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Critiques de Gérard de Villiers (284)
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L'aventurier des étoiles, tome 2 : La planète d..

Aventurier des étoiles .



C’est un petit roman assez modeste pour ce qui est des capacités de l’intrique , mais qui par contre plonge le lecteur dans un univers qui est complètement blindé .

Mais où donc se trouve la terre ?

Pour avoir une chance de le savoir , suivez le visiteur sur ce monde peuplé d’insectes dangereux et énormes .

Ballade à l’extérieur dans une nature compliquée et détention dans des souterrains improbables.

Une intrigue simple , avec de petits pièges habiles … mais cela reste un peu trop modeste pour une lecture adulte à mon humble avis .

Les personnages de ce petit roman sont solides cependant , ce détail solidifie l’univers .

Et l’univers , il vaut le détours même si ce n’est pas l’univers du siècle .

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SAS, tome 6 : Dossier Kennedy

Ce n'est pas du tout ce que je pensais.

Attiré je l'ai été par le titre car je suis grand lecteur de tout ce qui touche à l'assassinat du Président Kennedy.

Bref le titre correspond bien à l'intrigue. Le dossier relatif à l'assassinat du président, pas le rapport Warren qui est un conte pour enfant, non celui qui implique ou impliquerait des personnages et une organisation proche du pouvoir, a été dérobé par une organisation soviétique qui compte bien soit le revendre soit faire trembler l'administration des Etats Unis.

Comme ce bouquin à été publié en 1967 il était possible de penser qu'il y aurait des révélations plus ou moins véridiques, or de cela point si ce n'est trois pages d'élucubrations sur ce que le lecteur moyen sait déjà. Il est vrai que trois ans après Dallas ce n'est pas si mal. Avec le recul on peut, quand même se poser des questions, notamment sur le fait que Kennedy et le gouverneur du Texas, Connally, aient été touchés par deux balles issues de deux armes différentes.

Le prince Malko Linge présenté comme barbouze de luxe de la CIA est chargé de récupérer le dossier ou plutôt le porte document contenant ledit dossier.

Ce qu'il fait mais lisant le rapport il devient, lui même, la proie de ses propres employeurs.



C'est ce que l'on appelle un roman de gare et ce n'est ni plus, ni moins, ce à quoi cela correspond. Du sang, des morts à profusion, des poursuites en voiture sur les routes gelées de l'hiver autrichien où l'action se déroule, entre-deux coups de feu quelques jolies femmes et des vilains comme s'il en pleuvait.

Bref un peu d'ennui. Un ou deux bâillements. Quelques pages sautées.

A oublier en passant à autre chose.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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SAS, tome 120 : Ramenez-moi la tête d'El Coyo..

Entrée en matière, une bonne grosse scène de sexe bien torride comme il se doit, on le sait tous bien, les espions sont de sacrés coups ! Et si le personnage féminin de l'histoire n'était pas nymphomane, quel intérêt pourrait-on y trouver ?

L'intrigue : l'attentat d'Oklahoma City, 1995, les cartels de la drogue mexicains, le traffic d'armes, des hommes politiques corrompus, la CIA qui met les pieds dans les affaires mexicaines, et Malko qui doit aller capturer un citoyen américain mêlé à tout ça, John Doe. Bref, de l'action, des méchants, de la violence, des assassinats, une course poursuite… et quelques scènes de sexe pour les petits moments de détente (on se détend souvent dans ce roman). Niveau déontologie, c'est plutôt primaire, plus tu as de la moustache, plus tu as des chances d'être du mauvais côté, et plus t'es blond... Et puis les méchants sont de sales machos, alors que le héros, lui, c'est un bon macho, notez bien la nuance. Les placements de produits m'ont bien fait marrer, le Champagne Taittinger, le Whisky Defender, le Cognac Gaston de Lagrange, les vols Air France, ça revient régulièrement, comme un leitmotiv, on peut s'amuser à les compter, pour savoir qui a apporté la plus grosse contribution, on sent que l'auteur aussi s'en amuse.

