Jim Davis

Et une de plus dans ma collection, cela ne loupe pas à chaque parution je complète ma bibliothèque.



Je passe un bon moment cependant assez court au prix de la bande dessinée actuellement je me rappelle avoir acheté les premières bandes dessinées pour moins de 10 euros ce qui n'est plus le cas actuellement.



Un Garfield toujours au niveau surtout pour les fêtes de fin d'année qui approche dans cet opus.

Le titre l'annonce : Garfield ne se mouille pas ! Pourtant, voici un titre qui annonce mal le programme parce que justement Garfield va se mouiller.



Adeptes du chat orange aux rayures noires amateur de lasagnes rassurez vous : il ne s'agit que d'une expérience désagréable ! Le temp de voir passer un conflit avec Jon pour lequel le matou n'est pas aussi innocent qu'on pourrait le croire à première vue. Ce titre qui tombe mal, cette mauvaise expérience sont, hélas, révélateurs, de ce qui nous attend ici.



L'album n'est clairement pas l'un des meilleurs de la série : le titre n'est pas adapté, la première de couverture non plus. Le recueil qui nous est proposé fait partie de ceux qui tentent de rompre avec ce qui pouvait passer un rythme immuable. Ici nous avons droit à des gags qui tiennent en une page, en une demie page, voire avec une page... mais toujours avec un nombre de case original. Belle initiative, mais qui peine à convaincre.



Ce changement de rythme n'est ici clairement pas maîtrisé. Il faut parfois (et dès la première planche) s'y prendre à plusieurs reprises pour comprendre le gag. Certaines cases n'offrent pas d'intérêt... Tout cela semble au final assez mal confectionné.



L'album, même s'il est peu inspiré, ou justement à cause de cela nous offre une lecture rapide, qui ne prendra pas beaucoup de temps, mais qui hélas ne restera pas dans les esprits. Un album à éviter donc.

Et une nouvelle petite bande dessinée Garfield en ma possession, J'ai donc commencé le week-end dernier avec cette petite bande dessinée.



On retrouve ici un petit peu tous les personnages de ce comic strip.



Une lecture toujours divertissante mais la recette de base reste toujours la même.

« Un peu, beaucoup, à la folie » … Je poursuis : « Pas du tout ! »



Je n’ai jamais apprécié l’humour de Jim Davis… Et ça n’est pas près de changer. Je me suis ennuyé comme un rat mort et cet humour ne m’a même pas fait esquisser un sourire.

Un bon cru de Garfield avec des planches concernant Noël, on retrouve ici avec plaisir Garfield, Odie, Liz et Jon.

Garfield a quinze et garde toutes ses dents… Garfield, n’oublie pas sa brosser à dent nous offre un condensé de ce que Jim Davis fait de meilleur. De nombreux gags qui sont présentés ici ont d’ailleurs été repris dans divers compilations. Fort heureusement, la grande variété nous accorde toutefois des inédits et de belles découvertes.



L’album est ici classique (trois cartouches par gag, au nombre de quatre par planches). Les thèmes sont assez nombreux (la nourriture, les lundis, les sorties de Jon, l’ennui, le sommeil, les sévices infligés à Odie et au facteur….). Certains sont à peine évoqués (les araignées, les visites chez le vétérinaire)? d’autres oubliés (les vacances, les visites à la ferme, les pizzas et les lasagnes) et d'autres font leur apparition (l'achat d'un frigidaire).



Voici un album qui peut être mis entre toutes les mains. A acquérir pour succomber au charme du célèbre matou ou à offrir sans hésiter !

Dur de la feuille est un album on ne plus classique de la série Garfield. Les grands thèmes habituels sont évoqués : le régime, les araignées, les souris, les mésaventures amoureuses de Jon, les vacances. A une exception près, nous n’avons rien de bien nouveau ici.



A une exception près ? Celle-ci est pour le moins limitée et ne concerne qu’un seul daily strip. Trois cases cela fait donc peu. Il n’en demeure pas moins étrange de voir Garfield, Jon, Odie et les voisins présentés sous un angle pour le moins inhabituel.



Dans l’ensemble, ce trentième album parvient à nous mettre de bonne humeur, à nous redonner le sourire. Il nous offre même quelques francs éclats de rire. Dommage toutefois que ces réactions joyeuses demeurent trop erratiques. Nombre de gags restent trop inégaux et rien de transcendant ne semble retenir notre attention.

Un Garfield hors série que je n'avais pas à ma collection qui date pourtant de 2018 à l'occasion des 40 de ce célèbre chat.



