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Critiques de Jacquelyn Mitchard (36)
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Aussi fort que l'amour

Une forte tempête de neige sévit alors que Théa retrouve son fils de 20 ans, Stefan. L’image pourrait être idyllique s’il ne s’agissait pas de la sortie de prison du jeune homme, inculpé pour meurtre. Stefan est en effet accusé d’avoir tué son ancienne petite amie, Belinda, trois ans plus tôt.



Cette soirée, Thea préférerait l’oublier. Elle visualise encore Stefan, totalement drogué, un club de golf couvert de sang et de cheveux à ses côtés et le corps de Belinda, son crâne fracassé. Après un séjour à l’hôpital, Stefan avait été rapidement désigné coupable. Malgré tout, Théa continue de penser qu’il est innocent. Ne serait-ce pas ce que toute mère penserait ? Ne voudrait-on pas prouver l’innocence de notre fils à tout prix ?



C’est un récit très ambigu et tellement déstabilisant que livre Jacquelyn Mitchard. Car ici, la parole est donnée à la famille du coupable. On découvre alors un garçon brisé, complètement paumé, qui a l’air tellement innocent. J’avais presque de la peine pour lui, pour toute cette haine infligée par ses voisins. Car le retour chez lui se passe très mal. À sa sortie de prison, Théa et Stefan sont pris en chasse par un véhicule qui faillit les tuer. Leur maison fut aussi vandalisée. Et un individu ne cessait de les poursuivre et de les intimider.



J’oscillais sans cesse entre ressentir de la colère envers celui qui avait commis un meurtre et envers ceux qui le persécutent. Et ce sentiment était très troublant. Car le point de vue de cette histoire est celui d’un tueur. Ce que l’on retient surtout, c’est la rage de cette mère, son dégoût pour ceux qui la tiennent pour responsable et qui la traite comme une paria. Mais surtout sa force. Thea veut se battre pour que son fils retrouve une vie normale. Et là ça nous prend aux tripes car forcément, on ne peut que se dire que l’on agirait comme elle, qu’on se battrait bec et ongles pour son enfant.



On n’imagine pas tout ce qu’une mère peut faire pour son enfant. Et ce n’est pas la fin du récit qui va nous contredire. Je ne m’imaginais pas du tout ce dénouement. Et j’ai été surprise. Très surprise….



Je conseille?



Ce livre m’a vraiment pris aux tripes. Forcément, j’ai trouvé Théa courageuse. Elle se bat pour ce fils en qui elle a foi mais en qui elle doute aussi. Jusqu’à en devenir folle. J’ai été déstabilisée par ce que j’ai ressenti pour Théa et pour Stefan : de la peine et de la colère envers ceux qui les persécutent alors que logiquement on devrait plus penser à la victime et à sa famille.
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Aussi fort que l'amour

Le sujet de ce livre m’a interpellée, celui de l’amour inconditionnel d’une mère, mais la lecture ne m’a pas convaincue.



Dès sa sortie de prison, le jeune Stefan est soutenu par sa mère, son père, tous ses proches et cela malgré les manifestations hostiles à sa libération. La famille reste soudée et malgré les difficultés, Stefan à une idée pour aider à la redemption d’anciens détenus en imaginant des rencontres entre agresseurs et victimes.



Le principal atout de ce livre est la réflexion autour du pardon possible pour les victimes et de la reconstruction des anciens prisonniers.



Par contre l’angle de l’amour maternel n’est pas aussi bien réussi, je n’ai pas ressenti d’émotions en lisant l’histoire de cette mère et son fils. Des longueurs et un rythme trop lent au milieu du roman m’ont déconcentrée et donné envie d’arriver plus vite à la fin.



Une rencontre plutôt ratée avec cette auteure qui a pourtant écrit de gros succès littéraires, peut-être une attente trop grande de ma part. N’hésitez pas à me partager vos avis sur cette lecture.
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Aussi fort que l'amour

Théa est enseignante à l’université, son mari est entraîneur de football (il a du succès et trouve des clubs sans problème). Leur fils Stefan vit avec eux. Une famille idéale mais Stefan est en prison pour avoir tué sa petite amie, Bélinda, sous emprise de la drogue et il ne se souvient de rien. Ses empreintes digitales, sur l’arme du crime, ont suffi à prouver sa culpabilité. Il avait dix-sept ans et voilà que trois ans plus tard, il est libéré et va rentrer chez lui. Mais quand il arrive au domicile de ses parents, une manifestation de l’association « Touche pas à nos filles, créée par la mère de Belinda lui montre que rien ne va être aisé.

