Jack Jakoli

Un retour en deux temps.

Tout d’abord la construction et l’histoire, j’ai trouvé ces procédés très originaux. L’intrigue va au-delà de la condamnation du coupable par le tribunal. L’auteur nous montre également la partie judiciaire et carcérale. Un crime atroce, une condamnation qui ne surprend personne. Une deuxième histoire naît à ce moment, d’un côté le mari et la fille de la victime vont devoir apprendre à vivre avec l’absence de la femme et maman absente. D’un autre Gabriel va découvrir la vie en prison. Dès les premières heures le ton est donné.

Matt muté dans une ville de province où les crimes de sang sont rares et pourtant là c’est l’affaire de sa vie. Avec son coéquipier, ils vont, en ayant des techniques différentes, faire surgir la justice. Un flic qui veut, trouver la vérité est son objectif ultime, même si parfois il surfe avec la ligne. Ne manquant ni de courage, ni de panache, il ne va pas lâcher et surtout pas lorsque certains éléments vont émerger. Un personnage qui aurait mérité d’avoir un peu plus de profondeur, le lecteur suppose des événements sur son passé mais sans en avoir des certitudes. Pourquoi évoquer ces éléments ?

Les années passent et pourtant l’ombre de cette affaire plane dans l’esprit de tous.

Une lecture qui m’a surprise, même si une question reste en suspens. J’aimerai à l’occasion que quelqu’un qui l’a lu m’apporte une réponse. Mais passons, la construction originale du livre sert tout à fait l’intrigue.

Cependant, le style d’écriture et la forme ne m’ont pas du tout convaincue. J’ai trouvé dommage. Un travail de correction et de relecture aurait pu apporter et servir le livre. C’est un avis qui n’engage que moi, j’ai eu l’impression de lire un premier jet.

En résumé, je valide le fond avec les idées, le montage, l’histoire et l’intrigue, mais pas vraiment la forme.

Je sais que ce livre a eu du succès, alors je vous laisse vous faire votre propre avis et découvrir ce qui se cache derrière La Catabase. Je mentionne que les premières pages peuvent heurter.

Les phrases sont courtes et percutantes, le roman est rythmé, avec des rebondissements tout au long du roman et des surprises jusqu’au bout. Je ne me suis pas ennuyée une minute.



Malgré quelques imperfections de jeunesse, La Catabase est un très bon premier roman. A lire absolument!
Lien : https://carnetdelecture1.wor..

Coucou les Lieblings 🖤



📚Retour de lecture de "La Catabase " de Jack Jakoli.



Il était une fois dans les profondeurs de l'âme humaine...Stop ! Ce n'est pas un conte de fée mais bien une descente aux enfers. Qui sont les anges ? Qui sont les démons ? Et si l 'être humain avait dépassé une telle considération manichéenne, si Pandore, elle même, n'avait pas refermé sa boîte à temps.....Après une telle lecture, comment ne pas être troublée? Il flotte un sentiment d'insécurité.



🖋 Une belle écriture que nous livre Jack, aussi bien en horreur ou en sensibilité.



👥 les personnages sont ambigus, quel plaisir ! Rien à ajouter.



☕ Ce livre est une véritable remise en question de votre part d'humanité. ⚠️ aux Lieblings sensibles. Le maillage est subtile. La part du diable de chacun est mise à contribution. Un délice !



Merci à Jack Jakoli pour cette chute vertigineuse 🖤



💋🔪💀🎭💶/5

❤️🖤😱 Je confirme... ce livre est haletant, angoissant et très très addictif ! Inspiré de faits réels 😱🥶, on ne sort pas indemne de cette lecture... âmes sensibles s'abstenir ! On plonge dans un univers malsain, cruel, d'une perversité humaine inimaginable.. Pour ceux qui aiment les thrillers purs et durs, foncez... c'est une lecture bouleversante qui nous entraîne dans les bas fonds de l'humanité et dont on a du mal à ressortir. Mon premier de cet auteur, mais je vais le suivre de très près.

Si vous vous lancez dans cette lecture, attendez-vous à être malmené parce que l’univers dans lequel vous plonge Jack Jakoli est aux antipodes du monde des Bisounours.



