétend être. En effet Marina, si cela est son vrai prénom, ne se souvient de rien, elle n'a que quelques souvenirs qui lui reviennent en tête, des bribes qui arrivent tels des flashs. Marina volontaire va donc découvrir qui est derrière tout cela et veut tenter de comprendre.

C'est un thriller qui est beaucoup dans l'action, il ne se passe pas un chapitre sans un événement, cela le rend haletant et donne un rythme soutenu. le lecteur est alors plongé dans cette aventure avec cette jeune femme qui d'emblée nous apparaît comme sympathique, en tout cas le lecteur est avec elle, jamais on n'a la sensation qu'elle est mauvaise et pourtant ce n'est pas un petit ange. Malgré cette multitude d'actions, les personnages sont bien décrits, on leur donne une certaine psychologie, même ceux qui interviennent de manière minime, l'auteur prend le temps de nous les dépeindre, de nous raconter un peu de leur histoire. Les personnages ne sont pas juste posés, chacun a une véritable identité. C'est ce qui permet de contraster avec Marina qui n'a pas ou peu d'histoire. Ce qui permet de faire aussi des pauses dans le récit et de souffler un peu, cela permet aussi de mettre les choses en place car derrière ces meurtres se cache quand même un grand mystère sur l'identité de Marina. D'ailleurs, cela laisse à penser que l'auteur ne peut pas nous laisser comme ça, sans que le mystère ne soit complètement résolu. Autre tome ou pas, pour mieux connaître cette Marina ?

J'ai été enchantée de cette lecture, je ne m'attendais pas à un thriller aussi enlevé, c'est vraiment bien fait, une bonne lecture pour se changer les idées et pour réfléchir un peu car l'auteur donne un petit fond réaliste à cette histoire avec la mafia russe, des petits détails qui donnent de la crédibilité à une histoire qui somme toute est incroyable.

Le petit bonus pour les fans de musique, ce sont les chansons en tête de chapitre, comme une playlist pour rythmer sa lecture. Sympa.

Dragon Noir, c'est du 100% thriller et ça se dévore. Ca va à deux-cents à l'heure sans un instant de répit, c'est super bien construit, ça se passe principalement à Paris. On est dans la peau de Marina, une escort-girl, qui se présente au domicile d'un client pour assurer une prestation et se retrouve au milieu d'une scène de crime. Seul hic, le tueur est toujours dans la place et elle va se retrouver avec une bande de tueurs russes aux trousses très bien organisés, prêts à tout pour la capturer. Elle va chercher de l'aide auprès d'une vieille connaissance, Pierre, un grand reporter (j'ai adoré ce perso).

Mais Marina n'est sans doute pas qu'une simple escort-girl: elle ne se souvient de rien depuis qu'elle s'est réveillée dans une chambre d'hôtel à Londres, elle parle russe et elle arbore un énorme dragon noir tatoué dans son dos. Tout l'enjeu de l'histoire consiste à essayer de se rappeler qui elle est et pourquoi tout le monde veut sa peau. Du bon, du bon, du bon !

Ah! Il nous aura fait attendre quelques années mais ça en valait vraiment la peine.

Un thriller mené à 200 à l'heure par des personnages très bien campés et vite attachants.

Un vrai coup de cœur à dévorer de toute urgence.

Vivement le prochain!

Marina est escort girl. elle se rend à un rendez-vous dans un appartement d'un quartier chic de Paris. Surprise son client est plus que mort et son assassin cherche à la tuer également. Mais c'est elle qui le tue et prend la fuite.



Dans sa course effrénée, elle se pose beaucoup de questions : d'où lui vient cette connaissance des armes ? du combat rapprochée ? Qui est- elle ? Avec l'aide de Pierre, un journaliste quelque peu baroudeur, elle va à la fois tenter de sauver sa vie et de trouver des réponses.



