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Citations de Irene Cao (167)


Il n'y a rien d'inné ou d'instinctif dans le plaisir : il faut y arriver doucement, il faut le conquérir.
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Admettre ses problèmes, c’est faire le premier pas pour en sortir.
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Ce vin est la preuve que les erreurs et les défauts peuvent cacher quelque chose de sublime. Il suffit d’avoir la patience de le découvrir.
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Comme une molécule au milieu d’une transformation alchimique, je fais un bond dans une autre dimension. Nos corps fondus l’un dans l’autre libèrent une énergie si puissante qu’elle me fait perdre la tête. On dirait que notre séparation n’a fait qu’exacerber notre désir pour nous faire vivre un moment bouleversant, perturbant, violent.
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La jalousie est une cage qui te donne juste l'illusion de posséder l'autre.
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J’aimerais avoir des idées aussi larges, mais il est difficile de se libérer
des codes qu’on a assimilés, des grilles qui gouvernent depuis si longtemps notre manière de penser.
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... Ca ne sert à rien de vouloir tout, tout de suite; il faut savoir être patient. Attendre, ce n'est pas perdre son temps: c'est avoir une occasion précieuse de se préparer à ce que l'avenir nous réserve....
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"Un regard suffit pour qu'ils se comprennent. Des mots derrière les mots, échos et résonances, ce à quoi l'on rêve et ce dont on a besoin, ce que l'on cherche et ce que l'on trouve. La légèreté."
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Ce n’est pas tant le spectacle qui l’a fatiguée que le contexte ambiant. Elle a enfoui trop d’émotions, trop de tensions, au point que l’adrénaline qui circule en elle lui provoque des crampes à l’estomac. Tous les visages de la veille au soir ressurgissent devant ses yeux ; la musique tourne dans son ventre. Malgré son trouble, un sourire inconscient flotte sur ses lèvres : était-ce la vraie Bianca Colli qui dansait au côté de Bob Sinclar, devant trois mille personnes déchaînées ? Durant quelques instants, il lui a semblé être étrangère à elle-même, peinant à se reconnaître dans la peau de cette gogo danseuse perchée sur ses talons hauts. Dans le même temps, elle a conscience qu’un déclic s’est opéré en elle : à présent, elle se sent une autre.
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- "La jalousie est une cage qui te donne juste l'illusion de posséder l'autre."
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Elle a toujours aimé conduire, même plusieurs heures de suite. Appuyer sur l’accélérateur, agripper le levier de vitesse, observer le monde qui défile à travers les vitres, tout cela lui confère un sentiment de liberté que rien d’autre ne parvient à lui procurer.
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Avec ses petites mains nerveuses, elle savait faire des miracles, et c’étaient là les seuls moments où il se souvient de l’avoir vue sereine. Pour sa mère, fille de nobles vénitiens déchus et mariée très jeune à un entrepreneur prometteur, le reste du temps s’écoulait dans la monotonie de ses journées de riche épouse sans occupation, puis de mère hyper protectrice. Si toutefois on laisse de côté les pleurs et les grandes scènes durant lesquelles elle se défoulait des déceptions causées par les continuelles infidélités de son mari.
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L'amour c'est autre chose,j'ai fini par le comprendre.
-Et c'est quoi?je lui demande droit dans les yeux.
-C'est toi. C'est la possibilité de m'ouvrir à la vie que tu m'offres,me chuchote-t-il en m'effleurant la joue d'un baiser.Je te l'ai dit,Elena,j'essaie de prendre un nouveau départ,même si ce n'est pas facile.Grâce à toi,je renais.
-D'accord,je susurre en posant mon front contre le sien.Je te fais confiance.Mous sommes deux naufragés échoués sur la même rive,deux survivants qui se tendent la main.
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-Je viens de comprendre quelque chose,Elena,dit-il les yeux au plafond.Devant mon incompréhension,il se tourne vers moi pour m'avouer:-Je suis à toi.Et je veux n'appartenir qu'à toi.Je souris.Mon coeur déborde de bonheur.-Moi aussi je veux n'appartenir qu'à toi,je lui murmure tout contre son oreille avant d'y déposer un tendre baiser.Je fais alors mine de me reculer,mais il me retient pour chercher ma bouche,qui s'ouvre aussitôt pour se donner à la sienne.Je me rapproche,mes seins plaqués contre son torse,mes jambes enroulées autour des siennes.Nos corps entremêlés,plus rien ne nous sépare.Désormais,je n'existe qu'à travers l'union de nos souffles,de notre sève,de nos sens et de nos pensées.Je me sens bien,à ma place.Comment ai-je fait pour survivre loin de lui pendant tous ces longs mois?
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Nous passons les minutes qui suivent entièrement nus,dans le silence;nos jambes,nos bras,nos mains,nos cheveux,notre peau et nos os ne forment plus qu'un grand tout.Et puis ses lèvres prononcent cette phrase;(Je t'aime.)
Leonardo a beau les avoir seulement murmurés,ces quelque mots envahissent tout mon être.Ce qu'il vient de me dire change tout,bouleverse l'univers.Même si je n'osais pas me l'avouer à moi-même,je ne désirais qu'une chose;l'entendre me dire ça.
-Moi aussi,Je t'aime.Le souffle court,je me sens enfin libre d'un poids que je ne pouvais plus supporter.
Je suis heureuse et angoissée à la fois.Une larme coule le long de ma joue.Je ne fais rien pour l'arrêter.
-Je suis désolé,me chuchote Leonardo en l'essuyant d'un doigt.J'ai essayé de résister,j'ai tout fait pour éviter ça,mais je n'y suis pas arrivé.Je t'aime,c'est plus fort que moi.
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Mais bordel,tu ne comprends pas que ce n'est pas un jeu pour moi?
Sa voix rauque couvre la mienne.-Je ne peux pas me passer de toi,Elena.Ses mots me font l'effet d'un coup de poignard en plein coeur.
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Mais bordel,tu ne comprends pas que ce n'est pas un jeu pour moi?
Sa voix rauque couvre la mienne.-Je ne peux pas me passer de toi,Elena.Ses mots me font l'effet d'un coup de poignard en plein coeur.
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Mes oreilles et mes yeux me font mal.Leonardo vampirise mon corps et mon esprit,comme toujours.Le temps que je recule jusqu'au mur,il a déjà fondu sur moi.Il pose les mains sur la cloison,et me voilà prisonnière de son corps.
-Je suis venu te dire que je te veux,Elena,et que je ne peux pas vivre sans toi.Sa voix est un poison qui s'insinue dans chaque fibre de mon corps.Ses yeux brûlants me dévorent.Je dois lutter,rassembler mes forces,et tout de suite.Si mon instinct de survie m'abandonne,je vais plonger.
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Leonardo me soulève une jambe et l'enroule autour des siennes.Je sens son sexe dur,dominateur,tandis que mes tétons retrouvent le contact familier de ses main.
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Avant même que je puisse comprendre ce qui m'arrive,il me tourne vers lui et me prend brusquement dans ses bras.Sa langue plonge entre mes lèvres.Je me laisse faire sans opposer la moindre résistance,puis c'est à moi de l'embrasser passionnément.Ce baiser,j'en au rêvé pendant des mois,et encore plus dès l'instant ou je l'ai revu.Il me transperce de ses yeux brûlants,envahissant tout mon corps de sa chaleur.-Oh,Elena...,soupire-t-l.J'ai essayé de résister,mais je ne sais pas quoi faire.Je te désire tellement.Que répondre à ça?Je me sens perdue,déboussolée.Je suis en train de mourir et d'envie.
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