Dès la scène d’ouverture, vous êtes mis dans l’ambiance. C’est dur, c’est violent, cela vous retourne l’estomac (surtout si vous êtes une femme) mais ce n’est pas de la violence gratuite, cette scène est nécessaire à l’histoire. Je ne peux m’empêcher de faire un parallèle avec le premier chapitre des Démoniaques de Mattias Köping et la scène du transfo du même livre. Ces trois chapitres ont généré les mêmes émotions chez moi à savoir de la révulsion, de l’écœurement. Mais comme j’apprécie les thrillers bien noirs qui vont au bout des choses, qui demandent d’avoir des tripes pour les lire, j’ai aimé ressentir cela.



L’intrigue policière est bien ficelée (il ne faut pas oublier que l’auteur sait de quoi il parle puisqu’il est enquêteur à la Police Fédérale Belge) et m’a semblé cohérente et tenir la route. Il y a ce qu’il faut de rebondissements pour vous tenir en haleine. Les chapitres sont courts (chose que j’apprécie grandement dans une lecture) ce qui vous fait enchainer les pages sans vous en apercevoir. Certains passages sont vraiment durs et violents (âmes sensibles vous serez bien malmenés et il vous faudra du courage pour lire ces pages) mais l’ensemble est fluide, rythmé et facile à lire. Jack Jakoli va à l’essentiel, sans fioritures.



Il vous emmène dans l’univers du Darknet, des red rooms, pas besoin de vous dire dans ce cas que vous serez confronté à ce qu’il y a de pire chez la gente humaine étant donné qu’il n’y a aucune limite, où tout est possible tant que vous payez.



Quand je pense que Jack Jakoli a édulcoré les faits réels dont il s’est inspiré pour écrire cette histoire… Cela me glace le sang.



Cette chronique est très courte mais j’ai toujours beaucoup de mal à parler de mes coups de coeur car tout se bouscule dans ma tête. Et puis, j’ai toujours la crainte de trop en dévoiler.



Je ne peux donc que vous inviter à lire ce roman afin de vous faire votre propre avis, qui je l’espère, rejoindra le mien…
Lien : http://www.unevietoutesimple..

« La Catabase »… Je ne connaissais pas ce mot, je vous laisse aller voir sur notre ami Wikipédia de quoi il s’agit et ça va vous donner un avant-goût de ce qui vous attend derrière cette couverture.



Le premier chapitre nous plonge dans une situation plus qu’anxiogène. Une femme, nue et attachée, est torturée par un homme portant un masque de porc. Je vous passe les détails et la loooongue liste des tortures. Entre cris, hémoglobine et chair écartelée, un détail nous interpelle. L’homme parle à une caméra. Il s’adresse à des personnes physiquement extérieures à la scène. Mais bien présentes de l’autre côté de l’écran et qui semblent passer des ordres de tortures.



Bienvenue dans la lie humaine.



Bienvenue dans cet univers où la perversité n’a aucune limite.



Bienvenue dans le darknet.



Jack Jakoli est enquêteur au sein de la police judiciaire fédérale belge dans la vraie vie. Pour ce premier roman il s’est basé sur des faits réels (qu’il a édulcorés, c’est dire…) et clairement ça fait froid dans le dos. Il nous entraine dans une enquête sur fond de corruption, de violence, de pouvoir et d’argent, le tout mélangé à ce que vous pourrez trouver de plus noir dans l’âme humaine. Les retournements de situations sont là. J’ai vu arriver le premier mais pas le deuxième. Bien joué ! Seul petit bémol pour moi, j’aurais aimé que les personnalités des protagonistes soient plus approfondies mais cela a été atténué par une intrigue intelligemment menée du début à la fin.



La plume est addictive. J’avais déjà fait connaissance avec elle durant la lecture de sa première nouvelle « Punition » et je l’avais adoré. De nouveau, elle m’a percuté de plein fouet. C’est incisif, franc, efficace. Les chapitres sont courts, j’aime ça. On avance vite, on veut savoir, les pages se tournent à toute allure. Trop vite même, on aimerait plus de pages et pour ça je ne vois qu’une seule solution…



Jack, j’espère que tu avances sur le deuxième, on est nombreux à t’attendre ! Mais non…pas de pression !



Bref, foncez !
Lien : https://lenezdanslesbouquins..

