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Critiques de Jimmy Guieu (63)
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Les kidnappeurs d'un autre monde : 60 survi..

Novice dans le domaine de la S.F, je n'ai aucune connaissance sur les extraterrestres et je n'ai jamais été attirée par ce type de récit, donc aucune idée préconçue. Mon avis ne changera pas après la lecture de ce livre, ni dans un sens ni dans l'autre. J'ai d'ailleurs moyennement apprécié ma lecture. La première partie : l'histoire ou plutôt la genèse de l'ufologie m'a très peu intéressée. Le récit des enlèvements bien que peu ordinaire m'a paru terriblement redondant et répétitif d'où une certaine lassitude. Moi qui lis généralement 2 à 3 livres par semaine j'ai mis 5 jours pour venir à bout de ce livre. La conclusion n'est qu'un résumé de tout ce qui a pu être dit tout au long du livre, alors certes c'est un point de vue intéressant mais plusieurs éléments me chiffonnent trop pour accepter purement et simplement cette version des kidnappings d'humains par des extraterrestres.
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Chasseurs d'hommes

Et un livre de Jimmy Guieu de plus et un livre où je reste sur ma faim de plus.



Le récit présente un homme qui se retrouve possesseur d'une lettre donnant des preuves des extra terrestres parmi nous. Cette lettre donnera lieu à une course poursuite contre ces extra terrestres qui comptent bien conserver leur présence secrète.



Alors comme d'habitude la psychologie des personnages n'est pas élaborée. Il y a les gentils, les méchants et le pauvre mec qui se retrouve là dedans alors qu'il n'avait rien demandé. D'ailleurs le mec en question est utilisé sans vergogne par les gentils pour accéder aux méchants mais ... Ca ne semble pas le déranger.



En commençant le livre, je m'attendais à un autre type de développement. On commence avec la rencontre de Ronald Holloway ( le mec qui se retrouve là par hasard ) et d'un clochard. Les deux vont à l'hotel suite à la récupération d'un portefeuille et ... Le clochard tente de se suicider.

Littéralement son personnage qui a été introduit proprement est évacué comme un déchet de l'histoire et ça ne semble intéresser personne.

De même, je vais spoiler un peu, mais à la fin on apprends qu'une centaine de morts sont à déplorer à New York mais ça ne semble pas trop toucher les personnages. Alors que bon, c'est un détail hein, mais la centaine de mort est due à ces personnages et leur stratégie.



Bref, en dehors de cela on a le droit à une poursuite en rêgle et un complot pour reprendre le pouvoir sur une race d'extraterrestre hostile alors qu'en face les gentils extra terrestres tentent de lutter contre eux.



Je dois avouer que j'ai été surpris par certains aspects mais ceux ci devaient faire partie de la SF anglosaxonne et aller de soi pour l'auteur. Ainsi on découvre qu'il y a des men in black qui se baladent avec une sorte de stylo leur permettant de reprogrammer le cerveau des personnes présentes.



Au final, un livre moyen qui ne donne pas l'impression de se terminer. Jimmy Guieu aime bien exposer ses points de vues concernant la science, ce qui donne lieu à des passages plutôt intéressants, mais en dehors de cela ses récits sont toujours bancals.
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Le rayon du cube

Jimmy Guieu est un auteur qui a été très prolifique mais je ne peux pas dire que ses écrits soient forcément transcendants.



Ce roman narre les aventures de scientifiques venus faire des fouilles dans l'archipel d'Hawaii mais qui se trouvent confrontés à une force belligérante.



Alors que dire ? Le début est assez laborieux et fait daté dans son écriture. L'idée d'un cube tueur est intéressante et plutôt bien utilisée mais je n'ai pas compris à quoi servait les curseurs pour les homuncules. C'est bien pratique dans le scénario mais quand on y réfléchit ça n'a pas de sens.

L'auteur truffe le récit de notes de bas de page appuyant la légitimité de certaines découvertes. C'est intéressant et en même temps on est dans de la fiction, je ne sais pas si c'est tant pertinent que ça.



Bref, il faut attendre le dernier tiers pour que le roman prenne une direction inattendue ( expliquant que je l'ai bien noté au final ). Je vais vous spoiler donc si vous n'avez pas lu le livre, passez votre chemin sur cette partie.