Il regroupe principalement des comics strip du passé regroupant les différents anniversaire de Garfield donc il n'y a pas d'inédits ou de nouveautés dans cet opus à mon grand regret.



Il n'est donc ni bon ni mauvais à mes yeux mais plutôt concentré sur un seul thème.

Ce premier tome de la série Garfield a beau dater de la fin des années soixante dix, il n'a pas pris une ride, et son titre est même totalement d'actualité en cette période de sortie de confinement ! D'ailleurs, l'illustration de couverture m'a fait cruellement penser à ma reprise du tennis après 3 mois d'interruption !

On découvre donc le personnage de Garfield, chat paresseux, gourmand, malin et caustique, son maître Jon, le chien Odie, et on sourit à chaque strip !

Garfield fête ses 24 ans à l'occasion de ce quarantième album ! Et effectivement, le célèbre matou fait le poids !



L'album est clairement placé sous le signe de l'amusement. Pas de lundi, ni de régime, ni de sport : Garfield est vraiment à la fête. De nombreuses piques suscitent une franche rigolade, ce qui démontre une nouvelle fois le talent de Jim Davis malgré ces nombreux albums.



Les gags en une page cassent la dynamique du sacro-saint rythme des trois cases. Ces histoires qui n'en sont pas vraiment donnent l'impression qu'elles auraient pu gagner à être résumées. Très honnêtement elles donnent même l'impression de faire du remplissage.



Voici donc un album, qui propose des gags amusants et qui se laisse lire de manière plaisante, surtout en été. Dommage que ce rythme ne soit pas tenu jusqu'à la fin...

La série de bandes dessinées Garfield reste un classique du genre. Il faut certes aimer les BD de type "une ligne, une blague" ou parfois "une page, une blague" sans réelle histoire suivie. Reste que ce gros chat orange grognon qui se prend pour un autre fait sourire. C'est déjà très bien!

Garfield est de retour pour une 76 eme aventure du même acabit que les précédentes.



J'ai été le chercher dès sa sortie fidèle à mon habitude, une petit friandise avant les fêtes de fin d'année qui fait passer un bon moment.



J'aime toujours autant retrouver les mêmes personnages dans ces lectures

Le retour de ma madeleine de Proust, j'ai beaucoup aimé cet opus, cela se lit toujours aussi rapidement.



Les dessins me plaisent toujours autant, certains personnages sont manquants ici mais cela ne m'a pas gênée.



Un de plus dans ma collection, il va falloir commencer à pousser les murs vu le nombre de bande dessinée.

Lorsque l’on entame la lecture d’un album de la série Garfield, l’on sait à peut près à quoi s’attendre. Le tout est de savoir choisir un bon cru.



La liste des albums est longue et la première couverture n’est pas indicateurs des plus utiles, puisque la thématique est indépendante du reste de l’album.



La faim justifie les moyens entre sans contestation possible dans la catégorie des albums qui cochent toutes les cases attendues. Garfield va devoir tout mettre en œuvre pour assouvir sa gourmandise, souvent au détriment de son maître Jon, qui lui tentera tout ce qu’il peut avec les moyens dont il dispose pour trouver l’âme sœur et va donc vivre des moments difficile…



Les araignées, les souris, Odie seront bien de la partie. Le lecteur aura même droit à un court passage par campagne. Il manque peut-être un intermède à la ferme pour que la boucle sous pleinement bouclée… mais le programme est largement assez chargé.



Il faudra également compter avec l’arrivée fort appréciée et particulière réussie d’un chat stagiaire ou apprenti chat.



Les exemples sont nombreux pour confirmer que La faim justifie les moyens est un album agréable, facile à lire que l’on ne peut que recommander pour prendre connaissance avec la série, reprendre connaissance ou pour faire un cadeau.

Et une bande dessinée de plus de Garfield en ma possession la petite dernière, je vais devoir pousser les murs car nous en sommes déjà au tome 73.



Je dois avouer que cela reste ma madeleine de Proust et que je précommande et lis de suite dès réception les dernières parutions.



Même si le côté cynique de ce célèbre matou a bien disparu, je retrouve avec plaisir ce célèbre félin accompagnée de sa petite bande.



Une bande dessinée du même niveau que les tomes précédents ni mieux ni moins biens.

Fidèle a mon habitude j'ai acheté cette bande dessinée afin de compléter ma collection avec beaucoup plus de retard que d'habitude cependant.