C'est plutôt ben écrit, bien rythmé, distrayant, vite lu, il y a tout ce qu'on peut attendre d'un tel roman, mais pas forcément plus. Bref, c'est à lire au second degré, le plaisir n'en est que meilleur. Personnellement, ça m'amuse d'en lire un de temps en temps.
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SAS, tome 128 : Zaïre adieu

Je vous présente SAS Malko Linge, ressortissant autrichien, travaillant pour la CIA . Sa mission comprendre pourquoi et par qui un attaché de l'ambassade a été tué. Nous sommes en juin 1997. Mobutu est en fuite Laurent-Désiré Kabila a pris le pouvoir. Le Zaïre va s'appeler dorénavant la République Démocratique du Congo.

Alors bien sur ce roman ne casse pas trois pattes à un canard mais voilà c'est un SAS et si vous ne connaissez pas Gérard de Villiers apprenez qu'entre 1965 et 2013 il a écrit 200 romans ayant pour personnage principal SAS et qu'environ 100 millions d'exemplaires de ses romans ont été vendus de par le monde, excusez du peu!

Dépaysement, actualité, violence gratuite ou non , ajoutez y quelques scènes torrides et vous aurez la recette.

Voilà mission accomplie il me fallait honorer un item sur un challenge en équipe c'est chose faite avec cette curiosité de l'édition française.
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SAS, tome 88 : Escale à Gibraltar

Agent de la CIA, Son Altesse Sérénissime, le prince Malko Linge est en mission à Vienne sur les traces de Raj Krishnar, un tamoul membre d'une organisation marxiste sri-lankaise. Il s'agit juste d'exercer une surveillance discrète et sans danger, c'est pourquoi sa fiancée Alexandra est du voyage. Mais sa route croise celle de Tony Pool, un tueur new-yorkais, bras droit sanguinaire d'un gros trafiquant de drogue. Les choses se corsent et Malko découvre que Raj est venu vendre de l'héroïne à Pool afin d'armer lourdement son mouvement. Selim Attalah, un vendeur d'armes syrien installé à Marbella serait leur intermédiaire. Toujours flanqué de sa fiancée, Malko quitte la pluie viennoise pour le soleil d'Andalousie afin de faire capoter l'affaire.



Un voyage de Vienne à Marbella et Gibraltar, un zeste d'espionnage, de l'action, des coups de feu et du sexe en veux-tu en voilà. Sur fond de vente d'armes, de trafic de drogue et de guerre froide, Gérard de Villiers promène son célèbre héros, un grand blond pas très charismatique, de restaurants chics en séances de shopping avec sa belle. Les méchants sont sans pitié mais l'agent de la CIA déjoue leurs plans avec maestria et même s'ils sont adversaires, tous ont en commun une soif jamais assouvie de sexe. Et là Gérard de Villiers tape fort. Au diable le coït plan-plan du commun des mortels! Ici, le sexe est sublime, une décharge électrique avec multiples orgasmes assurés. Les érections de ces messieurs, tous fort bien membrés, sont aussi spectaculaires que les chutes de rein des femmes fatales qui les accompagnent. En dépit du danger, on a toujours 5 minutes, ou plus, pour une petite partie de jambes en l'air, par devant, par derrière, à l'endroit, à l'envers. Bref, on s'éclate à Gibraltar que l'on soit un bandit syrien, un mafieux américain, un marxiste tamoul ou un prince autrichien.

L'écriture n'a rien de transcendant, mais on en a pour son argent si on veut de l'action, de l'exotisme et des dieux du sexe. Une expérience...étonnante.
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SAS, tome 61 : Le complot du Caire

Je me rappelle avoir vu des SAS trainer chez moi quand j'étais gamin, et puis ils ont été jetés lors d'un déménagement... Chez les bouquinistes, il y en a toujours une caisse au fond, jaunis et poussiéreux... Une littérature traitée avec un peu de mépris condescendant qui provoque un petit sourire en coin, complice et ironique, ce qu'on appelle la “littérature de gare”. Tout le monde connait ces couvertures suggestives avec ces femmes armées et pulpeuses incrustées dans les lettres SAS.

