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Critiques de Gérard de Villiers (284)
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SAS, tome 61 : Le complot du Caire

Cette nouvelle aventure de SAS nous fait découvrir l’Égypte et sa capitale le Caire. Comme toujours le décor est bien décrit car il s'appuie sur une bonne documentation. Dans cette nouvelle aventure, Malko va devoir déjouer un attentat contre le président Sadate. le récit est comme à son habitude net et précis. Pas de temps mort et beaucoup d'action dans ce très bon volume.
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SAS, tome 58 : Piège à Budapest

Un ministre soviétique en visite à Budapest en Hongrie est enlevé. Très vite on comprend que les ravisseurs, un groupe de Hongrois, ont été manipulés. Par qui ? La CIA, contacté par les ravisseurs, envoie le prince Malko Linge pour retrouver le ministre, en collaboration avec le KGB . Double, triple jeu des différents services d'espionnage nous maintiennent jusqu'au dénouement final.

Un bon SAS. Comme toujours les descriptions géographiques , le contexte et l'actualité sont bien documentés.
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SAS, tome 6 : Dossier Kennedy

Ce sixième SAS pourrait faire un excellent film d'espionnage. Le scénario capte vite l'attention du lecteur et le suspens grandit au fil de la lecture. Il situe Malko Linge dans son environnement dans l'hiver autrichien en son château de Liezen. De nombreuses scènes se déroulent à Vienne avec une incursion à Bratislava en Tchécoslovaquie. Elko Krizantem, (Cf : SAS à Istanbul) son fidèle garde du corps l'accompagne tout au long de cette dangereuse aventure qui connait plusieurs rebondissements.

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SAS, tome 28 : L'héroïne de Vientiane

J'aime lire un SAS, cela détend. On connaît d'avance l'histoire comme dans la série télévisée Colombo où le coupable est connu depuis le départ. Là, on sait que le Prince Malko, s'en sort toujours pour payer les dettes et travaux de son château. J'aime ses nombreuses conquêtes féminines. Je me demande comment il fait pour avoir autant de succès. C'est facile à lire. Toujours bien documenté. J'aime aussi ses descriptions des puissants, de ceux qui cherchent à l'éliminer. C'est très réaliste. Là où je me rend compte que c'est de bons bouquins pour se détendre, c'est qu'une fois commencé un SAS, on a du mal à s'arrêter de lire. Par contre et c'est un peu inquiétant, une fois lu, il n'en reste rien. Après tout c'est peut être bien ces livres qui n'encombrent pas le cerveau, qui ne s'impriment pas dans les neurones. C'est justement pour cela qu'ils sont reposants.
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SAS, tome 44 : Meurtre à Athènes

Il était assez difficile de commencer car il y avait beaucoup de conflits politiques et diplomatiques concernant le pays en 1976, et je ne suis pas très au fait... C'était donc bien difficile à comprendre.

Après, j'ai trouvé qu'il n'y avait pas de style, peu de travail des personnages, beaucoup de violence, de sexe. Cependant, au fur et à mesure, on voudrait tout-de-même savoir où cela nous mène.

Pour finir : lire 1 SAS dans sa vie, pour la culture : OK. Mais assez peu d'intérêt à recommencer...
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SAS, tome 61 : Le complot du Caire

Roman policier très particulier comme l'ensemble de la série SAS. L'intérêt réside dans le fait que ces livres appartiennent à une certaine époque et reprend les codes de l'époque 1945-2010 : écriture décomplexée, sans politiquement correcte, sexualité sans tabous, machisme décomplexé, violence décomplexée.

SAS peut paraître trivial comme livre mais il y un vrai travail de ddocumentation sur une myriade de thème: on est vraiment plongé dans les pays que Malko visite.
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SAS, tome 20 : Mission à Saïgon

Ce 20 ème SAS nous amène au sud Vietnam. Nous sommes en 1970 la fin de la guerre approche pour les américains qui partiront en 1973. Il faut rappeler que c’est Kennedy qui a mis un petit doigt dans l’engrenage en 1961, suivi par son successeur Johnson qui, lui, y a mis plus d’un bras, et encore pas le sien mais celui des jeunes GI’s (le Galvanized Iron n'a pas résisté à l'humidité du An-nam ) américains (57 000 morts), un rien à côté des 1,5 millions de vietnamiens qui y ont laissé leur peau. On ne parle pas des blessés plus nombreux, des traumatisés à vie encore plus nombreux.

Un sale guerre comme si une guerre pouvait ne pas être sale.

