J. M. Miro

Le premier tome d'une trilogie introduisant plaisamment la trame et les personnages.

L'écriture est très visuelle, bien que fluide : on a l'impression de regarder un film, plus que de lire un livre.



"Monstres ordinaires" nous fait voyager : si une bonne partie de l'intrigue se déroule dans le Londre victorien, nous nous rendons également en Ecosse ou au Japon.

Les personnages sont nombreux et variés : la première partie de l'ouvrage prend d'ailleurs le temps d'alterner les points de vue afin de nous habituer aux différents protagonistes. J'ai beaucoup apprécié Alice et Ribs ; j'ai toutefois eu plus de mal avec Charlie et Mme Harogate.



En plein XIX ème siècle, l'institut Cairndale rassemble en son sein des enfants dotés de dons extraordinaires : les "talents". Ces capacités sont diverses et évoluent selon leurs porteurs, mais elles ont comme point commun d'être reliées au monde des morts, formant comme un pont avec celui-ci. L'entrée vers le monde des défunts est scellée pour éviter que certaines créatures envahissent celui des vivants. Lorsque la drughr, entité immortelle et dangereuse, trouve un hôte pour se rendre dans notre monde, elle n'a alors qu'une idée : dévorer tous les talents...



J'ai beaucoup aimé les péripéties, la découverte de l'institut, l'écriture morbide. De nombreuses références à Jack l'Éventreur sont glissées dans les passages se déroulant à Londres.

J'ai moins aimé le rythme de l'histoire, qui est à mes yeux un des gros points noirs du roman avec la gestion de certains personnages (notamment Charlie et Walter). La première moitié de l'ouvrage prend son temps pour poser les bases, tandis que la seconde partie (incluant la découverte même de l'institut, qui arrive tardivement) est assez rapide. Tout le final d'ailleurs, réuni en un seul chapitre, est très saccadé et enchaîne les passages courts et les sauts de point de vue.



J'espere sincèrement que le personnage de Charlie se développera par la suite, car actuellement il me fait l'impression d'un personnage d'arrière-plan. D'autant plus si on le met en comparaison avec les autres talents de son âge (notamment Komako et Ribs) ou Marlowe avec qui il forme un duo : ce dernier a beau n'avoir que 8 ans, il le surpasse en sagesse et en courage (parfois peut-être trop pour un enfant, surtout que le jeune âge de Marlowe nous est régulièrement répété pour être un motif d'affection chez tous les adultes qu'il croise).



Je lirai le tome 2 avec grand plaisir et suis très curieuse de la future évolution des personnages !

Le résumé de ce livre m'a fait pensé aux enfants extraodinaire de miss Perigrine. Tout au long de ma lecture, je l'ai pensé.



Les personnages sont tous très bien fait. Ils ont tous des raisons d'agir que l'on apprend plus tard. J'ai hâte de découvrir le tome 2.

Je dois bien admettre une chose : je ne sais pas par où commencer pour vous parler de ce roman. Déjà, c’est une briquasse d’environ 700 pages, il m’a fallu plus d’une semaine pour en venir à bout et j’ai été malade la moitié du temps. Ensuite j’avais beaucoup d’attentes parce que, d’après les commentaires inscrits sur la quatrième de couverture, nous avons là un parfait mélange entre Miss Peregrine et les enfants particuliers (l’une de mes sagas préférées) et Penny Dreadful (une série que j’ai dévorée et adorée). Dingue ! Finalement, qu’est-ce que j’ai pensé de cette lecture ?



La trilogie des Talents #1 | monstres ordinaires alterne entre passé et présent puisqu’il y a des flashbacks disséminés par-ci par-là. On y suit différents enfants dotés d’étranges dons — certains peuvent amplifier leurs capacités physiques, certains sont capables de manipuler des restes humains, certains peuvent modifier l’apparence de leur chair, certains peuvent contrôler leurs propres cellules mortes tombées en poussière, et certains sont plus mystérieux et puissants encore — ainsi que des adultes dont les motivations sont parfois obscures. Le concept n’est pas nouveau, c’est du déjà vu et tout le monde ne sera pas surpris. Heureusement, avec moi, ça a marché, et j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir ce début de saga. On peut donc le dire : le pari est réussi.