Il fallait bien que j'en ouvre un un jour !

Bon c'est vrai, Gérard de Villiers écrit sans doute avec une perfusion de testostérone. C'est du roman d'espionnage, avec son lot de clichés machistes, les filles tombent comme des mouches dans les bras de Malko, un peu à la “James Bond” sauf que les scènes de sexe ne sont pas censurées (Ouai !!!).

Vraisemblablement, Malko, c'est un super coup, le filles, si vous le croisez...

À ma surprise, ce n'est pas si mal écrit que ça, on trouve quelques brèves descriptions de l'Egypte concises et bien vues, et même des moment de subtilité, teintés d'ironie, d'humour au second degré : “Les premiers flocons de neige sur l’Autriche l’avaient poussé à prendre l’avion. En plus, les Égyptiennes avaient la réputation d’être superbes, et presque aussi salopes que les Hongroises...” J'ai plusieurs fois éclaté de rire.

Et j'ai dû revoir ma géopolitique de l'époque, le propos n'est absolument pas farfelu. L'action se passe en Egypte, des terroristes islamistes préparent un attentat contre Anouar El-Sadate. Malko arrivera-t'il à le déjouer ? Ironie de l'Histoire, quelques mois après la sortie du livre, Sadate sera effectivement assassiné dans un attentat islamiste...

1981 c'est aussi l'époque des MAGNÉTOSCOPES ! Niveau placement de produits, Gérard de Villiers a dû toucher quelques royalties... Les magnétosopes, c'est Akaï, si ça vous intéresse ! Et vous souvenez-vous de la R16, la 504... ?

Le rythme est bien étudié, c'est dynamique, pas le temps de s'ennuyer, on progresse de façon exponentielle dans l'intrigue, notre attention est parfaitement maintenue en éveil... d'ailleurs je me pose une question, est-ce que c'est les scènes de sexe qui viennent ponctuer les scènes d'action où les scènes d'action qui ponctuent les scènes de sexe. Oui, il y a bien sûr des scène un peu HOT, qu'est-ce que je vous disais plus haut sur la testostérone ! Elles sont même parfois cocasses.

Du sexe, de l'action, on ne s'ennuie pas avec Malko. ! Je crois bien que je retenterai l'expérience un jour.
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SAS, tome 15 : La panthère d'Hollywood

En quoi le cadavre d'un Indien mort dans le désert du Mexique, intéresse la c.i.a . alors que l, affaire relève du f.b.i.seul organise habilité à opéré sur le territoire des états unis. Même si la

C.i.a c'est implanté Clandestinment dans la plupart des grandes villes. Sous la couverture au titre bizarre de ( us army joint opération group ). bien sûr aucune unité de se nom exîste dans l, armé des u.s.a. c, est pourtant sur son ordre qu, on va arrangé malko a son château 🏰 pour l, envoyé à Los Angeles.

ou il devra s, introduire dans l, entourage de gene shirak un producteur de cinéma 🎬.

une plongée dans le monde du showbiz, pour une bonne histoire, avec son lot d, érotisme et

d, action.parfait pour se détendre ⛱️. bonne lecture.😂
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SAS, tome 58 : Piège à Budapest

Gérard de Villiers débute son roman à la trique.

Lors d'un banquet, deux apparatchiks soviétiques se font astiquer sous la nappe, simultanément par la même dame, main droite main gauche.

À l'instant le lecteur sait qu'il n'ouvre ni un roman de François Mauriac, ni une pièce de Paul Claudel...

Mais on lui pardonne car cette scène n'est pas inutile pour la construction de l'intrigue.

Quand on veut kidnapper un ministre du kremlin, viser au niveau de la braguette n'est pas forcément idiot quand on se trouve derrière le mur de Berlin.

Mais hélas, mille fois hélas, il n'a pas su s’arrêter à temps et d'autres scènes aussi inutiles les unes que les autres viennent se chevaucher, troublant le récit.

Remplissage ?

