Jack Jakoli

{LECTURE 2023/41} La détresse des roses de Jack Jakoli aux éditions Hugo Thriller.



Belgique, 1996. Montiry. Mélanie Penning est en poste à la Crim depuis un an. La seule femme aux homicides. Un prédateur dispose des fragments de femmes ça et là comme on expose des sculptures. Il les traque dans le monde de la nuit avant de les tuer. Il finit en les dépeçant.



Ce polar, inspiré de faits réels de la fin des années 90 avec le dépeceur de Mons, fait aussi référence à d'autres crimes marquants. L'auteur est aussi enquêteur à la Crim de Mons. (🇧 un peu de chauvinisme ne fait pas de tort)



A l'inverse des polars, on est ici plongé dans une brigade qui certes cherche à démasquer ce tueur en série mais qui a aussi d'autres enquêtes sur le feu. Cela peut être perturbant mais en même temps c'est ce qui donne ce réalisme à l'histoire.

De plus, l'écriture addictive et visuelle permet une immersion totale dans cette section criminelle. On alterne entre point de vue des enquêteurs et du tueur. Pas le moindre temps morts, on se sent à bout de souffle comme Mélanie. Les personnages sont créés et décrits avec minutie, sans faire abstraction du côté le plus sombre de l'humain.



Bref, un thriller à la fois addictif, glauque et immersif. Un immense coup de coeur pour moi!



Et vous, vous l'avez lu?

Merci à @netgalleyfrance et @hugothriller pour ce service presse.



🌹 Magistral !



🌹 Partir d'un fait réel (le dépeceur de Mons) pour écrire un thriller très romancé (en respectant ainsi les victimes et leur famille) était un pari risqué. Mais @jackjakoli l'a relevé haut la main !



🌹 Grâce à une écriture visuelle voire cinématographique, on suit les personnages dans l'avancée de leur enquête et on entre aussi dans la tête d'un tueur en série (qui aime mutiler les femmes d'où certaines scènes très glauques) 😱



🌹 Le rythme est sans temps mort, la plume directe et affirmée, la psychologie des personnages est très travaillée (profondeur et justesse), la construction est redoutable.



🌹Tout ceci concourt à faire de ce roman un polar ultra réaliste et terrifiant. (Et quelle fin surprenante !)



🌹J'ai particulièrement apprécié le personnage de Mélanie, l'enquêtrice qui peine à trouver sa place, et les prises de tête et de bec chez les gendarmes.



🌹Une intrigue originale, une réussite totale qui s'inspire d'un tueur qui n'a jamais été identifié !



🌹 L'avez-vous lu ? Ou d'autres romans de cet auteur ?



🌹 Belle lecture 😊

Les tuer après avoir abusé d'elles ne lui suffit pas. C'est en les dépeçant qu'il accède à la plus grande jouissance. Et parce qu'il est fier de lui,fier de son pouvoir sur ces femmes, il faut que le monde sache . Alors il expose son œuvre, en disséminant des fragments. Ici un tronc ,là un bassin,ailleurs une tête. Des deux côtés de la frontière franco-belge débute une enquête qui marquera les esprits. Particulièrement celui de Mélanie Penning, en poste à la crim depuis un an. Seule femme aux homicides, elle a tout à prouver et ne compte pas laisser ce prédateur continuer à faire son marché dans le monde de la nuit. Là où sa jeune sœur a ses habitudes. Histoire inspirée de faits réels . L' histoire est très bien construite, l'écriture est immersive, on rentre dans l' histoire ,et si comme moi on connaît bien Mons ( j' y ai fait mes études) ,l'immersion est totale . J ' adore la manière dont les personnages sont décrits, cela les rend très humains ou inhumains pour certains. Il y a des scènes très très violentes ,dont une qui m' a particulièrement secouée (la destructionde l'innocence)et le plus horrible de l' histoire c' est que cela se passe régulièrement . Avec ce livre Jack Jakoli nous emmène dans son quotidien d'enquêteur à la police judiciaire de Mons . Nous fait découvrir la misère de certaines personnes, ceux pour qui le monde de la nuit n'évoque pas la détente et la fête, mais plus tôt le désespoir et l ' oubli , ce qui font d'elles des victimes toute trouvées pour les prédateurs.

