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Critiques de Jean-Philippe Baril Guérard (54)
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Haute démolition

COUP DE CŒUR! On suit Raphaël Massicotte, un jeune humoriste fraîchement sorti de l’École de l’humour et qui tente de faire sa place dans cet univers très sélectif. C’est le troisième roman de Jean-Philippe Baril Guérard que je lis et j’adore encore. Un roman grinçant qui nous parle des dessous de ce milieu de performance. Un livre qu’on ne peut déposer tellement on veut connaître la suite. Tout simplement décapant!
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Haute démolition

C’est l’histoire de blessures dont on ne se remet pas, de la réalité sous le masque et du poids infini de ce dernier. Un roman que j’ai lu d’une couverture à l’autre sans pouvoir m’arrêter. Assurément dans mon top cinq de 2021. À lire! Je ne vois pas comment vous pourriez vous y ennuyer :)
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Haute démolition

Cru, contemporain et hyperréaliste. J'avais auparavant lu le percutant roman Royal, du même auteur. Cet auteur me fascine par l'originalité de son style d'écriture. Il utilise un narrateur qui nous tutoie, comme si nous étions directement concernés. Il brosse un portrait brut de la société d'aujourd'hui, en jetant une lumière crue sur la trivialité et la superficialité de notre monde. Il nous jette en plein visage la dure réalité. C'est presque brutal mais addictif tout à la fois. On veut connaître la suite et le dénouement. À tout prix. Chaque fois que je lis ses romans, il crée un profond malaise chez moi. Lecture simultanément pénible et nécessaire. L'auteur nous force à réfléchir et à s'introspecter, avec une maîtrise de haut niveau, afin que l'on puisse réussir à reconstruire après la démolition. Saisissant.
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Haute démolition

Mon premier roman de cet auteur et je vais clairement en lire d'autre. Un mélange un peu entre le livre le plongeur et le film Eternal Sunshine on a spotlessmind. Un bon portait de l'univers de l'humour au Québec. Ce sont des personnages fictifs, mais c'est facile de voir quelle réelles personnalités a inspiré les différents personnages.

C'est écrit à la 2e personne et ça faisait du sens avec l'approche narrative. Même si le sujet principale est une peine d'amour, ce n'est pas trop lourd.
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Haute démolition

C'était la grande sortie littéraire d'il y a deux ans et je dois avouer que c'était effectivement très bon.



Ce livre raconte la carrière d'un humoriste. Dans un party, avant qu'il ne soit une vedette, il flirte avec une femme qui prétend connaître l'avenir. Il lui demande donc ce qui l'attend. Le roman complet est donc cette histoire qu'elle lui raconte : la narration est donc au "Tu" et au futur.



Elle lui explique comment ils deviendront un couple, comment elle lâchera sa job pour aider sa carrière qui décollera. Puis elle le laissera, dans vraiment de raison. Il fera une dépression, tombera dans les dogues dans vraiment que ça se répercute sur sa célébrité. L'addiction, le narcissisme et les agressions sexuelles deviendront une part importante de sa vie.



Bref, un livre excellent, trash à souhait, et une critique décapante de l'industrie de l'humour.
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Haute démolition

Le roman le plus abouti de Jean-Philippe Baril-Guérard. Ses personnages sont ici plus complexes, ils ne sont pas seulement des êtres calculateurs et cyniques. On sent chez eux une certaine fragilité, même chez Laurie. Ils en deviennent presque sympathiques! Je verrais bien ce roman adapté sous la forme d’une mini-série télé. Dans le rôle principal du jeune humoriste qui tente de faire sa place sur la féroce scène québécoise, on aurait l’embarras du choix parmi les humoristes actuels…
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Haute démolition

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Haute démolition



Dans son nouveau roman Haute démolition, Jean-Philippe Baril Guérard brosse un portrait sans complaisance du milieu de l'humour au Québec. L'auteur en exagère-t-il les côtés sombres ? Non, selon l'humoriste Rosalie Vaillancourt.