Notez qu’il y a un sacré casting puisque nous suivons beaucoup de monde. Malgré cela, l’auteur s’est focalisé sur deux orphelins à qui la vie n’a pas fait de cadeau, sur des adultes dont la mission est d’aller les chercher à l’autre bout du globe s’il le faut puis de les ramener sains et saufs dans un institut secret, et sur ceux qui les poursuivent. Parmi les personnages que j’ai préférés nous avons Marlowe, un enfant de huit ans recherché qui n’est pas n’importe qui ; Charlie, un adolescent qui a déjà été exécuté pour meurtre et qui est toujours bien vivant ; Alice Quick, une détective qui est chargée de retrouver les talents ; Komako, une demoiselle dont l’histoire m’a brisé le cœur ; et Jacob Marber, un homme corrompu par les ténèbres qui n’a pas toujours été méchant. Les autres ne sont pas en reste : tous étaient intéressants et tous apportaient quelque chose à l’intrigue. De même, tous étaient tristes (d’une certaine manière) et tous portaient un poids sur les épaules, ainsi qu’un sombre passé. C’était intense, voire dur à lire.



Si je vous dis orphelins dotés d’incroyables capacités, personnages moralement gris, antagoniste complexe et profond, ambiance gothique et pesante, roman sinistre et dérangeant, univers addictif et bien construit, course poursuite à travers différents pays, plume descriptive et immersive, fantasy historique et ère victorienne, lutte entre le bien et le mal/l’ombre et la lumière, forces obscures qui menacent le monde, scènes d’action phénoménales et épiques, mélange entre des sagas et séries incroyables.. Est-ce que vous avez envie d’en savoir plus ? Si la réponse est oui, un conseil : ne soyez pas intimidés par l’épaisseur du bouquin. Il est énorme et souffre peut-être de quelques longueurs, mais d’un autre côté je me dis que chaque phrase était nécessaire. Nous avons là un récit incroyable d’environ 700 pages, et je me languis déjà de la suite. Alors, en attendant sa parution, lisez ce premier tome. Il vaut vraiment le détour. Conclusion, vous l’aurez sûrement compris à ce stade de ma chronique, je recommande chaudement cet ouvrage aux amateurs du genre. Merci aux éditions De Saxus pour l’envoi de ce livre et pour la confiance qui m’a été accordée. ♥
Lien : http://madameratou.fr/la-tri..

Que ce fut long et laborieux ! Fait rarissime : j'ai abandonné ma lecture.

Pourtant, tous les ingrédients étaient là : Angleterre victorienne, ambiance sombre, magie... Résultat : un ennui profond. le roman est parsemé de longueurs aisément évitables, les personnages ne sont pas attachants et l'ambiance n'est pas là ! Exemple : l'auteur essaie de nous plonger dans les bas-fonds de Londres mais franchement ce n'est pas réussi. On ne sent pas la pauvreté, la noirceur...

Enfin bref, un roman que j'attendais mais qui m'a fortement déçu !

Monstres ordinaires : un roman extraordinaire ! Oui, le jeu de mots est facile mais c’est vrai ! Le roman de J. Miro chez De Saxus est juste d’une créativité folle. L’univers, bien que beaucoup (vraiment beaucoup) plus sombre, fait un peu penser à celui de la Croisée des mondes de Pullman ou des enfants particuliers de Miss Peregrine pour les personnages, mais en version adulte, et plus complexe. Dans une arborescence tentaculaire le gothique hante les pages, pas seulement pour les décors mais aussi par les aventures multiples, les quêtes, les voyages, les enlèvements, dans une plongée palpitante au cœur des ténèbres. Nous sommes au XIXe siècle, et nos pas nous ramènent sans cesse à Cairndale, en Écosse, dans un manoir isolé où Margaret Harrogate collecte des « talents » venus du monde entier, et amenés par deux détectives à l’allure peu orthodoxe, un homme M. Coulton et une femme Alice Quicke, dans son étrange institut, ces talents sont en réalité des enfants dotés d’étranges pouvoirs, qu’il faut éduquer pour qu’ils puissent s’en servir correctement. Le mystérieux Dr Berghast les y attend… Au fil des pages, nous suivons les quêtes des différents talents, celle de Charlie, de Marlowe et des autres tous plus attachants les uns que les autres, mais tous traqués !

Un livre dont on sort difficilement tant l’univers nous happe et appose en nous sa marque. Gothique, horrifique, surnaturel, ingénieux, inventif, bien écrit… Plongez dans la marmite bouillonnante de ce sorcier qu’est J. Miro !

