Jim Davis

Je ne suis pas une habituée de Garfield, mais mes petites-filles en sont fans, et j'ai donc profité pour lire cette B.D. et m'en faire une idée plus précise.



Il y a ici des histoires en une seule bande, d'autres qui font toute une page, mais elles sont bien repérées (titre Garfield en gros)

Une partie des gags porte sur Noël. Il y a aussi pas mal de sujets autour du Sudoku, et ils sont bien amusants.



Comme la plupart des B.D. constituées de courtes histoires ou de gags très courts, il vaudrait mieux les lire à petites doses, dans les magazines par exemple. Mais quand on tient la B.D., difficile de s'arrêter, on passe toujours à la suite, c'est tellement court !


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Je ne m'en lasse, ça me met de bonne humeur.

Le printemps nous réserve souvent de belles surprises mais parfois d'autres assez froides et pluvieuses. Pour oublier ces jours-là il suffira de jeter un oeil dans ce quarantième-septième album de Garfield qui est une réussite.



Après les araignées, Odie et Jon c'est au tour des oiseaux de subir plusieurs supplices. Ou plutôt un seul supplice (devinez lequel ?) mais agrémenté de sauces et chutes différentes. Les habitués auront déjà compris...



Si l'on rajoute de nouveaux gags faisant intervenir des bonhommes de neige (fin d'hiver oblige), un (trop court) passage à la ferme et les déboires sentimentaux de Jon (nous avons droit à du très lourd !) l'on aboutit à un ensemble qui redonnera facilement le sourire.

Une hirondelle, bien peu inspirée, vient ici annoncer le printemps. Mais avant cela, il faudra attendre que Noël se passe. Pour convaincre le père Noël de sa gentillesse et de son innocence, Garfield tente un argument… qui ne peut laisser ses fans indifférents ! Il faut bien ça, car Odie, Jon et les araignées lui fournissent autant de victimes pour exprimer sa mauvaise humeur.



Plusieurs gags sont ici franchement hilarants ! Bien que présenté comme un matou fort peu apprécié (notamment par les voisins, qui servent ici à introduire quelques gags désormais récurrents), Garfield parvient à se faire pardonner et à nous faire rire d’un bout à l’autre de cet album fort réussi.



Les mésaventures de Jon sont si originales et délirantes qu’elles ne peuvent qu’entretenir ce sourire qui ne quitte plus le lecteur. Il y a toujours pire que soi pourra-t-il en déduire…. Il n’y a donc aucune raison de bouder cet album qui est un grand classique de la série.

Il faut savoir que 'univers de Jim Davis et surtout de Garfield m'est familier. Je me souviens, lors de mes séjours en Angleterre dans la famille de ma mère avoir dévoré les premiers tomes dans la langue de Shakespeare. Si avec mes enfants j'ai de nouveau retrouvé Garfield à travers les dessins animés ( pas terribles ) et les films ( encore pire) j''étais tout heureux, de rouvrir, 20 ans après enfin une BD de mon chat de BD préféré.



Ce strip conçu uniquement pour distraire, basé sur la forte personnalité d'un
chat qui est gros, paresseux et cynique, revient dans ce cinquante-septième épisode au meilleur de sa forme. De l'humour typiquement anglais, pince sans rire et plein de sarcasme, comme j'en raffole.



Et avec ce tome numéro 57, je me suis aperçu avec délice que rien n'avait changé depuis les Garfield de mon enfance, et cet immobilisme a parfois du bon. Ici, rien n'a changé : ni la personnalité de ce chat, toujours indétrônable dans la paresse, l'égoïsme et la gourmandise et l'inventivité, ni les aphorismes qu'il profère ,ni ses compagnons d'infortune, du pauvre chien Odie, souffre douleur de Garfield en passant par Jon, son maitre pas bien courageux amoureux de Liz, une vétérinaire tout aussi cocasse.



Les vannes sont toujours bien trouvées, mélangeant humour noir et 'humour plus fin fin sont toujours présents. Et mes enfants à qui j'ai lu cette BD ont ri aux éclats au même endroit que moi et ont reconnu aussi que c'était plus drôle que la série animée. merci Garfield de nous détendre autant et vivement le tome 58 qu'on découvre tout ensemble tes nouvelles facéties.
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Un épisode de Garfield qui apporte à l'amateur tout ce qu'il est en droit d'en attendre.

De la paresse, de la nourriture, des comiques de situation à répétition, des side-kicks rigolos et des bons mots.

Quoi que...je ne trouve plus ça très drôle.

Oh, j'ai souri quelques fois mais je n'ai ni ri, ni pleuré de rire.

Et je dois dire que, en général, je ne suis pas mauvais public. Les éclats et larmes de rire sont, avec moi, quasi inévitables avec Calvin et Hobbes ou Marc Dubuisson.