Autre point faible qui me paraît rédhibitoire, ce sont les dialogues qui sont d'une pauvreté affligeante, parfois tellement ridicules qu'on ne peut s'empêcher de rire, consterné.

C'est dommage car il suffisait de presque rien - Peut-être dix années de moins ? - pour que Gérard de Villiers emporte mon assentiment.

Grâce à une recherche documentaire sérieuse, il parvient à immerger totalement le lecteur dans le pays choisi pour l'intrigue. Ici la Hongrie, du temps de la guerre froide, est révélée d'une touche très réaliste. À la fin du livre j'avais la sensation d'être allé à Budapest.

Chaque fois que j'ouvre un S.A.S, j'ai toujours l'espoir de tomber sur l'exception qui confirme la règle. Sachant que Gérard de Villiers a utilisé des "nègres littéraires", j'espère encore dénicher celui qui dans l'ombre a su éviter tous les écueils, trichant avec le cahier des charges.

Dans les vide-greniers il n'est pas rare de trouver un carton entier de cette littérature.

Je me laisse parfois tenter.

C'est l'histoire de ce Piège à Budapest dont les mâchoires ont brisé mes espoirs.
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SAS, tome 11 : Magie noire à New York

le titre magie noire peut prête a confusion car ici il est pas question de magie.

mais du nom de code d'une opération visant à faire passer malko pour un agent double.

une histoire axée sur la traque des anciens nazis.

l,histoire est emballante.

entre action,suspense et érotisme.
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SAS, tome 10 : L'or de la rivière Kwaï

sas est envoyé en Thaïlande pour retrouver jim Stanford un ancien agent reconverti en marchant de soie .malko va en faire une affaire personnellement car c'est jim qui la fait entré à la cia

et qui a guidé ses premiers pas d espion.une bonne histoire comme toujours très documentai sur le fameux pont de la rivière kwai.avec aussi action sexé

et suspence.on ne s ennuie pas.👍
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SAS, tome 19 : Cyclone à l'ONU

une mission peut ordinaire pour s,a.s. Puisque c'est le f. B.i qui va faire appel à lui.pour découvrir qui a fait explosé le délégué de la République du lesotho.malko va se faire passé un diplomate afin de savoir pourquoi.mission qui se révèlera plus compliqué et dangereuse que prévu.un bon S.A.S qui ne demature pas la série. Entre action et érotisme.🤒
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SAS, tome 71 : Aventure au Surinam

une bonne histoire, très bien documenté sur les conflits , d'intérêts . cette fois malko,va être envoyé au surimam, pour faire évadé Julius harb qui doit être exécuté dans dix jours.

or c'est le seul homme qui de par sa popularité, peut empêché l, ancienne Guyane hollandaise de basculer dans l, orbite cubaine.

ce n'est pas de la grande littérature, mais un livre pour passer un bon moment de détente,au chaud, comme toujours il y a de l, action, de l, humour, et sa part d, érotisme.👍
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SAS, tome 6 : Dossier Kennedy

cinquième aventures de sas cette fois il va devoir retrouvé un dossier 📁 volé par les russes. il va devoir les affronté jusque dans son château 🏰. après avoir récupéré le fameux dossier,il va le lire pour savoir pourquoi il a risqué sa vie. mais il va avoir le tort de le dire au responsable de la c i a . a

vienne tu coup c'est les américains qui vont essayer de le tuer. pour pas qu'il révèle que des hauts responsables américains auraient été impliqué dans l assassina

de leur président, et que

lee harvey Oswald le tueur présumé aurait pas été le seul. et que les services secrets aurait éliminé tout les témoins.

une bonne histoire avec de

l action,du suspense de l

érotisme et la première

apparition de la comtesse

alexandra vogel qui devient sa petite amie, avant d'avoir elle aussi ses propres aventures parut dans une cinquanteme

de romans érotiques avec une dizaine d auteurs différents.👍
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SAS, tome 73 : Le vol 007 ne répond plus

Moi aussi, concernant ce livre, je ne réponds plus de rien.
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La mort aux chats

On dit qu’on ne devrait pas juger un livre à sa couverture. En revanche, on pourrait bien l’utiliser pour choisir ou pas un livre à la bibliothèque. J’ai découvert des auteurs très intéressants après avoir choisi un de leurs livres seulement pour sa couverture. Par exemple, les couvertures insolites de « Billie » et « Complètement cramé ! » m’ont guidé à des auteurs nouveaux comme Anna Gavalda et Gilles Legardinier. Il y a la couverture du livre « Rien ne s’oppose de la nuit », avec une photo d’une femme attirante et intrigante par laquelle j’ai découvert l’œuvre impressionnant de Delphine de Vigan.