Et si, pendant la lecture vous voyez de la fumée noire derrière vous ? Courez!



📚 Chronique et mise en scène photographique à retrouver sur mon Instagram @harper.a.lu.chat 📚

Il m'aura fallu un mois pour lire Monstres Ordinaires, ce qui m'arrive très très rarement. Visiblement, ce n'était pas le meilleur moment pour lire un roman à l'ambiance si pesante. Pardon binôme de lecture commune d'avoir tant traînassé. Mes dernières LC ont été chaotiques.



Je vais enfin pouvoir vous en dire un peu plus sur cette histoire ! L'auteur nous propulse au XIXème siècle et il faudra plusieurs chapitres pour que l'intrigue s'ancre dans un lieu : l'Institut Cairndale, Édimbourg. En fait, plusieurs chapitres sont même nécessaires pour que l'intrigue se dessine et s'enroule doucement autour de plusieurs personnages et notamment autour de deux jeunes garçons formidables, dotés de pouvoirs étonnants. Marlowe et Charlie sont tous deux recherchés, traqués, et leur parcours ne peut que marquer les esprits.



Il y a donc plusieurs personnages à suivre ici. Des femmes qui ont élevées Marlowe, des agents qui recherchent les garçons, des monstres faits de ténèbres ... Le récit se joue aussi sur plusieurs temporalités qui permettent d'offrir de nouveaux éléments au lecteur très régulièrement et c'est une approche qui me plaît toujours beaucoup. Mais surtout, il y a cette atmosphère unique. Étrange, grise, poisseuse. Le grand point fort du récit. L'auteur en vient parfois même à jouer avec les limites de l'horreur et ça file des frissons.



On peut dire que mon retour général sur cette lecture est positif, néanmoins, notez bien qu'il s'agit d'un récit très lent et descriptif. Si cela permet de maintenir une atmosphère sinistre et saisissante tout du long, quelques longueurs finissent par s'installer et par casser le rythme de la lecture. Mais à mon sens, il vaut le coup d'œil et se trouve être aussi mystérieux que complexe !

“Monstres ordinaires” est le premier tome de la trilogie des Talents. Ce beau roman (de plus de 700 pages) nous propose un mélange entre “Miss Pérégrine et les enfants particuliers” et “Jonathan Strange and Mr. Norrell”. “De Londres à l’Écosse, en passant par les États-Unis et le Japon, la course-poursuite haletante d’enfants dotés de pouvoirs extraordinaires dans la noirceur de l’ère victorienne.“



J’ai adoré lire “monstres ordinaires” et j’ai déjà hâte de découvrir le second tome. L’univers est riche et l’ambiance sombre m’a charmée. C’est pour cette ambiance que je le compare à “Miss Pérégrine et les enfants particuliers” et “Jonathan Strange and Mr. Norrell” (un mélange des deux.) C’est captivant et entrainant. Je n’ai pas vu défiler les plus de 700 pages de ce premier tome. Les personnages sont bien construits, l’intrigue est bien ficelée, l’action est présente, les secrets sont bien dosés, le danger ajoute le peps qu’il faut… bref, c’est un sans faute pour moi !



Un univers riche et sombre

“Monstres ordinaires” prend le temps d’étoffer son univers, sa mythologie et ses personnages. Nous sentons le danger latent sans qu’il ne soit nécessaire qu’il explose et nous en jette plein les yeux à travers des scènes d’action. La plume de l’auteur est très cinématographique, ce qui peut dérouter ou au contraire (l’effet qu’il a eu sur moi) nous rendre cette histoire très visuelle. J’ai eu l’impression de voir un excellent épisode de “Penny Dreadful” (avec Eva Green, qu’on retrouve aussi dans “miss Pérégrine et les enfants particuliers.”)

L’univers est sombre et gothique, parfois violent, sanglant et macabre. Il m’a fait penser à “Miss Pérégrine et les enfants particuliers” pour les enfants particuliers avec leurs dons, le danger qu’ils encourent dans le monde réel, le monstre qui les poursuit pour se nourrir d’eux etc. Et il m’a fait penser à “Jonathan Strange et Mr. Norrell” pour le côté univers riche, le folklore sombre, la ligne noire que les personnages suivent ou franchissent en pensant faire au mieux, la dualité entre deux sorciers puissants (deux talents ici) etc.



