Citations de José Rodrigues dos Santos (593)
Lutter était dans son tempérament, un principe de vie, car un homme qui n'osait pas affronter les obstacles était un éternel vaincu. Il pouvait être battu, mais il ne serait jamais vaincu.
Selon l'une des règles élémentaires de la finance, voler l'argent d'une banque laisse toujours un déficit.
Il aimait travailler pendant des heures, concentré sur une tâche unique, seule façon d'être efficace, et les interruptions troublaient sa concentration.
"Il faut toujours évaluer la fiabilité d’un document, le regarder d’un œil critique, essayer de détecter les intentions et s’assurer qu’il ne contient pas d’incohérences."
L'âme, mon cher fils, n'est qu'une invention, une merveilleuse illusion créée par notre ardent désir d'échapper à la mort.
Mon cerveau est une complexe machine électrochimique qui fonctionne comme un ordinateur et ma conscience, cette notion que j'ai de mon existence, est une sorte de programme.
D'une certaine façon, et littéralement, la cervelle est le hardware, la conscience le software.
C'est mon corps. Je me réfère à lui comme si je disais : c'est ma télévision, c'est ma voiture, c'est mon stylo. Dans ce cas, il s'agit de mon corps. C'est une chose qui est à moi, c'est ma propriété. Mais si je dis que ce corps est à moi, j'admets par la même que je suis distinct de celui-ci. Il est à moi, mais il n'est pas à moi. Alors qui suis-je ? Je suis mes pensées, mon expérience, mes sentiments. Voilà ce qui me constitue. Je suis une conscience. Mais alors, est-ce cette conscience, ce "je" qui est moi, qu'on appelle l'âme ?
Notre vie est une perpetuelle distraction qui ne nous laisse même pas prendre conscience de ce dont elle distrait.
Excellent livre de vulgarisation
Ainsi, nous partageons avec les oiseaux chanteurs un ancêtre quelconque qui adorait faire des vocalises.
— Ça se passe où, ça ?
— Partout, inspecteur. Des Amériques à l’Asie, en passant par l’Afrique. Des agriculteurs sans aucune formation administrent des quantités industrielles d’antibiotiques aux animaux, sans aucun discernement ni le moindre contrôle. Dans l’Union européenne, cette pratique a été rendue illégale, mais de nombreux producteurs européens se foutent royalement de cette interdiction. Dans la réalité, ils contournent la loi en utilisant les antibiotiques, mais à faible dose, ce qui d’ailleurs ne fait qu’aggraver le problème. L’Agence européenne du médicament a déjà déclaré que l’élevage industriel présente des conditions favorables à la sélection, à la diffusion et à la persistance des superbactéries, ce qui est une manière timide de dire les choses. Pour bien appréhender l’ampleur du problème, évoquons par exemple le cas de la superbactérie que beaucoup considèrent comme la pire de nos jours, la terrible SARM. Cette bactérie n’apparaissait auparavant que dans les hôpitaux. Pourtant, un variant a été découvert chez des cochons, le SARM ST398, qui s’est ensuite propagé à d’autres animaux et qui commence déjà à infecter des êtres humains. Plus de 30 % de la viande de dinde inspectée aux Pays-Bas, par exemple, s’est avérée contaminée par le SARM ST398, tout comme 10 % de la viande de poulet, de porc et de vache. L’Autorité européenne pour la sécurité alimentaire estime que cette superbactérie est présente dans toutes les populations d’animaux destinés à l’abattage. Cela veut dire que lorsqu’une personne mange un steak ou une cuisse de poulet, elle ingère probablement des superbactéries.
Aucun roman ne m'a autant coûté à écrire que celui-ci. J'ai songé à abandonner avant même de le commencer car ce que j'avais à raconter était à ce point terrible, ce qui s'est vraiment passé à Birkenau était tellement effroyable qu'il m'a semblé que l'on répugnerait à le lire. Or, trop soucieux de ne pas édulcorer la vérité pour la rendre digeste, je me suis trouvé face à un dilemme. Pourquoi écrire un livre que personne ne serait capable de lire ?
Bonjour chers lecteurs et spécialement de J.R Dos Santos.
C'est parmi les écrivains que je qualifie de miracle sur terre. J'ai lu ses œuvres comme :codex 632, La formule de Dieu et signe de vie. Et je possède tous ses romans.
Ce qui m'a marqué dans "signe de vie" c'est l'approche philosophique des questions éternelles "Dieu et son existence" , "raison de la vie", " Cette existence est-elle intentionnée ou un pur hasard"
Je suis moi même un fervent adepte de l'astronomie et ce roman est purement dans mes cordes.
Pour la critique du livre, je peu vous dire que je n'ai jamais pleuré en lisant une histoire jusqu'à ce que je lise cet ouvrage. Et là, je dis .. chapeau à José Rodriguez... Actuellement c'est le numéro 1 de tous mes lectures. L'auteur a un point commun avec Dan Brown et son héro Robert Langdon.
Je vous conseille de lire aussi Dan Brown. Ses histoires son basés sur des lieux et faits qui existent réellement, comme les sectes, les organisations secretes ....
Prophète Moussa qui parle sur les arbre
Dans la course à l'intelligence artificielle, man, tout le monde sait que l'Amérique invente, la Chine copie et l'Europe réglemente. L'innovation n'existe pas en Europe.
"Les Allemands l'avaient rendu complice du meurtre de son peuple, et face à cette immense tragédie les étoiles brillaient. Elles brillaient comme elle l'avaient toujours fait... elles brillaient comme si rien n'avait d'importance hormis elles-mêmes et l'éclat avec lequel elles diapraient le cosmos"
« Je pense que nous ne devrions lire que les livres qui nous mordent et qui nous transpercent, a écrit Franz Kafka. Si le livre que nous lisons ne nous secoue pas, ne nous réveille pas d'un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ?
[...] Un livre doit être une hache qui brise la mer gelée qui est en nous. » C'est à ça que servent les romans, c'est pour ça que j'en écris, et c'est pour ça que j'ai écrit celui-ci, et que je l'ai fait de cette façon.
(Extrait de la Note finale du livre)
Il n’avait jamais imaginé qu’une telle barbarie était possible dans son propre pays, sa chère république, patrie du capitalisme et de la liberté, terre de tolérance et de diversité
(Hervé Chopin, p.485)
— Tout cela est effrayant, marmonna le libraire. Ils ont arrêté son frère et ils veulent faire de même avec lui à cause d’un livre. Un livre, Benedictus!
— Les livres contiennent des idées, et les idées changent le monde, répondit le philosophe. C’est de cela qu’ils ont peur. Un conservateur a peur du changement, c’est pourquoi il s’accroche au passé…
(Hervé Chopin, p.394)