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Citations de José Frèches (126)


C'est quand je marche que je réfléchis posément : c'est quand je marche que je décode bien le monde; c'est quand je marche que je commence à comprendre les grands contours de ce que sera la Vérité.
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Méditer n'est pas une activité naturelle. C'est un combat contre la nonchalance.
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J'ai envie de lui dire que je trouverai ma voie tout seul et que je serais le plus heureux des enfants, si on me laissait un peu tranquille...
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Depuis qu'il est en âge de tenir un pinceau, Pousse de Bambou a compris que dessiner correctement des hanzi, c'est décrire et réfléchir ; c'est composer des poèmes et c'est donner à rêver ; c'est donner à lire, aussi.
Or, lire, c'est savoir.
Lire, c'est connaître et c'est aussi penser droit.
Lire fait de toi un homme de bien.
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Souvent, [les eunuques] avaient été vendus pour quelques taels de bronze par leurs parents. Après quoi, ils avaient été castrés à l'hôpital des eunuques, dont ils étaient sortis avec leurs « deux trésors » dans un petit sac de cuir qu'ils devaient garder afin de pouvoir être enterrés « entiers » après leur mort, par respect pour leurs ancêtres.
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Ecrire est un combat ! Ecrire est un défi !
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Méditer devant un mur lisse et vide ! Toujours méditer et encore méditer, de préférence assis face à un écran dénué de toute peinture, proéminence, ou tout autre élément qui pourrait détourner l'attention... Laisser le vide envahir son esprit pour atteindre ce stade où le plus petit raisonnement n'avait même plus cours. Revenir à l'état d'une plante ou d'un caillou et attendre que l'Illumination, subitement, vous arrivât dessus comme une vague de la mer...
Telle était la recette infaillible (…).
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Quand tu regardes autrui ton visage doit respirer la bienveillance, car c'est ainsi que tu l'inspireras à autrui.
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"Ecrire, c'est traduire la splendeur du monde, pour mieux la raconter..."
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Sous le soleil d’Indra le Roi des dieux, chacun doit rester à sa place. Je te l’ai déjà dit, Siddharta !
Et ce jour-là, précisément, juché entre les oreilles d’un immense pachyderme qui file à travers les champs de roseaux, j’éprouve pour la première fois la certitude que personne jamais, ne doit rester à sa place et que l’homme, au contraire, s’il veut trouver la Vérité, doit commencer par être libre d’aller où il veut, libre de rencontrer qui il veut, libre de parler à qui il veut.
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Pleurer, c'est se souvenir. Or il n'y a rien de plus triste que d'oublier.
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Écrire, c'est traduire la splendeur du monde, pour mieux la raconter ...
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…il ressentit les premiers effets de la petite graine de culpabilité qui commençait à pousser tout au fond de son coeur, un genre de semence minuscule et sournoise qui, comme chacun sait, finissait toujours par donner une plante gigantesque, envahissante et dévoreuse des êtres les plus forts.
(p. 361)
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Pourquoi un fils de famille est-il obligé de suivre la trace de son père, comme si ce dernier était la main, et lui le pinceau ?
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Mon père me pousse vers le métier de la guerre ! Non seulement elle m'est étrangère, mais surtout je n'ai pas envie d'abîmer le monde ni d'abîmer les autres !
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Grâce à la broderie, son esprit s’évadait loin de son quotidien d’ouvrière esclave au Lieu interdit. Ce complexe industriel, où étaient envoyées les bobines de fil de soie, devait son surnom à son imposant mur d’enceinte, presque aussi haut que celui de la Cité interdite, la résidence des empereurs.
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Le silence est un bien précieux. Non seulement il ne faut pas le craindre, mais il faut le rechercher . En écoutant le silence, l’homme se ressource.

(p.287)
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Bastien, mon chef de groupe, fait partie de ceux qui, lorsqu’ils te donnent, te demandent aussitôt de commencer par rendre un peu.
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... Car c'est ainsi que le calligraphe est capable de "chanter comme l'oiseau", du pépiement le plus strident au caquètement le plus doux.
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La Route de la Soie parcourait le plus souvent des contrées désertiques et inhospitalières, où les caravanes étaient confrontées à tous les types de terrains, de la plaine à la haute montagne.
C'est dire s'il ne fallait pas avoir froid aux yeux pour s'y aventurer....
... C'est ainsi que, sur une distance de près de huit mille kilomètres, s'effectuèrent pendant des siècles, de proche en proche et d'un marché à l'autre, les échanges commerciaux, de même que culturels et idéologiques, entre le monde occidental, le monde oriental et le monde asiatique.
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