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Prisonniers du passé

Une équipe de scientifiques est prise dans un repli spatio-temporel et se retrouve dans le passé. Elle en revient de la même façon sans dommage. Ce phénomène se reproduit à Paris (avec les mêmes acteurs), mais sortis du périmètre, ils restent coincés dans le passé. Ils sont enceinte une fois sauvé par l’utilisation d’une machine à remonter le temps. Et ça recommence, cette fois ils sont bloqués vers les -2000 avant JC. Leur machine est en panne et ils ne peuvent plus revenir. Ils décident d’aider les populations primitives en leur apportant technique et connaissance, ce qui va complètement changer le futur. Bon, tout le même problème avec les voyages dans le temps et ses paradoxes, on va dans le passé pour changer l’avenir, du coup, ce qui a existé n’existe plus etc… On s’y perd un peu, l’auteur aussi…
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Les fils du serpent

Pouah pouah pouah, je le crois pas!

Avec "Les fils du serpent" Jimmy Guieu décroche haut la main le titre de maître du nanard.



Dans ce salmigondis mêlant SF, espionnage, ésotérisme et histoire, il n'y va pas avec le dos de la cuillère.

Coté historique il convoque à tout-va : les Mérovingiens, les Templiers, les croisades, la franc-maçonnerie, les légendes de filiation des Francs aux Troyens et j'en passe un paquet.

Son propos, reconnaissons-le, s'avère documenté mais accouche d'un méli-mélo penchant plus vers Dan Brown que vers Umberto Eco. Il ratisse large et vient encore épaissir la sauce avec l'abbé Saunière et le fameux trésor de Rennes-le-Château.

Cet embrouillamini historico-ésotérique déclenche une course à l'échalote pour sauver l'ultime descendant des Mérovingiens et retrouver quelques antiques parchemins enfouis dans les souterrains d'un château médiéval.

Ajoutez à ce fatras une ascendance extraterrestre prêtée aux Mérovingiens et aux Juifs, vous commencez à subodorer dans quelle mascarade Jimmy Guieu entraine ses lecteurs.



Coté SF, de mystérieuses boules lumineuses, surgissent opportunément pour sauver la mise à la fine équipe de Jimmy à chaque fois qu'il les accule dans une impasse. Pour éviter de spoiler, je resterai discret quant à l'origine de cette sorte de couteau suisse futuriste aux possibilités infinies.



A ce stade la coupe pourrait sembler pleine mais Guieu à plusieurs cordes à son arc pour alourdir son brouet.

Apparemment passionné par les voitures et les armes, il désigne scrupuleusement les nombreux modèles utilisés par les protagonistes. Je ne résiste pas à en partager ici un petit florilège, sont au menu véhicules : break Citroên CX Reflex, BMV Alpina B6, Mercedes 380 SE, Renault 18 break TL, break 2 portes Talbot Matra Rancho et pour les flingues : carabine Marlin, AKM (avec (1) l'indispensable renvoi en bas de page Avtomat Kalashnikov Modernizovani version moderne du fusil automatique soviétique AK-47) et Riot-Gun Mossberg calibre 12 Magnum en version 8 coups, s'il vous plait!



Saturés amis lecteurs?

Jimmy, lui, ne fatigue pas, j'ignore si le name-dropping était rétribué en 1984, en tout cas ses personnages grillent des Pall Mall et sirotent du Pernod light toutes les deux pages. Ces comportements marquent d'ailleurs le bouquin dans son époque contrairement aux prénoms des personnages. J'avais une vingtaine d'années en 84 et, si je me fie à ma mémoires, les Paulette, Régine, Jean-Jacques, Richard et Monique de ma connaissance étaient rares et trop âgés pour jouer les pistoleros.



N'en jetez plus! entends-je la foule me supplier.

Indulgent j'en resterai donc là...

Non sans avertir les lecteurs sensibles aux us et coutumes machistes que, cerise sur le gâteau, si chez Jimmy Guieu les femmes manient le gun avec brio, après le coup de feu elles s'empressent de retourner aux fourneaux pendant que les hommes prennent l'apéro.