Après une longue absence, Frédérick Rapilly revient avec un roman mené tambour battant, mettant en scène la Mafia Russe, ceux rencontrés dans le roman ne sont pas des enfants de chœur. Le personnage de Marina est fascinant, sous des dehors angéliques, la jeune femme recèlent des qualités insoupçonnées pour le combat et la stratégie. J'aimerais bien la retrouver dans de prochains romans car je suis sure qu'elle peut encore nous étonner.



Le roman pourrait faire un très bon téléfilm tant les scènes sont hyper réalistes.



Après le chant des âmes, Frédéric Rapilly signe un retour réussi avec son dragon noir et on espère ne pas trop attendre pour un nouveau roman.

« Cours, cours, cours !

Ne t’arrête pas.

Sinon…tu es morte » ( prologue)



Marina fuit, se cache, se bat et même tue pour survivre…. Poursuivie par des hommes puissants qui la repèrent où qu’elle soit, qui n’hésitent pas à tuer, voire à torturer ceux vers qui elle se tourne…. Mais qui est cette call- girl ? Amnésique depuis deux ans, elle ne le sait pas elle-même . « Comme si elle était un artefact, une légende, un fantôme. Un disque dur dont la mémoire avait été effacée. Marina était une page blanche ». D’où lui viennent ses étranges pouvoirs qui lui permettent de résister à cette traque infernale ? Pourquoi a-t-elle ce dragon noir tatoué sur son dos ?



Le roman ne nous laisse aucun répit, entre Paris, la République Dominicaine, le Cantal et Moscou. Nous sommes entraînés dans la « traque » de Marina, poursuivie par «les hommes en noir et les flics ». Parviendra-t’elle à leur échapper ? Et puis il y a toutes ces questions sur le passé de Marina et ses liens avec ses poursuivants. Qui sont exactement les vori v zakone? D’où leur viennent tous ces moyens ?



Ce qui fait la force de ce roman, c’est aussi le style de l’auteur : des chapitres courts qui montrent l’urgence, des descriptions pertinentes, des allusions à l’actualité qui situent le roman dans notre quotidien.

Un excellent moment de lecture !

Lecture finie, un bon polar plus qu'un thriller, ça ferait un bon film..

Ça se lit bien, c'est fluide, y a de l'action et en toile de fond un mystère :qui est cette femme, pourquoi est elle si douée dans

'' l'art '' de tuer ?? quel est son passé?

Dans les remerciements on saura que l'auteur à fait des recherches dans les milieux policier, pour les méthodes d'intervention et sur l'infiltration en France des mafias russe et leur ''terrain de jeux " si j'ose dire..

Tout cela donne a ce roman un accent de véracité au service d' une histoire que j'ai vraiment aimé... A lire pour les amateurs d'action..

« Les futurs espions n’auront pas conscience d’appartenir à cet étrange monde du secret, ils seront comme des serpents venimeux assoupis, des armes de destruction à activer pour créer le chaos… mais une fois lancés, pourra-t-on encore les contrôler ? »



Prenez une héroïne à mi-chemin entre « Red Sparrow » et « La mémoire dans la peau », ajoutez-y du rythme à la « Taken », laissez le tout mijoter dans l’esprit de Frédérick Rapilly et vous obtiendrez sous sa plume un roman au rythme effréné sur fond de mafia russe, de services secrets et de vengeance.



Alors je dois l’avouer, la lecture des quarante premières pages a été laborieuse. Trop de descriptions m’ont paru inutiles, alourdissant ma lecture au point de penser que ce roman n’était pas fait pour moi. Mais passé les deux premiers chapitres, le rythme s’est accéléré, les descriptions se sont faites moins nombreuses et plus pertinentes à mon goût. À partir du troisième chapitre, j’ai été embarquée dans cette histoire qui, comme je le dis plus haut, m’a rappelé quelques grands films sur fond d’espionnage et de services secrets.



Frédérick Rapilly nous livre une héroïne mystérieuse et complexe.



Alors qu’elle arrive sur son lieu de rendez-vous, Marina, call-girl, découvre son client mort. Passé la surprise, elle remarque une caméra qui semble avoir filmé le crime. Dans le même temps, elle est attaquée par deux hommes dont elle viendra à bout, mue par des réflexes dont elle ne connaît pas l’origine.