Et oui c’est ça un SAS, cela nous permet de revenir en arrière et de voir l’arrière-boutique de l’histoire. Ayant vécu cette guerre grâce à la télévision (c’est sûrement le premier conflit couvert aussi bien par la presse audiovisuelle) je me rends compte que ce que l’on m’avait vendu à l’époque n’était pas la réalité ! Il faut dire que les américains, que d’autre part j’adore, avaient su enrober le plat. J’avais gobé les méchants vietnamiens du nord qui persécutaient les gentils vietnamiens du sud, aidés par nos copains les américains. Au moins avec Gérard de Villiers (il y a des historiens plus sérieux que lui mais c’est lui que je lis) on ne se voile pas la face. Certes le Viêt-Cong est plutôt brutal mais les sudistes sont tellement corrompus que l’on comprend vite qu’il n’y a pas de gentils dans cette histoire ! Et nos amis d’Amérique ne sont ici que pour faire marcher l’industrie militaire et lutter par petits peuples interposés contre le « diable » communiste.

En ce qui concerne la série SAS on entre avec celui-ci dans la phase ultra violence avec des tortures particulièrement raffinées. C’est un des plats signature de notre cher Gérard.
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SAS, tome 4 : Samba pour SAS

Distrayant sans plus. Un bon moment mais cet ouvrage n'est pas, loin de là, le meilleur de la série.



Il est néanmoins à noter que l'édition numérique comporte un très grand nombre d'erreurs de typologie qui n'empêchent pas la lecture mais deviennent rapidement pénible.
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SAS, tome 131 : La Peste noire de Bagdad

Presque tous les murs de cette maison sont chargés de rayonnages remplis de livres sur plusieurs épaisseurs. Ceux de notre jeunesse, en multiples strates – nous sommes très conservateurs et chaque livre lu recèle des réminiscences, une émotion, une aventure – ceux de nos filles qui font de la place dans leurs appartements, ceux de leurs amis parfois. C’est ainsi que dans le secteur des polars et thrillers, j’avais repéré une pile de « SAS » avec une couverture immuable : les lettres détourées avec en transparence une pin-up armée jusqu’aux dents.



Au moment de la disparition de Gérard de Villiers, pas d’hommage officiel des instances de la culture française pour cet écrivain particulièrement prolifique mais clairement orienté à droite : j’ai trouvé cela mesquin car s’il est une culture populaire, c’est bien celle-là, qui fait pendant aux romans « à l’eau de rose » destinés aux femmes.



Car, selon Wikipedia, Gérard de Villiers est un écrivain, journaliste et éditeur français, né à Paris le 8 décembre 1929 et fils de Jacques Boularan de Combajoux (dramaturge à succès sous le pseudonyme de Jacques Deval) et de Valentine Adam de Villiers. Diplômé de l'IEP Paris et de l'ESJ Paris, ayant fait la guerre d'Algérie comme officier, il travaille plus tard à Rivarol, Paris-Presse, France-Dimanche et est notamment l'auteur depuis 1965 des romans d'espionnage S.A.S. qui racontent les aventures du prince autrichien Malko Linge, employé par la CIA.



Alors, j’ai pioché au hasard et suis tombée sur « SAS : La peste noire de Bagdad », publié en 1998.



Le ressort est toujours le même, celui d’une problématique de guerre localisée parfaitement documentée : d’abord la Guerre Froide, puis les conflits Nord-Sud, en particulier la guerre d’Irak. Dans cet opus, Saddam Hussein tient encore le rôle d’une grande puissance, et pilote une série d’attaques de bioterrorisme à partir de la diffusion de spores d’anthrax. Si les lecteurs de l’époque n’imaginaient pas encore l’horreur des attentats du 11 septembre, ils pouvaient se représenter les ravages d’une épidémie de peste pulmonaire.



Au-delà des tics d’écriture de la série, il faut reconnaître l’extrême réalisme des situations et des décors mis en scène, le côté quasiment didactique des circuits de décision des différentes agences de renseignement occidentales, les techniques de filatures – largement dépassées à l’heure des drones et des écoutes généralisées de la NSA – bien éloignées de la réputation que l’on fit de ces ouvrages.



Cependant, la structure des SAS est toujours identique ; toutes les 40 pages environ, une scène de sexe absolument torride est décrite dans le moindre détail. Cela est conçu pour « émouvoir » le lecteur masculin, car c’est toujours l’homme qui domine et la femme qui se soumet … un peu lassant pour une grand-mère de bientôt 70 ans. Bref … autres images récurrentes, qui interviennent comme des « chevilles » dans le récit : le briquet armorié Zippo, le Champagne Taittinger, la montre Breitling, le whisky Defender et la décoration intérieure signée Claude Dalle – Roméo : quiconque ne s’est jamais rendu au showroom du Faubourg Saint Antoine ne peut se faire une idée du style très particulier de ce « décorateur » pour émirats …



A part ces réserves, je reconnais que l’intrigue est fort bien ficelée, sanglante à souhaits, les personnages attachants, les situations historiques réalistes voire prémonitoires, à tel point que la critique américaine reconnaissait récemment la valeur de ce type de lecture dans un article paru au moment de la disparition de l’auteur en octobre 2013. Je garde donc précieusement ces petits livres de poche, conçus pour rendre plus court un voyage en train d’avant le TGV, et qui ne manqueront point de devenir « collectors » d’ici peu.


