Citations de Grégoire Solotareff (106)
C'est bien ce que je pensais. Courage zéro, instinct zéro. Tu n'as rien d'un loup de Wolfenberg.
Le raisin blanc, c’est vert.
Les crevettes roses, c’est orange. …
Mais une rose rose, c’est rose.
- Répète après moi : Je suis ta boule de cristal... Je suis ta boule et tu me regardes.
- Vous êtes maboule et je vous regarde...
- Un peu de respect galopin ! Qu'est-ce que tu vois ?
- Heu, pas grand chose.
« Ah cet Ulysse ! Un vrai méchant, disait le roi. Qu'on le jette aux écrevisses !
-Mon dieu ! Disait la reine, c'est le diable en personne, il me donne la jaunisse ! »
Il était une fois un petit prince qui s'appelait Ulysse mais que l'on appelait «le Méchant Petit Prince»...
... car le matin, au lieu de dire bonjour au roi, son père, il le pinçait...
AÏE !
OUILLE !
... et le soir au lieu d'embrasser la reine, sa mère, il la mordait.
Il était une fois une petite fille que tout le monde appelait «Petit Chaperon Vert» parce qu'elle portait une sorte de capuchon pointu et vert.
Sa grande soeur portait un chaperon jaune et sa meilleure amie, un chaperon bleu.
Elle avait une ennemie (une petite fille qu'elle détestait parce que c'était une menteuse) qui, elle, portait un chaperon rouge...
... et celle-là, elle la détestait vraiment.
Je ne suis plus un stupide jouet
Mon ami c'est Barnabé
Je lui ai dit un grand secret
Maintenant c'est lui le chef des jouets.
C'est ainsi que la reine fut transformée en pou et que l'expression "Moche comme un pou" naquit.
C'est l'histoire d'un crocodile qui croyait être une enfant.
Pour fabriquer des histoires, il faut d’abord se souvenir des choses. Il ne faut rien oublier.
Des nuages
Des pieds
Des fleurs des champs
La pluie se mit à chanter.
La maison qu'il se fit construire était au milieu d'un si grand jardin qu'il devait marcher des heures pour rencontrer quelqu'un. Et le plus souvent, il ne rencontrait personne.
Le temps paraissait bien long à Mathieu. Il ne put supporter longtemps la solitude et se rapprocha de ses amis et de ses parents sans plus utiliser la magie.
Seulement, on était si habitué à lui obéir que lorsque Mathieu s'écriait : "Mais assez d'obéir ! Vous ne savez donc pas faire autre chose?" les gens répondaient : "Bien. Nous n'allons plus obéir, c'est comme tu veux, Mathieu."
Mais en disant cela ils lui obéissaient une fois de plus. Alors Mathieu entrait dans une colère noire et tout le monde s'enfuyait.
Il y avait une fois un petit souriceau appelé Mathieu qui passait son temps à rêver à des choses impossibles : ne pas aller à l'école, faire obéir ses amis et même les grandes personnes, être gentil avec tout le monde comme on le lui demandait, etc., etc.
Ces rêves le rendaient triste, car il savait bien que la vie n'était pas comme ça.
GAI : ce serait beaucoup plus gai si on peignait en rouge les ambulances le soir de Noël.
Les deux amies cessent enfin de se disputer et tout le monde est prêt pour le goûter.
Oh! et ça, c'est à qui?
peut-être à un loup (caché dans le lit de grand-maman).
Est-ce que, par hasard tu serais un lapin ? Demanda le loup.
Un jour, un loup, malheureux de vivre seul en haut d'une montagne, se dit qu'il serait peut-être agréable de vivre avec quelqu'un.