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Critiques de Harold Sakuishi (158)
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7 Shakespeares, tome 2

♫Quand la vie est jolie, jolie, je lis

Quand il fait triste, et il fait gris, je lis

Quand je suis seul dans mon lit, je lis

Même quand les rêves me fuient, je lis

Quand je cherche un coin d'oubli, je lis

Quand j'ai besoin d'un alibi, je lis

Quand on me sonne l'hallali, je lis

Quand je perds le goût de la vie, je lis

Quand je lis, je lis, je lis quoi ? ♫

hamlett Hallyday - 1976 -



----♪-----♫-----💀-----🐱‍👤-----💀-----♫-----♪----



♪Te comparerai-je à un jour d'été ? Tu es plus aimable et plus tempéré. Les vents violents font tomber les tendres bourgeons de mai, et le bail de l'été est de trop courte durée.



Tantôt l'oeil du ciel brille trop ardemment, et tantôt son teint d'or se ternit. Tout ce qui est beau finit par déchoir du beau, dégradé, soit par accident, soit par le cours changeant de la nature.



Mais ton éternel été ne se flétrira pas et ne sera pas dépossédé de tes grâces. La mort ne se vantera pas de ce que tu erres sous son ombre, quand tu grandiras dans l'avenir en vers éternels.



Tant que les hommes respireront et que les yeux pourront voir, ceci vivra et te donnera la vie.♪

Sonnet 18 - Ed Anglaise - Sonnet CXXXVIII Ed Française -

OEUVRES COMPLETES - W. SHAKESPEARE- 18 Volumes

Traduction François-Victor Hugo (1828-1873)



1587-L'une des 7 années perdues-

de la Shakespeare biographie

une Inspiration à la "ô Fée Li "

c'est l'An belle Li qui y contribue !?



♪ Je t'aime bien Li quand tu lis

J'aime bien bigflo & Oli aussi

♪ Elle croyait qu'on était égaux, Li lit

♪ Au pays De Voltaire et d'Hugo, lit Li

De ce corps, Sors Sir !

♪ ô Fée Li, ¡ Si ! aussi....

Zweig, Shakespeare, Voltaire

Cervantes, des classiques que je vous lis

Et enfin ce Manga, qui lui, a tout des mots Li ... 😆















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7 Shakespeares, tome 1

♫Un saule penché sur le ruisseau

Pleure dans le cristal des eaux,

ses feuilles blanches.

Ophélie tressant des guirlandes

Vient présenter comme une offrande

des fleurs, des branches.

Pour caresser ses boutons d'or

Pour respirer son jeune corps,

le saule se penche

Mais sous elle, un rameau se brise

Le saule en pleurs la retient prise

de par sa manche.

Ophélie lui dit qu'il est bon

Quand le ruisseau, dans un frisson,

casse la branche.

Ophélie file au fil de l'eau

Qui vient gonfler son blanc manteau

contre ses hanches.

Son cri s'éteint comme une joie.

La boue immonde où elle se noie

prend sa revanche.♫

-Hamlet Hallyday- 1976 -



"Béni soit l'homme qui épargnera ces pierres

Mais maudit celui qui violera mon ossuaire"

Nouvelle image de toi

Même si Johnny croit pas

Le Véritable Manuscrit

l'oeuvre d'un faussaire

Quelques vérités

Beaucoup de colère

Une chasse aux sorcières

Un peu de souffrance

Question d'existence

Parler à un spectre

ou Une raison d'Être

Une possible origine d'Hamlet

Version qui me semble au Net

Qui William est-il vraiment,

De source sûre en dire au temps !?

1587- Liverpool- Chinatown-

Pour qui l'hallali sonne ?

Au fil de l'eau, tu t'enfuis

c'est toi leur offrande... Ô Fée Li. 🧚‍♂️









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7 Shakespeares, tome 3

♫Fuis devant

Le soleil

Pourrir est sa besogne

Fuis devant le soleil

Il te fera charogne

Ophélie

Ô folie ♫

-Hamlet Hallyday- 1976 -

---♪----♫----💀----🎭----💀----♫----♪---

Soleil- Abeilles & Miel

à propos Li ce qu'a écrit mon amour silencieux

Il appartient à l'esprit subLime d'entendre avec les yeux

Je vous le donne en Mill

Lance et Wallace

Sous leur faux-nom, trois hommes et Li

Oh faux Li !

Brochette de viande pourrie

Simple intuition

Ô Fée Li citations

La tache de Lie devin

Sur le visage n'est rien

Li-verPool

Fée Li Cité

chez les babacools

Silencieux c'est Li bat taire

Les sonnets de Li, pro-Li-fèrent

Peau Li se ment, poLi tique

Aïl au Li c'est Pha-Li-que

à beau Li & belle Li gérant

Les poèmes de Li sont déLitcats

Seven Shakespeares, un très bon Manga 😻

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Beck, tome 18

Pas l'un des tomes les plus joyeux qui soit, loin de là. J'avoue qu'au fur et à mesure, avec les mauvaises nouvelles qui tombaient, mon moral baissait également. Je ne dirais pas que ce tome dix-huit est sombre, mais clairement, il est un tournant pour l'avenir de Beck et cela pour plusieurs raisons. Le sort s'acharne.



