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Citations de Jacques Expert (501)


Le b.a-ba du crime passionnel. L'amant et la maîtresse ont éliminé l'épouse encombrante. En plus, c'est elle qui avait le pognon, elle tenait son mari par les couilles. Ils devaient la liquider. Maintenant, il faut s'attendre à ce qu'ils se tirent dans les pattes. Ce sera chacun pour soi !
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Les policiers l'emmènent déjà. Mais les quelques injures,les applaudissements qui fusent de la salle font se retourner Simon.Il parcourt du regard le public debout ,qui hurlé sa haine de plus en plus violemment .Indifferent aux insultes,il a l'air perdu et j'ai la désagréable impression qu'il me cherche dans la foule.Peut-être n'est-ce qu'une impression,mais je préfère rester assise et cachée.A l'abri de son regard suppliant.( page 218).
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Page 18 :
Finalement quand, un samedi matin, elle l'avait retrouvé à la caisse, elle s'était lancée. Dans son panier, il n'y avait que des fruits, des légumes et des céréales. "Tu es végan ?" s'était-elle exclamée, surprise et amusée. Il avait rigolé : "Ah, surtout pas. Je ne suis pas malade, moi. J'adore la viande bien rouge !"
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« Il ne savait pas d'où sortaient mes «  élucubrations », mais malheureusement , il m’avait quittée parce que j’étais déjà déséquilibrée .
Et visiblement ,j’étais en train de devenir de plus en plus folle....
Son seul tort , avait- il assuré était «  d’avoir eu une liaison avec une malade ..... »
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Elle impressionnait par ses performances au stand de tir. Elle qui avait toujours détesté boire, elle s’imposait sans en avoir l’air aux pots qui rythmaient la vie de la brigade. Elle se mit à parler leur langue, à rire à leurs blagues égrillardes. Son physique sans grâce et assez masculin la protégeait : grande, tout en muscles, les cheveux noirs coupés au carré qui lui donnaient un air sévère. Ils ne la voyaient ni comme une proie ni comme une rivale, et prirent l’habitude de lui faire leurs confidences, comme à une frangine, une bonne copine toujours disponible…
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En retrait dans L'ombre de la terrasse,se protégeant de ce soleil qu'il n'apprécie pas un petit homme,ventripotent et chauve ,ne perd rien de la scène .Cela fait des mois qu'il attend ce moment.Depuis que les frères Deloye ont échappé à la justice il ne les a pas lâchés, les suit ,les surveille,sans s'accorder le moindre répit. Pugnace et obstiné ,il sait cette fois qu'il ne les laissera pas gagner.Pourtant il ne sourit pas.
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"Les meurtres atroces des deux petites filles, explique le commentaire, ont relancé le débat sur l'exemplarité de la peine de mort. Avec cette question : faut-il la rétablir pour les tueurs d'enfants ? 55% des personnes interrogées y étaient favorables."
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Cette femme sans âge, c’est moi, transparente, anonyme. Voilà ce que je suis devenue. Rien. Même pas un fantôme. Un fantôme, on finit toujours par le voir.
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Leur rencontre est-elle un fruit du destin? Une chose est sure : pour Stephanie, elle tient de la malchance.
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Enfin il écrit au feutre rouge sur une nouvelle page vierge :

CONCLUSION : UN SEUL DES FRÈRES DELOYE EST L’ASSASSIN.

Garlantezec est le premier à rompre le silence pesant :

« Tout désigne quand même Antoine Deloye, commissaire, non ?

– Non, capitaine. La seule certitude que nous avons est que ce crime a été commis par l’un d’eux, grâce aux images vidéos et à l’analyse ADN. Mais lequel ? C’est ce que nous devons trouver cette nuit, avant d’envoyer le coupable devant le juge demain matin. »
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J'étais ce qu'on appelle un chaud lapin, et je me suis bien fait avoir. Elle est tombée en cloque et je l'ai épousée six mois plus tard. Elle a alors laissé tomber son boulot "pour se consacrer entièrement à sa famille". Croyez-moi, elle n'est pas à plaindre, je rapporte le pognon et elle ne branle pas grand-chose, à part s'occuper des gosses et de la maison. Maintenant qu'ils vont à l'école, je me demande bien ce qu'elle fout de ses journées. (p. 24)
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Avouer, ce serait débarrasser sa conscience du poids de leur responsabilité.
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La vie ne tient qu'à des petites choses!
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Ce matin, dans la salle qui d'ordinaire fait office de cantine, je préfère rester discret. Cet homme, je finis par me l'avouer, continue à m'épouvanter. Tant d'années après, la blessure est toujours béante. Voilà pourquoi je me tiens en retrait à l'observer de loin. Il a la même tête de petit con suffisant, sûr de sa personne. Sa tête de salopard impitoyable.
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- Il n’est pas schizophrène. Il est cependant noté une tendance paranoïaque.
- Et avec tout ça, il n’est pas dingue ?
- Non, il est parano, obsessionnel, dangereux, tout ce que vous voulez, mais il n’est pas fou, au sens médical du terme. D’ailleurs, il n’a été soigné que pour sa dépression.
- Donc, il est normal ?
- Autant qu’on puisse l’être…
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Comme on dit chez les Desmichelles (c'est mon nom de famille), celui-là va avoir droit à un chien de ma chienne. Et pas un chihuahua, un molosse, genre pitbull !
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Si elle n'avait pas avalé ce foutu cachet qui l'a plongée dans les vapes, elle réagirait sans doute. Elle comprendrait qu'elle est en danger, elle crierait, se débattrait, tenterait de se lever pour s'échapper. (Page 12)
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Philippe et Sophie ignoraient que les jumeaux avaient perçu dès leur plus jeune âge le trouble et les interrogations que susciter leur ressemblance.
Ils brouillaient les pistes. Ce n'était qu'un jeu mais c'était leur secret. Un secret que seuls des jumeaux pouvaient partager.
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Je songe à la pièce du fond, réalisant que j'ai percé son mystère : elle y cache les souvenirs de son enfant disparue, et d'une vie remplie de souffrances.
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La lourde porte d'acier claque derrière lui. Ses yeux se ferment comme s'ils ne pouvaient endurer la lumière du matin. Mais non, c'est par plaisir pur qu'il les a clos. Le plaisir de goûter l'air frais du jour qui commence. De jouir du soleil tiède qui inonde son visage. La journée promet d'être belle, songe-t-il. Page 17
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