Stefan doit se reconstruire, vivre sans celle qu’il aimait, chercher du travail ou reprendre des études, et surtout trouver sa place dans sa famille, dans la société. Ce qu’il a vécu en étant incarcéré l’a marqué à vie et il en a gardé des automatismes. Il ne réagit pas d’une manière « classique » aux bruits, au fait qu’on le touche ou qu’on s’approche de lui. Il souffre de stress post traumatique. Cela complique le quotidien. En plus les entreprises où la réinsertion est possible ne sont pas si disponibles qu’on pourrait l’imaginer.

C’est le long et douloureux parcours de Stefan vers un retour à la normalité que nous allons suivre. Sa Maman le soutient au maximum mais elle est déstabilisée par des appels et messages d’une inconnue qui prétend savoir des choses et qui demande que Stefan se taise. C’est angoissant car la mère de famille ne sait jamais quand ces coups de fil ou textos vont arriver et à chaque fois qu’elle essaie de communiquer en retour, elle n’obtient rien.

C’est Théa qui s’exprime dans ce récit. Elle montre le cheminement des parents, celui de son fils, de la famille élargie, des amis. Elle exprime les craintes, les peurs des uns et des autres. Elle dépeint combien les relations ont changé (elle était amie avec la mère de Belinda et il n’est plus question d’amitié entre elles) et toutes les répercussions et dégâts collatéraux suite à cet acte. Elle est prête à tout pour son enfant et pourtant, quelques fois, on sent qu’elle est mal à l’aise avec ce qu’il a fait. Elle est tiraillée et s’interroge, qu’a-t-elle raté, pourquoi n’a-t-elle rien vu venir ? Qu’il est lourd le poids de la culpabilité….

Les thèmes de ce livre et le fond m’ont beaucoup intéressée et interpellée, me renvoyant des questions du style « qu’aurais-je fait à leur place ? ». Par contre, la forme m’a un peu dérangée. Je n’ai pas trouvé l’écriture très fluide (est-ce dû à la traduction ?), parfois le style m’a paru lourd, dans le sens où pour dire la même chose avec les mêmes mots, la structure de la phrase aurait pu être différente… C’est un peu dommage car je pense que le plaisir de lecture en a été entaché. D’autre part, j’avais deviné qui se cachait sous la capuche et je pense que Théa n’y a pas pensé parce qu’elle était trop préoccupée. Plusieurs fois, elle m’a semblé un brin naïve mais je l’excuse car, sans doute, elle était bien perturbée…

Sur l’ensemble, je dirai que ce recueil manque d’un petit quelque chose pour que je sois totalement conquise. Mais je ne me suis pas ennuyée et je le répète, l’idée de départ est très bonne et les ressentis de chacun sont plutôt bien analysés.




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Aussi fort que l'amour

Aussi profond que l'océan est un film qui m'avait bouleversée (inspiré du roman du même nom de Jacquelyn Mitchard, il vient d'être republié chez Archipoche). Lorsque j'ai vu qu'un livre de l'auteure était publié aux Editions de l'Archipel, je n'ai pas tergiversé bien longtemps avant de le lire.



J'ai eu un coup de cœur pour les personnages et le récit que nous livre Jacquelyn Mitchard. Totalement prise par le récit, révoltée par ce que subit Théia, angoissée par ces mystérieux appels anonymes et les menaces qui lui sont adressée. Aussi fort que l'amour est très addictif et traite sans parti pris le sujet de la réinsertion carcérale.



Si le récit est porté par la voix de Théia, qui nous confie ses difficultés à vivre le retour de son fils à la maison, ses doutes quant à ce qu'elle devrait ressentir ou ce qu'elle pense devoir ressentir vs ce qu'elle ressent vraiment; nous avons également la vision de Stefan qui, après trois ans de prison pour meurtre, tente, tant bien que mal de se reconstruire une vie. Il est beaucoup question de reconstruction, d'acceptation; Stefan s'interroge sur ce qu'il a le droit de vivre, désormais. Il est pétri de remords et cherche un moyen de faire "le bien" autour de lui, plus encore que ce qui peut sembler "normal", car il a des choses à se faire pardonner.



Stefan et sa mère suivent chacun un chemin différent mais subissent tout deux la haine et la méchanceté de tiers : Stefan parce que certains considèrent qu'il n'a pas suffisamment payé sa "dette" ou encore qu'il ne mérite pas de vivre, Théia parce qu'on lui reproche de mal avoir élevé son fils, de ne pas l'avoir suffisamment entouré pour qu'il en arrive à de telles extrémités.



A ces chemins de croix, à l'absence de l'être aimé, à la culpabilité, viennent s'ajouter des appels mystérieux et un homme masqué qui donnent au roman un petit air de thriller. Théia enfile son costume d'enquêtrice pour découvrir ce qu'il s'est réellement passé ce soir là.