On commence doucement avec le départ de Maho qui se profile. Koyuki relativise et il y a un côté plus serein dans le traitement de cet éloignement. Je trouve même choux de voir que les autres membres du groupe soit solidaire avec notre jeune héros. Encore une fois, Beck est soudé, l'amitié est clairement présente.



Et puis, les événements s'enchaînent et là... Accrochez-vous. On perd un personnage clé pour moi qui va avoir un impact important sur l'un des membres du groupe notamment. La scène est choquante, même si on ne voit rien. Mais il est facile de s'imaginer ce qu'il se passe. Et je ne pensais pas que cet événement tragique aurait lieu. Personne ne le pensait d'ailleurs. Et c'est là, que je trouve vraiment dommage d'avoir intégrer dans Beck, cette histoire de mafia new-yorkaise. Pour moi, c'est de trop. Cela n'apporte rien à l'histoire, et le mangaka y ajoute de la violence qui me paraît gratuite. Il y a tellement d'obstacles autres qui peuvent se créer, sans compter qu'une mort accidentelle aurait eu le même impact... J'espère franchement que cette histoire va bientôt finir parce que je n'en vois pas l'intérêt. Et clairement quand Léon et compagnie arrive, je lis à peine en diagonale.



Et cette nouvelle n'est pas la seule qui va plomber l'avenir de Beck. Ce tome est vraiment la poise incarnée. J'ai même du mal à comprendre l'acharnement de ce producteur de Jpop pour ruiner l'avenir de Beck. Une petite vendetta puérile. Mais c'est aussi là que l'on voit que le show-business est un monde de requins. Et ça, j'adhère, même si je ne trouve pas ça génial pour le groupe, on reste dans un univers musical avec une réalité musicale, et pas ce côté gangster. Mais il en sort aussi du positif de cette galère. Beck voit encore combien il a de vrais soutiens au sein de groupes qu'ils ont connus depuis le début de leur carrière. Il y a une vraie cohésion, du soutien. Et je suis quasiment certaine que si Eiji était dans cette situation, le type pourrait pleurer dans le caniveau sans que personne ne vienne à son secours.



Un autre point m'a aussi un tantinet agacé : Ryu. Depuis le début, il est un mentor pour Koyuki, mais il est aussi le point faible de Beck. On le voit encore dans ce tome. On ne peut pas vraiment compter sur lui, il les lâche très régulièrement, fait n'importe quoi, et met en péril le groupe. Je suis d'accord qu'il avait ici des circonstances qui ont fait qu'il avait besoin de s'isoler, mais il va ensuite trop loin pour moi. Je ne sais pas ce qu'il deviendra et s'il restera dans le groupe au final, mais clairement, son attitude est plus que lassante.

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Beck, tome 28

Je ne vais pas sauter de joie trop vite, parce que je commence un peu à me méfier avec Beck et son niveau en dents de scie, mais j’avoue que ce tome vingt-huit remonte sacrément le niveau. Et sans surprise cela est dû au fait que ce tome est entièrement consacré au groupe et à ses membres. Je veux bien des à côtés, je n’ai rien contre, mais trop s’éloigner de l’essence même de l’histoire, c’est plus que dangereux, et cela s’est vu dans les deux derniers volumes.



L’écriture de Devil’s way est donc au cœur de l’histoire. Entre l’écriture des paroles et la mélodie, le groupe se donne à fond pour pouvoir créer LA chanson qui fera la différence pour Beck. C’est assez grisant, même si clairement une bande son donnerait encore plus de point à ce moment phare du manga. Mais on sent clairement l’électricité et la passion qui entoure tout cet événement.



Léon Sykes est toujours présent, mais sa présence est moins anxiogène en un sens. Il tient toujours le destin de Beck entre ses mains, cependant, on sent que quelque chose a changé. Bon, il y a des cafouillages qui sont assez énervant avec la participation du groupe au festival d’Avalon mais c’est assez mineur pour se concentrer sur l’essentiel.



Le gros gros point de ce tome reste la relation entre Chiba et Koyuki. Tout n’est pas au beau fixe, c’est certain, mais il y a un début de réconciliation et aussi une conversion honnête entre les deux garçons. Je ne sais pas si on les verra un jour retrouver la même alchimie, mais l’apaisement est bien là. Il faut dire que Chiba n’a pas forcément un place facile dans Beck, car concurrencé par Koyuki et trop à l’écart de part son style. Le voir hésiter et se poser des questions reste cependant très intéressant, et on retrouve cette part de réalisme que j’aimais beaucoup au début de l’histoire.



