Jim Davis

Garfield est-il sur la mauvaise pente ?



Ce vingt-cinquième album permet de dire qu’il reste égal à lui-même : angoissé à l’approche de son dix-septième anniversaire, toujours aussi gourmand, dormeur de haute volée, caractériel au possible, égocentrique à souhait, tortionnaire à l’envie. Si le lecteur passe un moment très agréable (bien que court, vu le format de l’album), ce n’est pas le cas de Jon, Odie, des araignées et autre espèces qui ont le malheur de croiser le célèbre matou.



De facture classique (quatre gags en trois cartouches par planche), l’album regroupe un bon nombre de thèmes chers à la série, à l’exception notable des lundis. Certaines cases permettent même d’évoquer les fêtes et les vacances. Le mélange est plutôt inattendu et assez déstabilisant, l’éditeur aurait pu au moins effectuer une sélection pertinente. Il d’ailleurs un peu question de neige mais sans réelle insistance.



Plusieurs passages ont été repris dans différentes éditions "hors collection". La raison est toute simple : il s’agit de gags cultes ! L’inspiration de Jim Davis fait ici des merveilles. Autrement dit, il s’agit d’un classique qui mérite d’être acheté, lu, collectionné ou tout simplement offert.

Garfield s'apprête à fêter son vingt-cinquième anniversaire. Très impressionné et honoré, voilà le célèbre matou bien décidé à changer ses habitudes et à commencer une nouvelle vie... J



Jim Davis aurait pu exploiter cette piste... mais fort heureusement il n'a pas pris le risque. Ce tome 37 est un album classique sans réelle innovation. La seule surprise tient au format des gags : certains tiennent sur une page d'autres sur trois cartouches. Le rythme est trop soutenu et la lecture est trop rapide, pour ne pas dire expéditive. Quelques minutes suffisent pour arriver à bout de ces 48 pages.



Cette rapidité tient au fait que de nombreux gags sont surtout illustratifs, sans texte. Dommage ! Une impression de vide assez désagréable est heureusement compensée par les thèmes évoqués qui plairont aux fans. Toutefois, l'anniversaire n'est ici qu'un prétexte commercial, à peine exploité. Il est également regrettable de constater que ni les lundi, ni le régime ne sont ici évoqués...



Malgré tout, C'est la fête ! est un album agréable, qui ne manque pas d’imagination ni de bons mots. Le rire et la bonne humeur sont au rendez-vous. Le titre plaira davantage aux fans qu'aux non initiés.

Et ne rien faire.



J'ai toujours aimé Gardield ce chat paresseux Philosophe à ces heures perdues et surtout quand il ne mange pas de lasagne.



Dans ce tome Garfield à de vrais préoccupations d'adultes et tous les clichés qui vont avec : il n'aime pas les lundis, il ne peut pas sortir de son lit sans une triple tasse d'expresso bien corsé .



Bref c'est drôle et attendrissant, mais pour le coup pas tellement pour les enfants.



Sympa !

Pour une fois, un album de Garfield porte bien son nom : Ça déménage. Parce qu’effectivement il va falloir accrocher sa ceinture, car il va y avoir des turbulences. La première de couverture n’est pas forcément adaptée mais qu’importe.



La matière présentée ici vous dira quelque chose, surtout si vous avez déjà pu acheter des recueils, compilations, ou « best of ». Et pour cause : de nombreux gags (surtout pour la première partie), ont été repris dans d’autres supports, preuve qu’ils sont bien considérés et révélateurs de la série.



Il faut dire que le choix est pertinent car dans l’ensemble les gags sont particulièrement inspirés. Nous avons droit à panel complet : nourriture, sévices aux animaux, célibat de Jon, fêtes de fin d’année, les chiens, le régime, même Nermal fera une courte apparition.



Le côté redondant de cette lecture est atténué parce que les gags sont drôles, mais surtout parce que la deuxième partie du volume a été nettement moins exploitée, laissant la place à de belles découvertes.



Voici donc un bon cru, qui vous dira peut-être quelque chose mais qui reste fort réussi et agréable à lire !

Qu'il est bon de renouer avec ce chat aigri et gourmand ! Même si Jon est désormais sorti du célibat, et a un portable, on retrouve notre Garfield avec tant de plaisir !

En bonne collectionneuse que je suis cette bande dessinée à peine sortie elle est déjà achetée et lu.



Comme le titre l'indique Garfield voyage léger et il est surtout de moins en moins sarcastique ce qui manque quand je relis les premiers albums, ce personnage est devenu beaucoup plus axée sur la jeunesse comme le montre les adaptations en film ou dessins animées.



Je regrette les réparties de moins en moins acerbe de Garfield et le fait que la relation entre Jon et Liz se soit concrétisé.



Un cru plus ou moins égal à ceux des dernières années sans surprise et sans répartie fulgurante mais qui pour moi reste ma madeleine de Proust niveau bande dessinée.

Les yeux plus gros que le ventre est le troisième tome de la série des Garfield.