Des personnages à la hauteur de l’univers

J’ai adoré l’univers, j’ai aussi adoré les personnages de “monstres ordinaires”. J’aimerai vous les développer mais ce retour serait beaucoup trop long. Ils sont nombreux mais ils apportent tous quelque chose à cette histoire. J’ai aimé la proposition de flouter les lignes entre le bien et le mal, entre les méchants et les héros.

Les enfants sont innocents mais leur vie a été rendue compliquée par leurs dons, les actions des autres et leurs jugements. Ils sont les monstres ordinaires de cette histoire car ils ne sont pas comme la majorité des gens. Pourtant, ils sont les premières victimes. Charlie par exemple a été torturé parce que ses guérisons mystérieuses effrayaient et intriguaient. D’autres ont perdu des proches, ont côtoyé la mort de près, ont connu la violence et le rejet etc.

Les adultes autour d’eux suivent leurs propres intérêts, parfois pour le bien des enfants, parfois à leur détriment. Les intentions ne sont pas toujours louables et reflètent bien l’expression “l’enfer est pavé de bonnes intentions”. Tout ça rend les personnages plus complexes. On s’interroge sur les intentions véritables. Bref, j’aimerai développer mais j’ai peur d’en dire trop.



Le conseil de la bibliothécaire : “Monstres ordinaires” serait parfait pour les amateurs de “Miss pérégrine et les enfants particuliers” qui auraient grandi. Ou bien à tous ceux qui aiment la fantasy sombre qui frôle l’horrifique, les univers denses et complets qui prennent le temps de se développer. Et si vous aimez le côté sombre, enquête, étrangeté etc. je peux vous conseiller un tout autre genre avec “Les voleurs de curiosités“.
Lien : https://journaldunebibliothe..

«  - 𝑻𝒐𝒖𝒕 𝒎𝒆𝒖𝒓𝒕, 𝒎𝒐𝒏𝒔𝒊𝒆𝒖𝒓 𝑶𝒗𝒊𝒅.

𝑺𝒂𝒖𝒕 𝑫𝒊𝒆𝒖, 𝒍𝒆𝒔 𝒂𝒏𝒈𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝒍'𝒊𝒍𝒍𝒖𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒍𝒊𝒃𝒆𝒓𝒕é 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆 𝒄œ𝒖𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒖𝒓𝒔. »



Dans une univers sombre et enivrant nous plongeons tête la première dans cette histoire troublante .

Parcourant plusieurs pays et le Londres victorien , l’auteur nous imprègne d’une ambiance à la fois pesante et fascinante .

J’ai trouvé la plume envoûtante , les décors sont décrits avec précision et minutie .



On s’attachent immédiatement à ces orphelins aux talents extraordinaires , leurs parcours difficiles font d’eux des survivants , et leur confère une maturité qui nous touche de manière irrésistible.



Je dirais même que tous les personnages présents laissent une trace indélébile, chacun à sa manière .





L’intrigue se dévoile prudemment, les énigmes se développent tout en laissant planer le doutes sur les intentions de chacun .

Où est le bien et le mal ?

Qui est vraiment le monstre de l’histoire ?

Jusqu’à la fin le mystère reste entier …



Malgré quelques petites longueurs , ce premier tome impose une histoire prometteuse , réfléchie , complète et des tomes à venir que j’ai hâte de découvrir .



Une excellente lecture que je vous recommande !



Du livre aux larmes

Diana Garnier

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Un réel coup de cœur pour ce livre, mais mon avis est-il vraiment objectif sachant que c'est un univers que j'aime vraiment beaucoup ?



L'histoire se passe en Ecosse et à Londres, à l'époque Victorienne. Il y a de la Magie... un roman parfait.



J'ai adoré cette lecture même si c'est un sacré pavé et que certains passages pourraient être amputés... mais ce n'est que mon avis.



Ce livre est vraiment bien écrit, on se plonge immédiatement dans cet univers sombre et on s'attache aux personnages, tous différents et bien étudiés. Les différentes parties , les retours dans le passé ou les points de vue différents sont très compréhensibles avec le découpage des chapitres et paragraphes.



On a envie de découvrir la suite à chaque page. C'était un réel plaisir de le lire. Un roman accessible à tous !



Je le recommande vivement.
Lien : https://cpcamille.blogspot.c..