Lien : https://lactualite.com/cultu..
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Haute démolition

Les côtés sombres du milieu de l'humour au Québec mélangés à une histoire d'amour douloureuse, des problèmes de santé mentale, de la toxicomanie et des dénonciations d'inconduites à caractère sexuel. J'ai adoré ! La narration au "tu" m'a tenue en haleine, lisant avec une sorte de sentiment d'urgence et en me permettant encore plus de me mettre à la place du personnage principal. Je ferme le livre en imaginant la suite, et dans ce cas-ci, c'est parfait ainsi.
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Haute démolition

L’humour comme façade, comme illusion, comme échappatoire, quand deep down, c’est gris, ça suinte, c’est glauque, quand ni les Olivier, ni la consécration des salles sold out suffisent pour fuir les maux, les cancans, les démons. « Haute démolition » de Jean-Philippe Baril Guérard, ou quand rires et délires baument la voie des rêves déchus du secondaire à la réalisation de soi; son épanouissement, sa destruction, sa rédemption.

NB Les prédispositions psychiques sont de mise (sont requises ?) pour en apprécier sa lecture.
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Haute démolition

Inintéressant!

J'ai lu 15 pages, et je ne me vois pas poursuivre dans ce flot de platitudes sans nom.

Encore un personnage torturé et loser.

Quelle originalité ! NOT !



L'auteur écrit, comme si c'était la description d'un film. Avec moult détails inutile...Ça sent le remplissage de pages à plein nez.



Peux pas croire qu'y z'ont pris de leur temps pour en faire une série ou un film...

En tout cas, la perte de temps sera moins longue à la tv !



Ça se veut grinçant, peut-être comme La Bête ou Le Plongeur ?!?

Manqué!

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Haute démolition

Après la lecture de Royal, que j'avais adoré, mes attentes étaient élevées envers Haute démolition.



J'ai retrouvé dans ce livre le même ton, le même langage actuel, le même style satirique que j'avais tant aimé.



Baril Guérard a le don de bien nous immerger dans la partie du monde qu'il veut nous faire découvrir. Dans ce cas-ci, c'est le monde de l'humour québécois, qui est une industrie énorme vu le nombre et les qualité de nos humoristes. Il nous permet de nous imaginer la petite hors-scène de ces artistes.



Le choix narratif est un peu surprenant au début mais cette particularité ajoute à l'expérience littéraire. Le roman est à la deuxième personne du singulier puisque c'est un personnage secondaire qui agit comme narratrice. En plus, le roman est souvent écrit au futur. On peut trouver le choix spécial mais comme lecteur, je crois qu'on doit faire confiance à l'auteur et lorsqu'on le fait, on apprécie le choix qu'il a fait. C'est différent mais ce n'en est pas moins agréable à lire, au contraire, un peu de fraîcheur fait toujours du bien.



En plus de rejoindre les amateurs de bonne littérature, je pense que ce livre peut rejoindre une génération qui semble moins lire que la génération précédente de par son sujet et son langage. Espérons qu'ils se prêteront au jeu et qu'ils prendrons goût à cet art.
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Haute démolition

En refermant ce livre, je me suis demandé si ce milieu de l’humour québécois ressemblait vraiment à cela; j’ai bien peur que oui, en partie du moins. Car, en suivant la carrière et la vie mouvementée de quelques humoristes issus d’une cohorte de L’École nationale de l’humour, le portrait qui se dégage n’est pas flatteur : mesquinerie entre collègues, abus généralisé d’alcool et de drogues, maraudage des gérants, pas de pitié pour les perdants à cette course au podium. Plusieurs y laisseront des plumes, certains leur carrière, certains leur santé mentale. Ce roman n’a rien de réjouissant, mais le rythme trépidant, l’intérêt créé envers les personnages principaux, la découverte de ce milieu particulier et les dialogues forts en font une lecture addictive; lu en une journée.



