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Citations de Guillaume Musso (6280)


L'homme est le pire des prédateurs. L'homme est une vermine qui, sous couvert d'un vernis de civilisation, ne prend son pied qu'en dominant et en humiliant. Une espèce mégalomaniaque et suicidaire qui hait ses semblables parce qu'elle se déteste elle-même.
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Avoir un enfant estompe toute la noirceur que tu as dû endurer auparavant. L'absurdité du monde, sa laideur, la bêtise abyssale d'une bonne moitié de l'humanité et la lâcheté de tous ceux qui chassent en meute. Lorsque tu as un enfant, d'un seul coup, tes étoiles s'alignent dans le ciel. Toutes tes erreurs, toutes tes errances, toutes tes fautes sont rachetées par la simple grâce de la lumière dans un regard.
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Il se rappela la phrase d'Hemingway : "Un homme intelligent est parfois forcé de boire pour pouvoir passer du temps parmi les imbéciles". Voilà, c'était ça. L'alcool ne résolvait fondamentalement aucun problème, mais il offrait un moyen transitoire de supporter la grande alliance de la médiocrité qui, d'après lui, avait contaminé l'humanité.
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Ce que l'homme appelle vérité, c'est toujours sa vérité, c'est-à-dire l'aspect sous lequel les choses lui apparaissent (Protagoras)


Car, dans nombre d’existences, rien n'est plus fort que le passé, l'innocence perdue et les amours enfouies. Rien ne nous remue plus les tripes que le souvenir des occasions manquées et le parfum du bonheur qu'on a laissé filer.


Tout homme a trois vie. L'une publique, l'autre privée et la troisième secrète. (Gabriel Garcia Marquez)
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[...]
Enfin, j'espère que vous avez assez de jugeote et de bon goût pour ne pas être intéressés par notre chair- qui au demeurant est bien surévaluée et ne mérite pas autant d'intérêt que les publicités abusives et une réputation fondée sur des "on-dit" veulent le faire croire. Nous manger, finalement c'est plus du snobisme que de la culture gastronomique réelle. Je vous l'affirme nous sommes un plat... nul.


Langouste Blues de Bernard Werber
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Un néon bien fatigué clignote et grésille comme un grillon. Je sors mon porte-clés, actionne l'ouverture automatique de ma voiture et m'écroule sur le volant. Les larmes me montent aux yeux. Un bruit... Il y a quelqu'un sur le siège arrière ! Je me relève brusquement.
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Il s'était accroché à cette quête parce qu'il y avait vu un moyen commode de racheter à bon compte les ratés de son existence. Mais on ne rachète pas en quelques jours les erreurs de toute une vie.
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Je sais que tu es habituée par la peur. Je sais que tes nuits sont agitées, peuplées de fantômes, de cadavres et de démons. Je connais ta détermination, mais aussi cette part de noirceur et d'autodestruction que tu portes en toi. Tu l'avais déjà lorsqu'on s'est rencontrés au lycée et le cours des choses n'a fait que l'amplifier. Tu passes à côté de ta vie, Maddie. Il faut que tu sortes de cette spirale avant de basculer dans un précipice d'où tu ne reviendras pas. Je ne veux pas que tu aies cette existence. Je ne veux pas que tu prennes le chemin où je me suis perdu : celui qui s'enfonce dans les ténèbres, la violence, la souffrance et la mort...
La vie ne repasse pas les plats. Les occasions perdues le sont pour toujours. La vie ne fait pas de cadeau. La vie est un rouleau compresseur, un despote qui tient son royaume en y faisant régner la terreur par son bras armé : le Temps. Et le Temps gagne toujours à la fin. Le Temps est le plus grand exterminateur de l'histoire. Celui qu'aucun flic ne parviendra jamais à mettre sous les verrous.
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Il la suivit tant qu'il put du regard. C'était étrange de la quitter comme ça. Étrange de se dire que tout était fini et qu'il ne la reverrait plus. Ils n'avaient passé que deux jours ensemble, mais il avait l'impression de la connaître depuis beaucoup plus longtemps.
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L'époque est comme ça : elle ne tolère plus les coups de fatigue et n'offre plus d'abri à ceux qui sont blessés. Je ferme les yeux avec l'impression que je ne vais plus jamais les ouvrir. Un instant, je pense que je vais perdre connaissance, mais je reste debout, immobile, ruisselant de pluie. Le temps s'abolit.
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Les occasions perdues le sont pour toujours. La vie ne fait pas de cadeau.
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On peut donner bien des choses à ceux que l'on aime. Des paroles, un repos, du plaisir. Tu m'as donné le plus précieux de tout : le manque. Il m'était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais, tu me manquais encore.
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Une odeur d'urine, poisseuse et asphyxiante, contamine le "sarcophage".
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Après avoir cherché sans trouver, il arrive que l'on trouve sans chercher.
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l'argent rend beau le laid, jeune le vieux, juste l'injuste, noble l'infâme...
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Nous sommes lents à croire ce qui fait mal à croire.
Ovide
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Une carrière réussie est une chose merveilleuse mais on ne peut pas se blottir contre elle la nuit quand on a froid.
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Les livres ont une singularité qui confine à la magie : ils sont un passeport pour l'ailleurs, une grande évasion. Ils peuvent servir de viatique pour affronter les épreuves de la vie. Comme l'affirme Paul Auster , ils sont le seul lieu au monde où deux étrangers peuvent se rencontrer de façon intime.
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Il ne se passe pas un jour sans que je repense à ce fameux matin de décembre. La première fois que je t'ai tenu dans mes bras. Ce matin-là, à New-York​, la tempête se déchaînait, le froid me transperçait, des oiseaux fous planaient sur nos têtes et un arbre saignait dans la neige. Ce matin-là, c'est peut-être moi qui t'ai libéré, mais c'est toi qui m'as sauvé.
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La roue tourne. Il faut savoir encaisser les coups. Il faut faire preuve d’endurance. Faire le dos rond. Laisser passer l’averse. Survivre au déluge. La plupart du temps le balancier finit par s’inverser.
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