Tout d'abord un grand merci à Babelio et à De Saxus pour l'envoi de ce livre.



Une ambiance macabre et gothique et portée par une plume très cinématographique qui n'est pas sans rappeler Miss Peregrine. L'auteur maîtrise parfaitement son univers et introduit un folklore très original.



On a une jolie palette de personnages tous assez énigmatiques et dont les histoires personnelles se dévoilent au fil des pages. L'auteur a réussi à les rendre tous un peu gris et servant leurs propres intérêts.



Impossible de rester insensible devant ces passés lourds et difficiles où se sont côtoyées mort et maltraitance.



Dommage pour les petites longueurs qui commencent à se faire ressentir aux 3/4 du livre. On sent que l'auteur a essayé de développer son univers au maximum dans ce premier tome mais quelques passages restent superflus (alors que d'autres auraient pu être plus développés comme l'institut).



Si j'aurais bien vu un one-shot, je serai quand même ravie de découvrir la suite.

Ce roman m'a agréablement surprise. J'ai vu des avis mitigés comme positifs. Je fais partie des avis positif.

Monstres Ordinaires va vous sortir vraiment de votre quotidien. C'est un roman auquel il faut prendre le temps de le savourer et être dans le mood univers sombre à la Penny Dreadful, Strangers things ( le côté autre monde), CA le côté psychologique des personnages et autres que je n'ai pas forcément en tête à l'instant où je vous écrit la chronique.

L'auteur manie très bien les mots. Sa plume est belle, poétique et surtout qu'elle plaisir de lire des descriptions qui changent des forêts, des faes, des châteaux bon okay j'exagère mais n'étant pas adeptes des descriptions longues pour le coup j'ai adoré. C'est comme être entrain de lire un film d'actions, on arrive très bien à visualiser chaque scène dont l'auteur veut nous faire imaginer.

Les émotions sont aux rendez-vous. Chaque personnage a un vécu très très très ( on a compris Laurie c'est "très" passe à autre chose ) fort à chaque fois. Mais c'est pour vous dire, on n'est pas dans du mélodrame. Il y a derrière chaque personnage une psychologie intéressante. Et tout ceci va se rejoindre à la fin du roman.

J'ai adoré l'histoire de Marlowe et Brynt

J'ai pleuré pour l'histoire de Komako.

Je me suis pris d'affection pour LE méchant

la fin m'a trop touchée et je veux tellement la suite mais je sais que je vais devoir attendre le 2 n'est pas encore sorti en VO apparemment

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Ce que je comprends dans les avis mitigés mais que j'ai envie de défendre

Oui les descriptions sont longues ce qui peut amener à une lenteur.

MAIS dans un roman de 700 pages je trouve qu'il faut un minimum de descriptions pour créer un univers. Dans ce roman, elle est compréhensive. On sent que l'auteur a vraiment voulu nous immerger dans ce monde sombre, gothique, ancien des années 1880. De plus, on voyage dans le temps. Les sauts entre le passé et le présent permettent de donner du rythme à ce beau roman. Pour moi, ce roman doit être lu à la bonne période de l'année c'est à dire à l'automne. oui après si vous aimez lire des romans sur la plage "très gothique" pourquoi pas . chacun est libre mais vraiment c'est un roman à lire quand on a envie de se plonger dans un univers long et très bien écrit.

Vous l'aurez compris je vous conseille vraiment ce roman dans cette période automnale 🙏

Édimbourg, terre de bien des légendes et au folklore enchanteur et séduisant. Il ne m’en fallait pas plus pour être intrigué par ce premier volet au résumé mystérieux et enchanteur. Malheureusement et une fois lecture réalisée, j’admets être bien peu séduit par cette dernière dans laquelle je ne suis parvenu à m’immerger pleinement.



Pourtant, il est indéniable que l’univers imaginé par J. M. Miro se dévoile convaincant, solide et cohérent mais manque cruellement d’enchantement et d’immersion pour m’emporter sciemment. L’auteur construit ainsi une intrigue, certes des plus dynamique et haletante, sans pour autant être parvenu à m’immerger dans son monde fantastique, fait de chimères et autres talents que détiennent les héros esquissés. Je regrette ce manque qui a eu pour conséquence de me voir passer à côté de ma découverte tant je suis resté bien trop en retrait et distant. Ainsi, je ne suis parvenu à saisir tout l’intérêt ni toute l’importance des enjeux de sa, néanmoins riche, aventure. Pourtant et bien loin d’être désagréable, la plume du romancier se lit avec facilité mais manque de singularité et de pertinence pour parvenir à m’accrocher. D’autant plus que la mention de Miss Peregrine de Ransom Riggs me laissait entrevoir un récit enchanteur, riche d’aventure et d’émotions mais ce ne fut regrettablement pas le cas.