Une longue introduction pour expliquer pourquoi j’ai emporté « La mort aux chats » de Gérard de Villiers. Je ne connaissais pas cet auteur ni son œuvre, mais la couverture du livre, une belle photo d’un chat noir, m’a persuadé. La photo artistique montre un petit chat noir modeste qui regarde au lecteur de derrière un rideau blanc. La photo est bien composée et montre la demi-tête du chat, donc on voit seulement un œil jaune et une oreille. C’est un chat adorable et mignon. Bref, une couverture chic.

En effet, je pourrai discuter plus sur cette couverture que sur le contenu de ce livre. C’est une histoire que je ne trouve pas du tout adorable ou mignonne. Une histoire ennuyeuse et peu convaincante avec des personnages plats et sans couleur. On trouve des morts, on doit accepter avec résignation un peu de tortures vaines, et finalement, on doit croire qu’il y a des policiers américains qui pourraient jouer à un jeu de « Wild West » en Suisse.

J’ai terminé ce livre bon marché pour deux raisons. D’abord, c’est un petit principe pour moi de toujours terminer la lecture d’un livre, au moins, si c'est raisonnable et possible. Deuxièmement, je suis paresseux : le texte est très simple et c’est bien relaxant de lire sans avoir besoin d’un dictionnaire !

Sans doute et hélas, c’est seulement la couverture qui vaut la peine. On ne devrait juger un livre à sa couverture, car vraiment, une couverture chic ne promet rien.


Lien : http://nebulas-nl.blogspot.n..
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SAS, tome 92 : Les tueurs de Bruxelles

La CIA charge Malko Linge de récupérer des armes issues d’un traffic couvert par la CIA mais qui a mal tourné. L’action se passe en Belgique à un moment où des tueurs armés et organisés comme des militaires commettent une série de tueries sauvages, sans raison apparente. Si vous connaissez l’affaire des « tueurs fous du Brabant wallon », vous vous amuserez sans doute en lisant l’issue que lui a ici donnée Gérard de Villiers.



Gérard de Villiers a commencé à écrire les aventures de Son Altesse Sérénissime le prince Malko Linge en 1965; d’après la légende, on lui aurait commandé une suite aux aventures de James Bond, terminées l’année précédente. L’auteur meurt en 2013, après le deux centième épisode (et une vie de bâton de chaise).



Les récits de Gérard de Villiers sont souvent traités avec mépris par les amateurs de bonnes lectures en général et par les amateurs de romans d’espionnage en particulier. Mais ils font partie de la culture populaire et j’avais envie de me faire ma propre opinion à leur sujet. J’ai trouvé « Les tueurs de Bruxelles » par hasard dans une boîte à livres. L’action se passant en Belgique, je me suis dit que c’était une bonne pêche pour découvrir SAS; il s’agit du nonante-deuxième épisode, paru en 1988.



J’ai vite reconnu les allusions aux « tueurs du Brabant wallon » qui ont terrorisé la Belgique en abattant sauvagement 28 personnes, entre autres dans des supermarchés, entre 1982 et 1985. Plusieurs hypothèses circulent à propos des motivations des tueurs, y compris celle d’une tentative de destabilisation de l’État. En 2019, cette affaire continue à faire couler de l’encre: une équipe d’enquêteurs y est encore affectée. Cette affaire, jointe à d’autres, avait motivé l’organisation de plusieurs enquêtes parlementaires dont une, de 1988 à 1990, sur « la manière dont la lutte contre le banditisme et le terrorisme est organisée ». Elle avait été couverte par René Haquin, un grand journaliste du « Soir » qui était devenu un expert de la question (il est décédé en 2006). Colette Braeckman, elle aussi journaliste de grande réputation au « Soir », raconte dans un de ses billets d’octobre 2017, comment Gérard de Villiers avait rencontré René Haquin à la « Danish Tavern » pour qu’il l’informe sur l’affaire. Elle avait d’ailleurs intitulé son billet « Inspirés par René Haquin, ‘les tueurs de Bruxelles’ mériteraient d’être relus » car les idées du romans n’étaient peut-être pas farfelues...