On croise donc les doigts pour que la suite reste sur cette lancée. Il reste six tomes ce qui me fait un peu peur, mais on va dire que je suis une grande optimiste !

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Beck, tome 29

Visiblement nous sommes sur la bonne voie ! Et j’en suis très contente. Franchement vu mes déboires avec les tomes précédents, j’étais un peu mitigée, mais on reprendre vraiment un bon rythme pour mon plus grand plaisir.



La première partie est sympathique même s’il ne se passe pas forcément grand-chose. Les garçons découvrent le festival Avalon et son histoire, et ils se rendent compte de l’ampleur de l’événement, notamment avec la taille des salles. Pas de concert cependant. Ce n’est pas forcément très grave, car la seconde partie du tome vingt-neuf vient donner un peu de peps à tout cela.



Koyuki est en phase de doute. Bien que ses partenaires lui montrent qu’il peut compter sur eux, il y a encore cette histoire de rêve collectif, ainsi que les paroles de Devil’s way qui le mettent à mal. Mais ce qu’il y a de bien avec Koyuki, c’est qu’il est un passionné et un optimiste de première. C’est assez drôle de le voir, en un sens, essayer de sortir la tête de l’eau, car il y a une telle naïveté dans ce personnage et en même temps tellement de passion que c’est attendrissant.



J’ai eu cependant peur à un moment de ma lecture. Maho revient sur le devant de la scène. J’aime beaucoup le personnage, ne vous détrompez pas, mais dernièrement elle a plutôt été source de problèmes et son impulsivité a quelques fois de quoi me faire grincer des dents. Mais, ici, le mangaka a très su gérer la situation. Les revoir ensemble avait quelque chose de naturel et de vrai. On sent que ce couple est fait l’un pour l’autre et que Koyuki calme Maho, tandis que la jeune femme est cette motivation qui pousse notre héros hors de ses limites.



Leur petit périple annonce quelque chose de fort pour la suite. Il y a cette étincelle qui fait qu’on s’attend à un petit bouleversement comme Koyuki est capable de faire. Mais, je reste encore prudente. Nous ne sommes pas encore à l’abri d’un cafouillage car Léon est toujours dans les parages et un autre type du même genre fait son apparition…

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Beck, tome 31

Une très jolie surprise ce tome trente et un, vraiment. Je ne m’attendais pas à cela, et c’est plutôt chouette, encore une fois, de voir que le mangaka arrive à relancer l’histoire de façon aussi spectaculaire. Je suis assez bluffée alors qu’à un moment donné, j’étais plutôt en colère de voir la tournure des événements.



Le concert du festival d’Avalon se poursuit. C’est intense, on a l’impression d’y être, de ressentir les émotions qui se dégagent des chansons, et aussi l’énergie du public. Franchement, avec une bande son à côté, on aurait l’impression de voir un concert. Donc déjà pour cette prouesse, je dis bravo.



J’ai été un peu déboussolée, comme le public de voir le concert écourté. C’est assez drôle cette sensation et en même temps tellement bien trouvé. Mais on n’arrive pas à sortir de cette bulle. Le sourire des membres du groupe, l’émotion du staff qui les accompagne depuis un moment déjà. C’est une consécration, le but en quelque sorte de tout ce long voyage. C’est magique.



Et puis, au moment où l’on croit que la tension va redescendre, Léon Sykes nous fait un joli pied de nez. Je ne m’attendais pas à le voir en position de « sauveur » même si on dit bien que l’ennemi de mon ennemi est mon ami. Et il nous donne la chance d’avoir cette suite du concert qu’on attendait tous. C’est assez incroyable et même si encore une fois, je ne suis absolument pas fan de cette idée de mafioso qui apporte beaucoup trop de violence, il aura au moins eu son utilité à ce niveau-là.



Plus que trois tomes. Après Avalon, je ne sais pas à quoi m’attendre et je suis à la fois effrayée de retomber dans une lecture passable mais aussi très excitée de voir ce qu’il va se profiler pour le groupe.

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Beck, tome 24

On reprend un peu de souffle avec ce tome vingt-quatre. Franchement, je ne m'attendais pas vraiment à l'apprécier vu la débâcle du précédent. Mais il y a du mieux, et un traitement plus "intelligent" avec moins d'acharnement sur le groupe. Clairement, le tome vingt-trois n'aurait pas dû exister pour passer directement à celui-là.



Après le coup monté de Ran, l'avenir du groupe semble quelque peu compromis. On oublie vite combien les membres de Beck sont jeunes, mais ici, c'est une piqûre de rappel. L'animosité envers Koyuki est palpable. Bien que je n'apprécie pas cet événement, il a quand même du bon. C'est un tournant pour le groupe et aussi le moyen de voir s'ils pourront traverser d'autres épreuves. Celle-ci étant la plus dure pour moi. Ne plus avoir confiance en l'un de ses partenaires peut être plus dévastateur que le reste. Heureusement Taira et Saku, les sages du groupe nous donnent de quoi respirer de nouveau. Mais il y a Chiba.