J'adore ce gros matou, très gourmand (notamment de lasagnes), et qui en effet n'a aucun mal à avoir les yeux plus gros que le ventre :)

J'ai trouvé cette bande dessinée amusante, réussie. Classique, et sympathique :)

J'ai rit plusieurs fois, j'ai passé un bon moment avec ce gros chat et c'est avec plaisir que je mets quatre étoiles :)

Effectivement, comme l’indique le titre de cet album, Garfield à une idée géniale. En l’occurrence, il s’agit de fêter Noël et son anniversaire (le vingt-et-unième à l’époque), d’accueillir d’une manière toute particulière Nermal, de se remettre à la chasse aux oiseaux et aux araignées avec un certain sens de l’humour, d’être coursé par les chiens du quartier... La présence des lundis permet de compenser l’absence d’un régime. Garfield n’est pas le seul personnage concerné : Jon vit également certaines (més)aventures.



Le programme est donc chargé pour un tome qui respecte le canon habituel de Jim Davis. Il nous gratifie toutefois de quelques nouveautés. La plus importante compte une série de gags qui présentent Garfield comme la terreur du quartier. Le facteur n’est pas le seul à subir ses facéties. Certaines se déroulent même dans la neige avec certains bonhommes de saison…



Voilà donc un bon cru, dont la lecture est tout aussi agréable que relaxante. A garder pour les moments de déprime.

Un album de Garfield, c'est toujours synonyme de nourriture, de cynisme, de sieste et de procrastination. C'est souvent une succession d'échanges cyniques avec son maître. Ici, en prime, on a Liz, la copine de Jon et elle s'en prend quelques tranches aussi. Surtout devant la télévision pour des séries "girly". J'ai trouvé que, quand même, le fleuret de Garfield était bien plus moucheté que d'habitude. On n'a plus le côté cinglant des répliques. C'est plus lisse.



J'ai même eu le sentiment que Garfield était moins gros... hérésie. Par ailleurs, il ne mange que des pizzas... où sont les lasagnes...?



De plus, personnellement, je n'ai pas compris la couverture ni le titre de la compilation. le tome reprend des gags (strips) de novembre à mars. On a donc quelques gags sut Thanksgiving, sur Noël, sur le Nouvel An et les cadeaux, et sur le froid de l'hiver... Rien sur le sport.



En général, les gags de Garfield sont des strips en 3 cases, sauf 1 fois par semaine où on a un gag en pleine page. de nouveau, on peut souligner le décalage entre ces gags d'1 page (qui datent d'octobre) et les strips qui vont de novembre à mars. C'est dommage même si les gags sont toujours conformes au personnage.

Garfield est sans nul doute synonyme de gourmandise, d'orgueil, de mauvaise foi, j'en passe et des "meilleures"... alors partir sur la nourriture (en ce compris les énormes quantités ingurgitées à Noël), c'est un bon filon.



Quiproquos, répliques 100% mauvaise foi, petits mensonges, paresse organisée, tous les travers de Garfield y passent pour notre plaisir. Ses défauts le rendent "humain", c'est normal, nous nous y reconnaissons.



Un tome qui passe fort bien.

Que Garfield ne manque pas d'air, ses fans vous le diront facilement : il n'y a rien de véritablement bouleversant dans cette affirmation. Quelques gags vous en diront bien long. Toutefois si vous ne connaissez pas encore le célèbre matou mieux vaudrait commencer par un autre album, histoire d'acquérir quelques connaissances indispensables.



Comme souvent, le dessin de la première de couverture n'offre pas vraiment de lien avec les gags qui sont rassemblés ici. D'autant que cette fois-ci ce n'est pas Garfield qui prend de la hauteur, mais son papa : Jim Davis.



Pourquoi ? Et bien parce que cet album nous réserve une véritable révolution dans l'univers garfieldien. En fait, il s'agit ici d'un album de référence qui plaira aux fans. Les adeptes qu'ils aient pris de la distance, qu'ils soient fâchés avec la série, ou aient abandonné, doivent lire cet album.



Promis, il y a ici un bouleversement majeur qui apporte un second souffle à la série et lui donne une orientation plus adule. Vous m'avez compris ? Il va être question de la vie de célibataire, "la vraie", mais pas seulement...

Vous imaginez Garfield faire du sport, réussir à convaincre Odie, après fait une énième entourloupe à Jon, pour monter une équipe de basket ? Imaginez-vous encore les résultats que peut espérer une équipe aussi prometteuse ? Vous n’y arrivez pas ? Même avec un (grand) effort d’imagination ? Bon vous n’êtes pas la/le seul(e) visiblement…



Garfield va au panier doit être lu en période de préparation de Noël, car une part importante des gags est liée à cette période bien particulière de l’année. Les chutes et thèmes retenus pour cette thématique sont assez bien inspirés et sont suffisamment classiques pour plaire aux adeptes. Les autres thèmes sont moins réjouissants car il est ici surtout question de sévices infligés aux araignées, aux oiseaux (pauvre petit oisillon), seules les souris font exception à la règle.