Attention, lecture pour public averti !

Avant même de lire La Catabase, j'avais déjà intégré le mouvement #Jakoliste. Vous savez ? Ce groupuscule qui a décidé d'enlever Jack et de lui péter les jambes à coups de marteaux pour qu'il puisse écrire le 2ème plus rapidement...

Bref, ce livre, j'en ai tellement entendu parler qu'il fallait que je me fasse ma propre idée... C'est fait.

Le premier chapitre me fout une baffe comme pas possible. Si vous avez un petit cœur fragile, passez votre chemin... Sinon, bienvenue dans la Catabase.

Jack nous mène dans une enquête au delà de l'indicible. Le pire, ce qui fait vraiment froid dans le dos et qui donne la chair de poule, c'est de savoir que cette histoire est tirée de faits réels.

Les chapitres courts contribuent à donner une certaine dynamique et un rythme entrainant, pour en faire un véritable page turner. Impossible à lâcher, je l'ai dévoré dans la journée.

Certains chapitres traitant de Steven et Lexie m'ont littéralement brisée. J'ai ressenti tellement d'empathie pour cette petite...

Puis vient le moment où les claques s'enchainent, de rebondissements en retournements de situation, je lis en apnée, jusqu'à cette fin. Wow, bravo Jack !

Ça y est, je peux le dire maintenant. Je suis #Jakoliste !!

La catabase (du grec ancien κατάϐασις / katábasis, « descente, action de descendre ») est un motif récurrent des épopées grecques, traitant de la descente du héros dans le monde souterrain, les Enfers. C'est l'une des épreuves qualificatives les plus décisives de l'initiation et de la formation du héros épique.



Rentrez dans l'univers sombre de la Red Room et du DarkNet en ouvrant ce livre.



On commence ce livre avec un avertissement de l'auteur ; enquêteur au sein de la police belge, l'histoire est tirée de faits réels. Je ferme ce livre complètement chamboulée et retournée. Je me pose des questions sur la nature humaine... Jusqu'où l'homme est-il capable d'aller ?



Ce livre est un uppercut !

>> La violence humaine inouïe

>> Un univers carcéral méprisé et méprisable

>> Une justice crapuleuse



Un mélange détonant qui m'a fait passer un moment décoiffant, angoissant et décapant. Autant de choses qui en font un thriller noir efficace qui m'a filé des frissons.



L'auteur nous plonge dans un univers qu'il connaît bien et qu'il manie avec une main de maître.



Je ressens mon besoin d'urgence en lisant ce livre. J'arrive au dernier chapitre à bout de souffle. L'intrigue est cohérente et parfaitement ficelée et le thriller est aéré et fluide. L'écriture est sans fioritures, l'auteur va droit au but, il ne nous ménage pas.



L'auteur a, selon moi, réussi son pari ; il m'a retourné le cerveau. Et je suis toujours en train d'essayer de démêler le vrai du faux...



Chers lecteurs, je vous conseille ce page-turner, vous n'en ressortirez pas indemne, comme moi !


Lien : https://livresquement-djusti..

Bonjour les amis,



Je termine ma lecture de LA DÉTRESSE DES ROSES de Jack Jakoli, c'est un roman magistral, un polar inspiré de fait réel, il est inspiré par le dépeceur de Mons,

Il est captivant et percutant.

Un livre que l'on a pas envie de refermer pour en connaître le dénouement…

Tout y est pour en faire un bon thriller, les rebondissements sont nombreux, une immersion totale dans ce thriller percutant et addictif.

Quant à la plume je la trouve fluide, acéré et tres agréable, je dis bravo à l'auteur, il a su me plonger dans cette aventure rocambolesque.

C'est une lecture qui m'a beaucoup plu.

Un réel plaisir à lire, la plume de l'auteur est immersif et acéré

C’est un coup de cœur pour moi.

La psychologie des personnages surtout celui de Mélanie Penningqui est quant à elle un super agent qui ne recule devant rien.

C'est captivant, un livre que l'on n’a pas envie de fermer, le dénouement quant à lui reste surprenant, on ne s'y attend pas.