Je ne lirais pas ça tous les jours.
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Les portes de Thulé

Livre assez simple et très agréable à lire. Il se lit vite, trop peut être. En effet, il nous emmène facilement dans son monde et l'histoire est intriguante, mais elle aurait méritée d'être plus approfondie peut être. On reste sur notre faim. Mission réussi, il nous donne vraiment envie d'en apprendre plus sur ce monde, malheureusement il ne nous en donne pas l'occasion. Mais ce livre est tout de même à lire, il me semble être un bon moyen d'entrer dans l'univers de Jimmy Guieu.
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Une aventure de Blade et Baker : Les prison..

Less prisonniers de Bangor est novateur pour sa période. Il s'agit du premier livre que j'ai lu sur le duo blade et Baker.

Pour ceux que ça intéresse l'histoire parle d'une race ayant décidé que les Terrien prenait trop d'importance dans l'univers. Ils ont décidé de monté une armé à partir d'une drogue. Cette drogue est le point fort du livre dans son originalité. Il s'agit d'une drogue qui ne produit que peut d'effet voir aucun mais qui possède exclusivement le fait de l'addiction. Cette addiction tue les sujets en 70h maximum. Toutes personnes ayant été drogué sont des innocents et ont été drogué de force. Il n'existe aucun sevrage jusqu'à ce que le scientifique Krasbaueur créé un remède . Ce qui évidemment joue en défaveur des contrebandiers alors ils décident dans un grand fracas sur la Terre de le kidnappé. Le roman consiste à la libération de ce personnage et en même temps le terme prisonnier est bien adapté car les toxicomanes sont aussi prisonnier de cette planète.

Je recommande de découvrir au moins le duo Blade et Baker et surtout de découvrir Jimmy Guieu.
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Narkoum : Finances rouges

Dieu que c'est mauvais.

Creux, caricatural, bêtement agressif et profondément ennuyeux ; la représentation parfaite de la spirale infernale dans laquelle semble s'enfoncer Jimmy Guieu au fil des tomes de ses Chevaliers de Lumière.

C'est tout simplement nul. Et c'est bien pour ça que c'est toujours aussi fascinant à mes yeux.

Du vide surgit toujours de la matière, apparemment.
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Les êtres de feu

Ce fut une lecture très intéressante. J'espère que cet auteur pourra être redécouvert à l'avenir. Bien que certaines idée soit quelque peut daté du a son ancienneté on peut tout de même reconnaître son originalité pour l'époque. Il se lit facilement. L'histoire est très intéressante et je trouve qu'il est difficile de lâché le livre car j'étais curieux de connaître la suite. Je recommande cet auteur et je recommande vraiment les êtres de feu.
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Les légions de Bartzouk

C'est nul. Mais nul.

On sent dans ce volume final des aventures de Blade & Baker les prémices de ce que seront un peu plus tard les Chevaliers de Lumières : un ramassis de clichés droitards et brutaux, vulgaires et libidineux.

Des personnages spectateurs des événements, des retournements de situation artificiels à un rythme sans cesse brisé par des scènes de séduction neurasthéniques menant à un final abrupt et complètement stupide mettant en valeur tous les trous d'une intrigue inique : c'est une honte totale de bout en bout, d'un point de vue littéraire comme science-fictif.

J'ai absolument adoré.

Jimmy Guieu était un fumiste, mais personne ne peut se vanter d'être un fumiste aussi constant et singulier que lui.
Lien : https://syndromequickson.com..
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Nos ancêtres de l'avenir

Un roman pour les fans du genre uniquement.. Roman acheté dans le cadre d'un défi lecture entre amis pour découvrir d'anciens auteurs. Pas désagréable et se lit facilement mais surtout un bon souvenir pour en reparler entre amis autour d'un apéro et de quelques blagues. Mais pas plus.
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Les germes du chaos

Un petit roman rapide et plaisant à lire. Un mélange de polar, de parapsychologie, de mondes parallèles pour un résultat que je qualifierais de sympathique, bien que je sois loin de supporter les thèses ésotériques de l’auteur. Mon dada, c’est plutôt la zététique. Alors, j’ai bien ri (jaune) quand parfois la science, la vraie, y est dénigrée.

À signaler : des héros qui n’ont pas trop d’états d’âme à liquider de sang-froid leurs ennemis ; et aussi un très court passage qui frôle l’homophobie… (mais peut-être me trompé-je.)