Encore une BD qui ne me convient plus. Une de plus...

Quelques bons gags mais pas la majorité. Je préfère le trait simplifié et les strips des débuts mais cela manque d'humour et de variété. Je n'ai pas retrouvé la réparti inégalé de Garfield. De plus, on trouve quelques mots vulgaires qui m'ont choqué dans cette BD pour enfants.

Garfield est une énième série comique américaine autour d'un gros chat orange. Celui-ci est délicieusement méchant, féroce, égoïste, goinfre et paresseux ce qui donne lui à des gags ou à des réflexions philosophiques marrantes ou caustiques. Au fil du temps, Garfield est devenu le chat le plus cynique de la bd. Bref, tous ces défauts le rendent drôle. Il a rencontré un immense succès qui s'est d'ailleurs prolongé au cinéma dans une bien mauvaise adaptation.



Ce gros matou ne manque pas de tyranniser son entourage et notamment le pauvre chien Odie qui est devenu son souffre-douleur. Il est jaloux du petit chaton Nermal autoproclamé le plus mignon du monde. Il déteste les Lundi et les araignées. Ses principales occupations sont la chasse au facteur et ses récitals nocturnes. Il adore les lasagnes. A la place de son pauvre maître Jon, je l'aurais chassé illico presto.



On a vite fait le tour car les gags sont récurrents dans ces strips en trois cases. Un fond unicolore et des tons simples pour les coloris des différents personnages, ce n'est certes pas grandiose au niveau du graphisme. Le succès de la série s'explique ailleurs, on le sait bien. Tout d'abord par la qualité des répliques entre les personnages. Cependant, il y a beaucoup trop d'albums qui sont sortis et qui n'ont pas fait évoluer Garfield. C'est un peu dommage d'exploiter toujours les mêmes thèmes mais Garfield reste Garfield dans la plus grande tradition des anti-héros de la bande dessinée.



Personnellement, je préfère les chiens et notamment Snoopy. Cela n'empêche pas d'apprécier!

Loufoque, doté d'une logique égocentrique à toute épereuve... est-il envisageable que Garfield se mette à la diète... Non, cela relèverait de l'hérésie la plus totale. Mis en appétit, le lecteur s'attend à une floppée de gags sur la nourriture... Là, il faut faire une parenthèse: tous les gags de Garfield ne parlent donc pas de nourriture, de lasagnes et de pizzas? Non, en effet. Dans certains gags, il baffe Odie furieusement et avec un sens magistral de l'injustice.



On s'attend donc à des gags régimo-alimentaires... et bardaf! c'est l'embardée, car on a droit à une succession de gags sans le moindre fil rouge, et la plupart du temps sans rapport avec le titre. Personnellement, cela me défrise toujours. (c'est assez récurrent, dans le genre des BD à base de gags courts, on pardonnera donc Jim Davis)



Le point d'orgue du tome, où Jon apparaît finalement assez peu, c'est la rencontre de Garfield avec son grand-père. Il va en profiter pour en apprendre plus sur son enfance. Cela donne de savoureux dialogues, le grand-père étant également doté d'un humour à froid très décapant. A la question de Garfield "de quoi avais-je l'air quand j'étais petit", le grand-père ne répond rien. Garfield se corrige: "de quoi avais-je l'air quand j'étais jeune"... et là le grand-père répond. Le ton est donné.



Mais, hormis une dizaine de gags avec son ancêtre, le tome ne décolle pas vraiment. Je n'ai retrouvé cet humour vitriolé caractéristique de Garfield qu'à de trop rares moments. Et comme pas mal de BD en comic strips ou en gags courts, il faut éviter de lire tout d'une traite. Effet lassant garanti.

Pour se détendre, rien ne vaut un album de Garfield. C'est mignon et amusant. On s'attache aux personnages. Certains gags font une ligne, d'autres une page. On a plaisir de retrouver notre chat préféré !

Garfield chat paresseux, mais tellement gloutons.

Une très belle histoire, j'ai beaucoup ri.

Si rien ne vas, lisez Garfield et tout iras mieux.

Attention chat méchant ! Félin sournois même, vicelard...une vraie teigne carrément fainéante. Vous l'aurez reconnu bien entendu ? Allez, encore un indice : si je vous dis...lasagnes ! Facile, non ? On parle de Garfield évidemment ! Nouvel album dans lequel celui-ci terrorise ses victimes favorites, les pauvres Jon et Odie.

Ce vingt-septième album de la série est une déception. Ce constat démarre avec un titre bien mal choisi. Celui-ci laisse entendre le doux murmure des vacances... que nenni, puisqu'un seul gag est consacré à la mer (et un autre à la route vers la ferme).