J'ai bien aimé l'évolution des regards vis à vis de Stefan, la dichotomie des réflexions et des comportements à l'encontre d'un meurtrier en réinsertion. Les gens s'octroient le droit de juger voire d'exercer la sentence qu'ils trouvent "juste". Jacquelyn Mitchard aborde le sujet avec bienveillance et y pose une réflexion sensée.



Quelque part, il est aussi beaucoup question d'apparence, et l'on constate que les choses peuvent être mal perçues en fonction de la personne qui s'exprime.



Un roman percutant, sensible et sans doute un peu tabou qui se termine d'une manière qu'on avait peut être vu venir, mais qui exacerbe tous les sentiments qui nous ont traversé au cours de la lecture.
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Aussi fort que l'amour

Wisconsin, au Nord des Etats-Unis. Stefan sort de prison après y avoir purgé une peine de trois ans pour le meurtre de sa petite amie, Belinda. Sa mère, Théa, ne l'a jamais abandonné et ce jour-là, elle l'attend pour sa sortie. Ces trois années lui ont paru une éternité. Mais, elle n'a jamais abandonné son fils malgré cette nuit dramatique. Une seule question se pose : comment reprendre une vie normale ? Surtout que cette libération est très médiatisée. L'intimité de la famille se trouve perturbée. Journalistes et associations de défense contre les violences sont présents devant la maison familiale.

Puis, il y a Jill, la mère de Belinda et les membres de son association "Touche pas à nos filles" qui participe également aux manifestations.



Stefan et ses parents, Théa et Jep, vont devoir reprendre le cours de leur vie. Mais, à Black Creek, tout le monde les connaît. Il n'est pas facile de se reconstruire sous les reproches et les regards douteux.



De plus, une mystérieuse jeune femme contacte Théa. Elle dit savoir ce qui c'est réellement passé cette nuit-là.



"Aussi fort que l'amour" est le premier roman de Jacquelyn Mitchard que je lis. L'autrice est connu pour "Aussi profond que l'océan", son premier roman adapté au cinéma en 1999.



Dans son nouveau livre, elle parle de culpabilité, de délivrance et d'amour.



On y suit la famille de Stefan Christiansen. Le sujet abordé concerne sa libération et la manière dont il vit ce moment. Suivent la reprise des habitudes, les remords et le sentiment de ne pas avoir le droit de vivre après avoir commis le pire. Stefan a besoin de trouver un sens à sa vie. Sa reconstruction est essentielle. A-t-il le droit à une seconde chance ? Comment trouver le bonheur ?

Théa doit accepter d'être la mère d'un assassin. La situation est difficile car elle connaissait Belinda depuis toujours. Les familles sont amies de longues date et sont voisines. Elle doit pardonner et lui porter son soutien et son amour.



Stefan ne se souvient de rien. Il sait qu'il a commis l'irréparable mais a tout oublié de cette nuit ce qui est très frustrant pour lui qui n'a jamais été violent. Cette liberté retrouvée lui donne l'idée de créer un programme permettant aux criminels ayant purgé leur peine de réaliser une bonne action envers leurs victimes ou les familles de celles-ci. Le fait d'être en vie et libre doit servir à quelque chose.



A côté de cette reconstruction, on rencontre une jeune femme qui dit s'appeler Esmée. Elle ne communique que par téléphone. Elle semble avoir des informations sur la nuit du drame. Est-il possible qu'un élément ai échappé à tous ?



Dans ce roman, il y a une intrigue mais surtout un drame familial dans lequel sont abordés la liberté, la renaissance et la rédemtion. On y parle de deuil, d'acceptation, de pardon et surtout d'amour maternel.



Une très belle lecture !


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Aussi fort que l'amour

A tout juste 17 ans, Stefan est accusé d’avoir froidement assassiné sa petite amie Belinda lors d’une soirée trop arrosée d’alcool et de drogue. Il est jugé puis envoyé en prison pour meurtre. Trois ans plus tard, il a purgé sa peine et se retrouve libre. Une liberté qui lui pèse, puisqu’il doit réapprendre à vivre, tout en sentant le poids de la culpabilité quotidienne, le regard de jugement et de haine des autres et le soutien fragile de ses parents, qui ne savent plus comment se comporter à son égard. Une épreuve de plus, et pas des moindres, pour retrouver un semblant de normalité.



L’histoire est agréable à lire, le fond est intéressant, néanmoins, il y a de grosses lacunes au niveau de la forme, de l’écriture et du style. Certains chapitres s’étendent en longueurs et en lourdeurs, certains paragraphes sont peu ou pas structurés, au point que l’écriture n’est pas fluide. Je l’ai trouvée également fortement naïve, avec des scènes parfois surréalistes et peu cohérentes, qu’on a du mal à transcrire dans la réalité et à croire. J’en veux pour preuve la condamnation de Stefan, qui a été faite sur une simple déduction, sans preuve accablante, sans témoin, sans jamais que le principal accusé ne vienne contredire les faits : un comble ! Enfin, le suspense n’est pas au rendez-vous, alors que c’est le propre d’un bon polar. On comprend rapidement l’incohérence de la situation et on devine également facilement le dénouement final.