Malgré tout, le ressenti général est plutôt bon et je tenterais probablement un autre roman de cet auteur. Pour confirmer cette première impression, ou pas…
Lien : https://www.pascific.fr/1973..
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Hantise sur le monde

Après Au-delà de l'infini & L'invasion de la Terre, deux romans sur lesquels j'aurais bien du mal à revenir pour la simple et bonne raison que ma mémoire a procédé à du tri et en a évacué les souvenirs clairement dispensables, Jimmy Guieu fait reprendre du service à deux de ses personnages récurrents : Jerry et Nicky.



"Séduisant, athlétique, Barclay arborait un justaucorps turquoise et Nicky une courte tunique safran dont l'arrondi dénudait son épaule et la naissance de ses seins fermes qui se passaient fort bien d'un soutien-gorge !"



La trame de ce mauvais roman - excusez-moi mais je m'apprête à tirer sur l'ambulance, c'est plus fort que moi - la trame, disais-je, n'a aucun intérêt et ne sert que de prétexte pour aligner des réflexions misogynes. Pour autant, je tiens à la partager avec vous et à en souligner le caractère... hmmm... rigolo ? Vous me direz. Voilà. Une race extraterrestre arrive sur Terre et en décime les habitants par milliers. Ces envahisseurs, qui sont des êtres unicellulaires doués d'une forme élémentaire de pensée et pourvus d'une vingtaine de tentacules ou pseudopodes, répandent une bave urticantes fatale aux humains. Les scientifiques, du fait de la masse glaireuse, visqueuse et tremblotante de ces créatures mystérieuses, les désignent donc du nom de "amiboïde-cerveau". Et pour cause, elles évoquent irrésistiblement une forme gigantesque de protozoaire. En toute logique, Jerry Barclay, spirituel jusqu'au bout des ongles, préfère le terme suivant : Protozobaire.



J'ai dit rigolo, n'est-ce pas ?



Les autorités font appel à notre héros pour résoudre le problème et, comme l'auteur n'est pas à un cliché près, elles lui annoncent qu'il a carte blanche. En parlant de clichés, le romancier au brushing n'est jamais aussi inspiré que lorsqu'il aborde la notion de féminisme. En effet, entre la jeune femme qui se débat "avec des cris de terreur", celle qui est "au bord de l'hystérie" ou encore cette autre qui sent qu'elle va "piquer une crise de nerfs" et à laquelle notre héros répond invariablement "OK, mon chou", tous les poncifs sexistes y passent. L'image de la femme en prend un coup et le rapport de domination est sans nuance. D'ailleurs, de la nuance, le roman en est dépourvu. Ni nuance, ni subtilité. Pas non plus de décence, ce dont on se rend compte dès les premières pages et, précisément, à la description suivante, celle d'un cadavre. Je vous la livre tel quel mais vous rappelle à toutes fins utiles que le portrait que vous vous apprêtez à lire est celui d'une femme tuée par une créature extraterrestre :



"Penchés sur une jeune Américaine en mini-short et boléro translucide au large décolleté sur ses seins nus, un médecin et un physiologiste commencèrent le premier examen."



Tout est dit. Prochain épisode des aventures de Jerry et Nicky : L'Univers vivant. J'ai hâte !



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L'invasion de la terre

Je suis désolé mais j'ai deux mauvaises nouvelles à vous annoncer. Voire trois.



La première, j'en ai fait la douloureuse découverte dès les premières pages, c'est que ce roman est la suite du dispensable et embarrassant Au-delà de l'infini. On y retrouve son personnage principal, Jerry Barclay, dont j'avais entretemps oublié le nom et l'existence. Il faut dire que, dans le premier volet, il était tant éclipsé par les formes de la jeune femme qui lui faisait office de faire-valoir que je m'étais à peine rendu compte de sa présence.



Il ne m'a pas beaucoup plus marqué dans ce roman-ci. Et pour cause, le protagoniste est toujours aussi insipide. Quant à la langue, elle est terne, le rythme mou et l'intrigue, fade, tient en quelques mots : Jerry Barclay est chargé par Washington d'une "mission de contact", alors qu'un engin venu de l'espace doit atteindre la Terre... (son interlocuteur consulte son chronographe)... deux heures et dix-sept minutes plus tard, c'est-à-dire à zéro heure exactement. Notre héros ( héros ?) monte dans sa fusée, direction les étoiles !