Dès la première page, le ton est donné puisqu'on assiste à un véritable carnage, j'ai compris que ce n'allait pas être une lecture de tout repos et lorsque l'on sait que c'est tiré de faits réels, c'est encore plus angoissant !



L'intrigue est prenante et les questions nombreuses, si j'avais deviné certaines révélations, d'autres ont été de véritables surprises. Prenant, le récit est addictif et se dévore rapidement.



La psychologie des personnages est développée, tous ont une part sombre qui finit par se révéler et ça fait des dégâts. Loin d'être caricaturaux, j'ai aimé certains, détestés d'autres, une chose est sûr, ils ne laissent pas indifférents. L'auteur nous plonge dans la noirceur humaine, là où les Hommes n'ont aucune limite dans le sadisme...



Attention, au premier chapitre, alors qu'il m'en faut beaucoup pour être choqué, ici, j'ai trouvé la scène à la limite du supportable. Pour lecteurs avertis donc.



Alors que le thème du dark web est survolé, j'aurais aimé qu'il soit plus approfondi, mais cela n'a en rien gâché mon plaisir.



En bref, c'est une belle découverte que je vous conseille, ! Pour ma part, il ne me reste plus qu'à découvrir le petit nouveau de l'auteur.




Lien : https://onparlelecture.wordp..

Basé sur des faits réels, mais je ne sais pas lesquels, Jack Jakoli, policier à la Pol Fed section criminelle, nous plonge dans un thriller cruel mais actuel qui démontre que l'humain n'a plus de limites pour arriver à obtenir toujours plus de plaisir, à considérer que la notion du plaisir ne soit évidemment pas la même pour tout le monde. Sans compter l'esprit de vengeance qui reste toujours très humain mais tellement démoniaque pour certains.

Si en plus, vous tombez sur un riche arriviste sans scrupules et sans limites alors on arrive très vite à dépasser l'entendement.

Je tiens à souligner que ce livre n'est pas fait pour les âmes sensibles, certaines scènes pourraient vous faire cauchemarder quelques nuits.

Avec une plume tout aussi percutante que dans La Catabase, on se retrouve immédiatement immergés dans les bas-fonds de l'horreur et de la noirceur humaine. Ce titre, ce n'est pas seulement une enquête, ce ne sont pas uniquement des crimes atroces, il y a à l'intérieur de ce thriller bien plus que ça. Et grâce à un scénario magistral, une construction impeccable et une écriture qui fait exploser les émotions, j'ai passé un moment fort avec ce roman, que je ne suis pas prête d'oublier.

ATTENTION, CECI N'EST PAS UNE HISTOIRE D'AMOUR !

Eh oui, ce n'est pas parce qu'il y a des roses sur la couverture que ça parle d'amour. Quoique, en fait, si un peu. Mais un amour... déviant.



Jack nous livre ici un thriller basé sur des faits réels (le dépeceur de Mons). Où est la limite entre le réel et le romancé ? Je ne suis pas sûre de vouloir le savoir. J'ai déjà été assez bousculée pendant ma lecture alors savoir la part de vrai, non merci !

Heureusement, Jack a su utiliser l'humour avec intelligence et en doser là où il en fallait. Ce n'est pas négligeable et même plutôt bienvenu.



Si La catabase était déjà très bon, La détresse des roses est juste excellent. Je l'ai dévoré en une aprem et 2 soirées. Sorry Jack, pas de 3ème soirée avec toi 🤷 (sauf avec le 3ème !)

Il faut dire que ces roses sont enivrantes. Avec des chapitres courts et un style qui s'affirme, tout ce qu'on veut, c'est y retourner et savoir le fin mot de l'histoire.

La flic va-t-elle réussir à pincer le dépeceur ? Qui va perdre la boule en premier ? Moi, assurément ! Parce que la finesse de la psychologie des personnages est bien là. Aiguisée au couteau (ou à la scie, c'est comme vous voulez).



Je me suis bien fait balader hein, je dois l'avouer. J'étais sûre de certaines choses. Et pis non. Jack suggère et moi, j'y fonce ! Jack construit habilement et moi, j'y entre... Jack nous conte une histoire vraie et moi, j'adore !