J’avais beaucoup aimé “Royal” du même auteur qui examinait, avec une loupe semblable, celle qui met tout à nu sans compromissions, une faculté de droit. On retrouve ici les qualités d’écriture qui façonnent un microcosme hallucinant d’authenticité. En plus, la narratrice, elle-même au cœur de l’action, écrit comme si elle prévoyait tout ce qui était pour arriver et s’adressait au protagoniste; déroutant et envoûtant à la fois. Et l’actualité qui s’invite dans les derniers milles. . . À la fin, je me suis demandé qui de Laurie ou Ralph avait finalement le destin le plus enviable. La question reste ouverte,
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Haute démolition

Le romancier se glisse avec un alliage de dérision et de lucidité dans les coulisses de l’humour.
Lien : https://www.ledevoir.com/lir..
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Haute démolition

Il y a une blague que j'ai l'impression d'avoir souvent vu passer dans les milieux littéraires : si vous hésitez entre écrire à la 3e personne du passé ou à la 1e personne du présent... optez pour la 2e personne du futur !



J'ignore si cette blague est devenue un vrai challenge d'écrivain·e, mais j'ai bien l'impression d'avoir rencontré plusieurs fois cette fameuse narration à la 2e personne du futur... parfois utilisée de manière très habile, comme ici, dans Haute démolition. Un jeune humoriste, Raph, rencontre lors d'une soirée une fille qui lui plaît, Laurie, laquelle lui dévoile (au "tu" et au futur donc) l'avenir qui l'attend s'iels commencent une relation.



C'est le point de départ d'une critique féroce du milieu de l'humour québécois, où règnent les faux-semblants, les coups bas et les jeux de pouvoir (pour le dire gentiment). Une critique sans doute transposable à d'autres milieux et à d'autres contextes que celui du Québec... L'auteur est toujours très incisif dans ses écrits, sans tomber dans la complaisance ni dans la facilité.



Et la narration à la 2e personne du futur dans tout ça? Eh bien, à la lecture, on réalise que quelque chose cloche : on ne sait quasiment rien de la narratrice, qui parle pourtant au "je", alors qu'on saura tout des moindres états d'âme de son copain (puis ex-copain), désigné au "tu". Une belle manière de montrer l'égocentrisme de Raph et son manque d'empathie envers sa compagne, qui aurait peut-être paru moins flagrant avec une narration plus classique.



Brillant !
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La singularité est proche

un récit redondant, mais très imagé... Honnêtement j'ai aimé cette réflexion... Répétitif parce que c'est comme le jour de la marmotte... un voyage dans des souvenirs, une forme de reconstruire le passé ... j'aimerais voir sur scène.
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Les cicatrisés de Saint-Sauvignac

•VIES EN GESTATION•



À l’évocation du titre de ce roman, il y a déjà un indice sur ce qu’il nous attend. Eux, les cicatrisés, les écorchés, adolescents assoiffés de vitalité. Écrit par quatre auteurs québécois, où chacun aura son chapitre, le fil de l’histoire y sera tissé avec ingéniosité. Avec quatre angles différents, quatre saisons, nous ne savons pas quel auteur a composé chaque partie, créant ainsi un mystère sur la façon d’invoquer la trame et les péripéties. Avec une facilité déconcertante nous passons d’un personnage à l’autre, mais surtout à travers ses yeux d’adolescent. On sent à la pesée de chaque mot qu’il y a eu une transposition de son propre passé quand on a seize ans. Sans jamais être trop démonstratif, jamais trop évident, tout paraît suggéré. Un roman d’une ambivalence folle où la trame se crée avec habileté, en y découvrant par chaque auteur, un nouvel angle de vue. À l’image d’un film, vous risquez de vous identifier à Chelsea qui séduit mes hommes avec des ramen, Bouboule qui souhaite lécher le coude de son ami Crapaud entre autres…