J’ai donc dévoré ce livre avec curiosité, retrouvant parmi ses acteurs un tueur géant, la Sûreté de l’État et le Westland New Post. Amusant !



C’est donc l’histoire qui m’a donné du plaisir de lecture, et plus précisément la confrontation de cette fiction avec la réalité des tueurs du Brabant, dont elle inspirée, même s’il ne s’agit que d’une très libre inspiration. Mais pour profiter de ce plaisir-là, il m’a fallu passer à travers de nombreuses scènes qui relèvent plus de la pornographie vulgaire que de l’érotisme. Elles sont parfois tellement excessives qu’elles en deviennent grotesques et finissent par prêter à rire si on les prend au second degré; par contre, au premier degré, j’imagine très bien le dégoût que l’on peut ressentir en lisant comment des jeunes filles sont forcées à se faire câliner par des poneys pour le plaisir de quelques vieux voyeurs...



Mathématicien, je connais les dangers de l’extrapolation, surtout à partir d’un seul point :-) mais je suis convaincu qu’un livre me suffira pour faire le tour de Gérard de Villiers ! Tant qu’à faire, je suis très heureux que le hasard m’ait fait choisir précisément celui-là pour satisfaire ma curiosité !



Voilà. Comme je me suis déjà bien amusé avec San Antonio, je crois que je vais maintenant essayer OSS 117. Je vous raconterai...
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SAS, tome 157 : Otages en Irak

malko se retrouve a Bagdad, pour retrouver deux femmes prise en otage

par des terroristes, qui réclament le départ des troupes italiennes d,irak.dans un délai de huit jours, faute de quoi elle seront décapitées.

huit jours c'est court et c'est long, dans une ville en état de siège.malko devra enquêter entre attentas a la voiture piégée, les snipers , les salafistes et autres groupes d,extrémiste.

une aventure rattraper depuis par l, actualité, puisque il est sorti avec 2004 .

de l,action, du suspense, de l, érotisme.

a lire pour passer un bon moment de détente sous un parasol entre deux apéro avec les copains et les copines..
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SAS, tome 68 : Commando sur Tunis

malko doit quitté son château 🏰 et sa maîtresse alaxandra, pour se rendre en Tunisie, en pleine période de ramadan, pour enquêté sur la mort, de Ian Parker du département du moyen Orient. retrouvez mort , avec une flèche de fusil sous marin, dans la tête.avec son Commando de ( défenseurs de la liberté) cette aventure, commence comme une version de la casa de papel.mais alors que l, intrigue progresse, on se laisse surprendre par les rebondissements.

avec comme toujours son lot d, action, et d, érotisme.

plaisant pour passé un bon moment,au coin du feu 🔥, quand il fait frisquet dehors.👍
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SAS, tome 73 : Le vol 007 ne répond plus

malko et chargé de retrouvé, un certain jan Kaunas , un clandestin soviétique, entré au Canada. et qui aurait été kidnappé.comme toujours Gérard de Villiers colle au plus près de l, actualité, en s, inspirant du boieng abattu par un chasseur soviétique en septembre 1983.une bonne histoire, avec son lot de suspence et d, érotisme, pour passé un bon weekend.👍
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SAS, tome 144 : Li Sha-Tin doit mourir

Rien à sauver. Gérard de Villiers doit utiliser des "nègres" littéraires différents pour ses livres tant certains sont à peu près lisibles et d'autres complètement lamentables.

Qui en sait plus à ce sujet ?
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