Malgré tout, on peut soulever quelques points positifs notables de ce livre, avec notamment le focus intéressant sur la réinsertion des personnes condamnées, jugées, mises à l’écart de la société. Ce sont des répercussions morales, sociales, professionnelles, pas uniquement sur la personne mise en cause, mais également sur son entourage. Ici, suite à la libération de Stefan, de nombreuses personnes membres d’une association baptisée Touche pas à nos filles, viennent manifester quotidiennement devant le domicile du jeune homme et de ses parents. Ils sont victimes d’effraction et de casse à l’intérieur de leur maison, de dégradation à l’extérieur, ils sont parfois suivis et photographiés à leur insu, peu importe la situation. Enfin, l’image de Stefan est associée à celles de ses parents, qui se retrouvent à devoir des comptes à leurs employeurs, comme sa maman, professeure, priée de quitter momentanément son emploi pour éviter de ternir l’image de l’établissement.



Dans son désir de se faire pardonner ses erreurs, Stefan met en place un programme de réinsertion intéressant permettant aux personnes souffrant de culpabilité pour des erreurs passées, de se racheter. Pour être honnête, je n’ai pas vraiment compris comment fonctionnait concrètement le concept, il n’a d’ailleurs pas été beaucoup développé, mais sur le fond, je trouve que c’était une bonne idée. Chacun peut se sentir coupable de quelque chose. Stefan a assassiné froidement sa petite amie, qu’il aimait du plus profond de son cœur ; la mère de Stefan se sent coupable d’avoir fait une erreur dans l’éducation de son fils, etc.



Un roman sympathique à lire mais qui souffre de nombreuses lacunes stylistiques et narratives. Il y a beaucoup d'incohérences, de lourdeurs, de longueurs et trop peu de structure et de suspense. Je ne le recommande pas forcément.
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Aussi fort que l'amour

Stefan, 20 ans, sors de prison après avoir purgé une peine de trois pour le meurtre de sa petite amie Belinda au cours d’une soirée arrosé. Lorsqu’elle vient chercher son fils à la prison, Théa est choquée de voir que Jill, la mère de Belinda est aussi sur le parking, mais cette dernière finit par partir avant que Stefan, ne sorte. C’est là tout le début du mystère. Sur le chemin qui les ramène à la maison, dans le froid, et le blizzard, Théa et Stefan sont suivis de près par une voiture qui n’a pas de plaque d’immatriculation, et qui fait exprès de les percuter. Enfin à l’arrivée chez eux, c’est le comité d’accueil « Touche pas à nos filles » crée à l’initiative de la mère de Belinda qui les attend à la porte de leur domicile. Puis Théa, reçoit soudainement des appels suspects, une mystérieuse jeune fille qui dit savoir ce qui s’est réellement passé le soir du meurtre de Belinda. Le roman traite aussi au-delà de l’aspect suspense, de la rédemption de Stefan, et de ses efforts pour se réintégrer dans la société, que ça soit par le travail de jardinier qu’il effectue où l’association qu’il décide de mettre en place. Malgré des thématiques intéressantes, notamment la réinsertion, je n’ai pas accroché à ce roman. J’ai trouvé qu’il y avait des longueurs sans fin, qu’il manquait parfois des éléments, je n’ai pas réussi à m’accrocher aux personnages. Bref un petit flop en ce qui me concerne. Dommage.
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Aussi fort que l'amour

Le commentaire de Lynda :

Le thème de ce roman policier est un thème que l’on entend souvent parler dans les médias, mais souvent, je me suis demandé comment se sent la mère, la famille dans un cas comme celui-ci.

Stefan, à l’âge de 17 ans est accusé et condamné pour le meurtre de sa petite amie Belinda. Il est condamné à trois ans de prison.

Stefan ne comprend pas ce qui s’est passé, il aimait Belinda à la folie. Il a été retrouvé inconscient à côté du corps de Belinda, bourré complètement avec des drogues fortes.

À sa sortie de prison, à l’âge de 20 ans, il doit reprendre sa vie, mais il n’y arrive pas, il se sent coupable, d’être vivant alors qu’elle est morte.

Théa, sa mère, fera tout ce qu’elle peut pour l’aider, pour lui venir en aide, et ce, malgré l’opinion publique, les journaux, et le comité à la défense des victimes de féminicides ‘’touche pas à nos filles.’’