C'est, depuis le début, le personnage que je préfère le moins. Trop excentrique, trop violent, trop tout en fait. Il est immature et la partie comique qu'il apporte est souvent ridicule. Il a un bon fond et il a prouvé qu'il était un ami sur qui on pouvait compter, mais son instabilité est un poids mort. Sans surprise, sa rancune envers Koyuki perdure. Je peux comprendre qu'il ait été blessé, d'autant plus que depuis un moment, il doute de sa place dans le groupe. Mais j'aurais aimé qu'il fasse plus confiance à son ami, qu'il lui laisse le bénéfice du tout. Les garçons ont quand même vécu tellement d'épreuves, et ils se connaissent. Chiba aurait dû savoir que Koyuki n'aurait jamais fait ce dont ils l'accusent. Bref, pas l'attitude que j'espérais.



Cependant, cette épreuve a un certain côté positif. La remise en question de Chiba le pousse à retourner à son style de musique de base, là où il s'épanouie le plus. Il a du talent, cela n'a jamais été un secret. Le voir sur scène dans son élément était vraiment très sympa. Mais là, où je trouve que Harold Sakuishi a bien joué son coup, c'est que Taira et Koyuki soutiennent cette escapade. Je ne sais pas ce que cela donnera, mais j'y vois la possibilité d'assainir les choses, et surtout de montrer à Chiba qu'il est apprécié à sa juste valeur. Dans un groupe, il y a toujours des membres qui brillent plus que d'autres. Mettre cela en avant maintenant était une jolie pirouette. J'espère maintenant que cela donnera quelque chose de positif, même si Chiba quitte le groupe.

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Beck, tome 32

Des frissons. Entre la suite du concert au festival d’Avalon et tout ce qu’il se passe ensuite, c’est encore une fois assez magique de voir les garçons évoluer et enfin avoir le succès qu’ils méritent tous.



On ne peut être que satisfait et fière aussi de voir leur parcours jusqu’ici. Et Harold Sakuishi arrive tellement bien à retranscrire les émotions que c’est assez bluffant. Le concert est juste fabuleux à tellement de niveau. J’ai du mal à me dire que seulement avec des images et très peu de texte, on puisse arriver à faire ressentir cela. Voir Eddie et le groupe, c’est un peu la consécration ultime.



Et la suite ne fait pas retomber l’ambiance. Il y a bien entendu moins d’électricité, moins de frissons, mais même s’il y a cette sensation de calme, c’est comme reprendre son souffle avant de repartir de plus belle. Et je suis émerveillée de voir les garçons rester les mêmes, être toujours aussi gentils et généreux, droits dans leurs baskets mais toujours désireux d’aller de l’avant. Sans écraser les autres, avec cette idée bien ancrée en eux qu’ils doivent remercier tellement de personnes, et que la chute n’est jamais loin.



Voir un rêve se réaliser a toujours quelque chose d’incroyable. Beck a beau être une histoire, il n’en reste pas moins que l’émotion est bien là. L’intensité des derniers tomes était juste parfaite. Il reste encore deux tomes. Les suites du festival d’Avalon vont enfin prendre vie et j’ai envie de voir le groupe finir en beauté.

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Beck, tome 19

Ce n'est pas que ce dix-neuvième tome n'est pas bon, mais... franchement, je commence à me lasser des échecs de Beck. Depuis un petit moment, il n'y a que cela. Ils les enchaînent sans que l'on voit vraiment une petite lueur d'espoir. Ils en tirent des leçons et ils voient le chemin encore à parcourir mais il y a un effet de "je tire sur la corde" qui commence à être long.



Alors oui, il y a de très jolis moments dans ce tome. La relation entre Koyuki et Maho qui avait pu m'agacer il y a quelques volumes de cela est ici montrée de façon douce et nostalgique. On voit combien ils ont grandi ainsi que leurs sentiments. Et franchement, même si on dit souvent que les relations longue distance ne sont pas faites pour durer, je crois en cette romance.



La cuite après l'échec de leur audition : du déjà vu mille fois, avec encore une bagarre qui éclate à cause de Chiba. Ça pouvait être drôle au début... maintenant c'est lassant. Taika sauve la mise par contre. Sa petite visite à son grand-père avait quelque chose de triste et de profond. Il rappelle aussi combien c'est un personnage qui au final prend très peu de place, alors qu'il est la voix de la sagesse de Beck, l'élément le plus mature et le plus stable.



Et puis Ryu... qui m'énerve de plus en plus. Toujours en Amérique, ne se souciant même pas de ces potes du Japon, et qui continue à faire des conneries... Quand je pense que les autres attendent qu'il revienne. Ça a un côté pathétique, vraiment. J'aurais plutôt eu envie de voir Beck réussir sans lui, prendre son envol, et que Ryu s'en morde les doigts. Beck, ce n'est pas lui. Il ne le mérite vraiment pas.