Ce livre est pour un coup de cœur que j'ai dévoré



QUATRIÈME DE COUVERTURE :



Belgique. Il y a quelques années. Après avoir profité de sa victime deux jours durant, un homme s'installe dans le garage de ses parents pour démembrer le corps. Ce qui devait être une besogne l'enthousiasme et l'élève à un niveau qu'il ne soupçonnait pas. Il décide alors de joindre l'utile à l'agréable et de créer une œuvre qu'il compte bien exposer aux yeux de tous. Nord de la France. Quelques semaines plus tard. Une patrouille de la territoriale est avisée de la découverte du bassin d'une femme le long d'un fleuve. Rapidement, les recherches stagnent, aucun indice, aucune trace, impossible d'identifier la victime et par conséquent, l'assassin. La piste belge est évoquée mais ne mène nulle part. Jusqu'à ce que de l'autre côté de la frontière, le tronc d'une femme soit également découvert dans un cours d'eau. Le morceau de corps est dépecé et les aréoles sont absentes, découpées avec soin. Commence alors une enquête qui marquera les esprits de tous. Particulièrement celui de Mélanie Penning, en poste à la Criminelle depuis un an. Repartie de zéro après la fin brutale de son mariage, l'enquêtrice subit de plein fouet les images insoutenables inhérentes à sa nouvelle fonction. Seule femme aux homicides, elle a tout à prouver et ne compte pas laisser ce prédateur continuer à faire son marché dans le monde de la nuit. Là où sa jeune sœur a ses habitudes.

Avec un pitch pareil, vous l’avez bien compris, il m’était impossible de ne pas découvrir ce roman !



Connaissant cette célèbre affaire que de nom, j’ai fortement résisté à la tentation d’aller faire des cherches sur google durant ma lecture et bien m’en a pris car le « plaisir » de suivre cette histoire est bien évidemment lié à la découverte les différentes étapes de l’enquête.



L’auteur propose une version romancée de cette affaire et non un texte en mode « True crime ». En effet, nous allons être dans la tête du tueur (les meilleurs chapitres) mais aussi dans celle de Mélanie, enquêtrice, qui va se retrouver confrontée à de nombreux obstacles inhérents à sa condition de femme (certains passages m’ont frisé les moustaches 😤). Ce personnage est très intéressant et son évolution est saisissante.



Chapitres hyper courts, plume ultra efficace donnent beaucoup de rythme et une montée en tension explosive. Le roman se dévore même si les 100 premières pages ont été un peu difficiles du fait des nombreux personnages qui apparaissent dans le récit.



𝐄𝐧 𝐁𝐫𝐞𝐟 :



Le réalisme du récit, le rythme trépident et les détails bien sanglants (même si je m’attendais à plus de gore) ont rendu l’histoire du dépeceur de Mons carrément addictive malgré l’effroi que suscite cette affaire.

Une construction psychologique intéressante du tueur et de l’enquêtrice ont rendu l’ensemble marquant.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Pour son second roman, Jack Jakoli s’est inspiré d’un fait divers qui a eu lieu en Belgique dans les années 1990, où des parties de corps féminins ont été retrouvés dans les alentours de Mons. Le coupable de cette boucherie n’a jamais été inquiété jusqu’à maintenant.



Pour La détresse des roses, l’auteur a transformé ce fait divers macabre en thriller cohérent et captivant. Certaines scènes sont trash, et même pour moi qui suis habituée aux romans les plus noirs, j’ai dû parfois faire une pause pour les digérer. Malgré tout, ce polar a un goût de reviens-y et malgré les horreurs qui s’y déroulent, on ne peut s’empêcher de tourner les pages pour savoir comment l’enquête va avancer, qui sera la prochaine victime.



Les chapitres de La détresse des roses sont courts, ce qui les rend percutants et cela apporte une atmosphère des plus tendues. A chaque chapitre son lot de révélations, surprises, retournements de situation. Il n’y a pas de temps morts. Je recommande pour les lecteurs avertis.
Lien : https://desplumesetdeslivres..

Quelle claque ce roman!

Du grand art!

C'était une lecture très immersive. J'ai vécu au sein de la brigade et j'ai frémi devant les horreurs de ce serial killer.

L'auteur, en plus d'être un auteur de talent et aussi membre de la crime, d'où la sensation de réalité qui transparaît derrière ses mots.