Et puis les appels commencent, et enfin une jeune fille qui les contacte, et qui dit savoir la vérité, elle dit savoir ce qui s’est vraiment passé.

Stefan, de son côté, veut venir en aide aux personnes comme lui, en créant un certain mouvement pour les personnes qui souffrent de culpabilité profonde.

Au final, c’est Théa qui est le centre de cette histoire, nous vivons vraiment les sentiments et les émotions que cette mère vit, les efforts qu’elle fait pour ne pas abandonner son fils. Le suspense quand les inconnus essaient tant bien que mal de s’immiscer dans leurs vies. Que s’est-il vraiment passé ?

En bref, une lecture que j’ai aimée. Par contre j’y ai trouvé quelques longueurs, et d’un autre côté, il y a des points qui auraient dû être approfondis.

Le scénario est assez réaliste, et moi qui n’accepte en aucun cas toutes ces formes de violence, j’ai, avec la lecture de ce roman, entendu un autre son de cloche, qui fait réfléchir, par contre quand on sait que ce sont les drogues fortes qui sont en fait, responsables de ce drame épouvantable, encore là, nos propres opinions refont surface.
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Aussi fort que l'amour

Etre la mère d’un meurtrier. C’est cette thématique forte qui porte tout ce roman. Elle est forcément amenée avec les peurs, les interrogations, le jugement de toute la société, la difficulté de poursuivre une vie sereine.



Théa n’a jamais rejeté son fils, accusé du crime très violent de sa petite amie alors qu’il n’avait que 17 ans. Trois années durant, pendant son emprisonnement, elle l’a défendu contre les accusations de violences conjugales associées au meurtre. Elle s’interroge bien sûr : comment celui qu’elle a élevé a pu en arriver là ? Mais c’est à ses côtés qu’elle sera, lorsqu’il sort de prison, prête à reprendre leur vie de famille, à l’accompagner dans la reprise de ses études, la recherche d’un travail.



Mais Thea, Stefan et Jep sont victimes de harcèlement de la part d’un mystérieux jeune homme à capuche et Thea reçoit de mystérieux appels d’une jeune femme prétendant avoir été présente sur les lieux du meurtre alors qu’elle n’a jamais été évoquée lors de l’enquête. Aller de l’avant et passer à autre chose semble très vite impossible. J’ai beaucoup aimé cette mère courage, qui veut comprendre, qui est malmenée entre ses émotions, son amour de son fils et le besoin de savoir s’il y a encore des choses secrètes. D’autant qu’il y a l’espoir : et si Stefan, qui ne se souvient de rien en raison de la prise de drogues le jour fatidique, n’était finalement pas responsable ?



Ca semble impossible et énorme, on se méfie du revirement que l’auteure nous réserve tout comme cela semble aussi tellement irréel que ce jeune homme bon, aidant et qui va incroyablement rebondir dès sa sortie de prison, puisse être coupable d’un crime aussi violent. Ce roman a des airs de thriller psychologique. J’ai été très très surprise des révélations finales ! Mais ça reste vraiment un roman car tout l’intérêt de cette lecture porte vraiment sur les interrogations qu’il transporte, des questions qui se posent à nous lecteurs et nous amèneront forcément à une plus grande ouverture d’esprit. Est-ce qu’un criminel reste une mauvaise personne ? Est-ce qu’il peut aussi être bon, rebondir, changer ? J’ai beaucoup aimé ces thématiques.
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Aussi fort que l'amour

Théa attend son fils à la porte de la prison. Ce dernier a été condamné pour le meurtre de sa petite amie, Belinda, lorsqu’il avait dix-sept ans. Après trois ans, sa peine a été convertie en conditionnelle. A la sortie, Jill, la mère de la victime, observe la scène. Elle est venue seule, sans les membres de l’association « Touche pas à nos filles », qu’elle a fondée à la mort de sa fille. Régulièrement, la pelouse de Théa est envahie par « les protestataires ». Ils lui reprochent d’être la mère d’un meurtrier.





Stefan n’a aucun souvenir de la nuit du crime. Il a été retrouvé à côté du corps de Belinda, il était sous l’emprise de drogues puissantes. C’est l’enquête qui lui a révélé le déroulement des faits. Il ne comprend pas ce qui lui a pris, il n’est pas un homme violent et, depuis leur enfance, il aimait passionnément Belinda. Alors que sa mère veut l’aider à se reconstruire, il ne pense pas avoir droit à une nouvelle chance. Il est vivant, Belinda est morte. Il décide alors de créer un programme de réinsertion, dans lequel les condamnés apportent leur aide à leurs victimes ou à leurs proches.