Il reste encore une quinzaine de tomes... Franchement, j'ai un peu peur de ce qu'il va se passer pour la suite.

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Beck, tome 27

Pas de très grosse remontée de niveau pour ce tome vingt-sept. Je poursuis parce que j’ai envie de savoir comment va se finir l’histoire, mais j’avoue que je m’ennuie de plus en plus et que je me force un peu. J’espère franchement que l’on va finir par passer un cap qui va faire décoller l’histoire de niveau, car pour l’instant, ce n’est même pas de la stagnation, c’est du blabla pour ne rien dire.



C’est un peu comme si le groupe Beck n’existait plus ici. Je ne comprends franchement pas la logique du mangaka dans ses choix. Il y a pourtant de quoi faire, mais il préfère continuer avec Léon Sykes et ce délire de mafioso dont son garde du corps, Snoop Dog, ne fait qu’hurler et menacer tout le monde avec son flingue. Si le fil conducteur avec la dernière chanson d’Eddie n’apportait un peu d’intérêt, j’avoue que je ne lirais même pas ses passages.



Devil’s way prend d’ailleurs de plus en plus d’importance ici, voire trop en un sens. Et on assiste quand même à quelque chose de délirant. Entre le fait que Koyuki risque sa peau en l’ayant écouté, mais que cela pourrait être un super hommage si notre héros et Ryusuke arrive à la finir… Ce dernier qui est envoyé aux Etats-Unis d’ailleurs pour canaliser Matt… C’est tellement énorme que cela en est ridicule.



Et le groupe continue son éclatement. A la rigueur que Saku décide de suivre un entrainement pour s’améliorer, je trouve ça très cool. Il ne veut pas stagner et être le meilleur pour le groupe mais… Taira se fait encore débaucher, Chiba continue à faire la gueule, Ryu part aux US, Koyuki stagne et se morfond. Alors oui, les groupes ont tous des hauts et des bas, certes, mais là on est tout de même à un moment où le groupe joue le tout pour le tout. Mais rien. Le mangaka préfère partir dans des délires et laisse de côté son groupe.



Alors oui, il y a des passages qui sont sympas, certes. Mais au vu de la globalité de ce tome vingt-sept, ils ne sauvent malheureusement pas le tout. Et c’est clairement dommage, parce qu’il y a tellement de potentiel, mais je n’arrive pas à retrouver ce qui me faisait aimer le manga.

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Beck, tome 14

Dans la lancée du tome treize, nous suivons le groupe enfin réuni pour la fin de leur tournée américaine. Clairement, un tome qui a plus de punch et qui a aussi un côté plus positif et qui donne une réelle bouffée d’air frais au manga. Il y avait depuis quelques temps, une sorte de négativité, d’oppression qui me chagrinait vraiment, mais les nuages se sont enfin dégagés !



Le retour de Ryu fait toute la différence. On voit les cinq garçons prendre de l’assurance, mais aussi être à leur meilleur niveau. Ils percent doucement, et en même temps, ils ne prennent pas la grosse tête. Leurs débuts chaotiques aux States ont fait qu’ils ont réellement pris conscience de tout ce qu’ils devaient accomplir pour réaliser leur rêve. Et encore une fois, je trouve cela top, car il y a une part de réalisme qui fait du bien à voir. Il n’y a pas trop de côté idyllique. Beck va ramer, mais ils vont tout donner aussi.



Pas forcément grand-chose d’autres à dire au final. Il y a beaucoup de scènes sur scène qui sont vraiment grandioses dans le sens où le mangaka arrive à nous faire ressentir l’énergie et la musique sans aucun son. C’est l’un de ses grands atouts, et je suis contente qu’il arrive à maîtriser cela pour donner encore plus de vie à Beck.



Je ne sais pas trop ce qui attend les garçons maintenant, surtout avec cette histoire avec Strickes qui n’est toujours pas terminée, mais je sens qu’on va avoir droit à des tomes d’entre deux… Je croise les doigts pour que j’y trouve un intérêt.

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Beck, tome 20

Le niveau est vraiment en dents de scie... C'est vraiment dommage, même si j'espère franchement que l'on est sur la bonne voie maintenant et que l'on va vraiment assisté enfin à l'ascension de Beck. Je préviens tout de suite, je suis assez énervée du fait que Ryu sauve encore Beck, parce que non, il n'est pas le groupe. Je ne comprends pas comment le mangaka a décidé de cela. Déjà, l'image même du groupe en pâti. Deuxièmement, le manga est quand même plein de messages positifs et faire de Ryu un sauveur, avec son attitude, cela va à l'encontre même de l'esprit de Beck. Sans compter que cela renvoie une image assez négative des autres membres. Ils ne sont rien en définitif sans Ryu. Je veux bien qu'on est l'image d'une pièce de puzzle manquante, que chacun des membres est une perle rare mais qu'elles ont besoin des autres... Mais là, franchement... C'est décevant.