Cette frustration est encore plus saisissante tant Monstres Ordinaires aurait pu se dévoiler davantage captivant si l’univers dans lequel se déroule l’intrigue se voulait davantage captivant. En effet, friand de descriptions et autre détails, le style de J. M. Miro se dessine des plus visuel et pour une œuvre à l’orientation gothique et victorienne si appétissante, ce constat se veut plus qu’éloquent mais le résultat manque également d’accroche et de vivacité. Ainsi et par moments, ce premier volet manque clairement de relief et de profondeur malgré une maturité des plus notable. Ce manque de singularité se répercute également sur l’importante galerie de protagonistes dévoilée au cours de cette introduction. En ce premier chapitre, une multitude de personnages sont dévoilés et malgré une présentation de chacun alléchante, aucun n’est parvenu à se détacher pleinement pour me séduire au minimum. Pourtant, l’auteur réalise un édifiant travail de représentations grâce à la diversité de ces derniers que je me dois de le souligner même si cela n’a pas suffit à en faire d’eux des emblèmes de liberté.



Finalement et malgré un style fluide et visuel à souhait, ce premier volet n’est pas parvenu à me convaincre. La faute à un univers dans lequel je ne suis parvenu à m’immerger malgré un solide socle dont l’orientation fantastique se veut réussie. Néanmoins, le reste manque de singularité et l’ambiance peine à prendre pleinement pour ma part. Ainsi, je ressors bien trop songeur de cette lecture pour avoir l’envie de poursuivre l’aventure dont je suis, malheureusement, passé à côté.
Lien : https://mavenlitterae.wordpr..

Enfin ce petit pavé fini.



J'avais acheté ce roman parce le résumé me plaisait et qu'il était dit que c'était un mélange avec Miss peregrine, qui est un film que j'adore (oui du coup j'ai pas lu le livre). C'est sur le même univers, talents/école/chose à combattre mais ce roman ci est plus sombre.

Il y avait quelques longueurs par rapport à des passages mais ça ne m'a pas dérangé. Il était captivant, bien écrit, une bonne histoire. Les personnages ne sont pas mis en reste et tous sont très attachants. On en vient à vraiment détester le dc Berghast et on est mitigé avec Mme Harrogate qui finalement m'a émue avec sa force de caractère et malgré tout son amour pour les talents.



Une très bonne lecture qui m'aura pris un peu de temps au début mais que j'ai vite fini avec mes vacances lol

Franchement, on est proche d'un coup de cœur parce que j'ai vraiment adoré ce 1er tome ! L'univers, l'histoire, l'ambiance sombre, c'était tellement bien !



On va explorer différent POV entre les personnages principaux sans que ça soit frustrant car ça suit la trame logique de l'histoire.

Vous allez beaucoup voir Alice Quicke à la recherche des enfants avec des pouvoirs, dit les Talents, puis pour les protéger. Après leur arrivée à Carindale vous allez rencontrer de nombreux talents, dont Charlie et Malowe, le dernier ayant un rôle des plus important dans l'histoire.

Ils sont tous exceptionnel avec leur pouvoir et tous, adulte comme enfant, vont devoir faire fasse aux liches, à la Drughr : un monstre des plus horribles essayant de quitter le monde des morts, et à Jacob Marber lié à cette dernière...



Bref, vous l'aurez compris, dans ce roman ne vous attendez pas à un monde tout choupy avec des enfants qui jouent dans la cours de récréation dans le monde des bisounours. Ici justement, vous douterez, car le mal et le bien se confond rapidement, les gens que vous aimez tomberont, des enfants disparaîtront sans explication, et le monde des morts est proche d'envahir celui des vivant. Vous l'aurez compris : c'est le bordel !!

Les révélations au cours de ma lecture m'ont plus que surprise et j'avoue ne pas du tous les avoir vu venir ! C'est une lecture intense et incroyable, super bien rythmé, avec un final explosif révélant l'intrigue pour ce 2eme tome, que j'ai plus que hâte de lire !