Un petit bonbon à déguster, attention, il n'est pas acidulé et ressemble plutôt à une pilule amère. Cette nouvelle se dévore le temps d'un trajet en transport en commun ou plutôt le temps d'un vol vers New York dans la peau d'un écrivain célèbre. Auteur en proie à des turpitudes face à d'âpres négociations pour l'adaptation de son dernier best seller. Imaginez que votre voisin de siège engage la conversation et commence sérieusement à vous inquiéter car il ne semble pas là par hasard…





Avec cet opuscule de 5000 mots, il faut savoir être efficace et Jack en a tiré le meilleur parti. Il vous retourne le cerveau tout en vous envoyant en l'air. Un indéniable côté belge plane sur ce récit avec notamment un humour comme seul ce pays est capable.

Pas de longues descriptions évidemment, les décors sont rapidement plantés et on évolue quasi dans un huis clos, quelques mots rapides pour définir les personnalités, on en vient à l'essentiel : raconter une histoire. Mais ce n'est pas pour cela que c'est traité à la va-vite, on sent le cheminement méthodique de l'un des protagonistes. Les marqueurs sont présents pour faire frissonner le liseur.





Avec un style vif, fluide, rythmé qui m'a tellement embarqué que j'ai trouvé la durée du voyage beaucoup trop courte. Non, pas de frustration quant à une fin trop brusque mais une envie irrésistible d'en avoir plus pour prolonger encore ce moment de lecture plaisir.

En bref, âmes sensibles s'abstenir pour ce thriller qui reste finalement très en surface du Darkweb...

Cette lecture a été de vraies montagnes russes émotionnelles pour moi : entre curiosité de lire un thriller inspiré de faits réels, enthousiasme de voir que l'auteur a travaillé dans le monde judiciaire puis dégoût de ce premier chapitre et frustration de ne pas approfondir certains passages, certains personnages. Ce roman ne laissera certainement pas indifférent. [...]
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Dans les profondeurs de ce que peut montrer l’être humain…



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous embarque dans une nouvelle sélection du #PAI 2019 dans la catégorie noire. Un polar assez sombre qui nous transporte dans les horreurs surprenantes que certains êtres humains peuvent imaginer !

Je tiens à remercier Julie Perrier et Virginie Winke pour l’organisation de ce prix.



Une cave, une femme allongée sur la table en inox, un homme avec un masque de porc il attend un virement, un ordre de mission en quelque sorte pour commencer son œuvre…

Nous sommes en Belgique en 2006. Un promeneur découvre un cadavre de femme, véritablement mutilé ! Matt, un jeune flic qui a déjà eu une vie auparavant dans son corps de métier a choisi de se mettre au vert ici. Avec son collègue, (plus vieux et qui pense être plus aguerrit) vont sur les lieux de repêchage. Une mise au point s’impose. Un crime d’une violence et d’une cruauté sans nom ! Qui est cette femme ? Qui lui a fait ça ?

L’information circule dans les journaux papiers, télévisuels, etc. Son mari la reconnait et débarque au commissariat… Un suspect sort rapidement du lot, le facteur ! Un jeune crétin aux hormones en feu qui n’a pas su tenir sa place… A partir de là, les portes de l’enfer s’ouvrent et advienne que pourra !



Les malversations de certains, les ficelles tiraient pour d’autres, les pantins déplacés et utilisés… Les secrets de certaines sphères, le dark web et les limbes de l’âmes humaines jouent de concert pour nous faire découvrir une facette dérangeante voir perturbante !



Les Loulous, on plonge dans une lecture singulière, c’est le mot ! Tirée de faits réels, cette histoire nous fait nous poser des questions ! L’Homme est capable du meilleur comme du pire ! Jack Jakoli a réussi à surprendre la lectrice que je suis. Et je dois avouer que j’aime être surprise ! D’ailleurs le Bibou aussi. Alors en effet, on rencontre des fausses notes et on garde quelques questions en suspens, sans réponses et je crois que c’est qui me dérange le plus ici.



Après un départ en fanfare, quelques accrocs à droite à gauche et puis le fil de l’histoire nous accroche et on est parti avec ce jeune facteur ! Ce suspect de la première heure. Il doit croupir en taule c’est une évidence pour beaucoup ! On suit avec ferveur, horreur et avidité sa descente en enfer dans les couloirs de la justice, entre les murs de la prison…

On suit ce mari, ce père et sa petite qui ont perdu une femme, une mère… Ce jeune flic qui malgré son âge a déjà un passé bien plein.