Mis à part ce petit coup de gueule... le tome est plutôt chouette. J'aime le fait de voir différents groupes se prendre en main et chercher à faire évoluer leur musique par les petits chemins, si je puis dire. On sens vraiment que la nouvelle ère musicale dont on nous parle depuis plusieurs volumes est sur le point d'arriver. Et j'ai hâte de voir ce que cela va donner.



Avec le retour de Ryu, l'avenir de Beck est plus prometteur (il faut bien qu'il y ait une chose de positive avec son retour). Encore une fois, on voit combien Beck a su créer des liens forts et durables avec les différents groupes qu'ils ont rencontré mais aussi avec des personnes de l'ombre, notamment avec Kawakubo. Les garçons marquent, laissent une trace positive. Et c'est aussi ce qui les sauve. Il n'y a pas que le talent, il y a aussi l'attitude. Cependant, même si on voit une lueur d'espoir se profiler, j'ai dû mal à me réjouir. Je m'attends encore à voir les échecs se répéter.

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Beck, tome 10

C’est avec un tome comme celui-ci qu’on se dit qu’avoir le son manque cruellement. J’aurais adoré lire ce volume dix avec le concert des Beck en fond sonore. Franchement, cela aurait été parfait. Harold Sakuishi arrive à nous retranscrire l’énergie et la passion de ses héros, mais il arrive aussi à nous faire ressentir le manque de son. Ce qui est vraiment bien, selon moi, car cela prouve que même en couchant une histoire de musique sur le papier, on est capable de dépasser le support.



Sans grande surprise, Beck joue enfin au Greatful Sound, avec un début chaotique, puis une mise en bouche, pour finir par une apothéose. C’est très bien fait, vraiment, surtout du point de vue des émotions. On sent combien les membres de Beck sont heureux et entiers en étant sur scène. Le groupe est encore un peu bancal car les héros manquent de maturité pour la plupart mais il y a une harmonie, une alchimie qui fait que même s’ils sont très bons chacun de leur côté, ensemble, on atteint un autre niveau.



Un concert qui se vit et que l’on apprécie vraiment du début à la fin. Le calme avant la tempête cependant, car les magouilles avec Léon sont loin d’être finies. Ce personnage antipathique est comme une épée de Damoclès, et je ne suis jamais très sereine quand il est dans les parages. Nos héros ont déjà bien assez de soucis… A voir ce que cela donnera par la suite.

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Beck, tome 9

Un tome neuf que je qualifierai de « préparatif ». Il ne fait pas trop avancer les choses, mais il annonce un tome dix qui devrait marquer un tournant pour Beck, et rien que pour cela, c’est un tome plutôt sympathique. Harold Sakuishi permet ainsi de faire monter le suspens crescendo et de nous pousser à lire la suite.



Ce volume neuf n’en reste pas moins intéressant. Déjà parce qu’il montre encore une fois combien Koyuki grandit et aussi combien la musique prend de plus en plus d’ampleur dans sa vie. Ryusuke le pousse dans ses retranchements encore et encore. D’abord avec sa musique, puis avec des paroles. Il voit combien son jeune ami a du potentiel, et je pense qu’il n’est pas du genre à laisser cela passer. Il ne se montre pas très diplomate, mais c’est Ryusuke, on ne s’attend pas à autre chose. Et en même temps, je ne suis pas certaine qu’un autre comportement donnerait autant de booste à notre héros.



La suite des événements nous conduit au fameux festival où Beck doit se produire. Les garçons font bien entendu tout sauf ce que l’on attend d’eux. Ils sont indisciplinés au possible. Mais ils sont également jeunes, et déjà dans de beaux draps. C’est attendrissant, en un sens, car leur immaturité donne un côté plus léger, mais amène aussi à des situations plus sombres. On voit clairement que Yoshi porte le groupe. C’est celui qui a le plus d’expérience et de maturité. C’est un peu la conscience de Beck. Chiba est l’électron libre, le total opposé, et son impulsivité n’est pas toujours facile à gérer. Saku pèse aussi dans la balance dans le côté zen. Il y a une très bonne dynamique, mais comme le dit Yoshi, ces cinq personnalités doivent trouver leur équilibre, sinon le groupe ne survivra pas.



Et ici… On est déjà au bord de l’effondrement de Beck. Mais je ne suis pas vraiment inquiète. Les garçons ont une passion commune que Koyuki parvient à faire briller sans peine. La pression qu’ils portent sur leurs épaules n’est pas aussi évidente. Cependant, tout cela amène du réalisme par petites touches, et c’est plaisant. Le festival va, encore une fois, être un tournant pour le groupe, mais reste à savoir si cela sera en bien ou en mal.

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Beck, tome 34

Une fin magnifique. Je ne regrette pas de m’être fait un peu violence après ma lecture du volume vingt-six et d’avoir poursuivi. Il aurait été dommage de passer à côté de cette dernière partie qui a été absolument magnifique et à la hauteur de mes espérances.