Séduite par cet étrange corbeau trônant dans un médaillon aux allures de lune et par les enluminures sur la couverture j'ai commencé à lire ce livre sans même savoir de quoi il parlait. Je me suis rapidement trouvée plongée dans une ambiance gothique très marquée. L'impression d'être chez Dickens revu à la sauce fantasy. Plongée dans ce livre qui se rêve en noir et blanc, parsemé de Gavroches, d'Oliver Twist, de gentlemen, de ruelles sombres, d'ambiances enfumées je me suis perdue dans les vapeurs d'opium et de cigares. J'ai arpenté les rues de Vienne, de Londres, de Tokyo. Éclusant les bords de la Tamise, les ruelles coupe gorge et même un vieux théâtre poussiéreux je me suis perdue dans la brume sur les bords du Loch Ness avant d'arpenter tel un fantôme les couloirs d'un étrange manoir écossais.



Sur mes pas résonnaient ceux de mes compagnons. Marlowe, le petit bonhomme si fragile et charismatique à la fois tellement aimé et trop souvent abandonné, Charlie enfant grandit trop vite, Ribs espiègle et rebelle, Oskar si craintif et courageux et Komako meurtrie pas la vie de manière si cruelle. Des monstres ordinaires, auxquels je me suis attachée. Des enfants aux étranges pouvoirs , un lieu magique ; frontière entre le monde des vivants et des morts et … de bien d'autres choses ; au fil des pages se dessine un univers surprenant. Une aura de mystère entoure la raison d'être de ces enfants mais aussi les motivations du Dr Berghast, leur étrange hôte et protecteur.



Alors que s'avance le danger sous la forme de Jacob Marber, un être étrange dont on peine à comprendre la nature, deux personnages féminins d'exception luttent bec et ongles pour protéger les enfants : Mme Harrogate et Alice. Avec un côté So British tout en classe et en retenue (ou comment mettre une râclée en règle à un gros dur en conservant le petit doigt en l'air) ces femmes défient la société du XIXème siècle et les ténèbres sans sourciller. Mademoiselle Davenshaw n'est pas non plus en reste. Pleine de détermination et de ressources elle m'a complètement bluffée.



A mesure que le récit dévoile les histoires de chacun des personnages le mystère, loin de se lever, s'épaissit et devient de plus en plus captivant. La frontière entre le bien et le mal se brouille, les certitudes s'effondrent et les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. Un mystère en cache un autre et le danger, insaisissable, approche, rôde, gronde, et tapi dans l'ombre, attend son heure.



Ça commence comme un slow et ça termine en rock endiablé. C'est inventif, tourbillonnant, émouvant, addictif. C'est une histoire trépidante qui réveille notre âme d'enfant. Celle qui rêvait d'aventures et de frissons quand tapie sous la couette un livre à la main, elle prenait le large embarquée sur une plume.

Dans une ambiance gothique et macabre qui ne nous quittera pas du récit, mélange de Peaky Blinders et Miss Peregrine, où la suie nous colle à la peau jusqu'à noircir l'âme, JM Miro nous fait voyager à la rencontre d'enfants énigmatiques aux dons particuliers.



Même s'il est vrai que certaines descriptions se font par moment trop longues, le folklore original, les nombreux lieux explorés et surtout la palette de personnages proposés par l'auteur sont en tout point captivants. C'est bien simple : chaque enfant et chaque adulte rencontrés apportent de l'épaisseur au récit, des mystères à l'intrigue. Toutes et tous, survivant(e)s à leur façon, mériteraient un livre à part entière tant leurs histoires respectives s'avèrent bouleversantes et laissent une trace indélébile au lecteur.





Traces que laissent également de nombreuses scènes d'action comme celle se déroulant dans un train où chaque mètre parcouru par une locomotive assourdissante lancée à pleine vitesse se fait non sans larmes, sans douleurs, sans peurs, sans angoisses.





Au fur et à mesure des pages, l'intrigue se dévoile prudemment laissant place à d'autres sombres interrogations qui ne font qu'accentuer l'étrangeté de l'univers dépeint par la plume de l'auteur canadien. L'ombre, la poussière et la noirceur progressent au fil des chapitres jusqu'à atteindre leur paroxysme dans les ultimes pages de ce premier tome.