D’où lui viennent ces mécanismes ; qui est-elle réellement ?



À se trouver au mauvais endroit au mauvais moment, elle a provoqué la colère des vori v zakone, « les voleurs dans la loi », puissante mafia Russe.



Dans sa fuite, elle choisira de faire appel à Pierre, reporter. Un personnage qui ressemble fortement à notre auteur, tout du moins dans le parcours. À se demander si Frédérick ne s’est pas substitué à lui.



Sur fond de poursuite, les chasseurs deviendront les chassés, mais une question demeure, pourquoi la mafia russe tient autant à neutraliser marina.



L’écriture est rythmée malgré des chapitres un peu longs parfois, mais leur découpage en sous parties permet de ne pas laisser le soufflet retomber. On sent le style du journaliste dans la tournure des phrases qui peuvent être très courtes pour maintenir la tension narrative ou très longue selon le choix de l’auteur.



Au-delà de l’histoire et de l’intrigue, Frédérick Rapilly a intégré des éléments réels, extraits de rapports ou articles de journaux, qui ont aiguisé ma curiosité de lectrice : La mafia russe est-elle aussi bien implantée en France ? Qui sont réellement les « vori v zakone » et quelle est leur histoire ? J’ai également appris des choses sur l’actuel Président Russe et surfé sur le web pour approfondir ces découvertes :



« Magomet et son « Teip » y avaient gagné une réputation d’intouchables. Il n’y avaitque la force brutale et la terreur pour s’imposer en Russie dans ces temps troublés.



À l’époque, l’homme fort de Moscou, Vladimir Poutine, dont la carrière avait bénéficié de mystérieux coups de pouce lorsqu’il n’était qu’un simple officier supérieur du KGB à Leningrad, au début des années 1990, le savait mieux que personne. »



J’aurais aimé avoir un peu plus de « mâche » et de consistance des personnages, mais la psychologie des protagonistes n’étant pas l’enjeu de ce roman, ça n’a nuit en rien à la lecture.



Un roman à découvrir pour les fans d’espionnage.

Je remercie tout d'abord Babelio et les éditions Critic pour l'envoi de ce livre.



J'aime sortir de temps en temps de ma zone de confort et m'offrir un bon thriller. Et pour le coup celui-ci est vraiment de qualité! Nous ressentons bien l'influence du métier de journaliste de l'auteur. Les chapitres sont ponctués des lieux, dates précises et le texte est très détaillé. Nous sentons que le récit n'est pas que fictif, Frédérick Rapilly s'est beaucoup documenté et s'appuie sur des informations solides pour construire son histoire. Preuve en est à la fin avec les références et note explicatifs.



Au niveau de l'ambiance, elle est sombre du début à la fin avec beaucoup de précisions parfois assez sanglantes. L'auteur nous plonge dans le milieu de la mafia russe et ne nous épargne rien: trafic de drogue, d'armes, tortures et méthode d'intimidation, proxénétisme et prostitution.



Tout commence avec ce corps mutilé. Alors que Marina, escort girl, avait rendez-vous avec un client, elle tombe sur un cadavre qui a été torturé et se trouve au mauvais endroit au mauvais moment, car le tueur est toujours sur place et s'en prend à elle! Bizarrement, la jeune femme garde son sang froid et tue presque accidentellement son agresseur sous l'œil d'une caméra. C'est le début d'une traque sans merci pour mettre la main sur cette mystérieuse jeune femme qui a mis a mal les plans d'un groupe de mafieux russes.



Marina n'aura alors aucun répit! Ses poursuivants sont très bien organisés et sans pitié! Ils ont toujours un temps d'avance sur elle! Mais voilà, la jeune femme semble savoir ce qu'il faut faire pour leur fausser compagnie.



J'ai adoré cette course poursuite sur un rythme effréné. Il y a toujours de l'action: incendie, fusillade, torture, sprint à travers le métro,... le stress et le suspense nous suit tout au long de notre lecture. Marina va-t-elle réussir à se débarrasser de ses poursuivants où vont-ils finir par la rattraper et la torturer aussi?