On suit cette histoire avec étonnement, avec les sourcils froncés parce que le cerveau est en ébullition. On se doute de certaine chose. L’auteur nous introduit des pièces d’un puzzle mené tambour battant. L’écriture est assez fluide et les twists sont relativement judicieux.

On s’attache à certains personnages, les descriptions de certains passages sont glaçantes et habile. Mais, mais, mais, je pense que c’est un premier roman et que certaines tournures auraient pu être encore mieux menées pour être explosives.



Alors Mes Loulous, je suis assez convaincu par ce livre, en plus tiré de faits réels ! L’auteur nous montre quelques fausses notes, mais globalement c’est un bon livre. On tourne les pages rapidement, bien que certains accrocs soient présents.



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous invite à découvrir la plume de Jack Jakoli dans « La catabase ». Un thriller déroutants, tiré de faits réels qui nous glace, nous percute. Quelques petits défauts subsistent, mais un auteur très prometteur qui nous fait découvrir ses qualités de plume ;)
Lien : https://linstantdeslecteurs...

alerte coup de coeur ! je suis ... comment dire ? Chamboulée ? Retournée ? L'impression d'être passée dans une machine à laver ? Ce qui fait froid dans le dos, c'est de savoir que c'est tiré de faits réels ... je ne veux même pas savoir ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas ... je préfère me dire que des monstres pareils n'existent pas et que (presque) tout est inventé ...

Que dire, à part que c’est réellement un très bon livre : l’auteur nous embarque dans une enquête beaucoup plus complexe qu’il n’y parait et qui nous réserve plein de surprises !!! Une histoire bien écrite qu’on ne veut pas lâcher et qui nous tient en haleine jusqu’au dernier mot (si, si !!!)

Et quand on sait que l’auteur s’est basé sur des faits réels, ça fait froid dans le dos !!!



Une lecture que je vous recommande vraiment !!! 🤗

Comme il est dur de faire un retour objectif à un auteur qu’on apprécie personnellement.



Il s’agit d’un premier roman, et certains aspects en sont la preuve: la syntaxe n’est pas toujours correcte, l’orthographe non plus, et il y a certaines facilités prises dans la construction (le coupable est rapidement trouvé et personne ne remet les preuves en question, pourtant grosses comme des maisons, pour que finalement tous se réveillent 12 ans après devant l’évidence). Cependant, je ne m’y suis pas arrêtée plus que de raison et j’ai essayé de me concentrer sur le fond plutôt que la forme.



En résumé, j’ai adoré cette lecture, l’histoire m’a captivée du début à la fin; le rythme ne perd pas en intensité, les révélations sont nombreuses et régulières, et les motivations de La Catabase - bien qu’étant régulièrement exploitées - tiennent la route.

Mais pour moi, il aurait fallu une centaine de pages en plus pour apporter un peu plus de profondeur et de relief aux différents protagonistes et à leurs relations :

Le développement du lien entre la vieille voisine des Wagner et Lexie, le passé de Matt, les raisons des changements de ligne de conduite de la juge en charge de l’affaire…



Un premier roman extrêmement prometteur. Pour avoir déjà lu « La Détresse des Roses », son deuxième roman, je sais que tous les points négatifs que je mets en exergue ici ont été balayés, preuve que l’écriture de @jackjakoli s’est affinée et qu’avec une relecture et des corrections, il s’approche de la perfection.

Mille feuille, "La détresse des roses" superpose les intrigues pour former un tout cohérent, mais un peu fade. C'est le genre de livre où chaque bouchée est agréable, mais où, une fois terminé, on est pas transcendé.



Pourtant, il y a de chouettes choses dans ce bouquin. L'écriture de l'auteur est incisive, piquante et terriblement efficace. Y'a des petites répliques sarcastiques qui nous font sourire pendant que le récit nous plonge dans l'horreur. L'ambiance misogyne des années 90 et parfaitement retranscrite et la dynamique des personnages principaux est très agréable à suivre. Les détails spécifiques au milieu judiciaires ont été très appréciés, les références et les allusions à la Belgique m'ont fait sourire. Hâte de me bouffer une mitraillette ce soir. Pardon, je m'égare.



