Quatre essais caustiques et grinçants mettant en évidence les problèmes de la société Irlandaise du 18ème siècle et du début du 19ème. En particulier la "gestion" des plus démunis et de leurs enfants et nouveaux-nés.
C’est décalé, cela prête indiscutablement à sourire mais le style, un peu vieillot et qui traîne en longueur, ne m’a pas séduit.
À lire tout de même, par curiosité.
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Voilà que je continue mes séances de rattrapage en lisant des œuvres que j’aurais dû découvrir lorsque j’avais dix ans. Cela a un avantage, c’est que bien souvent il y a deux niveaux de lecture (ou davantage). Tous ces romans d’aventure cachent forcément autre chose. Dans le cas de Gulliver, ceux et celles qui cherchent le bon roman d’aventures aux constants rebondissements et à l’intrigue tarabiscotée en seront pour leurs frais. Car, une fois le livre terminé, si on se penche sur la vie de Swift on constate que, comme les dramaturges français de la même époque, il prend un plaisir à mettre en scène des personnages en double jeu. Derrière la caricature se cache des personnes bien vivantes et contemporaines de l’auteur. Ainsi, Swift règle ses comptes. Alors, forcément, 300 ans plus tard, tout ceci semble un peu puéril. Il reste cependant que les vues de Swift sur le monde sont étonnamment modernes. Il suffit de parcourir le passage traitant de l’Angleterre et des habitudes de ses concitoyens dans le chapitre VI de la troisième partie des voyages pour s’apercevoir que, à une virgule près, on peut tenir le même discours actuellement : l’empreinte écologique et la mondialisation y sont purement et simplement décrites!
Sous couvert de voyages fantastiques, Gulliver nous livre un véritable traité philosophique. Tout y passe, à commencer par la question du point de vue. Question centrale du roman. Au fil des chapitres, on se remet en question, on devient malgré soi philanthrope. La perception que nous avons du monde, et de ses habitants par conséquent, diffère selon l’angle de vue. Nous sommes tributaires d’un conditionnement innée. Notre entourage, notre civilisation, notre espèce même nous dictent nos impressions, notre entendement. Nous sommes esclaves de notre style de vie. Il nous est difficile de nous mettre à la place d’autres personnes, alors de là à penser comme un crustacé et partager la vision d’une étoile… Ce même principe explique que pendant des siècles et d’après la simple constations visuelle, on a cru que le soleil tournait autour de la Terre, obstinément plate comme la main. On prétend que les voyages forment la jeunesse; dans le cas de Gulliver ils ouvrent l’esprit. Propulsé d’abord dans un monde miniature, il se retrouve plus tard dans l’exact contraire, devenu lilliputien lui-même. Cela en exprime long sur la différence qui ne doit jamais impliquer l’inégalité. Mais il ne s’agit là que d’humains après tout. Son séjour chez les Houyhnhnms dépasse de loin la notion d’espèce. Au contact de ces chevaux doués d’une grandeur d’âme qu’on ne rencontre guère chez les humains (pardon, les Yahoos), Gulliver va en arriver à exécrer sa propre espèce (Swift était misanthrope) et aura du mal à réintégrer le monde des hommes. N’allez toutefois pas croire que ces voyages se lisent comme un livre de philosophie avec migraine et mal de crane en perspective. On y rit beaucoup et le côté Rabelaisien, limite scatologique, ravira les plus jeunes d’esprit. On découvre les inconvénients de l’immortalité et la futilité voire l’inutilité des inventions scientifiques lorsque celles-ci frisent la psychose (j’ai immédiatement pensé au Catalogue des Objets Introuvables de Carelman ou encore au Codex Seraphinianius). Gulliver invite à l’altruisme. C’est l’anti Robinson Crusoé. Laissez donc s’exprimer le Gulliver qui sommeille en vous et efforcez-vous de regarder le monde par l’autre bout de la lorgnette.
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We always need a smaller than itself.
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Gulliver va au collège Emmanuel à l'âge de quatorze ans pour faire des études de médecine . Il fait preuve d'assiduité et de courage
Un jour dans sa vie il embarque dans un bateau pour l'inde .
Mais le bateau coule et Gulliver se retrouve dans le monde des lilliputiens. Je trouve Gulliver passif envers les lilliputiens qui ont failli lui crever un œil. Il s’est montré clément envers eux en détruisant la flotte des ennemis des lilliputiens. Mais je le trouve assez prétentieux. Paul D54 livre numéro 1
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Un livre qui se lit très rapidement. L'auteur y présente avec beaucoup de sarcasme et d'humour noir un moyen de résoudre le problème de la pauvreté des irlandais. Ce texte ne sert qu'à mettre en avant ces problèmes de manière détourné.
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Le livre est divisé en 3 voyages: "le voyage à Lilliput", "voyage à Brodingnag" et "voyages chez les Houynhnms".
J'ai beaucoup aimé les 2 premiers voyages : " voyage à Lilliput" et "le voyage à Brodingnag". Ils m'ont beaucoup inspiré, car j'ai rêvé de faire ces voyages là; en revanche, je n'ai pas aimé le dernier et troisième voyage: "voyage chez les Houynhnms" car je n'ai jamais rêvé de rencontrer de telles être et il ne m'inspire pas.
Je n'ai pas aimé la construction du livre car j'ai trouvé le livre lent et sans action. Il y a beaucoup de longueurs de phrases, ou de longues descriptions.( ex: la description de la poche de Gulliver dans son voyage chez les Lilliput.)
Je n'ai pas non plus aimé le style d'écriture du livre, car il utilise souvent du langage soutenu, ce qui parfois entraîne une difficulté de compréhension.
Enfin, quant aux personnages, j'ai apprécié les rencontres entre Gulliver et ses nouveaux compagnons, car ces êtres sont intriguant.
Ophélie
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Un ton léger, des aventures rocambolesques et des confrontations de personnages si différents. A lire !
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j'ai pas trop aimé ce livre car , on se mélange trop il raconte trop de chose en meme temps . On comprend plus rien a force.
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Certes un grand classique mais je n'y ai pas trouvé grand intérêt.
On n'est pas emporté par l'histoire, le personnage principal est fade. Je n'y suis vraiment pas rentrée et j'ai seulement survolé la deuxième moitié pour glaner quelques informations sur les péripéties du héros.
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Être le plus grand, être le plus fort, mais tellement grand et tellement fort qu'on n'a aucun besoin d'imposer sa taille ni sa force, c'est la situation dans laquelle se trouve Gultiver à Lilliput. Et il en profite, tranquille comme une montagne, pour observer l'agitation, les intrigues des hommes, ces tout petits.
Ce voyage à Lilliput représente de belles aventures, où l'imagination et l'humour sont de la fête. Mais le plus vif de ce livre est ailleurs, dans une réflexion légère sur ce qui occupe et motive la société des hommes, si bien qu'on trouve là un apprentissage de la politique et de sa nécessité, mené avec un naturel qui efface la leçon et ne touche que par l'expérience.
89 pages
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