Une glissade d’eau, un parc aquatique qui se crée pour réveiller la monotonie et où le skeleton sera the place to be. 118 blessés. Saint-Sauvignac, petit village de l’Outaouais au Québec, qu’on a envie de parcourir au gré de cette année scolaire, où le rêve de dévaler la Calabraise, fameuse piste à sec, va tourner au drame. Un clou. Simplement un clou qui fait basculer le roman dans les affres d’une enfance qu’on ne maîtrise pas toujours. À la fois décalé et drôle, le vocabulaire québécois y est pour beaucoup et permet de s’apercevoir à quel point nos langues sont proches. De nombreuses envolées demeurent jouissives, on s’esclaffe, on sourit, on temporise puis on réfléchit. On se souvient de ces bribes passées qui nous ont forgé ou amoché. Ces instants de vie, ces rites de passage dont on ne se souvient pas mais qui restent gravés par étincelle ponctuelle.



A la fois parodique et satirique de manière plus profonde qu’il n’y parait, ces cicatrisés mettent à mal le monde adulte qui mériterait une prise de recul sur ses comportements. Avec une langue orale que l’on reconnaît aux auteurs venant du théâtre, j’ai posé mon corps sur cette glissade d’eau et je ne voulais plus en partir.



Vous pouvez écouter certains extraits sur le site internet de Bouclard Editions ainsi que la création de leur nouvelle collection 109 qui revendique une littérature sans contrainte ni style trop intellectualisant, où de jeunes auteurs émergent dans un milieu souvent trop lisse.




Lien : https://www.instagram.com/se..
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Les cicatrisés de Saint-Sauvignac

Cicatrices adolescentes



Les seins de Chelsea « c’est les jardins de Babylone »- Bouboule est secrètement amoureux de Crapaud et a failli perdre sa virilité- Prononcer le nom de Cédrik Eberstark est aussi douloureux que de plonger sa langue dans sa bouche « théâtre de trop d’affaires inattendues »- Quant à Hugo, il joue au martyre parce qu’il n’a pas de rayures dans le dos, parce qu’il est connecté à Dieu le père et parce qu’il aime Fanny.



Bienvenue à Saint Sauvignac au Québec ! Une ville (trop) tranquille, où les adolescents comme tous ceux du monde entier se cherchent dans le groupe, se construisent à travers le groupe et dont l’ennui quotidien va être bousculé par une improbable histoire de clou sur la gigantesque glissade d’eau du nouveau et très attendu parc aquatique.

Saint Sauvignac, contre toute attente, prend alors des allures de West Side story où deux clans s’affrontent à la vie, à la mort- Les cicatrisés et les intacts.

La ville devient alors le théâtre de ces jeunes en quête d’amour et de sexe au cours de quatre saisons.



Quatre saisons comme quatre actes racontant les cicatrices qui traversent les vies adolescentes.

C’est drôle souvent et profond à la fois, c’est a priori innocent, mais a priori seulement. C’est rythmé comme une pièce sans temps mort. C’est polyphonique et écrit à huit mains par quatre auteurs différents qui s’amusent , on le sent, à l’écriture de cette histoire d’adolescents qui leur ressemblent, qui nous ressemblent, avec un sens du drama aigu, des esprits bouillonnant face à la complexité de l’a vie et l’affrontement aux adultes, des sentiments torturés et exacerbés toujours. Car chacun porte sa cicatrice en soi, sur soi- sa souffrance, sa douleur- parfois visible comme celle laissée par un stupide clou- parfois ténue ou bien cachée, souvent enfouie… mais toujours là, incarnée et qui fait qu’on se sent un autre, différent de ceux de l’autre clan…



Alors c’est loufoque, parfois insensé ou détraqué, souvent désinvolte, toujours décomplexé mais jamais ennuyeux. C’est une littérature qui écorche un peu (au sens propre comme au sens figuré). C’est intense et vivant, ça se lit comme du beurre avec rythme et avec l’accent québécois.