L'autre fil rouge du roman, c'est l'identité secrète de Marina. En effet, la jeune femme n'a aucun souvenir de sa vie. Qui est-elle? Quel est son vrai nom? Et pourquoi sait-elle toutes ces choses sur la traque, la filature, les différentes façons de se battre, de tuer? Peu à peu, des flashs, des retours en arrières assez flous lui reviennent. Et si ce n'était pas un hasard qu'elle se retrouve dans cet appartement ce soir précis?



Un thriller haletant dans une ambiance très sombre, qui nous tient du début à la fin!
Lien : https://lizzoneimaginativeet..

Un roman d'action plutôt qu'un polar, on connaît "les méchants" dès le début. On se laisse prendre par cette traque violente sans temps morts. L'héroïne est intéressante avec sa mémoire défaillante. Un roman qu'on lit d'une traite ... et dont on attend la suite.

Une lecture comme je les aime qui a été dévoré en deux petits jours, il y a tous les ingrédients pour que ce bouquin soit dévoré.



Tout commence lorsque Marina accepte un rendez-vous en tant qu'escort girl dans un luxueux appartement parisien, son client est bien dans celui-ci mais il a été tué et d'une façon plutôt violente et brutale.



Marina va fuir cette scène de crime en y ajoutant sa petite touche et va trouvé du réconfort auprès de son amie escort également dans un hôtel, elle va tout raconter à celle-ci, cependant très vite les jeunes filles se sentent épiées et pas en sécurité dans ce lieu.



Marina a également beaucoup de doute sur son passé elle parle en effet plusieurs langues comme le russe couramment mais elle n'a aucun souvenir du comment elle a pu apprendre cette langue.



Cette jeune fille est vraiment très agréable à suivre sur sa quête de sa propre identité et sa fuite constante pour échapper à la mafia russe.



Pierre est également un personnage que l'on a envie de suivre, je n'ai trouvé aucun temps mort à ce récit et les pages ont défiler à toute allure.



Il m'a manqué un petit quelque chose pour avoir un coup de coeur mais j'ai vraiment beaucoup aimé!

Quarante ans, puisque c’est le 29 septembre 1981 que le groupe donnait son premier concert. De l’aventurier à 13, du stade de France à Bercy, le groupe aux plus de treize millions d’albums vendus tient sa place.



Frédérick Rapilly leur rend un véritable hommage dans ce beau livre édité par les éditions Rock’n’Folk. À partir de la présentation chronologique de leurs différents albums, ce qui permet de les resituer dans leur époque, il les met en regard également des groupes qui les ont accompagnés tout au long de ces quarante années. Autour de la parution de chacun de ces treize albums, voire même singles, rivalité, inspiration, emprunts aux uns ou aux autres, travail avec d’autres artistes, reprises de textes, sont explicités et contextualisés.



Tout au long, on note la place prépondérante de Nicola Sirkis, chanteur et leader du groupe, compositeur de la plupart des paroles. Il est le seul rescapé du groupe initial, en particulier depuis le départ de Dominique Nicolas en 1994, celui de Dimitri Bodianski, et la mort de Stéphane, son frère jumeau, en 1999. Contre vents et marées, contre l’adversité parfois, les critiques souvent, il a tenu son groupe et peut se targuer de remplir les salles et attirer autant ses fans de la première heure que désormais leurs enfants, avec toujours autant de ferveur.



chronique complète en ligne sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2021/11/14/indochine-dizzidence-rocknroll-frederick-rapilly/
Lien : https://domiclire.wordpress...

Le meurtre d'une jeune demoiselle a eu lieu, semble t il après une "technoparty". Un ancien journaliste et une jeune photographe sont lancés dans une enquête palpitante et feront voyager le lecteur. D'ailleurs, cette musique "techno" a t elle un lien avec le meurtre ?

Ce thriller a reçu le "premier prix littéraire de la ville de Lens en 2013", et je n'ai pas été déçu. Je vais de ce pas rechercher le 2eme opus "Le chant du diable".