La multitude de personnages peut, souvent, prêter à confusion. Surtout que l'auteur nous embrouille avec des statuts et des petits sobriquets, comme si retenir le nom du cinquième flic du récit n'était pas assez compliqué. Mais l'auteur joue avec nous comme le meurtrier joue avec ses victimes. Il nous déboussole et nous déstabilise pour nous emmener là où il souhaite. Cela aurait été réussi si je n'avais pas trouvé ça profondément agaçant de relire plusieurs fois certains passages pour capter de qui on parle. Y' trop de sauce andalouse dans mon routier, m'sieur.



Même si j'ai pris plaisir à chaque bouchée, j'ai tout de même ressenti quelques longueurs. Le professionnalisme de l'auteur pour son premier métier est palpable, mais parfois, le récit semble imperméable aux émotions et aux sentiments. Tel un procès verbal, les faits sont ennoncés, parfois au point où, des questions demeurent sans réponses.



En bref, j'ai apprécié la plume de l'auteur, les intrigues (dont la principale est basée sur des faits reels), mais moins toutes les fioritures qu'il y a autour. J'ai pas compris certains choix de l'auteur, un peu comme ces gens qui mettent de la salade dans leur pain-frites, ça n'avait pas d'intérêt.



J'ai cependant hâte de découvrir d'autres romans de monsieur Jakoli, je sens qu'il peut me surprendre.



Ah oui, encore une chose, j'ai adoré la fin. C'était smart.

Soyez accrochés, car le premier chapitre risque de vous lever le cœur. Et je crois qu’il a pris encore plus d’impact quand l’auteur m’a annoncé qu’il avait, vu de ses propres yeux, ces images, en vidéo. Quand la fiction devient réalité, la lecture devient bien plus intense.



Le récit reste plutôt classique, mais n’empêche pas un excellent moment de lecture. On flirte avec les noirceurs du Dark Web, les politiciens véreux, les plaisirs atroces que certains aiment partager, pratiquer… mais qui révulsent quelqu’un de normalement constitué. En soit, des thèmes déjà mis en lumière mais qui ne lassent pas.



Le roman est court, dynamique, ça ne traine pas en longueurs et cela nous permet d’arriver très vite sur un final qui secoue. Le roman se termine comme il a commencé : en nous choquant, en nous remuant…



C’est donc une excellente découverte de mon côté et il me tarde d’ailleurs de poursuivre ma découverte de l’auteur.

Suite à la découverte d'un corps cruellement mutilé, deux flics sont chargés d'enquêter sur le meurtre pour lequel un coupable est vite trouvé. Ils vont pourtant se rendre compte qu'ils sont au centre d'une machination qui les dépasse..



Une intrigue basée sur des faits réels et qui m'a happée jusqu'à son dénouement.

Dès le premier chapitre, on est plongé dans une ambiance glauque et on assiste à une scène d'une violence inouïe.. peut-être que le fait d'être une femme, comme ce personnage qui subit ces atrocités, fait que ce passage m'a particulièrement marquée.



Ce roman réunit tout ce que j'aime en matière de thriller. L'histoire est incroyablement addictive, impossible à lâcher. Je me suis attachée à un personnage en particulier, je suis passée par plusieurs émotions grâce à de multiples révélations ..

Ce polar a été un gros coup de cœur, une pépite que je vous recommande !

Hello les Amis, et si on parlait un peu de l'excellent roman "La Détresse des Roses" de Jack Jakoli .



Coup de ❤️ pour moi



Alors tout d'abord c'est du belge...que dis-je c'est du très bon belge 🤣



Nous voici replongés dans les années les plus sombres de la Belgique, quelques années en arrière quand le dépeceur de Mons a défrayé la chronique belge en parsemant ses petits sacs poubelle un peu partout dans la ville du Doudou... et que nos chères petites J et M ont été retrouvées mortes chez ce salopard que je ne nommerai même pas ce serait lui faire trop d'honneur ... de très mauvais souvenirs tout cela pour toute la Belgique...



Cette enquête n'étant toujours pas clôturée, le dépeceur court toujours, l'auteur du roman a donc dû prendre certaines précautions en modifiant les noms, les lieux etc ce qui n'enlève rien à la rudesse et à l'intensité du récit.



Nous allons suivre pas à pas l'enquête de la BSR de Mons, croisée à celle de leurs confrères du Nord de la France.