Ca s’appelle Les Cicatrisés de Saint Sauvignac dans le collection 109 (« Sang neuf ») , publié en France par les éditions Bouclard (déjà publié au Québec en 2016 aux éditions de Ta mère- ça ne s’invente pas !).

Une lecture que j’ose qualifier de jouissive, tant elle m’a surprise et séduite.

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Les cicatrisés de Saint-Sauvignac

Jubilatoire. Dans cette satire sociale originalement racontée à 8 mains, les "cicatrisés" ont remplacé les Freaks de Browning, et le parc aquatique, le cirque itinérant. Si ce clou mal placé du toboggan n'a laissé qu'une cicatrice "d'une longueur moyenne de 39,8cm sur le dos de 118 victimes d'un âge médian de 7,2 ans", les âmes de ces Hillbillies pré pubères du grand froid canadien n'en demeurent pas moins meurtries...

La prose québécoise est incisive mais juste et apporte beaucoup d'éclat dans la noirceur. On s'attendrait presque à voir le Lézard Lubrique de Christopher Moore s'éclater dans la grande Glissade...

Câlisse, si vous aimez être dérangé, n'hésitez pas, vous passerez un bon moment !
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Les cicatrisés de Saint-Sauvignac

Ouvrage reçu lors du dernier Masse Critique littérature du mois de septembre, je tiens tout d'abord à remercier babelio ainsi les éditions Bouclard (avec une note manuscrite de l'éditeur s'excusant de l'envoi tardif de cet ouvrage). C'est vrai que celui-ci s'est fait attendre et je regrette presque de l'avoir lu aussi rapidement. S'agissant d'une toute nouvelle collection, ce dernier est le premier ouvrage qui la composera et je suis donc flattée d'avoir eu le privilège de le lire.



Ouvrage écrit à huit mains, le lecteur découvre dans chaque chapitre les quatre auteurs qui ont imaginé cette intrigue avec à chaque fois un personnage différent mais basé toujours sur la même histoire, il va de soi. Ainsi découpé en quatre grande partie comme les quatre saisons de l'année qui leur sont d'ailleurs attribuées.

L'histoire ? La construction d'un complexe aquatique avec une glissade extrêmement périlleuse, de quoi divertir, enfin, tous ces adolescents, qui s'ennuient dans cette ville imaginaire au Canada. Cette dernière est scindée en deux par la piste (track) d'un vieux chemin de fer assez mal famé. Sur les 128 adolescents de Saint-Sauvignac qui vont décider ce fameux jour de faire le grand plongeon, tous ressortiront mutilés à vie, en raison d'un stupide clou mal agencé. Dès lors, au lycée, il y aura désormais deux clan : ceux qui ont glissés (les désormais "cicatrisés" et les autres (les "intacts"). Tout le personnel de l'établissement (directrice, personnel enseignant et administratif) sont persuadés que cette expérience les marquera à vie et décide de les "chouchouter", à tord ou à raison d'ailleurs, à vous de voir !



Un ouvrage dans lequel j'ai eu beaucoup de mal à me plonger en raison du parler québécois (j'adore l'entendre parler mais le lire est encore autre chose) et des propos parfois assez virulents employés par les auteurs. C'est vrai que je suis très sensible sur certains sujets (ou peu trop d'ailleurs) et dès qu'il s'agit de sexe (en fin de compte, ici, il ne s'agit pratiquement que de cela puisque découverte de son propre corps mais aussi de celui des autres mis à "nu" ici mais qui se lit néanmoins assez vite et bien malgré tout ! Aussi, un avis vraiment mitigé pour cette lecture ! A vous de voir mais moi, à choisir de quel côté je fais pencher la balance, l'on va dire que je suis plus déçue qu'enthousiaste !
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