C'est Odie, qui malgré lui, est au centre de cet album. Sa présence est presque aussi importante que celle de Jon et de Garfield. La chose est plutôt étonnante pour un personnage quasi muet. Les thèmes évoqués sont restreints et très sélectifs : l'ego de Garfield, son humeur à nulle autre pareille et... quelques petits extras : les araignées et autres victimes du célèbre prédateur de salon (ainsi le facteur) ainsi que le régime tiennent le haut du pavé.



L'impression de déjà-vu est quasi permanente. Au moins celle-ci ne dure pas, car l'album est court. Certains gags tiennent sur une page mais avec un dessin qui occupe le quart de l'espace à chaque fois. Dans d'autres cas, il faut compter deux gags par page. Le manque d'inspiration est évident.



Garfield se la coule douce n'est pas un album qui laissera un souvenir impérissable. L'impasse peut être faite sans trop de regret, tant les sourires sont rares.

Premier tome des aventures de Garfield, chat cynique, gourmand et fainéant (c'est un chat, quoi), de Jon, son maître un peu loser et d'Odie, chien joyeusement idiot. Si comme moi vous les avez découverts dans le désordre le plus complet, vous serez surpris par l'évolution du dessin, l'humour, lui, est toujours aussi mordant au fil des albums.

Ceci est un livres vraiment drole quand j ai ;lu ce livre j ai tout de suite penser a mon chat exactement comme garfield gourmand toujours pret a sauter sur la nourriture qui va tomber par terre je vous conseille de lire toute j ai bien dit de lire toute la collection de Garfiled



BONNE LECTURE !

Premier tome du célèbre chat adorateur de lasagnes et de siestes.

Je redécouvre ce personnage de mon enfance et cela me fait toujours autant rire.

Ça se lit rapidement et ça fait sourire.



Le dessin est simple mais plaisant.

Même en étant Team chien c'est toujours un drôle de voir Garfield malmené le pauvre Odi

Garfield serait-il bien luné ? 



Ce titre est bien étrange pour ce 73è album du chat créé par Jim Davis en 1979. Peut-on le considérer comme un lunatique ou quelqu'un qui est d'une constance exemplaire. Je pencherais pour le second choix car niveau cynisme, c'est le roi ! Il ne dévie pas d'une ligne quand il peut se moquer de son maître John ou embêter Odie d'un grand coup de patte au derrière. La constance est de mise également pour le duo gagnant : dormir-manger. Pizzas, sandwichs maisons mais également régime seront au menu dans ce tome. Quant à la sieste, elle risque d'être dérangée quelque peu car il va devoir accueillir dans son panier des souris expropriées par John… 



Les strips n'égalent pas les gags des premiers albums. Il y a eu tellement d'idées de la part de l'auteur qu'il devient difficile d'exceller à chaque fois. Néanmoins, quelques strips m'ont fait bien rigoler et quelques autres m'ont fait sourire. Une bonne lecture détente et toujours agréable à lire. 



Lu et chroniqué sur iznéo

La période des fêtes de fin d’année est particulièrement propice à la résurrection de vieilles traditions, avec lesquelles nous renouons avec plaisir. Pour les bibliophiles, il y en a une en particulier qui sera faire plaisir : se plonger dans les gags de Noël de Garfield.



Editer une compilation sur le sujet est un choix logique, purement commercial… mais il faut bien se l’avouer qui reste une tentation à laquelle il est difficile de résister. Les éditions presses aventure ne se pas trompées.



A première vue, le recueil ne suscite pas forcément l’envie : prix refroidissant, petit format, couleur criarde en première de couverture, beaucoup d’illustrations… et pourtant ! Le recueil compte une bonne centaine de pages. Certes émaillées de dessins, de pages de garde… mais le livre nous propose quand même un certain nombre de gags.



Ceux-ci sont variés : il est difficile de s’ennuyer même si l’éditeur a fait un effort pour tenter de regrouper les strips qui sont plus au moins apparentés. Le sujet de ne limite pas forcément à Noël ou à la mangeaille comme le laisse entendre le titre. Il va être question de l’avent (façon Garfield), de la décoration de la maison, de l’attente, des cadeaux, du réveillon de nouvel an, de la ferme, de l’hiver… Si les personnages secondaires ne sont pas à la fête le sujet est suffisamment vaste pour occuper son lecteur et le toucher au cœur.



L’album s’adressera essentiellement aux jeunes qui ne connaissent pas Garfield (au risque de supporter des redites dans le cas contraire) mais surtout aux anciens, qui auront le plaisir de découvrir des gags issus des nouveaux albums. Pour ce qui est de plus anciens (comprendre par-là, les premiers de la série), il faudra se contenter d’anciennes compilations (pas forcément consacrées à Noël d’ailleurs).



Festin de Noël se révèle être au final une très bonne surprise, à lire pendant les fêtes (mais après avoir décoré son chez soi).