La découverte d'un torse dans la Flumen suivie d'un tronc de femme à quelques semaines d'intervalles, l'un en France, l'autre en Belgique et tout va débuter sur les chapeaux de roue.



Au vu des similitudes, tout porte à croire que nous avons affaire au même tueur.

Les 2 pays vont devoir mettre en commun leurs dossiers, leurs forces vives afin de dénouer cette enquête compliquée...

Aucun témoin, aucun indices, même l'identité des "cadavres" est difficile à définir avec le peu de "matière" que le tueur à laissé aux enquêteurs.



Un roman qui se lit d'une traite, qui nous jette en apnée dans les méandres de la folie humaine.



Jack est Inspecteur à la PJ de Mons, il sait de quoi il parle, il côtoie tous les jours les monstruosités dont certains humains sont capables comme l'histoire en parallèle de ce petit Nicolas, maltraité par ce "beau-père" complètement ravagé..



Évidemment on aimerait que le dépeceur ait terminé sa course au fond d une cellule ou mieux encore au fond d un sac poubelle comme ses victimes mais jusque là ce n est qu'un rêve...



Très bon moment lecture avec un auteur de talent dont la plume délicate, vive, vous entraîne jusqu'au bout de la nuit...et jusqu'au jour de l'horreur...

Âmes sensibles s’abstenir…



L’histoire ? Un serial-killer enlève des femmes, les tue, les découpe en morceaux qu’il dissémine dans la ville… La police belge essaie de le coincer…



Un polar sombre efficace qui ne fait pas dans la dentelle. Aussitôt commencé, aussitôt fini. L’intrigue n’est pas originale mais Jack Jakoli nous montre une fois de plus qu’il connaît bien la réalité du terrain et les mœurs terrifiantes de certains criminels.

Quand on sait qu’il s’est inspiré d’une affaire réelle, on frémit…

Si vous êtes une femme, célibataire, si vous faites des rencontres dans les bars, évitez ce roman ou vous ne sortirez plus.

Roman inspiré de l’histoire vraie du « Dépeceur de Mons », l’un des pires tueurs en série que la Belgique ait connus. Qui dit histoire vraie, dit qu’il faut avoir le cœur bien accroché car certaines scènes pourraient choquer les plus sensibles!



Pour ma part, j’ai adoré ce polar bien ficelé. Le fait de se dire que c’est inspiré de faits réels, ajoute une petite dose d’angoisse et de tension au récit.



Nous allons suivre Mélanie Penning et son équipe sur l’enquête du « Boucher » afin de mettre hors service ce tueur qui sévit à Montiry (nom d’emprunt en pensée aux familles des victimes réelles).



La plume de l’auteur est fluide, visuelle (très visuelle 😂), addictive et percutante.



Il aime jouer avec notre santé mentale et aime nous retourner le cerveau. Quand on pense être sur une piste, tout est à recommencer. Beaucoup de suspects sont apparus dans mon petit cerveau 😅



Les chapitres courts apportent un rythme effréné et aucun temps morts. Nous baignons donc dans une atmosphère lourde, oppressante, angoissante.



J’ai donc littéralement été happée par cette histoire angoissante, écrite avec une plume visuelle et addictive.



Maintenant j’ai juste hâte de sortir de ma PAL son autre roman « Entre le paradis et l’enfer ».
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Un peu mitigé à lecture du roman.

Etant un enfant de la balle (j'allais à l'école à Mons lorsque le dépeceur a sévi), je n'ai pas retrouvé l'ancrage géographique du récit (choix expliqué par l'auteur en préface). Au-delà de cela, il est indéniable de constater l'efficacité du roman avec ses chapitres courts alternant point de vue policier et celui du meurtrier. Peut-être un peu trop "à l'américaine" pour un auteur belge ?



Dès le début le lecteur doit s'accrocher tant la violence s'abat dès les premières pages. Puis viens la caractérisation réussie de l’enquêtrice meurtrie et du tueur ne pouvant s'abandonner à ses pulsions.



Le rythme ne faiblit jamais jusqu'à une résolution qui vogue sur une révélation inattendue. L'auteur va jusqu'au bout de la réécriture de ce fait divers sanglant en lui donnant un épilogue que la véritable enquête n'a toujours pas trouvé près de 30 ans après les faits....