Cependant, il est difficile de se faire entendre lorsque l‘on a perpétré un féminicide. Je suis la première à ne laisser aucune chance aux meurtriers et aux violeurs. Pour cette raison, j’ai apprécié que la narratrice soit Théa. C’est la perception d’une mère qui aime son fils et qui s’interroge sur sa propre responsabilité. Elle ressent un fort sentiment de culpabilité. Elle décrit, également, les répercussions des actes criminels sur les proches du mis en cause. La famille est la cible de menaces, de vandalisme et de haine. Une inconnue, en particulier, attire l’attention de Théa. Ses avertissements voilés attisent les doutes de la mère effondrée. Les investigations ont-elles dévoilé l’ensemble de la vérité ?





J’ai été intriguée par certains faits et j’ai ressenti de la compassion pour Théa. Cependant, lorsque je m’attardais sur certains évènements, j’étais écartelée entre mes convictions et mes sentiments. J’étais heureuse qu’elle m’offre une échappatoire, une raison d’éprouver certaines émotions que le suspense justifiait. Il m’était difficile d’être aussi bienveillante que l’auteure, aussi, j’étais heureuse que le panel de perceptions et de réactions soit étendu. Si je me fonde sur mon plaisir de lecture, j’ai passé un très bon moment avec ce roman. N’est-ce pas le principal ?





Je remercie sincèrement Mylène des Éditions de l’Archipel pour ce service presse.




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Aussi profond que l'océan

Publié aux USA en 1996 et traduit en français en 1998, "Aussi profond que l'océan" est le premier roman de l'écrivaine américaine Jacquelyn Mitchard, notamment auteure de "Comme des étoiles filantes" dont je vous ai parlé il y a quelques jours.



Beth Cappadora quitte Madison avec ses trois enfants pour se rendre à Chicago où a lieu la 15ème réunion annuelle des anciens étudiants de son lycée.

Arrivée à l'hôtel, bondé pour l'occasion, elle confie sa petite dernière à la baby-sitter et demande à Vincent, son aîné, de surveiller Ben, son jeune frère.

Le temps de payer sa réservation, Beth se rend compte que Ben a disparu.

La police lance rapidement les recherches et les bénévoles ne manquent pas pour distribuer les avis de disparition.

Mais malgré leurs efforts, Ben reste introuvable.

Dix ans plus tard, alors que Beth et sa famille vivent désormais à Chicago, un garçon d'une dizaine d'années frappe à leur porte...



Le roman



A l'instar de "Comme des étoiles filantes", "Aussi profond que l'océan" évoque un foyer brisé par un drame. Une famille cernée par la douleur, la culpabilité et les non-dits.

Beth a perdu pied et sombre dans un état léthargique, s'abandonnant entièrement à sa douleur.

Son mari Pat se plonge dans le travail et tente de continuer à vivre malgré tout tandis que leur fils Vincent accumule les mauvais choix et souffre en silence du manque d'intérêt de ses parents pour lui.

Envoyé chez un psy, il lui confie progressivement ce qu'il a sur le coeur.

Des dissensions règnent au sein de la famille et de la belle-famille.

Persuadée que Ben est mort, Beth ne supporte pas que ses beaux-parents continuent à déposer des cadeaux pour Ben tous les Noëls.

Mais comment faire le deuil d'un enfant dont on ignore si il vit encore ou non ?



Contrairement à ce que j'avais déploré dans "Comme des étoiles filantes", la psychologie des différents personnages est ici très bien rendue, particulièrement dans les profils de Beth et de Vincent, qui chacun à leur manière se sentent responsables de la disparition de Ben : elle parce qu'elle a laissé ses enfants sans surveillance rien qu'un instant et lui parce qu'il a lâché la main de son frère.

L'inspecteur Candy Bliss, qui au fil des ans a développé une véritable amitié avec Beth, n'est pas en reste non plus en matière de culpabilité.



Ce qui m'a principalement gênée dans ce roman, ce sont deux grosses incohérences qui selon moi ne pardonnent pas.

Comment Ben a-t-il pu disparaître au milieu d'une foule de gens qui connaissaient tous Beth et ses enfants sans qu'il n'y ait pas un seul témoin ?

La situation semble d'autant plus invraisemblable lorsqu'on apprend qui a fait le coup...

Un scénario gros comme deux pâtés de maison.

Deux pâtés de maisons, c'est justement la distance qui sépare ce jeune garçon ressemblant étrangement à Ben de la maison des Cappadora qui ont déménagé à Chicago.

Un garçon qu'ils n'avaient jamais remarqué en 4 ans jusqu'à ce qu'il sonne à leur porte !

Je ne sais pas vous mais le hasard fait quand même (trop) bien les choses...



Le film



Sorti en salles en 1999 avec Michelle Pfeiffer, Treat Williams et Whoopi Goldberg dans les rôles principaux, le film présente une version allégée, plus "familiale" (genre téléfilm du dimanche après-midi...).