Le concert du Greatful Sound n’a pas seulement été un joli hommage à leur début. Non, c’est un hommage à chacun des membres du groupe. Un retour en arrière, un remerciement envers Koyuki qui a été cette étincelle que les quatre autres membres recherchaient désespérément sans le savoir. C’était émouvant, et en même temps, c’est aussi cela Beck depuis le départ. C’est ce jeune garçon naïf et adorable, qui met son cœur dans la musique. Koyuki est cette étincelle depuis le départ, et c’est une famille que l’on a vu grandir petit à petit.



Le côté émotionnel est bien là, mais il n’a rien de triste. C’est beau, et on sent que le futur le sera tout autant pour le groupe. Ils ne savent pas ce qui va leur arriver, mais ils ont déjà tellement accompli qu’ils peuvent se targuer d’avoir touché leur rêve du bout des doigts. Il ne tient qu’à eux de le prendre à pleine main.



J’ai aussi aimé le fait qu’Harold Sakuishi prenne le temps de faire des petits clins d’œil aux différents personnages qui ont aidé le groupe. Le côté émouvant de ce geste est aussi un rappel de l’essence même de Beck.



La fin est consacrée à Eddie. Cela tombait sous le sens, même si je ne m’y attendais pas. On le découvre aux moments importants de sa vie, à travers des rencontres et différents événements jusqu’à sa mort. Devil’s way est bien le fil conducteur, un héritage qui a été subliment mis en avant.



Beck est une série qui a ses hauts et ses bas, mais rien que pour ces derniers tomes, elle en vaut le coup. C’était une aventure « montagnes russes » mais tellement pleine d’émotions et d’intensité qu’on pardonne les erreurs de parcourt.

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Beck, tome 30

On monte doucement en pression avec ce tome trente. Je pense que l’on peut se dire que maintenant nous sommes sur la dernière ligne droite et que le manga ne devrait normalement pas subir de descente de niveau. Il aurait vraiment été dommage de finir cette série sur une mauvaise note, donc je suis plutôt contente.



En soi, il ne se passe pas forcément grand-chose dans ce tome, mais on assiste tout de même à des événements majeurs. C’est assez étrange comme sensation. Il faut dire que la première partie du tome nous laisse dans l’expectative entre le concert de Beck qui est reculé, une nouvelle menace, et Koyuki qui est avec Maho loin du groupe. En plus Matt est de nouveau dans les parages, et l’on sait que ce personnage n’est pas le plus stable possible. Mais cela ajoute un petit peu de piment et un côté drôle qui passe bien.



Le meilleur moment reste la réunion des cinq membres, sans aucun doute. Koyuki a changé, cela se voit et on dirait qu’il a enfin compris et réalisé quelque chose. Cela fait chaud à voir car c’est vraiment un personnage adorable, et cela depuis le début. Il est difficile de ne pas l’apprécier et surtout de lui souhaiter toute la réussite qu’il mérite.



Le début du concert de Beck est assez électrisant, malgré de petits soucis. On sent que l’on va peut-être assister à un nouveau Greatful Sound, ou qu’au moins, Avalon sera un tournant décisif pour le groupe. Peut-être leur dernier concert, mais si c’est le cas, il aura marqué les esprits d’une façon ou d’une autre. Ce n’est absolument pas ce que je souhaite, loin de là, mais rien que ces quelques pages… cela donne des frissons, et je me dis que c’est déjà une extraordinaire récompense pour le groupe.

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Beck, tome 25

Pas une très grande avancée avec ce tome vingt-cinq, je dirais même qu'il sent un peu le réchauffé avec des scènes déjà utilisées plusieurs fois, et une fin qui elle aussi a déjà fait partie des aventures de Beck. Donc rien de nouveau sous le soleil. Même l'histoire avec Chiba fait beaucoup penser à celle de Ryusuke.



Alors oui, je commence à me lasser. Même cette tournée, les négociations avec des managers, la possibilité de jouer au Royaume-Uni... On change un groupe, un lieu, une personne, mais on en arrive au même point. Clairement à ce niveau-là, la chose la plus "intéressante" reste l'attitude de Chiba. Et encore. Le fait qu'il se lance dans ce qu'il aime le plus est sympathique car on le voit sur le devant de la scène et à son meilleur niveau, cependant, il est toujours attaché à Beck. Il joue sur les deux tableaux, quitte à mettre le groupe en péril. Taira est encore la voix de la raison et je trouve son ultimatum plus que raisonnable même si cela pourrait conduire à la fin de Beck. Chiba doit faire un choix. Son attitude est compréhensible, encore une fois, mais il est aussi puéril. Sa colère contre Koyuki est déplacée. Et cela se ressent même au travers de la lecture. La tension qui règne est palpable. Il n'y a plus cette unité dans le groupe, ce qui était LE point fort du manga.