Lien : http://www.bigmammy.fr/archi..
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SAS, tome 15 : La panthère d'Hollywood

A OUBLIER.

Il y a mieux dans les SAS...
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SAS, tome 5 : Rendez-vous à San Francisco

Même s'il a été écris dans la bonne période (1966), je n'en garde pas un grand souvenir.

Pas le meilleur, pas le pire.
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SAS, tome 183 : Renégade, tome 1

Alors que le quarante-quatrième président des Etats-Unis Barack Obama s'apprête à rejoindre ses invités d'une garden party sur le South Lawn de la Maison-Blanche, un petit avion s'approche dangereusement...

Article complet : Cliquez sur le lien ci-dessous !!!
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SAS, tome 27 : Safari à la Paz

Malheureusement, de Villiers s'enfonce dans le très médiocre avec un 27ème tome que j'ai eu beaucoup de mal à terminer. des scènes sans intérêts, et des coïncidences tellement grosses que cela rend le récit non crédible. Le thème des nazis se cachant en Amérique du sud est traité avec négligence. Non sur ce thème je conseille à tous "la disparition de Joseph MENGELE" d'Olivier Guez.
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SAS, tome 61 : Le complot du Caire

Ca se lit sans déplaisir, sans passion non plus.

Assez érotique dès le démarrage.

Pour l'histoire, il s'agit d'un attentat manqué (spoiler) sur Anouar El Sadate. (Précédant la réalité des faits historiques.)

Si j'en trouve d'autres, je pense que je poursuivrai ces zouaventures de Son Altesse Sérénissime.
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SAS, tome 36 : Furie à Belfast

Une horreur !

Je l'ai lu sur un pari et je n'ai pas été déçue du voyage : male gaze, sexe sans consentement, femmes réduites à l’état d‘objet...

Et dire que cette série compte un nombre non négligeable de tomes qui ont tous eu un succès fou.

A vomir.



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SAS, tome 24 : Requiem pour Tontons Macoutes

Un SAS qui nous renvoie à l'époque post-Duvalier et ses tristement célèbres tontons macoutes. Une mission de pure barbouze pour notre agent secret, acceptée contre promesse d'une très forte somme d'argent. Mais la réalité de ce coin mouvementé des Antilles est bien plus cruelle que tout ce que l'on peut imaginer. Une description crue à travers les rue de Port au Prince d'un pays qui n'a toujours pas évolué dans le bon sens.
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SAS, tome 22 : Les parias de Ceylan

Ce 22ème récit des aventures du maintenant célèbre prince Malko Linge appelé aussi SAS nous mène encore dans une destination exotique. On retrouve des sensations vécues dans Amok à BALI, un pays pas encore touristique, ravagé par la misère où de grandes puissances tentent des incursions. On retrouve les fonctionnaires oubliés, suant d'ennui, les cafards et surtout des descriptions du monde des mendiants qui est peut être mieux organisé qu'on ne le croit. Le héros a le don pour croiser de superbes créatures et l'auteur s'enhardit progressivement sur les scènes de sexe. Sinon, on reprend les thèmes souvent abordés dans ce type de roman d'espionnage.
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SAS, tome 20 : Mission à Saïgon

Saigon, ce nom fait rêver, il nous projette dans les fumeries d'opium, les sampans, la moiteur de l'Asie et les fruits tropicaux. La réalité est moins belle, surtout pendant la guerre du Viet Nam. Malko est envoyé seconder le représentant de la CIA, un dur mais un homme obtus, sans finesse. Dans une ville où le pouvoir attire et où les grandes puissances de l'époque cherchent à placer leurs pions, SAS va passer un séjour à la fois stressant et excitant. Qui travaille pour qui ? Dans un pays en guerre où le moindre renseignement se vend, où les tortures les plus cruelles peuvent durer plusieurs jours, SAS évolue dans un milieu extrêmement dangereux.
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SAS, tome 19 : Cyclone à l'ONU

Une saison à New York ou plutôt quelques jours haletants à la pêche aux votes. Le sujet porte sur les états qui font pression sur d'autres pour obtenir des votes favorables, en utilisant soit la corruption, soit la force. Malko intervient contre les Black Panthers à une époque où les américains parlaient des noirs autrement, où Harlem était un coupe gorge. Les amis du prince sont réunis pour veiller sur lui, des scènes érotiques émaillent le récit. Au final, pas extraordinaire.
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SAS, tome 18 : Que viva Guevara

Le 18ème tome de SAS reprend la révolution castriste comme fond de commerce. Envoyé pour nettoyer un petit commando révolutionnaire au Venezuela, De Villiers explique les méthodes crues et sans complexes de la CIA pour éliminer des adversaires politiques. La première moitié se tient, après ça vire à la boucherie. Dommage.
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