Bien que Michelle Pfeiffer se défende bien dans ce rôle d'épouse et de mère éteinte, le personnage de Beth m'a semblé moins complexe, plus fade que dans le roman où elle était tout de même présentée comme ayant du tempérament.

La relation amour-haine entre Beth et Vincent perd également en profondeur et en complexité.

Idem pour l'amitié entre Beth et Candy, cette dernière étant simplement présentée comme l'enquêtrice.

Pour ne rien arranger, je ne suis pas parvenue à me représenter Whoopi Goldberg dans un rôle sérieux. J'avais toujours l'impression qu'elle était sur le point de raconter une blague alors que la situation ne s'y prêtait pas du tout...

Les entretiens entre Vincent et son psy - probablement ce qui m'intéressait le plus dans le roman - sont carrément passés à la trappe.



A choisir, privilégiez plutôt le roman au film même si vous aurez bien compris que je ne ressors pas très emballée de cette lecture.



A croire qu'il me manque toujours quelque chose avec cette auteure...
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Aussi profond que l'océan

Il y a très longtemps, j'avais vu le fim avec Michele Pfeiffer et je me souviens l'avoir aimé. Mes souvenirs s'arrêtant là, j'ai souhaité me plonger dans le roman.

La lecture de cette histoire a été laborieuse pour moi. J'ai trouvé l'écriture poussive et alambiquée. Je me suis parfois perdue dans les évènements. Je suis arrivée au bout, mais avec difficulté et peu de plaisirs. L'histoire par elle-même est prenante et les différents thèmes abordés intéressants : la disparition d'un enfant, la culpabilité, les reproches, les responsabilités, les non-dits, la persévérance, le lacher-prise, le fait de reprendre goût à a vie, les retrouvailles, et les conséquences qui en découlent, les relations familiales... La joie, la peur, la vérité, la vengeance/le pardon, la folie, l'identité, la façon dont chacun réagit face aux évènements et l'interprétation que chacun a face aux réactions d'autrui... et j'en oublie certainement. Comment réagir face à ces évènements, l'auteur a semble-t-il tenté de voir toutes les possibilités et montre la complexité de la vie. De ce côté, la lecture permet de s'interroger.

Impossible cependant pour moi d'avoir de l'empathie pour les personnages. Aucun ne m'a touché. Il m'a manqué ce quelque chose qui fait qu'on plonge à coeur perdu dans une histoire.
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Aussi profond que l'océan

Une famille, deux frères, le plus jeune disparait. Les années passent et chacun se sent coupable. Le couple se déchire, l’ainé se renferme. Où est passé l'enfant ? Son corps n'a jamais été retrouvé, le deuil est impossible. Faut-il croire à son retour ?

Cet ouvrage est un condensé d'émotion où le lecteur empathie facilement avec l'un des personnages. Pour être honnête, ce genre de roman n'est vraiment pas ma tasse de thé, mais je dois avouer l'étonnante facilité par laquelle l’histoire, formidablement écrite, m’a envoûtée.



Un livre magnifique, touchant et passionnant !

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Aussi profond que l'océan

C'est en effet un roman que l'on ne peut reposer avant de l'avoir lu jusqu'au bout. Encore une histoire de disparition mais ici l'enfant revient, et c'est là que l'histoire se dessine autour des émotions que peuvent susciter le retour de cet enfant/ frère/ petit-fils dans une famille qui s'est beaucoup brisée lors du drame. Très bien écrit, analyse fine de la psychologie familiale.
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Aussi profond que l'océan

Le plus jeune des fils de Beth disparaît lors d’une réunion d’anciens élèves. Aucun élément ne permet de savoir ce qui a pu se passer et ce qu’est devenu Ben. Pendant neuf ans, chacun va devoir vivre avec sa culpabilité et faire tant bien que mal son deuil. Evidemment, chacun réagit différemment face au drame. Le couple se déchire, le fils aîné, devenu adolescent, se renferme et la petite dernière grandit comme elle peut.



Mais pour Beth, le pire reste à venir. Elle va détruire une famille, va devoir apprivoiser un étranger et prendre la décision la plus difficile de sa vie.



Une histoire bouleversante, émouvante et saisissante.


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Aussi profond que l'océan

ben trois ans, disparaît. très vite la police

dit a la famille que les recherches seront vaines. sa mère va se réfugier dans les tranquillisants, son père dans son travail et son frère dans la petite délinquance.

mais quand il reparaît neuf ans plus tard,

et ce que la famille va pouvoir se retrouver. une bonne histoire qui se lit d,

une traire. je l'ai adoré.👍
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Aussi profond que l'océan

Un des très très rares ( le 2ème seulement ) livres que je n'ai pas terminé !

