Citations de J. K. Rowling (4445)
Tu te demandes si je t’ai envoyé dans la bonne maison ? dit aussitôt le chapeau. Il est vrai que le choix a été difficile. Mais je maintiens ce que j’ai déjà dit… Harry sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine.Tu aurais eu parfaitement ta place chez les Serpentard.
Harry resta éveillé des heures entières, cette nuit-là. A travers une fente de son baldaquin, il voyait la neige tomber devant la fenêtre de la tour. Pouvait-il vraiment être un descendant de Salazar Serpentard ? Après tout, il ne savait rien de la famille de son père.
Tu es un Fourchelang, dit-il. Tu ne nous l’avais jamais dit. — Je suis un quoi ? s’étonna Harry. — Un Fourchelang ! répéta Ron. Tu parles le langage des serpents !
- J'ai remarqué que votre gâteau d'anniversaire avait la forme d'un Vif d'or, dit Scrimgeour à Harry. Pour quelle raison ?
Hermione eut un rire moqueur.
- ça ne peut certainement pas être une allusion au fait que Harry est un remarquable attrapeur, ce serait trop évident , lança-t-elle. Il doit sûrement y avoir un message secret de Dumbledore caché dans la crème Chantilly.
- Moi c'est George, rectifia celui des jumeaux que désignait Maugrey. Tu n'es même pas capable de nous distinguer l'un de l'autre quand nous sommes Harry ?
- Désolé, George...
- Je me payais de ta baguette, en fait, je suis Fred...
Le lundi matin, tout le monde savait ce qui était arrivé à Colin Crivey. Les rumeurs et les soupçons se multipliaient et les élèves de première année ne se déplaçaient plus qu’en groupes, par peur d’être attaqués s’ils s’aventuraient seuls dans le château.
Lorsque Harry se réveilla le dimanche matin, la salle de l’infirmerie était baignée d’un soleil d’hiver étincelant.
Ma vie ici n’a été qu’une longue suite de malheurs et maintenant, on vient même me gâcher la mort !
Tu as d’immenses qualités, sais-tu ? Je le vois dans ta tête et Serpentard t’aiderait singulièrement sur le chemin de la grandeur, ça ne fait aucun doute…
D’après cette légende, Serpentard aurait aménagé une salle cachée dans le château, une salle dont les autres ne connaissaient pas l’existence. Serpentard aurait ensuite scellé l’entrée de la Chambre des Secrets de telle sorte que personne ne puisse l’ouvrir jusqu’à ce que son authentique héritier arrive à l’école.
Un conflit éclata entre Serpentard et les autres. Serpentard voulait qu’on se montre plus sélectif dans le choix des élèves admis à Poudlard. Il pensait que le savoir magique devait être réservé aux familles de sorciers et à elles seules. Il ne voulait pas prendre d’élèves nés de parents moldus car il estimait qu’on ne pouvait pas leur faire confiance. Au bout d’un moment, une grave dispute à ce sujet opposa Serpentard à Gryffondor, et Serpentard finit par quitter l’école.
D’une voix forte, quelqu’un rompit alors le silence. — Ennemis de l’héritier, prenez garde ! Bientôt, ce sera le tour des Sang-de-Bourbe ! C’était Drago Malefoy, qui s’était faufilé jusqu’au premier rang. Ses yeux froids flamboyaient et son visage habituellement pâle s’était empourpré.
LA CHAMBRE DES SECRETS A ÉTÉ OUVERTE. ENNEMIS DE L’HÉRITIER, PRENEZ GARDE.
Ce fut à ce moment-là que Harry l’entendit à nouveau. — … déchire… écorche… tue… C’était la même voix, froide et mortelle, qu’il avait entendue dans le bureau de Lockhart.
Une douzaine de chevaux fantômes traversèrent soudain le mur du cachot, montés chacun par un cavalier sans tête...
....
Les chevaux galopèrent jusqu’à la piste de danse, puis s’arrêtèrent au milieu en se cabrant avec élégance. En tête de la troupe, un fantôme de haute stature tenait sous le bras sa tête qui sonnait du cor. Il descendit de cheval, leva sa tête à bout de bras pour jeter un coup d’œil à la foule qui éclata de rire et s’avança ver Nick Quasi-Sans-Tête en enfonçant sa tête sur ses épaules.
L’étroit passage qui menait à l’endroit où se passait la fête de Nick Quasi-Sans-Tête était éclairé par des chandelles fines et noires dont la lueur bleuâtre leur donnait à eux aussi l’aspect de fantômes. Il faisait de plus en plus froid à mesure qu’ils avançaient.
La pluie continuait de marteler les fenêtres d’un noir d’encre. La salle commune, en revanche, était claire et chaleureuse. Le feu qui ronflait dans la cheminée répandait sa lumière dansante sur les élèves assis dans les fauteuils défoncés et occupés à lire, à bavarder ou à faire leurs devoirs.
t'es trop sexy Hermionne ! viens on va derrière les buissons
La pauvreté engendre la peur, l'angoisse, parfois même la dépression, ; être pauvre c'est subir mille humiliations quotidiennes, mille tourments.
-Je vais me coucher, on aurait pu se faire tuer, ou pire se faire renvoyer!
-Elle devrait revoir l'ordre de ses priorités