Alors, qui est vraiment le monstre de l’histoire ? A vous de le découvrir...

Je ne vais pas mentir, ça a été une lecture un peu décousue. Je n'arrivais pas à dévorer les pages, je ne fais que picorer le livre.

Et je suis un peu frustrée parce que je ne sais pas vraiment pourquoi. Il est bien écrit, la lecture est fluide, l'époque me plaît énormément, il n'y a pas vraiment de temps mort, et les personnages sont plutôt bien construits.

Cependant, ce n'était pas passionnant. C'était très lisse, sans grande surprise même si la fin possède son lot de révélations.

Je ressors de cette lecture un peu déçue mais je pense que je lirai quand même la suite car elle ne m'a pas déplu. Il me manquait sans doute quelque chose pour être complètement immergée dans le récit.

Certaines passages étaient également un peu trop précipitée pour pleinement s'imprégner de l'ambiance des lieux et du contexte.

Nous faisons quelques bonds dans différentes temporalités au fil de l'histoire, ce qui ne m'a absolument pas dérangé. Aucune réelle difficulté de lecture en somme, les idées sont dans l'ensemble plutot bonnes.

En conclusion, c'était une bonne découverte, sans plus.

Dans ce recit, vous êtes dans ce qu’était autrefois le monde des années 1800. Ou « époque victorienne ».



Nous suivons de jeunes garçons possédants des talents innés de guérison et autres… Ceux ci intéressent particulièrement certaines personnes qui souhaitent les connaitres davantage ainsi que les accueillir au sein de leurs « orphelinat ». Mais les choses sont plus complexes qu’il ne paraît et, d’une part, va s’engager des courses poursuites meurtrière tout cela, entouré d’un mystère planant au dessus de nos personnages.



Concernant mon avis, il m’a semblé judicieux et honnête de mentionner au début du livres les triggers qui seront abordés. Il y a un côté très « Miss peregrine et les enfants particuliers » en un peu plus glauque et horrifique je trouve.

Quelques longueurs peut-être (pour certainement planter le décor).



C’est un livre qui se lie aisément et particulièrement le soir, au chaud dans lit avec une boisson chaude et une lumière tamisé qui nous mets d’autant plus dans l’ambiance de ce livre parfois angoissant de par l’ambiance global qui est assez pesante.



Je recommande donc ce livre à ceux et celles qui aiment les thrillers - les mystères et le fantastique car, la magie opère dans cet ouvrage.

J’étais et je suis toujours mitigée par ce livre, c’est une véritable montagne russe, par moment je suis absorbée par lui, j’ai du mal à décrocher, et d’autres moment je dois m’obliger à lire, à ne pas décrocher, je lis sans lire car c’est long et inintéressant, d’autant plus qu’à titre personnelle j’ai du mal avec les descriptions, surtout longue et pleines de détails car je n’arrive jamais à m’imaginer ce qu’on me décrit donc je m’ennuyais. L’histoire en elle même est sympa, il y’a de bon plot twist malgré tout

"Monstres Ordinaires" est le premier roman historique fantasy et le premier tome d'une trilogie de l'auteur canadien Steven Price qui publie sous le pseudonyme de J.M. Miro. L'intrigue plaira plus particulièrement à un public "young adult" car il met en scène des enfants dotés de pouvoirs extraordinaires dans la noirceur de l'ère Victorienne. Je remercie les éditions @desaxus et @NetGalley de m'avoir permis de découvrir le début de cette saga qui donne envie de lire la suite.



A Londres, deux enfants orphelins sont poursuivis par un homme des ténèbres. Charlie a le pouvoir d'auto-guérison et Marlow est capable de réparer ou de brûler les chairs. Au Nord d'Edimbourg, en 1882, l'institut Cairndale accueille des orphelins aux talents inhabituels comme ceux de Charlie et Marlow. Ils vont être confrontés à une force maléfique qui menace de bouleverser le monde...



Ce qui m'a attirée en premier, c'est la superbe couverture accrocheuse qui m'a donné envie de découvrir l'histoire de ce roman. Le résumé avec le thème des enfants aux talents particuliers m'a décidé à découvrir plus en détail l'intrigue. Mais, j'ai vraiment trouvé qu'il y avait trop de longueurs, ce qui est dommage car cela ralentit le rythme de ce pavé de 700 pages.