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Aussi profond que l'océan

Aussi profond que l’océan est un bouquin nous contant l’histoire d’une famille brisée par la disparition d’un enfant et l’évolution de celle-ci à travers les années. C’est une histoire profonde, empreinte de vérité. On suit le périple émotionnel de cette famille à travers plusieurs personnages et surtout ce que chacun garde comme bagage suite au départ de Ben. C’est un livre profondément humain et sensible.

Le livre se passe en deux temps, et la deuxième partie, concernant le retour éventuel de Ben est tout aussi passionnant. On y retrouve des notions d’espoir et d’acceptation. Jacquelyn Mitchard traite également très bien de l’adolescence et de ses difficultés. Publié en 1996, Aussi profond que l’océan n’a pas pris une ride, et le style de l’auteur est vraiment top.

Bref, un vrai top pour moi que je vous conseille, et ce malgré le beau pavé.
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Aussi profond que l'océan

Lu en Juin 2020

Je n'ai mis que 2* par rapport à la fin du roman. Le début vaut plus.



Roman avec un prologue de Novembre 1995, puis il est séparé en 2 parties :

- la première commence en Juin 1985, soit précédemment le prologue. Les chapitres se suivent chronologiquement. Elle est composée de 9 chapitres avec la vie de Beth, la mère. Puis, les chapitres alternent aléatoirement avec celle de Vincent, le frère aîné, comme dans le chapitre 10 de Décembre 1985, le chapitre 13 de Mai 1990. Le chapitre 15 est celui de Beth en Octobre 1990. Puis le 16 est celui de Roy en Novembre 1991.

Ce point de vue nous surprend car il n'y a pas de personnage Roy. En lisant ce chapitre, le lecteur découvre que Vincent se fait dorénavant appelé Roy depuis ses 13 ans obtenu en 1991.

- la deuxième partie commence au chapitre 19 avec Beth en Mai 1994, soit trois ans après la première partie. Les points de vue alternent toujours comme Roy dans le chapitre 24 en Juin 1994 et Beth dans le chapitre 34 en Septembre 1994.



L'histoire se déroule sous 9 ans : de Juin 1985 à Septembre 1994. Parfois, les dates ne sont pas précisées, raison pour laquelle le lecteur comprend la suite chronologique. Cependant chaque chapitre est numéroté et nommé selon la personne qui vit l'histoire : Beth la mère, Vincent le fils aîné et Roy qui est en réalité Vincent.





Dans la première partie, le fils Ben disparaît. La famille est dans un hôtel pour les retrouvailles de la classe de Beth, la mère. Elle laisse les enfants seuls quelques instants. Après cet épisode, une grande recherche est établie. Beth tombe en dépression et se coupe de sa vie de famille. Les médias interviennent également dans cette recherche d'enfant.

Vincent se sent mal. Il demande au Père Noël de lui ramener son frère pour voir de nouveau le sourire de sa mère. Sa petite sœur est trop jeune pour se souvenir réellement.

Arrivé à l'adolescence et suite à ce traumatisme, Vincent est suivi par un psychiatre. Les rendez-vous sont décrits. Il se fait désormais appelé Roy. Cela met de la distance avec sa vie avec Ben car beaucoup de personnes continuent à en parler.



Dans la deuxième partie, Beth se sent très mal à la vue d'un voisin. Ce jeune garçon est dans le même établissement scolaire que sa fille Kerry. Elle le prend en photo pour le montrer à son mari Patrick. Il s'agit de leur fils Ben, qui vit non loin de chez eux ! Elle n'y croit pas ses yeux et fait de nouveau appel à la police chargée de l'affaire depuis 9 ans pour l'ouvrir de nouveau et inclure ces éléments nouveaux. Ben revenu dans les parages continue le traumatisme de "Roy".

La famille obtient de nouveau la garde mais cela est compliqué car Ben avait été kidnappé à l'âge de trois ans. Il n'a pas vécu et ne connait pas sa famille d'origine. Il s'appelle Samuel depuis son enlèvement.





Mon point de vue : il faudra que je visionne de nouveau le film tiré de ce roman.

La première partie est très intéressante et les émotions, le suspense sont présents. C'est également le cas pour le début de la deuxième partie mais pas la fin du roman. Mon attention s'était décroché et cela me tardait que l'histoire se finisse.

J'ai beaucoup apprécié qu'ils alternent les points de vue et la vie de deux personnages. De plus, l'un des personnages est un enfant puis adolescent. Cependant, je n'ai pas réellement ressenti la révolte malgré le comportement de "Roy".
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Aussi profond que l'océan

Une histoire forte et poignante ! Dix ans à attendre sans comprendre ni pouvoir faire son deuil ! Après dix ans, peut-on encore espérer ?
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