J'ai passé une petite vingtaine de minutes divertissantes mais Jim Davis a tout de même rendu à mon sens Garfield beaucoup plus lisse et sage que dans ses premiers opus.



De même ici quelques petits strips sur la période de Noël mais qui sont beaucoup plus lisses également, plus de lait de poule, de famille de Jon cela manque un peu au récit à mon sens, de même que la non apparition de Nermal ou Arlène.

Toujours une joie de retrouver l'univers de Garfield. Ces albums arrivent toujours à me donner le sourire, et celui-ci n'y fait pas exception. Les thèmes chers à Davis sont toujours présents : le régime, la peur des araignées, les mésaventures amoureuses et j'en passe... Chaque fois de petits instantanés, pas tous égaux, mais qui relatent un quotidien dans une petite maison où Garfield est roi. Un bon moment !

Les Indispensables de la BD offrent l’occasion de mettre la main sur des albums à moindre coût et il est difficile d’y résister, surtout lorsqu’il s’agit d’une série pléthorique. L’opportunité se transforme en aubaine, lorsqu’on nous propose un album qui vaut le détour. Garfield mange plus vite que son ombre mérite qu’on l’achète à moindre ou à plein tarif.



Sans réelle surprise et malgré une première de couverture franchement sympa, il ne sera pas question de western ici. Autant mettre cette approche-là de côté, bien qu’elle aurait pu donner lieu à des développements intéressants. Le casting est par ailleurs centré autour de Jon, Garfield, Odie et de Irma ainsi que de quelques figurants.



Nous avons affaire à un album de facture classique avec des gags en trois cases. La première partie est peut-être la moins immersive, bien qu’elle s’intéresse à des thèmes qui jusque-là faisaient l’objet de gags isolés : les tenues de Jon, la télévision, le café. Si certaines vignettes sont amusantes, elles ne sont pas transcendantes pour autant.



La page 20 tournée, les choses changent de manière radicale. Les chutes imprévues, les bons mots, le comique de situation bien tourné nous amènent à de véritables éclats de rire. Garfield s’adresse d’ailleurs à plusieurs reprises au lecteur, franchissant ainsi une nouvelle frontière. Plusieurs thèmes complémentaires (dont Noel et l’hiver) sont autant de prétextes à des situations cocasses.



Après un démarrage poussif, qui a le mérite de tenter la carte de l’originalité, l’album révèle son potentiel au fil des planches qui sont tournées avec un plaisir allant toujours croissant. Bien que nous restons dans une bande dessinée tous publics, certains gags pourront poser des problèmes de compréhension à des enfants, justifiant donc une lecture à plusieurs paires d’yeux.

Garfield serait-il gourmand ? Sa célébrité permet de répondre facilement avec un risque d’erreur assez faible. Comme vous l’aurez compris, il va être question de repas, de gourmandise (de régime forcément) mais pas seulement...



Plusieurs thèmes récurrents viennent s’inviter à la fête dont deux nouveautés : les pelotes de laine et la fête d’Halloween ! Quelques-uns (dont la fête de Noël, les mésaventures de Jon, la télévision, les sévisses infligés aux autres animaux) prennent d’ailleurs pas mal d’importance. Une seule déception doit être mentionnée : certains gags tiennent en une page. A une exception près ceux-ci cassent le rythme et déçoivent.



Le résultat est assez amusant et permet de passer un bon moment. Un album à recommander donc !

Dans la pléthore d’albums de la série Garfield, voici un titre qui peut justifier un achat ! Cette bande dessinée offre un bel aperçu des thèmes qui ont contribué au succès de la série et notamment la mise au régime du héros aux pattes pourtant si maigrelettes.



Une sélection a été opérée, laissant de côté certaines thématiques pourtant récurrentes. Quelques nouveautés viennent par ailleurs faire leur apparition : les mouches (qui tentent - à leur corps défendant - de remplacer les araignées) et… les pancartes d’avertissements, car même si certains chiens se cachent derrière, voici un nouveau prétexte à gags.



Le rythme est parfois un peu différent. A intervalles réguliers, certaines historiettes se déploient sur une planche complète… ce qui est assez regrettable et du coup explique l’absence de virées à la ferme par exemple. Bien souvent ces moments-là sont hélas caractérisés par un manque d’inspiration.



Si ce n’est pas le meilleur album de la série, Devine qui vient dîner ce soir ? reste une bonne pioche ! La confrontation des deux Garfield étant un temps fort sur lequel les fans (et les futurs adeptes) ne peuvent faire l’impasse !