Petit plus à la fin du livre : une playlist de musiques techno...

Ouille ouille ouille, le style m'a tuée!

"Mais je crois qu'il y a autre chose d'autre derrière ce meurtre." Plus des coquilles, des erreurs de concordance des temps qui font mal aux yeux, un personnage auquel je ne parviens pas à croire.... Et je n'ai pas atteint la page 70!



Alors ce sera sans moi. J'ai suffisamment de livres prometteurs qui m'attendent pour ne pas m'astreindre à cette "lectorture".

Très original, très bien rythmé, servi par des personnages attachants, ce thriller est une belle réussite. Un auteur à découvrir.

J'ai vraiment bien aimé suivre cette enquête, mais avec un journaliste en protagoniste principal (bien qu'il prenne ici la place du cliché de l'homme seul ayant souffert dans la vie etc...) ce qui change du vieux flic qui a raccroché.



On voyage, le lien avec la musique Techno se fait peu à peu, et j'étais vraiment complètement dedans à partir du milieu du livre.



Cette fin en suspens va clairement me faire acheter la suite pour savoir ce qu'il va se passer.

Les personnages sont assez bien construits, même si je ne me suis pas spécialement attachée à eux. Je trouve la photographe un poil arrogante et agaçante.

Présence de quelques petits clichés qui m'ont fait lever les yeux au ciel, mais l'intrigue m'a fait oublier ces petits moments d'égarement.



Hâte de lire la suite.

Je suis sortie de cette lecture sonnée, vidée, avec dans les oreilles encore et encore la musique qui résonne. Ahurissant ! Les descriptions de l'auteur sont tellement précises qu'on s'y croirait.

Moi qui ne connaissais timidement que quelques morceaux de musique techno, mais vraiment quelques...juste de quoi mettre le pluriel :)) , lorsque je me suis plongée dans cette enquête, j'étais septique. Plus j'avançais et plus je l'étais dans le sens où quasiment toutes les références musicales : noms de morceaux, noms d'albums, noms de groupes et noms de DJ ne m’interpellaient pas...



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Forêt de Brocéliande : une jeune femme est retrouvée morte, atrocement mutilée. Les soupçons se portent rapidement sur un groupe de musiciens adeptes des rites sataniques. Mais comment expliquer la découverte d'une mise en scène similaire en Thaïlande ? Marc Torkan, un journaliste reconverti dans la brocante à la suite d'un drame personnel, va partir sur les traces du psychopathe à l'œuvre



L'histoire commence lentement, avec une description minutieuse (un peu trop ? tout n'est pas utile pour l'intrigue) des personnages et des scènes, un peu comme si cela était écrit pour un scénario. Puis cela démarre et s'accélère, crescendo et jusqu'à la découverte du meurtrier. Quel est le motif de ces meurtres ? Le coupable sera-t-il piégé ? L'auteur manie avec brio l'art des pistes incomplètes qui crée un suspens haletant



La lecture avait mal commencé, en raison grosse faute de typographie dans la première page : cela me transforme immédiatement en machine de guerre à débusquer les fautes d'orthographe, autant dire que c'est fichu pour s'accrocher à l'histoire. Heureusement la tendance ne s'est pas confirmée, et hormis une ou deux concordances de temps approximatives, j'ai pu continuer sereine (si l'on peut être serein en lisant un thriller) !



J'ai bien entendu apprécié le fait que l'intrigue prenne place dans ce lieu mythique de Brocéliande que j'aime parcourir : regarderai-je différemment l'Arbre d'Or lors de ma prochaine balade ?



Les références, indispensables au récit, à la musique techno n'ont pas vraiment constitué un obstacle, mais ne m'ont pas aidée non plus : je ne connais pas un traitre nom des morceaux ou des musiciens évoqués, et pas envie d'approfondir : je me réfèrerais plutôt à la photographe Katie qui se délecte de l'Adagio de Samuel Barber…



Merci de tout cœur à Bibliofolie et aux éditions Critic de m'avoir permis de passer ce bon moment de lecture




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