On vit pleinement avec Mélanie et ses coéquipiers lancés dans une traque d'un dangereux psychopathe. Mais pas que, car les crimes ne s'arrêtent pas quand une enquête est en cours.

Plusieurs affaires vont alors occuper nos enquêteurs.

Mais l'affaire principale, tirée d'une histoire vraie, est angoissante et terrifiante.

C'est tout ce qu'on aime dans un thriller, avouez-le !

Donc question émotion, vous allez être servi.

Et un suspense et des révélations que je n'ai pas vu venir m'ont empêché de lâcher ce roman une fois commencé.

Un mot sur l'héroïne, Mélanie : seule femme de sa brigade qui doit batailler pour gagner le respect de ses pairs. Une femme forte qui fonctionne à l'instinct. Un personnage bien travaillé qui participe à la réussite du roman.

Si vous avez un thriller à lire absolument, je vous conseille celui-ci.

C'est parti pour le marathon fsn

Une découverte de l'auteur. Un des plus adorable du salon.



Attention âmes sensibles s'abstenir, un turn page qui se devore

Très réaliste, et ça fait peur . Ce monde devient fou

la scène de violence sur le gosse m'a grave marqué et va me marquer longtemps. J'avais envie de fracasser le coupable direct.

Un petit clin d'œil à hannibal, seven, dexter

Une bo extra

Bravo pour ce livre. Englouti en 3 jours, vive les derniers jours de vacances

Hâte de lire ton 1er et les suivants

Continue d'écrire

Tu fais un travail formidable

L'histoire s'inspire de faits réels que Jack Jakoli réinvente. L'auteur nous plonge dans la psyché sombre d'un tueur en série qui justifie ses actes avec des motivations qu'il estime légitimes.



Le récit alterne entre différents points de vue, mais ce sont les passages du serial-killer qui captivent le plus. Ils nous permettent de comprendre sa logique, son évolution et ses intentions, nous aidant ainsi à le cerner. Les informations sont distillées progressivement, permettant de reconstituer peu à peu le schéma final, bien que j'aurais souhaité en savoir davantage.



Ce thriller soulève également des questions sur la difficulté de concilier la vie personnelle et la vie professionnelle dans un métier tel que celui de représentant des forces de l'ordre, mettant en lumière la perméabilité entre les deux mondes.



Mélanie, l'enquêtrice, doit prouver sa compétence tout en intégrant une équipe majoritairement masculine, faisant face à des remarques misogynes et à des défis personnels.



Cependant, l'abondance de personnages et de détails, parfois superflus, limite l'attachement aux personnages. Malgré cela, la lecture a été agréable, bien que j'aie l'impression d'avoir peut-être manqué certains éléments, laissant la fin un peu énigmatique.



Petit plus, j'ai apprécié la bande originale de ce livre.

Belle découverte avec entre le paradis et l'enfer de Jack Jakoli.

Ce thriller commence par une scène très glauque et gore, la mise à mort d'une femme filmée pour le darknet.

Elle sera repêchée dans une rivière et l'enquête va débuter. Le coupable est vitre trouvé, même s'il nie les faits, et on suit les années qu'il passe en prison.

Mais à sa sortie de prison, le doute revient sur sa culpabilité et on va comprendre que ce n'est pas aussi simple que ça.

Un roman intéressant, sans temps mort mais âmes sensibles s'abstenir !

Basé sur une histoire vraie, Jack JaKoli nous livre un roman époustouflant. Pour les amateurs de sensations fortes, des histoires complexes, d' un tueur en série sans états d'âme, un dépeceur qui sème les morceaux des corps, par ci par là, ce livre est fait pour vous.

Une thématique totalement maitrisée. la psychologie des personnages est décortiquée avec minutie, donnant du piment au récit. Le coté réaliste de l'histoire est vraiment mis en valeur, laissant une petite place au coté fiction. Un récit terrifiant, démoniaque, terrifiant , machiavélique, nous sommes immergés dans l'univers glaçant, glauque , nuits blanches et frissons garantis. Une histoire à multiples rebondissements aucun temps mort, un rythme intense, un suspens insoutenable, une intrigue haletante. L'auteur ne laisse au hasard tout à son importance, il sait utiliser les mots, les placer là où il faut.