J'attends donc le déclic. Il reste une dizaine de tomes. Le problème Ran n'est toujours pas réglé et Léon est de nouveau sur le devant de la scène... Sans compter le reste. Depuis le début Beck est un manga en dents de scie pour moi. J'avais espéré que le niveau resterait stable à un moment donné, mais non. C'est encore une fois très dommage.

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Beck, tome 23

S'il y a bien une chose que je déteste, quelle que soit ma lecture, c'est l'acharnement sur les personnages. Et c'est clairement ce que je ressens avec la lecture de ce tome vingt-trois de Beck. Et cela m'agace au plus haut point, parce qu'en plus de cela, j'ai clairement l'impression que Harold Sakuishi tire sur la corde, en jouant encore avec des événements qui ont déjà eu lieu. On change de "méchant" et on recommence. Et cela ne s'arrête pas là. Je veux bien croire que tout ne peut pas être rose, mais on arrive quand même à plus de vingt tomes maintenant. Les déboires de Beck ont déjà pris une place énorme et cela continue. La trame actuelle était pourtant intéressante, et se focaliser sur ça aurait été tout aussi bien.



Pour résumer les galères du groupe : Ran fout encore la merde. Ce n'est pas un scoop, ce type est un gamin de cinq ans qui ne supporte pas le succès des autres. Et là, on joue sur la corde sensible. Il a fini de faire annuler tout ce que Beck entreprenant, il veut maintenant détruire le groupe. Bonjour la mentalité. Koyuki se place de plus en plus dans une situation compliquée vis-à-vis de Maho... Yuuta se la joue en mode "j'ai grave le melon, vous êtes des kleenex" (en clair, je vous ai bien utilisés, maintenant dégagez, il y a plus rien à voir), Ryu s'en prend à Koyuki en plein concert... Mais mince, sérieusement ! Je ne lis pas Beck pour me remonter le moral, mais je ne me suis pas non plus lancée dans l'aventure pour voir nos héros se faire taper sur la tête encore et encore. Et ils encaissent toujours.



Le problème, c'est que le côté "réaliste" perd de sa crédibilité avec cette surenchère. Sans compter que j'ai clairement perdu de l'intérêt avec la lecture de ce tome. J'ai fini par le lire en diagonale, tellement blasée par ce que j'avais sous les yeux. Le plus ridicule étant que Beck a tellement de soutien, qu'il est un groupe génial avec un gros potentiel, qu'ils font tout pour s'améliorer, qu'ils se la jouent réglo... Et ils échouent, alors qu'à côté de cela, on voit des personnes qui n'ont pas énormément de talent ou une morale médiocre qui sont sur le devant de la scène. Je sais que cela existe, mais faire le parallèle entre ces deux phénomènes de plus en plus dans le manga en devient presque ridicule.



Donc un tome vingt-trois décevant au possible et la suite ne s'annonce pas des plus sympathiques... C'est dommage, encore une fois, car les points positifs sont totalement balayés.

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Beck, tome 15

Je craignais un peu de voir un tome d’entre deux avec le quinzième, mais au final, on reste dans la lancée de l’évolution de Beck, avec un retour à la terre ferme assez violent mais aussi une démonstration de la motivation des cinq amis.



Après leur retour au Japon, et sous les conseils de Kevin, Beck se décide à enregistrer une album. Pas aussi facile qu’on pourrait le croire, surtout que les garçons n’ont pas vraiment assez de succès pour voir les portes s’ouvrirent. Et enregistrer une album… ça coûte cher, très cher. Mais encore une fois, nos héros nous prouvent que rien en pourra les arrêter. Ils rencontrent plusieurs grosses galères, c’est le moins que l’on puisse dire, mais ils persévèrent et s’adaptent. Bien qu’il y ait du négatif, en un sens, car le nombre de bâtons dans les roues ne cessent de croître, il n’en reste pas moins que lire ce tome était vraiment top.



Déjà, on y voit la motivation des garçons. Ils ne lâchent absolument rien, et ils se donnent à fond, quitte parfois à mettre leur santé en jeu (rien de grave, on ne s’alarme pas). Mais je trouve que cela donne une vraiment bonne image du groupe, ainsi qu’un message très fort. Depuis le départ, le groupe se donne à fond, ils ne lésinent sur rien. Ce n’est pas facile, on n’est pas dans un shonen sur un groupe qui perce comme par magie. Non, bien au contraire. Et je me répète, mais ce côté plus réaliste donne vraiment une autre dimension au manga. Sans compter que l’attachement qu’on a pour les cinq héros grandit au fur et à mesure. On a envie qu’ils réussissent pas seulement parce qu’ils sont bons mais aussi parce qu’on voit leurs galères.



J’aime vraiment ce que le mangaka a choisi de faire. C’est un peu les montagnes russes, mais en même temps, j’adhère. Et le manga ne cesse de s’améliorer au fur et à mesure. Il y a plus de sérieux, on sent que les garçons grandissent et que l’univers de Beck suit.

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