Une fois établie la description d'un extraterrestre "petit, une tête disproportionnée, chauve, sur un corps frêle, la peau ocre, des yeux énormes à facette, extrêmement mobiles, avec un iris glauque, verdâtre", description dont il est intéressant de noter l'indiscutable cohérence scientifique, qui d'ailleurs est à l'image du reste de l'édifice, les pages se suivent laborieusement et les bonnes raisons de sauter les chapitres deviennent de plus en plus évidentes. C'est là qu'arrive la deuxième mauvaise nouvelle : ce roman a une suite, Hantise sur le Monde. Et n'oubliez pas qu'une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule... Un quatrième volume complète ce cycle, L'Univers vivant. Aïe !



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Au-delà de l'infini

Jimmy Guieu, depuis le temps, vous le situez : moustache, brushing, graphomanie et ufologie. Les très nombreux romans qu'il a publié sont généralement médiocres et laissent souvent une aussi grande place à ses théories complotistes sur les soucoupes volantes qu'à ses fantasmes dignes de téléfilms érotiques à petit budget. "Au-delà de l'infini" en est un exemple édifiant ! Un roman scabreux, totalement affligeant...

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La terreur invisible

Quelle étrange fascination je me construis envers Jimmy Guieu, décidemment.

Une telle médiocrité jusqu'au-boutiste, ne reniant jamais les obsessions curieuses d'un auteur de SF qui se refuse toujours de l'être, injectant ses lubies au forceps dans des histoires qui auraient souvent pu être tellement meilleurs s'il avait seulement décidé d'essayer.

Sans doute le moins mauvais de tous les romans signés de sa singulière patte que j'ai pu lire, émaillé de vrais moments d'angoisse, j'en ressors encore plus affamé de compréhension pour son logiciel détraqué.
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Les êtres de feu

Ce roman m'a été présenté comme l'un des meilleurs de Jimmy Guieu. Je confirme ! Les premiers romans de l'auteur, paru dans les années 50, sont réputés comme étant les meilleurs.



Dans ce roman, Guieu reprend le thème de la Terre creuse. Guieu critique aussi les médias qui cachent la vérité au public, et défend ainsi la liberté de presse, plus qu'utile, surtout depuis que Macron a tué la France.



Le roman est représentatif de la peur nucléaire à l'époque. En effet, les savants atomistes sont considéré responsable de l'intrigue.



La fin est très utopiste et fait plaisir.



Belle trouvaille !
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Le pionnier de l'atome

Le premier roman de Jimmy Guieu, daté de 1951 et publié à l'âge de 25 ans, ne laissait certainement rien présager de la capacité de son auteur à produire une œuvre prolifique ni de sa longévité à venir. Il ne contient pas grand chose



Ce livre s'inspire pourtant d'une bonne idée : l'auteur à la moustache et au brushing inoxydables imagine que notre monde n'est qu'une couche dans un univers conçu comme une matriochka. Certaines personnes, particulièrement bien dotées, peuvent faire communiquer ces univers. Si son concept est intéressant, il semble en revanche ne pas savoir quoi en faire. Ainsi, d'une plume maladroite et stéréotypée percluse des défauts les plus grossiers d'un premier roman, il mène son personnage d'une couche à l'autre, au fil d'une trame linéaire dans laquelle tout se justifie par l'inexplicable. Il faut reconnaître que c'est pratique : l'impossible devient possible. Il n'hésite donc jamais à abuser des ressorts occultes, au détriments des éléments scientifiques vaguement avancés, et il noie au passage son intrigue dans une romance sirupeuse baignée d'ésotérisme. Tout pour plaire !

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Le pionnier de l'atome

Une lecture décevante. L'intrigue prend du temps à se mettre en place. Pour un roman court, c'est un comble. de plus, je n'ai jamais réussi à entrer dans le récit. Les rares fois où je suis entré dans le récit, c'était pour en sortir la page suivante. Je n'ai pas réussi à le terminer.
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Les maîtres de la galaxie

Jimmy Guieu c'est un plaisir particulier, le seul auteur que je connaisse qui fasse avec le temps oeuvre de nanar littéraire.

C'est mauvais à tant d'égards que c'est défrisant. Sexisme immonde, personnages crapuleux, intrigue rafistolée ; c'est du grand n'importe quoi qui prend encore plus de poids avec les années passées.

Une véritable capsule temporelle de mauvais goût.

J'adore.
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