Certains gag sont hilarants, tandis que d’autres nous permettent d’esquisser un timide sourire. Le rythme est assez inégal. Toutefois, voir Garfield s’adresser à nous directement est un vrai plaisir. Une histoire est tout particulièrement rigolote. Mais le coût pour y avoir accès est quelque peu prohibitif !



Plusieurs histoires ont droit à une planche complète… du moins six cartouches plus un plus grand qui n’apporte rien. Ce découpage est assez peu inspiré et donne justement l’impression que l’inspiration n’est pas au rendez-vous. Nous finissons donc cette lecture, fort rapide, sur une appréciation mitigée. Les choix malheureux de l’éditeur français (mise en page, première de couverture et titrage) ne font que renforcer le sentiment de déception.

Du ragoût d’araignée ! Du ragoût d’araignée ! Qui en veux ? Personne ! Bon ben ça m'en ferra plus pour moi... pourrait s'exclamer notre cher Garfield dans cet album, qui ne consacre aucune page à Halloween ou aux sorcières, mêmes charmantes et bonnes mères de famille. En revanche, il quelques gags concernent… Noël. Logique !



Il est ici souvent question d’araignées. Croyez-vous que Garfield puisse être amené à passer un marché avec elles ? Et pourquoi ? Est-ce seulement possible alors qu’il les tourmente avec une ingéniosité rare ? Autant de raisons pour avaler à très grande vitesse les gags de cet album qui se révèle plaisant. Pourquoi ? Tout simplement parce que le principal intéressé se révèle de bonne humeur, malgré la menace d’un régime.



Si nous avons affaire à un titre standard, mais pas à un incontournable car il manque beaucoup de thèmes attendus, les quelques pages se lisent rapidement et n’ont d’autre prétention que de redonner le sourire au lecteur. Pari tenu !

Garfield se présente à nous dans un bien curieux accoutrement ! Pour en connaître la raison, il faudra lire cet album.



Garfield dort sur ses deux oreilles peut ici servir de maxime, car il est surtout question de la capacité dudit protagoniste à dormir, manger et à être d’une humeur qui lui est propre. D’autres thèmes sont aussi évoqués, mais ceux-ci ont manifestement la préférence de Jim Davis et plus prosaïquement de l’éditeur français : Dargaud.



D’autres sujets fort bien connus des lecteurs font également leur apparition de manière plus au moins allusive : les souris, la télé, les araignées, les lundis, le facteur… Et cerise sur le gâteau : nous apercevons même Jon en galante compagnie... et contraint de devoir mettre un terme à une idylle naissante !



Bien que la forme des gags soit classique (quatre gags de trois cartouches par planche), les thèmes évoqués étant assez restrictifs, l’album s’adressera davantage aux fans qu’aux non-initiés.

Ce 35ème tome des més(aventures) au format comics-trip du célèbre matou orange n'est hélas pas le meilleur de la série. Les gags sont plutôt amusants dans l'ensemble et certains suscitent de véritables accès de rire. Mais dans l'ensemble, il n'y a rien qui marque véritablement l'histoire et le tout reste un brin pauvret.

Aucun fil rouge ne préside aux choix des planches ici réunies. Il faut toutefois remarquer que Jon en prend pour son grade, le pauvre. Et ses costumes sont toujours aussi... originaux ! Les araignées, les poissons et un restaurant fort connu pour sa mauvaise réputation sont les thèmes récurrents de cet album qui ne convainc pas vraiment. A réserver aux fans.

J'arrive de plus en plus à rentrer dans l'univers de Garfield. Au début cela me rebutait un peu les histoires sur une ligne, mais on s'y habitue apparemment ! A voir au fil des autres bandes dessinées.

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Je classe Garfield au rang des comics les plus intéressants, un cran en-dessous des Peanuts, de Calvin & Hobbes et de Dilbert. Son penchant pour la nourriture, cette mauvaise foi crasse, sa fainéantise, son orgueil... le rendent profondément humain. Nous contemplons nos propres défauts dans ce gros matou matois. Et pourtant, il se fait parfois berner, par son maître ou son ami le chien baveux. Et de nouveau, cela le rend très semblable à nous. C'est cela qui fait le charme de Garfield, même si ni le titre, ni la couverture n'évoquent rien par rapport au contenu du tome.

Petite BD bien sympathique à lire

Garfield est né le en juin 1978 dans la cuisine du restaurant italien. C’est un personnage qui aime manger, dormir, embêter son maître Jon et son camarade le chien Odie.

Le nom de Garfield vient du grand-père de l’auteur «James Garfield Davis ».

Comme je le dis souvent, on aime ou pas, moi j’adore cette humour ou le maître « Jon » ne comprend ce que dit Garfield car il parle au travers de bulles de pensées. En revanche, ça marche avec les autres animaux.

Livre de lecture pour enfant, pas sûr !!

En tout cas, je vous les conseille et bonne lecture.

J’ai apprécié

Gag pas très poussé... Pas top