Citations de John Lang (216)
- Hé, t'es gonflé! T'as toujours dit que la magie, c'était pourri!
- Ouais, mais là c'est gratuit! Quand c'est gratuit, c'est forcément bien! (p.21)
Elle est tellement dans le pâté qu'elle pourrait ouvrir à elle seule un commerce de terrines. (p.34)
Ils auraient au moins pu te laisser un miroir pour que tu puisses voir comment t'es trop laid. (p.8)
Avant, les bâtons étaient beaucoup plus simples. Ils avaient des formes banales, mais les fabricants ont changé cette habitude pour des raisons commerciales. Il faut dire qu'ils avaient du mal à vendre une fortune des morceaux de bois qui ne ressemblaient à rien ! (p.34)
Y'a pas vraiment besoin de transpercer des gens qui vont être écrasés ensuite? (p.18)
Les livres c'est comme parler, ça donne mal à la tête. (p.32)
J'vous annonce qu'on a récupéré 28 P.O, 7 P.A., un demi-saucisson, une gourde, une ceinture, une chaussure gauche presque neuve, une gourmette en cuivre un peu terne, une arbalète qui marche pas et un sabre d'une qualité douteuse. (p.29)
Il faut que je vous dise autre chose: je vous conseille d'arrêter l'aventure, vous allez finir par vous attorer des ennuis. (p.48)
Heureusement que les elfes ne gagnent plus de bonnet de soutien-gorge après le niveau trois... (p.45)
Mince alors, des hisyoires de cul dans le groupe ! Et voilà, maintenant c'est foutu. (p.35)
- Bienvenue à Kligush !
- Cela nous fait une belle jambe.
- Les types qui trouvent les noms de ces villages de bouseux ont vraiment un problème... (p.22)
Evidemment que j'ai raison ! Je suis un nain ! (p.19)
C'est ma nouvelle hache, comme elle est neuve la poignée glisse et puis j'avais le soleil dans l'oeil, et j'étais gêné par la poussière ! Et en plus, j'avais pas eu ma bière. (p.17)
- Grrr... ce périple n'en finit pas !
- Mais voyons, maître, ça pourrait être pire !
- Je ne vois pas comment !
- Mais si ! Nous pourrions être aveugles avec une jambe cassée... et il pourrait pleuvoir ! (p.11)
La vie d'aventurier, c'est vraiment stressant, il faut toujours que je me trouve confronté à des choix difficiles, et je n'ai pas le temps de me reposer !
Il faut dire que je suis à la tête d'une compagnie dont les membres remettent parfois en question mon autorité.
Ah ! Salutations, voyageurs ! Moi, je suis le chef d'un glorieuse compagnie d'aventuriers, nommée euh... On verra ça plus tard.
- Alors puisque c'est moi le maître maintenant, eh bien, je vais laisser là votre vielle carcasse, et ...
- Ha ! Te voilà ! Mais qu'est-ce que tu fabriques, petite crapule !
- Mais rien, rien du tout... Je parlais tout seul en regardant le cadavre de cette chèvre...
- Quelque chose ne va pas dans ta tête ! Et de quoi parlais-tu ?
- Eh bien... On peut dire que j'essayais de me préparer psychologiquement à des changements qui pourraient subvenir bientôt dans nos vies...
- Je ne comprends rien à ton charabia ! Et puis les changements sont déjà là ! Ça fait quatre jours qu'on marche en territoire hostile ! On a déjà rencontré un kraken d'eau douce, un ours mutant électrique et trois meutes de loups noirs !
-À force de dire des conneries, tes XP sont certainement dans les négatifs !
Sa bouche était aussi tremblante qu’un nudiste sur une banquise.
- De la fumée, sérieusement ? Mais d'où tu sors cette idée ?
- Je fais avec le matériel qu'on me donne, figure-toi!
- Ils n'avaient pas besoin de fumée, c'est débile ! on n'y voit plus rien !
- Je n'avais pas le temps de charger le fusil !
- Et comment je vais retrouver les blessés, moi ?
Cette conversation me renseigna sur l'origine du curieux phénomène. Les paquetages de missions comportaient parfois d'étranges fioles destinées à Vells, qu'il était censé savoir utiliser. Du moins, c'était la théorie.