Citations de Irene Cao (167)
Les gens heureux, paraît-il, voient tout plus beau, parce que le regard qu'il portent sur le monde reflète les couleurs de leur âme.
Attendre, ce n'est pas perdre son temps: c'est avoir une occasion précieuse de se préparer à ce que l'avenir nous réserve.
les gens heureux, paraît-il, voient tout plus beau, parce que le regard qu'il portent sur le monde reflète les couleurs de leur âme.
L’indice ultime qui classe cet homme dans une tout autre catégorie que ceux qu’elle a vus en sous-vêtements jusqu’à présent : c’est le boxer de quelqu’un qui sait vivre au sommet de l’élégance, d’un homme qui connaît parfaitement les femmes et sait comment les embrasser, les caresser et bouger ce doigt en avant et en arrière, ni trop fort, ni trop lentement, précisément comme il le fait à cet instant, avec la juste impulsion et la juste intensité.
— Et les Vietnamiennes, elles sont comment ?
— Parmi les Asiatiques, ce sont peut-être les plus belles : elles sont longilignes, les cheveux noirs et longs, très raides, une peau de velours…
Elle a quarante-deux ans mais semble en avoir dix de moins. C’est une de ces femmes qui semblent tout droit sorties des pages glacées d’un magazine de mode, même au réveil. D’origine libanaise, elle fait partie d’une des familles les plus politiquement influentes de Beyrouth, mais elle a grandi à Paris et ne parle pas moins de cinq langues.
C'est généralement quand vous essayer d'oublier quelque chose que ça ne vous lâche plus.
J'aimerais avoir des idées aussi larges, mais il est difficile de se libérer des codes qu'on a assimilés, des grilles qui gouvernent depuis si longtemps notre manière de penser.
Un coup dans la gueule reste un coup dans la gueule ; il fait mal même si on l'a vu venir.
Au moment ou elle me tourne le dos, j'aperçois quelque chose qui me glace d'effroi. Sur son dos nu est dessiné le même tatouage que celui de Léonardo, ce symbole étrange en forme d'ancre, mais qui n'est peut être pas une ancre... Je me sens mal, qu'est-ce qu'il se passe,
Faire l’amour avec lui est cent fois plus efficace qu’une crème de soin ou n’importe quelle vitamine.
Je ne me maquille pas beaucoup en règle générale, peut-être parce que je n’ai jamais vraiment appris à le faire. J’ai toujours eu la sensation de faire n’importe quoi les rares fois où je m’y suis essayée. Et pourtant les règles de base sont les mêmes que celles de la restauration. Il faut d’abord bien nettoyer la surface, puis lisser le fond pour appliquer la couleur et lui donner tout son éclat. C’est juste que le faire sur un mur peint est une chose, et sur mon visage une autre.
Parfois j’ai même la sensation de sentir l’odeur de Filippo, celle de cette unique nuit que nous avons passée ensemble. Qu’est-ce que nous allons devenir ? Peut-il y avoir un lendemain (j’ai le droit de l’espérer), après des mois de solitude volontaire, ou s’agissait-il d’une histoire d’une nuit – une nuit où nous nous sommes laissé emporter par l’émotion du départ ? Qu’éprouvons-nous réellement l’un pour l’autre ? Mais surtout : qu’est-ce que je ressens, moi ?
Nous restons allongés là, agrippés l'un à l'autre. Nous ne sommes plus deux. Telle une boule d'énergie vibrante, nos corps et nos âmes sont désormais soudés, et se mélangent à tout ce qui nous entoure. Nos deux cœurs battent à l'unisson avec le coeur de la terre.
À travers tes yeux,j'ai malgré tout réussi à voir au-delà de mes limites.
Désormais, je n'existe qu'à travers l'union de nos souffles, de notre sève, de nos sens et de nos pensées.
Nous sommes deux naufragés échoués sur la même rive, deux survivants qui se tendent la main.
Tous ces amants, toutes ces aventures n'ont servi à rien, à part m'apprendre à simuler.
À en croire la grande théorie de Gaia, nous avons toutes besoin d’être consolées chaque fois qu’on voit une fille plus mignonne que nous.
J'ai encore sept minutes pour m'habiller, me maquiller, me coiffer, enfiler mes talons et traverser la ville.