Nous sommes happés, sans difficulté ,dés le début jusqu'au twist final, une fin explosive et inattendue. La plume de l'auteur est fluide, subtile et percutante, entrainant une lecture addictive .Un roman qui nous prend aux tripes, impossible de ressortir indemne d'une telle histoire.

Un excellent moment de lecture, un véritable coup de cœur, que je vous recommande vivement.

Une personne a trouvé cela utile

J’ai adoré !



J’ai beaucoup aimé l’écriture directe et fluide. La construction est très intéressante avec une super mise en abyme. Et on suit en parallèle l’enquête et le prédateur.



Ce livre est addictif grâce à l’histoire et aux chapitres courts. Difficile de le poser tant qu’il n’est pas terminé ! Et quelle fin 😱



C’est vraiment glaçant par moments. Âmes sensibles, s’abstenir ! Mais si vous aimez les thrillers, foncez !


Lien : https://www.instagram.com/p/..

Depuis le temps que ce roman me faisait de l'œil, je suis ravie de l'avoir sorti de ma PAL. L'occasion s'y prêtait à merveille, puisqu'il est sélectionné pour le prix du Festival Sans Nom et que j'ai la chance de faire partie du Jury. :)



J'ai adoré ce thriller. Vous n'êtes peut-être pas sans savoir que ce roman est inspiré de faits réels. Jack Jakoli a su nous créer des éléments fictifs marquants et singuliers. Tout cela a donné un beau mélange. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas lu une "vraie" enquête policière et je me rends compte que c'est ce que j'aime le plus dans la littérature noire.



Nous nous trouvons aux côtés de Mélanie Penning, fraîchement divorcée et intégrée à la Crim dans la ville de Montiry, en Belgique. L'histoire se passe entre 1996 et 1997, donc imaginez le caractère qu'il faut avoir pour se faire une place en tant que femme à la Police. Bref, j'ai beaucoup aimé ce personnage. Elle est déterminée et ne se laisse pas faire.



L'équipe va enquêter sur une affaire de meurtres sordides, suite à la découverte de morceaux humains.

L'intrigue est menée d'une main de maître. Elle prend son temps, tout en étant ultra addictive. J'avais déjà adoré "Entre le Paradis et l'Enfer", ici on est même un ton encore au dessus.



J'avais des attentes concernant ce roman et elles ont toutes été largement atteintes ! Je pense que j'ai frôlé le coup de cœur. Et cette fin, mais cette fin

Un joli titre, une couverture colorée et attirante ... mais la poésie s'arrête là. L'auteur nous plonge dans un univers sombre, effroyable et macabre. Ce thriller s'appuie sur des faits réels et morbides (Le dépeceur de Mons qui a sévit dans cette région belge entre 1993 et 2001) tout en respectant les victimes et leurs proches en y mêlant de la fiction.

Jack Jacoli est enquêteur à la Police Criminelle, ,la vraie vie l'inspire et il s'y connait, ce qui rend sa plume percutante et acérée, le récit et le descriptif sont parfaitement maîtrisés, et la fin est explosive.

!! Âmes sensibles s'abstenir: les scènes macabres sont décrites dans le détail,



Instagram: visionbykri

Enquêteur à la section Homicides de la Police fédérale belge, Jack Jakoli a bien évidemment entendu parler d’une des célèbres affaires criminelles qui a défrayé la chronique en 1996, celle du Dépeceur de Mons. Sous couvert de son métier d’écrivain, il a choisi d’en relater les moindres détails sous la forme d’un roman, qui se déroule notamment dans la ville imaginaire de Montiry, en Belgique.



La détresse des roses nous plonge dans la tête du meurtrier, qui prépare ses futures opérations consciencieusement et sans aucun remords. Il choisit des femmes en difficulté, les tue, les démembre et dépose les morceaux de corps dans des endroits variés. Glaçant!



Et, dans une sorte de jeu de cache-cache entre le dépeceur et la police, on suit les enquêteurs, qui ont toujours un temps de retard, recoupent les informations, collaborent par-delà les frontières pour tenter de confronter celui qui provoque la psychose dans la région. Une policière se trouve particulièrement sur le devant de la scène, Mélanie Penning, seule femme dans une équipe exclusivement masculine.



La suite à lire sur le blog
Lien : https://carnetdelecture1.wor..